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Les Secrets de la Bible : Anton Parks et Nassim Haramein

par panthère58, vendredi 05 juin 2015, 18:32 (il y a 3219 jours) @ panthère58

:-) Interview d'Anton Parks

Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=inter_onct


Extraits : Ça fait suite à Roger Sabbah sur Moïse

interview 2014 onouscachetout.com
Introduction
Surpris. Nous le sommes de nouveau avec ce dernier opus de l'auteur des Chroniques du Ğirku. Il confirme une fois de plus qu'aucun de ses bouquins ne se ressemble. Son premier essai, Le Testament de la Vierge, nous avait démontré dans un travail pointu de mythologie comparée que les premiers auteurs des religions du Livre avaient plagié les mythes de Sumer et de l'Égypte antique. Eden, le second essai, avait prolongé ces recherches par le décryptage des tablettes de Nippur (ville de l'ancienne Mésopotamie) qui décrivent ni plus ni moins que les premiers chapitres de la Genèse et la vie de l'humanité primordiale selon la cosmogonie sumérienne.

L'essai se conclut en toute beauté avec la révélation de l'identité de Moïse, qui, à l'époque d’Akhenaton planifia son propre exil du royaume d'Égypte accompagné de sa caste cléricale. Il poussa la trahison envers son pharaon jusqu'à lui dérober notamment de saintes reliques du dieu Osiris. Artéfacts aux propriétés « surnaturelles » (pour ne pas dire technologiques) qui lui permirent d'assoir son pouvoir sur sa communauté et s'assurer d'écrire le mythe fondateur pour tout un peuple en devenir...

Dans la Dernière Marche des Dieux, nous sommes donc transportés à une époque finalement pas si lointaine où les dieux foulaient encore la Terre. Ici, celle de l'Égypte antique, contrée dont les mystères s'évaporent à mesure qu'Anton Parks rédige ses ouvrages. Et dans ce dernier, comme dans les cinq précédents, vous obtiendrez nombre de révélations une fois de plus inédites impliquant des répercussions considérables sur notre connaissance du passé.

[image]

Effectivement, le type Gina'abul-Anunna a vécu dans cette partie du monde, mais il n'était pas le seul. Les Nungal, donc les veilleurs de la Bible, ont aussi séjourné longtemps en Atlantide.

Pour cette nouvelle étude, j'ai repris l'enquête entamée dans LE TESTAMENT DE LA VIERGE et j'ai apporté de nombreux éléments inédits et complémentaires, ayant été aux Canaries depuis la sortie du TESTAMENT.

J'ai souhaité réaliser un ouvrage traitant à la fois d'archéologie, de mythologie, d'égyptologie, de mystères non résolus comme ceux de l'Atlantide et de Moïse, le tout restitué en une enquête accessible à tous. C'était une volonté à laquelle je me suis tenue. On me reproche parfois une forme de complexité dans mes ouvrages, en raison des sujets traités. J'ai voulu me débarrasser ici des multiples décompositions linguistiques qui n'avaient de toute façon aucune raison d'être dans un tel essai. J'ai travaillé sur le langage égyptien et ce dernier n'est pas aussi complexe que le sumérien. J'ai eu beaucoup de plaisir à rédiger ce livre. Ce travail n'en reste pas moins très sérieux et ma démarche est identique à mes précédents ouvrages.

En ce qui concerne l'accueil du livre, je ne saurais le dire précisément, je le pense bon dans l'ensemble. J'ai le sentiment que beaucoup de lecteurs attendent plutôt un nouvel opus des Chroniques. Comme je viens de le dire, j'y travaille activement en ce moment, avec mes modestes possibilités. Aucune institution archéologique ou égyptologique ne s'est manifestée. Côté Presse, LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX a totalement été boudé. Je commence à m'y habituer, même si je trouve cela injuste, car le travail fourni est colossal, surtout pour les traductions d'Edfu. J'ai souvent l'impression de fournir une connaissance à une minorité enclin à faire l'effort de s'instruire et de s'interroger sur nos origines. Ils ne sont pas nombreux et c'est assez décourageant !

Ici, j'ouvre une parenthèse pour dire que depuis qu'il a sa propre maison d'éditions, je ne peux plus acheter ses livres en les faisant venir par une librairie. Il faut passer par le net, sauf pour de vieilles éditions comme Nouvelle Terre et Nenki. Il me manque donc ses deux derniers... et les livres de poche version originale inédite non corrigée. :-(

La légende dit que Seth assassina Osiris à Abydos. Comme le Christ, il fut attaché à un arbre et supplicié. Les textes funéraires rapportent ce fait de nombreuses fois et prétendent aussi que sa femme Isis retrouva le corps de son bien aimé, toujours au même endroit. La légende dit encore que son corps fut enseveli par la suite dans cette même localité quelque part dans le désert, sans doute dans le cimetière royal d'Abydos. Umm el-Qaab, le cimetière royal d'Abydos est la plus ancienne de toutes les nécropoles connues au monde et renferme les tombes des premiers rois d'Egypte dont les règnes démarrent vers 3300 av. J.-C., juste après ceux des dieux et demi-dieux. Le temple dit "de Sethy 1er" figure l'autre monument énigmatique d'Abydos. Or ce temple magnifique se trouve sur les fondations d'un ancien monument totalement inconnu que je pense être l'ancienne demeure de la garde rapprochée d'Osiris lorsque ce dernier séjournait à Abydos.

ONCT : Avez-vous eu des retours négatifs surtout en ce qui concerne les révélations sur Moïse ? Pensez-vous développer plus profondément l'histoire de Râmosé ? Parlez-nous de Râmosé et de votre thèse…

Non, pas particulièrement de retours négatifs à ma connaissance. Concernant votre seconde question, je n'ai rien à ajouter de plus à propos de Moïse. J'ai été au bout de cette enquête avec le peu d'éléments dont nous disposons. Il s'agit d'une nouvelle hypothèse sur Moïse, basée sur plusieurs éléments historiques validés par la science et l'archéologie. Nous connaissons partiellement la vie de Râmosé grâce à quelques archives et surtout grâce à son tombeau situé dans la vallée des Nobles. Sa tombe (n° TT55) se trouve au cœur du village de Cheikh Abd el-Gournah, en face de Luxor. Sa seconde tombe se situe dans la ville d'Akhenaton, à El-Amarna, elle est répertoriée sous le numéro TA11. Ces deux tombes sont parfaitement inachevées, or, autant que je sache, on n'enterre jamais un défunt dans une tombe inachevée en Egypte, car il s'agit d'un déshonneur. Cela traduit que le corps de Râmosé n'a jamais été déposé dans une d'entre elles ! Râmosé est mort ailleurs et personne ne s'emble s'être posé la question avant moi.

Cet illustre personnage vécu pendant la dernière partie du règne d'Amenhotep III et le commencement du règne d'Akhenaton. Râmosé, grand vizir au service Amenhotep III depuis trente ans, dut poursuivre son œuvre auprès de son jeune fils. On ne lui donna sans doute pas le choix.

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Hiéroglyphes Râ-Mosé. Nom du grand vizir de Thèbes sous Amenhotep III et son fils Akhenaton. Son nom signifie "fils de Râ" ou "grand fils", donc l'aîné, comme l'était Moïse.

J'apporte de nombreux indices pouvant expliquer l'incompréhensible disparition de Râmosé peu après l'avènement d'Akhenaton sur le trône d'Egypte. J'explique également pourquoi Akhenaton serait "le pharaon de l'oppression" et non Ramsès contrairement à la thèse officielle. En 2007, l'anthropologue Jerry Rose (Université d'Arkansas) et son équipe, effectuèrent des tests sur des squelettes déterrés à Amarna par l'archéologue Barry Kemp (Université de Cambridge). Les tombes d'Amarna et leurs squelettes révélèrent des conditions de vie très difficiles pour les ouvriers d'Akhenaton.

Tandis que le temple d'Aton croule sous les offrandes divines, la population est malade. Dans de nombreux cas, des lésions dans les os trahissent des activités physiques pénibles. Nombre de squelettes portent surtout des signes évidents d'anémie avec la présence de protubérances au niveau des globes oculaires, près de 60% des cas sont concernés. Ceci prouve que les conditions de vie à Amarna étaient pires qu'ailleurs en Egypte ! Ce fort taux d'anémie associé à un taux de mortalité important repéré entre les 12 à 20 ans, forment les signes évidents d'une population malade. Les chiffres ne trompent pas. Ces malades d'Akhenaton, ces reclus, portent un nom en égyptien : les Ubru. Ce terme tire ses racines de Ubri (désastre, maladie). Ubri ou Ubru (au pluriel) ressemble étrangement au terme "hébreu". Si l'hypothèse de Gerry Rose se confirme, elle authentifie en tout cas la présence des Ubru (Hébreux) en Égypte et leur calvaire mentionné dans l'Ancien Testament.

Les changements soudains effectués par Akhenaton génèrent des répercussions sur la géopolitique de tout le Proche-Orient. C'est pourquoi Akhenaton représente le "pharaon de l'oppression" dans la Bible. Les prêtres d'Amon étaient conservateurs à l'extrême ; le véritable pouvoir leur appartenait. Leurs privilèges furent subitement remis en question. De nombreuses offrandes furent détournées, sous leurs yeux, des temples classiques vers les nouveaux temples d'Aton. Très rapidement, Akhenaton entreprit l'abandon total du culte d'Amon. Les temples fermèrent un à un et le nom d'Amon fut systématiquement effacé sur les inscriptions. C'est le plus grand bouleversement religieux de toute l'histoire égyptienne ! En quelques mois, Akhenaton diminua la vénération de plusieurs centaines de dieux à un seul ! Dans ce contexte, Râmosé, garant des traditions millénaires, se retrouva, bien malgré lui, complice de cette situation. Chaque jour, il observa en silence le rejet de la religion de ses ancêtres. Ses prêtres perdaient leurs privilèges tandis que le peuple d'Amarna, affamé et malade, travaillait durement pour édifier la cité solaire.

De nombreux prêtres voulurent préserver la connaissance des anciens et "l'esprit d'Osiris". Pendant qu'Akhenaton martelait le nom d'Amon dans les temples des Deux Terres d'Égypte et qu'il révélait les Grands Mystères au cœur de sa cité, Râmosé et son ancien clergé préparaient la fuite de la science cachée vers des terres annexées. Il y eut de graves bouleversements. La situation politique et sociale étant sous tension extrême, le jeune pharaon pacifiste voulut sûrement éviter toute répression sanglante avec le clergé d'Amon. Il finit donc par accepter de laisser partir les principaux insoumis à la religion d'Aton, tout du moins les plus agressifs. Il n'eut pas d'autre choix. Les prêtres de Râmosé souffraient dans leur chair et les habitants de la cité solaire, en mal nutrition, contractaient des maladies. Dans cette alternative conforme à la Bible, le vizir proposa de mener lui-même les réfractaires vers une nouvelle région : une Terre Promise ! Il offrit même de prendre avec lui les Ubru invalides. Son choix stratégique lui apporta un maximum de partisans et la possibilité de provoquer des troubles. Râmosé souhaitait sans doute soulever les foules pour influencer le roi et la population. Ce moment historique se situe sans doute à partir de l'an VII du règne d'Akhenaton, soit deux ans après le commencement des travaux d'El-Amarna et le gros œuvre achevé. Toutefois, sous couvert de préparer le départ des incorruptibles vers des terres annexées à l'Égypte, le clergé d'Amon et Râmosé élaborent la fuite de la connaissance hors de l'Égypte d'Akhenaton. C'est à partir de cet instant que le mythe de Mosé (Moïse) entre dans la légende...

ONCT : Qu'est devenu selon vous la technologie divine dont a « hérité » fallacieusement Moïse ? Son bâton et l'arche ont-ils disparu ? Ont-ils été volés ou détruits ?

Il n'y eut pas une arche, mais deux ! Deux objets volés juste avant le départ des premiers exilés. Les deux trous forés dans l'île centrale de l'Osireion servaient, selon moi, d'assises à ces deux objets sacrés. Les traditions rabbiniques comme le Zohar parlent de ces deux arches divines. Ces deux objets sont :

. un coffre contenant de nombreux écrits sacrés appartenant à l'Égypte et ses pays annexés (les paroles divines ou Tables de la Loi) ; la majorité venant de El-Amarna. Deux "chérubins" ailés surmontent le coffre. Il s'agit simplement des représentations d'Isis et Nephtys, les protectrices des grands secrets.

. le sarcophage contenant le corps d'Osiris, fondement de la religion égyptienne (le corps du dieu). Le cercueil est aussi surmonté d'Isis et Nephtys, les protectrices ailées du roi.

La seconde arche transporte Joseph, selon la tradition hébraïque. En fait, il s'agit d'un jeu de mot avec le terme égyptien Yuef (le corps) pour signaler la dépouille d'Osiris.

Le bâton de Moïse fait également partie des objets volés à la couronne d'Egypte. Les pouvoirs du bâton de Moïse sont identiques à ceux attribués au bâton de Ptah-Osiris signalé dans les textes d'Edfu que j'ai traduis pour ce même ouvrage. Dans ces textes, Horus, fils de Ptah-Osiris se voit attribué le bâton souverain de son père signalé comme une perche de pouvoir. Ce bâton de pouvoir figure un petit pilier d'énergie (Djed) qui maitrise les forces de la nature. La Bible nomme cette perche "bâton de Dieu" en Ex 4:20. L'ancien vizir du pharaon s'en sert pour ouvrir les flots, faire tomber la grêle ou frapper un rocher pour en sortir de l'eau. On attribue également à cet objet les fameuses "plaies" d'Égypte. On sait aujourd'hui que ces fléaux correspondent à des catastrophes naturelles. Ce genre de fléaux serait possible grâce à des changements subits et prolongés des conditions climatiques, donc grâce à la maitrise des éléments. Ces mêmes phénomènes furent produits par l'ingénieur et inventeur Nicolas Tesla (1856-1943). Nous sommes en présence d'une technologie liée à l'électromagnétisme. J'explique ces phénomènes dans ce dossier consacré à Moïse et apporte des éléments concrets à cette nouvelle hypothèse.

Le destin de l'Arche n° 1, à savoir celle contenant les archives de El-Amarna, fera l'objet d'un sujet traité dans un prochain dossier, donc je ne peux en discuter pour l'instant. Il est en tout cas certain, et je l'explique dans LA DERNIERE MARCHE DES DIEUX, que ces archives permirent à Râmosé (Moïse) de composer à la fois ses textes de la Loi ainsi qu'une partie de la Genèse. Depuis l'analyse de tous ces éléments, je suis totalement convaincu que l'ancien vizir Râmosé fut le personnage biblique de Moïse. C'est indéniable.

ONCT : La tentation n'a-t-elle pas été grande de combler les interstices avec les indices glanés dans vos incursions mentales ?

Tous mes essais et dossiers sont orientés par mes visions, c'est un bon outil pour démarrer ma recherche. Bon nombre de mystères étudiés jusqu'à présent ont comme point de départ ce que j'ai vu. Maintenant, mes enquêtes vont aussi loin que possible, mes pistes de départ me mènent toujours vers des éléments concrets prouvés par la science, la linguistique ou par des vérifications réelles, lorsque j'ai la possibilité d'examiner un monument ou un document.

ONCT : Quelles sont les différences remarquables entre la dernière version du Tome 1 des Chroniques éditée par « Nouvelle Terre », et celle présente aujourd'hui au format poche ? A quand les T2 et T3 version livres de Poche ?

La version poche du tome 2 des Chroniques est sortie en fin d'année 2013 et le tome 3 sera sans doute disponible au printemps 2014. Nous sommes partis sur ma version d'origine, non corrigées par les Editions Nenki ou Nouvelle Terre et avons supprimé les dossiers à la fin qui semblent barber la majorité des lecteurs.

Et bien je vous annonce que le prochain ouvrage des Chroniques du Girkù prévu vers le dernier trimestre 2014 se nommera LE LIVRE DE NURÉA,

Lien pour les souches et personnages primordiaux autour d'Uras :

http://www.antonparks.com/images/souches_uras_ap.jpg

Lien pour les lignées adamiques :

http://www.antonparks.com/images/lignees_adamiques_ap.jpg

Bibliographie de l'auteur :
Les chroniques du Ğirku, Tome 1 : Le Secret des Étoiles Sombres (2005), Nouvelle Terre, 2007 (édition corrigée et augmentée).
Les chroniques du Ğirku, Tome 2. : Adam Genisis, Nouvelle Terre, 2007.
Le Testament de la Vierge, Nouvelle Terre, 2009.
Les chroniques du Ğirku, Tome 3 : Le Réveil du Phénix, Nouvelle Terre, 2010.
Eden, Nouvelle Terre, 2011.
La Dernière Marche des dieux, Pahana Books, 2013.
Les chroniques du Ğirku, Tome 0 : Le Livre de Nuréa, Pahana Books, (prévision 2014)
Les chroniques du Ğirku, Tome 1 : Le Secret des Étoiles Sombres (récit intégral et inédit), Pahana Books, (prévision 2014)

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:-) Nassim Haramein sur Moïse

[image]

Éditions Louise Courteau / 2012

Extraits

pp.136-137

Donc, s'il y avait une source d'alimentation, si les pyramides d'Égypte n'étaient pas seulement construites pour enterrer les pharaons (et je crois qu'elles n'étaient pas du tout construites pour cela), si elles étaient en fait un dispositif de blindage ou des cages de résonance, amplifiant la résonance de l'espace-temps grâce à une structure géométrique très particulière... il leur manquait la source d'alimentation au centre.

p.137

Si vous aviez l'Arche d'alliance, vous seriez en mesure d'introduire cette boîte dans le sarcophage de la grande pyramide de Gizeh, et elle s'adapterait parfaitement sur les côtés et la longueur...

p.138

Alors, j'ai commencé à penser que cet objet n'était peut-être pas hébraïque. Peut-être qu'en fait Moïse l'avait apporté quand il a quitté l'Égypte avec les Israéliens. C'est ce qui pourrait expliquer le changement d'avis du pharaon d'Égypte : après avoir permis à Moïse de partir, il aurait soudain compris qu'il était parti avec la source d'alimentation. Il l'aurait donc poursuivi. C'est très intéressant, je commence à avoir une meilleure idée de ce qui s'est passé. J'ai essayé d'extrapoler et j'ai obtenu quelques données pour m'appuyer. J'ai entrepris l'étude des textes égyptiens anciens afin d'y dénicher des preuves.

p.140

Mais la source d'alimentation de cette boîte de l'arche aurait pu venir directement d'Égypte. Et il pourrait s'agir d'une source d'alimentation issue d'une technologie beaucoup plus avancée que tout ce dont nous pouvons rêver aujourd'hui.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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