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ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE ) ET AUTRES HÉROS 3

par panthère58, jeudi 11 février 2016, 21:31 (il y a 2995 jours) @ panthère58

:-) ANALOGIES ENTRE HORUS (ÉGYPTE) ET D’AUTRES HÉROS 3

N.B. Je reprends le terme analogie utilisé dans le vidéorandia.

En noir : résumé, explication, contexte...
En vert : extrait Serge Cazelais, JF, Kiwan
En or : extrait Anton Parks et autres
En bleu : commentaire personnel P(3)58

Pour en savoir plus sur Serge Cazelais : Complément Surprenant #1251 :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67146
Son site : http://sergecazelais.com/

Club CRÉÉE : Septembre 2006 Salle 609 :
http://www.esoterisme-exp.com/ClubCREEE_pub/Activites2006/609/609-tradition.php#BAT

:-) Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=67145
:-) Sur Viméo : https://vimeo.com/56182775#at=1933

N.B. Les propos tenus dans ce vidéorandia ont été tenus voilà trois ans. Quoiqu’il en soit, le forum permet la possibilité de rétroagir pour rectifier, préciser, ajouter, bonifier, nuancer.

Ici, dans cette sixième partie, il est simplement question d’un débat d’opinion sur les analogies entre Horus (Égypte) et les autres héros dont Jésus, un des plus récents, sinon le plus récent d’entre eux.

Kiwan a sa propre opinion basée sur son cheminement, son savoir, ses contacts particuliers.

Serge Cazelais a sa propre opinion basée sur son cheminement, ses études, ses recherches, son travail.

Comme vous tous, j’ai moi aussi ma propre opinion basée sur un cheminement, mes propres réflexions, mes observations, mes questionnements ; basée aussi sur mon jugement et mon discernement à évaluer la cohérence et la vraisemblance de ce que l’on nous impose ou propose, dépendant. Cette opinion est en constante mouvance selon les sources qui se présentent à moi.

En bout de ligne, tout le monde est gagnant parce que chacun a ses propres croyances, c’est-à-dire sa propre vérité, dans sa quête de la Vérité et / ou dans le jeu de la réalité 3D. Et vous mériterez le prix qui sied à votre vérité.

Bien que cette vérité (croyances) peut nous avoir été imposée dès notre plus jeune âge, on a la liberté de se la réapproprier ou pas, une fois adulte. Parfois, pour plusieurs, la Vie se charge de nous y pousser.
Ce que l’on expérimente dans cette vie est lié à cette vérité qui est nôtre et qui nous transporte, qui nous amène à être à la bonne place, au bon moment, à faire la bonne chose dans ce que l’on est intrinsèquement, nos choix étant influencés par celle-ci. Et ce que l’on vivra, si jamais les tribulations pressenties par plusieurs se concrétisent, est aussi lié à cette vérité (nos croyances) que l’on entretient consciemment ou inconsciemment.

Je présente les points de vue exprimés dans ce vidéorandia par Serge Cazelais et Kiwan, parsemés de mes commentaires, d’extraits des deux premiers tomes d’Anton Parks. Par la suite, j’exposerai davantage les sources qui alimentent ma réflexion, qui soutiennent mes croyances. Et ça va certainement s’échelonner dans le temps.

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Petit Robert (1991) Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française

Analogie : Ressemblance établie par l’imagination (souvent consacrée dans le langage par les diverses acceptions d’un même mot) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents. V. Association, correspondance, lien, parenté, rapport, relation.

Ici, il est question de possibles liens, ressemblances, correspondances entre des héros essentiellement différents, du moins, en apparence.



1. À 0:33:00 du vidéorandia :

Kiwan : Juste une parenthèse Serge, c’est que la dernière fois que l’on a fait affaire ensemble, on était dans la mouvance de Da Vinci Code, si tu te souviens. [Da Vinci Code : 2003]

Serge Cazelais : C’est ça. En fait, la dernière fois que j’ai donné une conférence, je dirais chez vous, Richard, dans l’une de tes activités, c’est au Cégep de Maisonneuve, et le deuxième invité nous parlait justement de cette question-là des analogies entre Jésus et de nombreux héros, que ce soit Krishna, Horus, Dionysos et plusieurs autres. Et l’autre conférencier nous parlait de manipulations. En fait, le cœur de son message c’était ça, de dire qu’on était manipulé depuis 2000 ans, que l’histoire de Jésus n’était que le plagiat de l’histoire d’Horus et de Krishna et d’autres héros. Puis on avait débattu un peu à la fin. [Conférence Septembre 2006, Salle #609 du Club CRÉÉE]

Kiwan : Et il y avait à la même époque, un livre écrit par un Torontois, je pense, un type de l’Ontario. [...] Il y avait aussi Acharya...

À 0:34:11 du vidéorandia :

Kiwan : Il y avait beaucoup de mouvance à ce moment-là qui remettait en question l’authenticité de Jésus, qui serait plutôt un mythe fondateur basé sur les autres mythologies, et que tout le monde tire la couverte chacun de son côté pour arriver en disant que « c’est nous autres [qui a] le vrai Jésus ou le vrai pouvoir, ou le vrai… Ben là… Alors, qu’est-ce que tu penses de ça maintenant qu’on parle de « Anton Parks » ; un autre de plus !

Serge Cazelais : Un autre de plus qui dit la même chose.

P(3)58 : Mais qu’est-ce que Parks dit au juste ? J’ai pris le temps de revisiter les deux livres que Serge Cazelais et Kiwan ont, ou ont eu en leur possession, soit les tome I et II des Chroniques du Ǧírkù. Et j’aimerais bien qu’on m’explique pourquoi on le qualifie « d’un autre de plus qui dit la même chose ». Que dit-il qui reprend le discours des autres, les Harper, Acharya ?

D’une façon générale, Parks dans son récit du tome I, s’en tient principalement à ce qui amène des extraterrestres à venir s’établir dans notre système solaire, particulièrement sur la Terre. Et la très longue introduction n’effleure pas les analogies entre héros de l’Antiquité.

Dans son deuxième tome, il relate, toujours dans sa partie récit, la chronologie des événements de l’arrivée de ces extraterrestres, qui remonterait à quelques centaines de milliers d’années, jusqu’au Déluge qu’il situe à environ 10 000 ans avant notre ère. Cette histoire nous donne un aperçu du comment ces extraterrestres seraient devenus nos « dieux » par création et manipulation génétique.

En parallèle au récit, il cherche à authentifier ce qu’il a reçu sous forme de jets de lumière. (N’est-ce pas ça, la descente du Saint Esprit, le phénomène que l’on dénomme la « Pentecôte » ?) Donc, les deux tomes contiennent de nombreuses références, de nombreuses notes de bas de page, de nombreuses figures avec explications, qui viennent soutenir ce récit sur nos origines et lui donner une cohérence, une vraisemblance, à mes yeux, en tout cas.

Ce faisant, son intérêt se porte principalement sur l’Égypte prédynastique avec les Osiris, Isis et Horus, ainsi que sur Sumer, la Mésopotamie. C’est dans sa section Archives et Décodages du tome II qu’il expose le fait que plusieurs mythologies, plusieurs cultures, semblent s’abreuver à la source égyptienne.

À savoir si Jésus est historique ou pas, Parks ne se prononce pas là-dessus. Ni sur la théorie qui voudrait que Jésus soit une copie d’Horus. Il se contente de présenter l’information qu'ils semblent partager. Comme pour les faits, pour l’information sur le 9/11, à chacun d’en tirer ses propres conclusions.

Les miennes n’engagent en rien l’auteur. Étant déjà engagé sur une voie du questionnement quant à la validité, l’authenticité, la véracité, la vraisemblance, la cohérence du christianisme, Parks n’a fait que me conforter dans cette avenue que j’ai empruntée dans les années 70.

TOME I : LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES

[image]

P(3)58 : Dans ce premier tome, il y a très peu en lien avec les propos tenus dans le vidéorandia sinon l’information concernant les Kirišti. Pourtant, à mes yeux, elle pose les premiers jalons pour une meilleure compréhension de nos origines à aujourd’hui. Voir l’extrait du lien à la fin pour comprendre d’où vient ce terme de Kirišti.

Section Récit

p.167 Note de bas de page No 37 Extrait : Quant au Christ, aussi très présent chez les gnostiques, il est bien entendu une sorte de sauveur, mais surtout un révélateur, il est celui qui révéla au monde le véritable Dieu mais aussi l’imposture du Démiurge et de ses Archontes qui dirigent le monde.

p.380 Récit : Il devint manifeste que les Gir de la Duat enfantaient par voie naturelle des êtres « élus » dont la réputation dépassait les frontières de l’Ubšu’ukkinna.

Chaque Gir est une Nindiğir susceptible d’engendrer un Kirišti, mais très peu d’entre elles eurent la possibilité de produire un tel événement par le passé.

p.380 Note de bas de page No 116 Kirišti : Terme formé des particules Gina’abul-sumériennes suivantes : KIR (poisson, fils), IŠ (étoile(s), montagne, brûlant, ardent), TI (vie). Il se traduit littéralement par « fils ardent de la vie » ou encore « poisson des étoiles ou de la vie ». Ce mot n’est pas sans rappeler le terme Christ tiré officiellement du grec Kristos « oint », mais aussi du terme Ichthys « poisson ». La décomposition de Kristos en KIR-IŠ-TUŠ apporte la définition suivante : « le fils qui réside dans les étoiles ». N’en déplaise à la religion judéo-chrétienne, le terme Christ est tiré de la langue des « dieux » ! Il n’est d’ailleurs pas étonnant que le symbole du christ soit un poisson et que l’emblème initial du christianisme fut également un poisson avant de se transformer en une croix. Le fait que la particule KIR, dont le signe cunéiforme archaïque en forme de poisson évoque à la fois un poisson et un fils, ne laisse aucun doute possible sur le bien-fondé de cette évidence ancestrale. Je précise tout de même que nous ne parlons pas ici de Jésus, dont l’avènement marqua, selon les textes bibliques, le début de l’ère du poisson, mais du terme KIR-IŠ-TI (Christ) bien plus ancien. De nombreuses traditions du monde évoquent des initiateurs ou des héros civilisateurs amphibiens, situés entre le poisson et le reptile. On trouve les Nommo chez les Dogons du Mali, Orejona sur le lac Titicaca en Amérique du Sud, les Abgal ou Oannès (Uanna) en Mésopotamie… Nous reparlerons des Kirišti dans les deux prochains ouvrages et vous verrez que ce terme est lié de près à l’Égypte antique.

p.381 Récit : Les Kirišti sont des fils des Étoiles, des émissaires Kadištu qui travaillent pour la Source. Ils ne dissocient jamais Gissu (l’Ombre) de Zalag (la lumière) et œuvrent sur des territoires où ces deux énergies sont désunies. Leur tâche n’est pas facile, il arrive souvent qu’ils soient confrontés directement à des êtres qui séparent Gissu de Zalag et qui ne vénèrent que l’obscurité.

p.382 Note de bas de page No 117 Extrait : La racine de Seker est à associer au verbe skr « offrir », « châtier » qui se prononcent pareillement. Le rapprochement entre Osiris/Seker/Sokaris est d’autant plus remarquable qu’Osiris fut lui-même châtié, offert… et ressuscité en Horus, « l’enfant de la lumière », un 25 décembre comme le Christ.

TOME II : ÁDAM GENISIŠ

[image]

P(3)58 : Ici aussi, il y a peu à dire dans le récit. Les informations sur les Kirišti y ont été répétées. Je ne les ai donc pas relevées. C’est dans sa section Archives et Décodages qu’il y a beaucoup matière à réflexion.

Section Récit

p.149 Récit : Nammu se méprend ! On ne devient pas Kirišti, mais on l’est dès sa naissance. Les Kirišti doivent habituellement être d’authentiques Abgal. Tu ne possèdes que ¼ de sang Abgal de par Nammu. Ta mère est Abgal à 2/4 – Tiamata, sa génétrice – n’étant absolument pas de Gagsisá (Sirius). C’est ta sœur Sé’et qui possède le plus de sang Abgal parmi vous, un taux qui avoisine les ¾. De plus, un Kirišti doit être procréé naturellement et exclusivement par une Gir.

p.277 Récit : Sé’et est une Gir véritable, une sainte accoucheuse de Kirišti (fils ardents de la vie)

p.310 Récit : Je suis une Gir. Le fils de l’eau sortira de mon sein comme un Kirišti ("fils ardent de la vie"), il sera finalement ce que Nut (Nammu) voulait faire de lui.

p.312 Récit : Après l’éclipse de Septj (Sirius) – l’étoile des Kirišti – nous avons massé l’ensemble du corps d’Ašár avec l’huile royale afin de l’assouplir.

Section Archives et Décodages

p.318 La 3e partie de ce dossier établira qu’Enki et Osiris ne formaient qu’un seul et même personnage. Cette démonstration nous concèdera la possibilité d’authentifier les filiations amphibiennes d’Enki-Osiris (Sa’am) ainsi que sa consanguinité avec les planificateurs Abgal provenant de Sirius. Ces mêmes planificateurs étant considérés comme des KIR-IŠ-TI, terme en rapport avec le mot "Christ". Tous ces faits réunis, nous rapprocherons alors les Kirišti du Christ et de l’Étoile du Matin qui symbolise distinctement ce dernier dans des passages hermétiques de la Bible. Ceci nous permettra de commenter le sens des différentes croix que nous trouvons à travers le monde. Pour finir cette partie, nous explorerons la tradition des Dogons qui retrace la mort du Nommo, le "Christ" du Mali. En conséquence de ce sacrifice, l’univers entier fut bouleversé ainsi que le positionnement des étoiles. Cette étude nous donnera l’occasion d’assimiler pour la première fois le Nommo céleste sacrifié à un astre dont la destruction provoqua la naissance de la planète Vénus.

p.319 Horus le vengeur, le fils posthume d’Osiris, représente l’Étoile du Matin. Nous relèverons que les divers pharaons (images d’Horus) symbolisent tous Vénus.

p.330 Même si ces hymnes sont retirés de leur contexte, il apparaît clairement qu’Agni était un astre du ciel avant de symboliser le feu et le sacrifice. D’ailleurs les Vedas ne nous cachent pas sa double personnalité, à la fois terrestre et céleste. Certains éléments nous laissent penser qu’il pourrait s’agir d’une forme védique de Lucifer (Vénus).

p.333 Les analogies ne s’arrêtent pas là. Plusieurs passages du Rig-Veda associent clairement Agni à l’Horus égyptien. [Extraits du Rig-Veda] Nous savons qu’Agni a pour père "le maître du sacrifice" alors qu’Osiris est lui-même le grand sacrifié. Nous apprenons ici qu’Agni possède deux mères, tout comme Horus (Heru).

p.336 Le rituel de résurrection ne peut s’effectuer sans l’appui précieux de l’Étoile du Matin (Vénus). Le chapitre 13 du Livre des Morts égyptien rapproche nettement l’Étoile du Matin du phénix…

pp.336-337 En fait, les divers textes funéraires égyptiens dénomment essentiellement Vénus de deux façons : "Neter Duau" en tant qu’Étoile du Matin et "Benu" (le phénix) en tant qu’Étoile du Soir. Si on se réfère à l’extrait du chapitre 13, ceci sous-entend donc que Vénus en qualité d’Étoile du Matin est symbolisée par un faucon, et en tant qu’Étoile du Soir par un phénix. Tous les deux représentent le roi défunt, image d’Heru (Horus).

p.338 Les Purânas indiquent que le père terrestre de Vénus œuvrait pour l’humanité et qu’il était en relation avec les prêtres et les agriculteurs. N’était-ce pas les fonctions principales d’Enki en Mésopotamie et d’Osiris en Égypte ? Le Mahâbhârata indique que Jamadagni, le père terrestre de Vénus, fut assassiné par un roi et ses fils appartenant à une caste guerrière. Nous savons qu’Osiris (Enki) fut assassiné par Seth (Enlil) et ses partenaires orgueilleux (les guerriers Anunna).

p.345 Fig.4 Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [Fig.4] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).

p.349 Fig.9 Nous n’avons aucun mal à assimiler le poisson Abdju à un Horus symbolique ou plutôt un Osiris réincarné, alors que la contrepartie sumérienne d’Osiris est Enki qui possède lui-même le poisson comme symbole. Ce poisson qui précède la barque solaire évoque évidemment la planète Vénus qui devance aujourd’hui la course du soleil (Râ). Nous savons que le poisson figure également Sirius, l’autre astre sacré des Égyptiens, qui est le lieu où vivent les planificateurs amphibiens.

p.351 En Égypte, le poisson était consommé par le peuple, mais strictement interdit à la table royale du Pharaon ! Les pharaons connaissaient sans doute la véritable symbolique du poisson. C’est qu’ils se souvenaient avec certitude des origines "amphibiennes" de leur "dieu" Osiris, "massacré" par son ennemi Šeteš (Seth)… De manière étrange, Jésus le Christ fut sacrifié un vendredi, le jour où les chrétiens mangent du poisson. Décidément, l’église chrétienne se plaît à détourner les symboles…

pp.352-353 L’idée ancestrale d’un être amphibien – ou plus simplement en rapport avec des poissons - "détruit", "assassiné", pour ne pas dire "sacrifié", ressort ainsi nettement de nos découvertes. Cette notion nous évoque clairement le Christ Jésus, dont le symbole était aussi le poisson. L’Église primitive utilisa originellement cet emblème avant d’adopter définitivement la croix…

p.355 Nous trouvons ici plusieurs aspects extrêmement précis, qui sont en affinité évidente avec Osiris et Horus. Le terme grec "Christos" qui se dit "Messias" en latin, possède comme sens "oint, sacré par le seigneur".

p.357 En suivant notre pensée, nous n’aurons aucun mal à relever que le nom hébreu "Cohen", qui est extrêmement répandu, veut dire "prêtre". Si nous décomposons ce nom en sumérien, nous obtenons KÙ ("pur, saint, purifier") ; HÉ (abondant, abondance) ; EN ("seigneur, grand prêtre, ancêtre"), c’est-à-dire KÙ-EN : "saint grand prêtre" ou KÙ-HÉ-EN "celui qui purifie avec abondance pour le seigneur"… Comme pour Enki-Éa, Osiris-Horus, Jésus-Christ, nous retrouvons une fois encore l’idée d’une purification rattachée au seigneur.

p.359 La célébration égyptienne de la résurrection du roi défunt à travers son fils était opérée par des déesses-prêtresses qui portaient la croix ansée. Les deux KIR-IŠ-TI "fils ardent de la vie" Osiris et Jésus connurent la résurrection à laquelle participèrent activement des saintes, respectivement Isis et Nephtys ainsi que Marie et Marie-Madeleine. Ces êtres féminins représentent l’Esprit Saint, le Saint-Esprit des judéo-chrétiens.

p.360 Chez les chrétiens, le Christ est celui dont on attend le salut, il est le Messias (l’Oint), le messie transformé en "sauveur", en libérateur. Ces qualificatifs se rapprochent d’Horus en tant que justicier qui aura pour mission de venger son père, de libérer le peuple opprimé d’Osiris-Enki aux mains de Seth-Enlil et de laver le déshonneur de sa famille maternelle !

p.361 Grâce aux KIR-IŠ-TI comme Osiris et Jésus, la mort n’est plus considérée comme une destruction mais comme un passage. Ce passage effectué par l’âme était gravé dans l’argile par les anciens Sumériens sous la forme suivante…

p.370 Chez les Gnostiques, Jésus transmet, à l’instar de ses prédécesseurs KIR-IŠ-TI, un message en relation avec le culte de Sophia (la Sagesse), ce qui n’a sans doute guère réjoui la religion monarchique patriarcale qui administre ce monde. Les Gnostiques le voient comme un révélateur, comme un libérateur. Difficile de ne pas le rapprocher de son devancier Enki, le serpent gardien du jardin des "dieux" qui révéla la supercherie à l’esclave humain…

p.399 Chez les Égyptiens Neberu (Neb-Heru = le seigneur Horus), fils du maître de la royauté (Mulge = Osiris/Seker), succède à son père, il prend la royauté et porte le flambeau en se transformant en Vénus, le porteur de lumière, à savoir Lucifer chez les judéo-chrétiens. […] Les textes funéraires égyptiens sont explicites quant à l’assimilation d’Horus ou de ses suivants (les rois d’Égypte) à la planète Vénus.

p.410 Comme le souligne l’Évangile selon Philippe (Nag-Hammadi NH2, 15) : "Jésus est un nom caché, Christ est un nom révélé." Chaque Kirišti possédait manifestement un nom occulte. Avec un peu de perspicacité, nous n’aurons aucun mal à identifier le nom occulte d’Horus comme étant NEB-HERU "le Seigneur Horus", nom désignant le "Christ" égyptien qui personnifie à la fois le défunt roi et l’Étoile du Matin, c’est-à-dire le nouveau soleil…

p.436 La majorité des Gnostiques et occultistes considèrent Lucifer comme le Libérateur, celui qui a libéré l’humanité des chaînes de l’esclavage et de l’ignorance créées par le faux dieu qui gouverne ce monde malfaisant. Nous verrons dans le troisième volume des "Chroniques du Ǧírkù" que ce rôle incombera à Horus (Quetzalcoatl), le vengeur de son père, dont le but sera de récupérer le trône de son géniteur et de "sauver" l’humanité de l’oppression patriarcale des faux "dieux".

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[image]

Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=inter_sciences_sacrees
Extrait d’une entrevue :

Magazine : Depuis le début, notre revue a toujours soutenu l’idée que Enki, Lucifer et Jésus-Christ étaient liés par un lien d’essence. Il nous a paru évident qu’une même "énergie de lumière" avait animé tous ces bienfaiteurs de l’humanité, qu’ils étaient venus combattre le même ennemi, à savoir Enlil, Yahvé, Satan et que leur message avait été honteusement trahi. Ces alliés de la Source avaient prôné le culte de la Déesse-Mère, lutté contre le patriarcat imposé par Yahvé et tenté de donner à l’humanité les moyens de se libérer du joug de leur dictateur en se reliant directement au grand Dieu ineffable. Yahvé n’avait jamais été le père du Christ. Lucifer n’était en aucun cas Satan. Et jamais le Christ n’avait livré bataille contre Lucifer mais bien contre Yahvé. Qu’en pensez-vous ? Que pouvez-vous nous apprendre sur ceux ce que vous nommez les Kir-iš-ti, ces "fils des étoiles" ?

Anton Parks : Je ne pense que du bien de ce que vous m’exposez, car nous avons manifestement la même vision des événements. Effectivement, le dieu biblique Yahvé possédait comme sbire le fumeux Satan que l’on identifie facilement au Šàtam sumérien, c’est-à-dire à "l’administrateur territorial" de l’Edin (la plaine mésopotamienne) où les Ádam ("animaux") humains travaillaient pour nourrir les "dieux" du panthéon sumérien. Comme vous le voyez, le langage sumérien permet de déchiffrer de nombreux points obscurs volontairement détournés par les rédacteurs de la Bible…

Le véritable Eden biblique n’était pas le "Club-Med" contrairement aux déclarations propagées par les judéo-chrétiens qui nous le font croire encore aujourd’hui en vue de glorifier la gloire du tyran Yahvé (An) et d’attribuer la chute de l’humanité à la femme !! Quant à Lucifer, ce terme veut dire "porteur de lumière", il ne s’agit en aucun cas d’un diablotin au service du mal, mais plutôt d’un libérateur de l’humanité enchaînée par les soins de ce même Yahvé (An) et de son bras droit le grand Šàtam (Enlíl). Lucifer n’est autre qu’Heru (Horus), fils de Sa’am-Enki-Osiris (le serpent biblique) qui, comme vous le verrez dans le 3ème tome des Chroniques, Le Réveil du Phénix, devra utiliser la ruse et les armes pour faire face aux esclavagistes descendus du ciel et aux assassins de son père.

D’après ce que j’ai "reçu", le concept de Kirišti provient de Sirius. Ce terme se décompose en KIR-IŠ-TI ("fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie") en sumérien. La particule sumérienne KIR voulant dire à la fois fils et poisson, nous ne serons pas étonnés de relever que Jésus, dit le Christ, possédait comme emblème le poisson et que ce même symbole fut utilisé par l’église chrétienne avant que ne soit définitivement adopté le signe de la croix. D’après ce que je sais, les Kirišti doivent posséder du sang Abgal, c’est-à-dire du sang d’amphibien originaire de Sirius. Ils ont un rapport certain avec l’élément liquide, comme l’indique d’ailleurs le terme latin Christus ("oint, qui a reçu l’onction")… La Terre a porté plusieurs Kirišti. Ils sont généralement au service de l’ancienne religion qui est celle de la Déesse-Mère. Tous ont eu pour mission de réveiller l’humanité et la plupart d’entre eux ont eu des fins tragiques parce que leurs messages remettaient en cause le système patriarcal et dictatorial du dieu unique. Tout Kirišti doit avoir été engendré par une GIR "Vache des temps intermédiaires" en sumérien. La décomposition de ce terme apporte plusieurs possibilités grâce au jeu de l'homophonie. GI6-ÍR "La sombre aux prières (ou aux lamentations)" ; GI7-IR10 "la noble qui porte (ou produit)" ou encore GI-IR7 "la colombe qui restaure"… Rappelons au lecteur que la colombe est le symbole que le christianisme utilise encore aujourd’hui pour désigner le Saint-esprit qui n’est autre qu’une représentation détournée de la Déesse-Mère...

À suivre…

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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