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QUESTIONS CONTROVERSÉES SUR LA BIBLE : Partie 3

par panthère58, dimanche 02 avril 2017, 23:34 (il y a 2580 jours) @ panthère58

:-) Questions controversées sur la Bible

Critique personnelle, objective et subjective : Partie 3


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Éditions NOVALIS, 2016, 246 pages

L’endos du livre : Jésus était-il marié ? Est-il né d’une vierge ? La Bible est-elle misogyne, ou alors homophobe ? Est-ce que science et Écritures saintes s’opposent et se contredisent ? L’Église a-t-elle retiré des livres de la Bible ?

De jeunes biblistes qui n’ont pas froid aux yeux répondent à ces questions délicates, et à d’autres encore, avec un grand sens de la nuance. Dans une langue claire, accessible et parfois teintée d’humour, ils nous entraînent dans une aventure qui transforme notre regard sur des textes qui, souvent, veulent nous dire bien autre chose que ce que nous y entendons depuis toujours.

Serge Cazelais est chargé de cours à l’Université Saint-Paul. Historien des religions, il s’intéresse au christianisme ancien.

Francis Daoust est directeur de la SOCABI (Société catholique de la Bible). Ses recherches portent surtout sur les manuscrits de la mer Morte.

Sébastien Doane termine un doctorat à l’Université Laval. Il est l’auteur de plusieurs livres chez Novalis.

Anne Létourneau a complété un doctorat à l’UQAM. Ses recherches portent sur l’interprétation féministe de la Bible hébraïque.

Hervé Tremblay, o.p., enseigne l’Ancien Testament au Collège universitaire dominicain.


AUTRES LIENS :

1. Dossier Anton Parks :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=128348

2. Dossier VidéOrandia :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=129655

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. Mes commentaires subjectifs, mes spéculations factuelles, fantaisistes [en bleu]
(m’inspirant de Yann Vadnais dans le VOR161001)
. Des extraits [en or]
. Des ajouts, précisions, références, des ajouts [ ] pour contextualiser
. Mon résumé en [vert]
. Saut de texte dans l’extrait […]

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LES « QUESTIONS CONTROVERSÉES SUR LA BIBLE »

7. La Bible est-elle homophobe ? / Anne Létourneau

C’est évidemment une question qui m’interpelle personnellement.

L’auteure fait un survol des principales sources bibliques qui semblent dénoncer les pratiques sexuelles entre hommes. Car les pratiques sexuelles entre femmes y seraient pratiquement éludées. Bien sûr, il est question de Sodome et Gomorrhe dans la Genèse, de certains passages du Lévitique et de leur exégèse au fil du temps. L’auteur commence par établir une distinction entre la notion d’homoérotisme qui serait propre à l’Antiquité, et la notion d’homosexualité, plus contemporaine.

En référence au récit de Sodome et Gomorrhe, ça m’apparaît complètement loufoque. Lot est prêt à donner en pâture ses deux filles pour sauver les deux anges et il mérite d’être sauvé !? Après être sorti indemne de cette destruction, il finit par se retrouver ivre et ses filles commettent l’inceste avec lui. D’abord, comment un gars ivre, endormi, peut avoir une érection ? Et deux fois plutôt qu’une. M’enfin, peut-être que c’est moi qui n’ait pas une forte libido…

En page 115 : Ce que plusieurs désignent comme de l’« homosexualité » dans ce récit vise l’humiliation et la dévirilisation des hommes étrangers par la pénétration anale et l’imposition d’un rôle « passif » dans l’acte sexuel. Cette pratique, répandue en contexte guerrier au Proche-Orient ancien, réaffirme à la fois les rapports sociaux de sexe et une volonté de dominer l’ennemi.

En page 118 : À partir de ce contexte historique [où le Lévitique a été écrit, incluant ce qui est admis comme un Code de sainteté], différentes explications de l’interdit ont été proposées :

En page 119 : 5) En effet, la majorité insiste sur le fait que la relation sexuelle qui a lieu entre deux hommes entraîne une confusion des genres tels que définis dans le monde ancien, en particulier l’identification du masculin à « ce qui pénètre » et du féminin à « ce qui est pénétré ».

Ce « Code de sainteté » aurait été établi en partie pour aider Juda à se distinguer et à s’immuniser des pratiques d’autres peuples qui les entouraient. Il semble donc, par déduction, que ces autres peuplades intégraient ces pratiques homosexuelles. Par contre, comme cette Bible est à l’origine des religions monothéistes, on connaît la suite.

Je suis surpris que l’auteur n’ait pas évoqué directement la misogynie derrière cette dénonciation de l’homosexualité masculine, elle qui, pourtant, en a fait son cheval de bataille, pour ainsi dire.

Pour moi, c’est clair que dénoncer l’homosexualité, c’est promouvoir la misogynie. Car il ne faudrait surtout pas que l’homme se rabaisse au niveau de la femme et se laisse pénétrer. Surtout, comme elle le souligne, que la sodomie était une pratique courante pour asservir les hommes dont on venait de conquérir les territoires, à défaut de les tuer ou avant de les tuer, ou de les mettre en esclavage, je ne sais trop. Peut-être est-ce aussi un côté latent non-avoué, prêt à s'exprimer quand l'occasion se présente comme lors de ces conflits, en prison, dans les initiations ?

Il y aurait dans les textes bibliques le rapport dominant / dominée qui régirait les rapports hommes / femmes. Donc, logiquement, l’homme qui pénètre n’y perdrait pas sa virilité selon ma perception des choses. Finalement, se pourrait-il que c’est l’homme qui se fait pénétrer qui est dénoncé dans cette apparente homophobie ? Et non pas l’homosexualité comme telle, puisqu’il y en a au moins un qui conserve sa virilité, qui ne se rabaisse pas au niveau des femmes, sauf si les deux sont versatiles et / ou entretiennent une relation égalitaire.

Si on avait une Bible matriarcale plutôt que patriarcale, on ferait peut-être la promotion de l’homosexualité. Qui sait ?

Ainsi, de mon point de vue, la condamnation de l’homosexualité se conforme, s’appuie beaucoup plus sur la notion misogyne de la Bible qu’autre chose. Car accepter l’homosexualité, ce serait remettre en cause les préjugés bibliques favorables aux hommes, et défavorables aux femmes. Ça serait aussi restreindre l’ascendant que l’homme a sur la femme et qui est valorisé dans les textes bibliques.

Dans un deuxième temps, tout ce qui peut se rapprocher de la femme, même en apparence, pas seulement le rôle passif joué dans la relation sexuelle, y serait aussi dénoncé. Ainsi, on peut extrapoler et se questionner à savoir si c’est vraiment l’homosexualité qui est dénoncée ou les hommes efféminés au comportement qui se rapproche trop de la femme ? Car là, il y a une perte apparente de la fameuse « virilité » masculine aux yeux de tous. Et, on le sait, c’est le préjugé social qui prédomine encore aujourd’hui et dont les qualificatifs de « tapette » et « fif » en sont les vecteurs indéniables et ce, même si dans les faits, les gais efféminés sont en minorité mais plus visibles, plus décelables. Par contre, ils étaient toujours en première ligne pour faire avancer la cause homosexuelle alors que les homosexuels virils se terraient dans le placard ou même agissait contre eux. Il y a de ces comportements paradoxaux dans une société.

Alors, si l’homosexualité féminine est éludée dans les textes bibliques, ce serait à mon avis parce que ce n’est pas ce qui se passe entre elles qui importe ; il ne faudrait surtout pas que l’homme se rabaisse au niveau de la femme.

D’ailleurs, dans la première saison de la télésérie « Trône de Fer », lorsque Daenerys Targaryen décide de prendre les initiatives dans la relation sexuelle avec Khal Drogo, elle brise tout un tabou. Car dans ce contexte, laisser l’initiative à la femme dans la relation sexuelle équivaudrait symboliquement de se faire pénétrer par un homme. Et ça l’auteure aurait pu aborder brièvement cet aspect de la relation homme / femme par rapport à l'idée de la confusion des genres reprochées à l'homosexualité.

En page 109 :

1. En référence au pape François qui y est cité, son propos est conditionnel. Le même langage utilisé par YHWH envers les patriarches, les rois d’Israël et finalement le peuple d’Israël. Rien de réconfortant là-dedans. Quand je vous dis que le Nouveau Testament c’est un remake de l’Ancien.

2. En référence au jeune prêtre québécois Greg Ciszek, cité par l’auteure également, que les enseignements divins primeraient sur la démocratie, qu’il commence par nous apporter la preuve que ce sont effectivement des enseignements divins et de quel ordre, et de quelle envergure est cette divinité.

En page 114 : C’est donc pendant le Moyen Âge chrétien que s’est élaboré l’idée de la sodomie comme d’un péché grave, peut-être même mortel.

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En pages 84-95 : L’ÉNIGME DE SODOME ET GOMORRHE
Par Vincent Willaime

Bibliographie

1. Jean-Michel Maldamé : La Bible à l’épreuve de la science, la question de l’archéologie.
2. Werner Keller : La Bible arrachée aux sables. Éditions Perrin
3. Israël Finkelstein et Neils Silberman : La Bible dévoilée. Édition Folio

Extraits :

En pages 85-86 : Dieu, alerté par « le cri contre Sodome », dont le « péché est énorme », est résolu à détruire la ville pour punir ses habitants (Genèse 18:20-21). Il envoit deux anges vérifier si tout le mal que l’on dit de Sodome est réel.

J’ai relevé ce passage parce qu’il me fait rire. Dieu / YHWH, qui serait omniscient, doit envoyer deux anges… On voit bien que les qualificatifs dont on l’affuble ne correspondent pas à la réalité. Alors, si YHWH est le même que le Dieu du Nouveau Testament, j'espère pour Jésus qu'il y avait des anges sur place lorsqu'il s'est adressé à lui sur la croix !

Divers scénarios fondés sur des études du terrain sont présentés pour expliquer une destruction naturelle de Sodome et Gomorrhe.

Voici des éléments qui peuvent avoir contribué : la présence d’une faille tectonique, de traces d’activités volcaniques, de crevasses, d’un marais salant, d’une présence importante de sel sur les rochers, avec un sous-sol riche en matières inflammables, du gaz naturel sous haute pression.

D’ailleurs, on pose la question à savoir si Lot et sa famille se seraient réfugiés dans une des grottes à proximité d’où on a retrouvé les manuscrits de la mer Morte.

En page 91 : Le point commun à tous ces scénarios est que les villes de Sodome et Gomorrhe seraient donc englouties sous des tonnes de boue et de sel dissous et perdues à jamais pour l’archéologie.

Mais des vestiges pourraient avoir subsisté. Un autre scénario envisagé est celui de la chute d’un astéroïde. Selon des recherches archéologiques, la destruction de Bab edh-Dhra (vers 2300 av. notre ère) serait la Sodome biblique. Mais c’est trop tôt par rapport à la période du patriarche Abraham et ce, même si certains placent sa destruction vers 1900 av. notre ère sa destruction. D’autres font référence à une guerre contre les Chaldéens. Et finalement, il y a des peintures et des hiéroglyphes égyptiens qui corroboraient l’arrivée de migrants sémites fuyant peut-être une catastrophe vers 1900 av. notre ère.

En page 95 : Quant à savoir si le vice et le péché régnaient dans ces villes, c’est une autre histoire, mais le mythe de Sodome et Gomorrhe continue de marquer les esprits.

De plus, il y a des formations de sel autour de la mer Morte qui ressemblent à des formes humaines.

Se pourrait-il qu’une catastrophe naturelle ait marqué à ce point cette région, qu’elle se serait transmise par tradition orale pour finalement servir d’histoire pour justifier un Code de sainteté, de la même façon qu’on dit avoir trouvé lors des rénovations du Temple, sous Josias, le livre de la Loi ? Ainsi, l’homophobie ne serait qu’accessoire, n’étant qu’un incitatif à la procréation pour aider à garnir l’armée israélienne qui en avait grand besoin pour satisfaire aux ambitions territoriales et nationalistes des deutéronomistes dans le contexte géopolitique de l’époque.

8. La Bible, parole de Dieu ou écrits humains ? / Sébastien Doane

En page 126 : Tous les Chrétiens croient que la Bible est inspirée par Dieu.

Bien, désolé, va falloir m’enlever de cette liste !

L’auteur nous explique le concept d’inerrance biblique et ce que ça implique. Toutefois, pour une majorité d’exégètes et de théologiens croyants, les auteurs bibliques auraient été inspirés par leur expérience avec le divin.

En page 128 : Pour la tradition musulmane, le Coran a été dicté mot pour mot, en arabe, par l’ange Gabriel à Mahomet.

En page 129 [Bible] : Dieu reste à l’origine puisqu’il est la source qui se révèle et inspire, mais l’auteur du texte est bien un humain.

L’auteur ne manque pas de qualificatifs positifs pour décrire le processus de formation des textes bibliques et pour le rôle qu’y aurait joué la communauté. Après le « in absentio », on apprend qu’il y a des espaces dits « blancs » du texte pour expliquer certaines lacunes narratives.

Faut croire que l’inspiration divine a des ratés qu’il faille combler avec des échappatoires créer sur mesure.

L’auteur parle brièvement comment le choix des textes qui figurent dans le Nouveau Testament s’est effectué. Selon ses dires, il semblerait que le tout se soit déroulé sans faille, sans anicroche.

Il s’attarde ensuite sur la véracité des textes bibliques qu’il départage selon l’exactitude des faits historiques, l’historicité et la vérité et ce, tout en nuances.

Ma perception c’est qu’on relativise parfois à tort, parfois à raison. Mais toujours cet esprit de légitimer à tout prix ces textes bibliques et de faire reposer le fardeau de la preuve sur le lecteur.

En page 134 : Le concile Vatican II rappelle aussi qu’il faut interpréter la Bible en considérant les genres littéraires : « Car c’est de façon bien différente que la vérité se propose et s’exprime en des textes diversement historiques, ou prophétiques, ou poétiques, ou même en d’autres genres d’expression. »

Pour les croyants, la Bible reste vraie, même si certains éléments ne sont pas prouvés historiquement. Parfois, les récits bibliques emploient des images qui n’ont rien à voir avec la réalité historique et pourtant, ils nous parlent de quelque chose qui est vrai.

Il donne l’exemple du serpent avec Ève dans le jardin. Puis, il explique ce qu’est le genre littéraire du récit mythique et de quelle façon il faille l’aborder.

Là, j’ai un profond désaccord. Il met comme une barrière, une limite au récit mythique. Moi, je crois que ces textes dits mythiques, recèlent l’histoire de nos origines. Mais comme les exégètes n’ont pas la clé pour les interpréter, ou ne veulent tout simplement pas s’aventurer sur ce terrain, on les réduit à des messages spirituels, philosophiques, à des représentations.

En page 135 : La Bible est un recueil de plusieurs textes écrits dans des contextes précis. Oublier cela mène à une lecture fondamentaliste.

Ma conclusion sur ces écrits d'inspiration divine :

D'abord la nation de liberté. Cette religion nous a-t-elle toujours été proposée ou imposée ?
Comment départager la croyance, la foi en ces écrits, d’un endoctrinement ?
La foi en ces textes est-elle plus une conséquence de notre peur de l’au-delà ?
Et pourquoi ces textes ne recèleraient pas des traces de nos origines ?
Qui est réellement cette source dite « divine » ? Est-elle fiable ?
Pourquoi ça prend une bible, c’est le cas de le dire, pour prétendre passer un simple message d’amour ?

Et le questionnement pourrait se poursuivre encore longtemps. On en revient à l’introduction : plus de questions que de réponses.

9. Né d’une vierge ? / Sébastien Doane

Ici, l’auteur est à la recherche de la virginité de Marie dans les textes bibliques en suivant leur ordre chronologique d’apparition. Mais il y aurait comme une omerta sur la question :

. les lettres de Paul n’en feraient pas mention
. l’Évangile de Marc n’en ferait pas mention
. l’Évangile selon Jean n’en ferait pas mention

En page 138 : Parmi les centaines de pages du Nouveau Testament, seuls les deux premiers chapitres de l’Évangile selon Luc et de l’Évangile selon Matthieu transmettent des informations précises au sujet de la naissance de Jésus.

Dans l’Évangile selon Matthieu, il y aurait un espace pour investiguer mais ce ne serait pas concluant tout en demeurant une possibilité.

Dans l’Évangile selon Luc, pareillement. Il y a le parallèle avec la naissance de Jean le Baptiste, la visite d’un ange. Mais encore là, le champ d’investigation fait par l’auteur ne permet pas d’être catégorique sur la virginité de Marie.

En page 150 : Il y a d’importants arguments pour penser que les écrits de Matthieu et de Luc transmettent des vérités théologiques sans être historiquement exacts.

L’auteur énumère ces arguments. Il revient sur la famille de Jésus et sur le dilemme de la virginité perpétuelle ou pas de Marie, des diverses possibilités dont celle d’une famille élargie, soit le modèle familial d’aujourd’hui des familles reconstituées ou recomposées.

En page 140 : L’Évangile selon Jean commence par un prologue présentant l’incarnation du Verbe qui se fait chair en Jésus. Cette façon de décrire une préexistence de Jésus ne se retrouve pas dans les autres évangiles.

Mais il se retrouve dans l’essai Le Testament de la Vierge, d’Anton Parks, où il est justement question d’un processus, d’un rituel dans la Grande Pyramide de Gizeh, pour faire revenir l’âme d’Osiris afin qu’il s’incarne dans le fœtus d’Horus en gestation. En définitive, une sorte de résurrection d’Osiris / Enki après qu’il fut assassiné par Seth / Enlil / Satan.

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[image]

En page 289 : Comme en radionique, Isis et Nephtys (les opératrices) émettent un signal (charge d’énergie électromagnétique) à l’aide d’un inducteur (le Shen) vers l’élément représentatif du sujet (ensemble organique : le corps d’Osiris dans le sarcophage). Les ondes lancées à distance par les deux opératrices doivent trouver leur cible (l’âme d’Osiris) où qu’elle soit et quel que soit l’éloignement entre elles et cette cible. En effet, la radionique émet au-delà des distances et du temps et sa "loi d’attraction" n’a normalement aucune limite. Cette opération a pu s’effectuer aussi bien dans la chambre du roi que dans la chambre de la reine.

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En page 154 : La conception virginale de Jésus est une croyance. Rien ne démontre qu’elle n’ait pas eu lieu.

Ici, l’auteur n’a pas abordé sous quelle forme cette virginité alléguée aurait pu s’être matérialisée. Pourtant, avec le progrès scientifique, on peut envisager diverses manipulations génétiques aussi comme conception.

Et ma conclusion sur cette question : J’ai « Jean-Baptiste » (parrain) dans mon nom sur mon baptistère et je suis né d’une vierge. Eh oui, ma mère est née un 03 septembre ! Suis-je sans tache ?! :-D ;-)

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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