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Cazelais VS Parks : Round 4 La linguistique Partie 3 de 3

par panthère58, vendredi 13 novembre 2015, 19:19 (il y a 3080 jours) @ panthère58

[image]
Auteurs Anton Parks
Éditions Nouvelle Terre
2006-2007
518 pages

ÁDAM GENISIŠ

EXTRAITS du site d’Anton Parks (que l’on retrouve dans le livre mais ça m’évite la transcription, ouf !)

En espérant qu'il ne s'est pas glissé des «coquilles» malgré mes révisions.

Lien : http://www.antonparks.com/main.php?page=adam_genisis

#1. Note de l’auteur "ÁDAM GENISIŠ" Il aurait été difficile de trouver un intitulé plus précis à cet ouvrage sans prendre le risque de s'éloigner de son thème central, à savoir la création et l'évolution de l'espèce humaine grâce aux multiples manipulations génétiques dont elle fit les frais par les mains du Bestiaire Céleste. C'est sans aucune ironie superflue que nous appuyons le fait que la terminologie universelle Á-DAM GEN-ISIŠ ("fixer et répandre les animaux") est du pur langage sumérien. Tout expert assyriologue aura noté et validé que l'association des formes verbales GEN ou GIN (fixer, envoyer) et ISIŠ (répandre, pleurer) évoquent clairement une création à l'instar de son quasi homophone latin Genesis dont le sens est "naissance". Ces mêmes spécialistes du langage suméro-akkadien ne pourront tout autant contester le fait que le terme Á-DAM se traduit en "animaux", "bêtes", "troupeaux"...

Il pourrait toutefois paraître singulier de constater que dans ce jeu de mots, nous trouvons associés le verbe "fixer" et Isis qui est le nom grec de la déesse égyptienne Aset. Or, dans la mythologie égyptienne, Aset symbolise la déesse des naissances. Nous verrons qu'à travers plusieurs traditions différentes, nous la retrouvons à chaque fois avec les mêmes attributs et fonctions : mère universelle, magicienne et créatrice de vie. Isis est la maîtresse des gènes humains (du grec : genos "origine"). Elle symbolise bien la naissance (genesis en latin), et elle est vraiment celle qui fixe la vie et la répand dans le monde.

Il sera confirmé tout au long de cette série que les anciens langages de la Terre furent subtilement codifiés à l'aide du sumérien, ou plus précisément grâce aux combinaisons lexicales qu'offrent le suméro-akkadien (que je nomme parfois langage suméro-assyro-babylonien ou encore Gina'abul-sumérien). Vous découvrirez que le langage égyptien possède lui aussi des possibilités de codage tout à fait stupéfiantes !

Depuis la sortie de "Le Secret des Etoiles Sombres", des lecteurs nous ont contacté pour nous demander des traductions ou encore des références de dictionnaires en langues orientales. Nous tenons à vous rappeler que ces manuels sont disponibles dans toutes les librairies spécialisées, comme celle du Musée du Louvre à Paris ou encore sur le Net. Les éditions Geuthner font, par exemple, de très bons manuels sumériens et akkadiens.

Ainsi, chaque lecteur pourra, s'il le souhaite, se reporter aux manuels sumériens, akkadiens et égyptiens en vue de vérifier mon travail et exécuter ses propres traductions. Nous avons fait l'effort de placer les correspondances lexicales (accents et numérotations) pour le sumérien et l'akkadien à cet effet précisément. C'est une première pour ce genre d'ouvrage. La façon dont les langages furent codés par le passé a été clairement détaillée dans l'introduction de "Le Secret des Etoiles Sombres". […]

La façon de transcrire cette série m'a longtemps posé un problème. Il y a quelques années, lorsque je me suis enfin décidé à me mettre à la rédaction, j'ai commencé à rédiger le premier volume sous la forme d'un essai. Au bout d'une bonne centaine de pages, je me suis aperçu que je ne pouvais pas placer tous les détails que j'avais reçus. J'ai donc abandonné cette idée et j'ai rédigé la partie centrale, à savoir l'histoire, sous forme de récit. Ainsi, j'ai pu placer toute la spécificité de cette histoire sans tabous et j'ai pu préserver cette sensation singulière de se retrouver dans le corps du personnage principal, comme à l'époque de la réception de toute cette histoire. En conséquence, j'ai gardé le contenu de mes investigations historiquo-mythologiques et linguistiques pour les notes de bas de pages et pour des dossiers, comme ceux placés à la fin de cet ouvrage. Ceci explique pourquoi deux styles d'écritures différents cohabitent dans les volumes de cette série. […]

Les deux dossiers positionnés en fin d'ouvrage sont des enquêtes importantes qui suivent le déroulement de l'histoire décrite dans ÁDAM GENISIŠ. Il est donc préférable de les lire après avoir compulsé l'intégralité du récit millénaire de Sa'am.

Vous noterez que les termes utilisés dans l'ensemble de cette série restent invariables volontairement, le but étant de ne pas alourdir la lecture qui est déjà peu aisée par l'utilisation de nombreux vocables sumériens, akkadiens et égyptiens.

Bonne lecture et avec toute ma fraternité !
Anton Parks

#2. PRÉFACE par le scientifique Gerry Zeitlin

[…] Face à cela, Parks disposait d'une possibilité d'action qui n'était autre que de se cultiver lui-même dans au moins deux disciplines susceptibles d'apporter quelques éclaircissements à propos de ces questions-là - et de découvrir ce qui avait des chances d'être le plus proche de la vérité pour ce qui est de notre passé comme de notre actuelle situation. J'ai nommé les domaines de la linguistique et de la mythologie.

Il lui fallait des connaissances en linguistique, car même s'il s'était trouvé en mesure de comprendre et d'utiliser les formes orales et écrites de la langue qu'employaient les êtres avec lesquels Sa'am / Heru était en relation, il n'avait à l'origine aucune idée de ce que cette langue aurait pu être. Comme il l'a lui-même soigneusement expliqué dans son premier volume, son étude a révélé que cette langue s'était avérée être une sorte de proto-sumérien. Il a au cours de ce processus également découvert que toutes les langues premières de l'humanité tiraient leurs racines phonétiques de cette langue fondatrice, et la façon spécifique dont chaque phonétique s'était adaptée en disait long sur la façon dont les civilisations qui les employaient articulaient leurs concepts.

Tout ceci a ainsi directement débouché sur une enquête exhaustive concernant les diverses mythologies du monde.

Là ou les spécialistes universitaires en mythologie se contentent d'assimiler les mythes à des croyances, qui les renseignent ainsi sur la façon dont étaient structurées celles des diverses civilisations premières, Parks est quant à lui en mesure de comparer ces mythes à ce dont il se "souvient", mythes qui constituent d'ailleurs souvent la trame de ses souvenirs.

EXTRAITS DU LIVRE / SECTION RÉCIT pp.23 à 314

p.3 Les Chroniques du Ğírkù Volume 2 ÁDAM GENISIŠ du sumérien Á-DAM-GEN-ISIŠ : " fixer et répandre les animaux"

p.26 Uraš, triomphe de la matière. Fierté de Ti-ama-te (le système solaire) et des Kadištu (planificateurs). La molécule de vie y a été transplantée en dimension KI (la 3e dimension) par le travail unifié des mandataires de la Source.

Nous étions une poignée d’exilés sur ce globe étrange. Seulement 300 de mes Nungal avaient réchappé à la bataille meurtrière de Mulmul (des Pléiades)

La conquête de cette planète fut décisive pour mes Kuku (ancêtres).

Certaines races de planificateurs y séjournent dans l’ANGAL (fréquences supérieures). D’autres comme les Amašutum, les Abgal et peut-être les Urmah, fréquentent plutôt l’Abzu (le monde souterrain).

p.27 Note de bas de page #3 : SI4-GUN, litt. "la terre rouge" en Gina’abul-sumérien, aujourd’hui l’Australie.

p.29 Après les événements qui ravagèrent Uraš (la Terre), les Kadištu choisirent de créer une base fixe sur Mulge ("l’astre noir"). Quant aux Urmah, les guerriers Kadištu, ils établirent leur base principale dans des souterrains, quelque part en Kankala (l’Afrique).

Note de bas de page #5 : Il est dit en Genèse 1.26, lorsque Elohim (l’autorité planificatrice) veut créer l’homme (la 1re humanité) : "faisons l’homme à notre Tsélem (image)". Pourtant le mot hébreu "Tsélem" ne semble pas être convenablement traduit, car il est formé du vocable Tsél qui veut dire "ombre" et du "Mem" final qui symbolise de façon hermétique l’eau, l’élément vital (la semence). Lorsqu’il est dit qu’Elohim va former l’homme primordial à partir de son Tsélem, cela veut donc dire qu’il va le former à partir de ses gènes, de son "ombre-liquide", c’est-à-dire de la semence d’Elohim ! Il est tout à fait intéressant de noter que le terme hébreu "Tsélem" décomposé en suméro-akkadien donne TÉŠ ("sexualité", "force vitale"); EL ou ÍL ("élevé", "être haut"), EM ou IM ("argile", "boue") ; soit TÉŠ-EL-EM "la force vitale élevée de l’argile". Nous démontrerons plus loin dans cet ouvrage que le terme "argile" évoque l’élément principal de la vie : le sang. Notre démonstration est d’autant plus évidente que le "MEM" hébreu final ("l’eau-semence") possède une valeur numérique de 40 et que nous savons que l’embryon met 40 jours pour se transformer en fœtus !

p.41 Un jour, il leur vint la mauvaise idée de m’inventer un nouveau surnom qu’ils ne cessèrent dès lors d’employer pour me nommer – ENKI , "le seigneur du KI", titre pompeux qui me désignait comme souverain de la réalité dans laquelle nous nous étions échoués.

Note de bas de page #16 Les traditions suméro-akkadiennes précisent en effet que Nudímmud, fils d’An et de la déesse Nammu, porte aussi le nom d’"Enki" sur la Terre. Selon les tablettes mésopotamiennes, An et Enlíl dirigent les Anunna(ki) alors qu’Enki-Nudímmud commande ses enfants, les Nungal (en sumérien), dont le nom akkadien est "Igigi" ou "Igigû".

EXTRAIT / LEXIQUE

pp.506-507 Anunna = litt. "progéniture princière", souche guerrière Gina’abul crée par An et Ninmah sur le Dukù

Anunnaki = Anunna vivant sur Terre

Vous avez jusqu’à maintenant un bon exemple de comment est élaboré son récit avec les nombreuses notes de bas de page, dont celle transcrite ici qui n’est que la moitié des notes de bas de page de cette page 29 ! Évidemment, c’est écrit en petits caractères.

Je vais donc aller à la partie Archives et Décodages pour vous donner un aperçu.

EXTRAITS DU LIVRE / SECTION ARCHIVES ET DÉCODAGES pp.315 à 518

p.331 Dans la version grecque de la Bible, Lucifer est dénommé Phosphoros (phôs = lumière / phoros = qui porte).

p.340 Prolongeons notre démonstration en observant que le terme français "absoudre", officiellement tiré du latin "absolvo" ou "absolvere" (délier, libérer) doit obligatoirement son origine à l’Abdju égyptien.

pp.344-345 Ce fait prend tout son sens lorsque l’on sait que le nom EN-KI est décliné en É-A en akkadien, c’est-à-dire "(celui au) temple de l’eau". Phénomène très intéressant, les éléments attribués à Osiris sont la Terre et l’Eau. Ces mêmes principes sont justement octroyés à Enki, en tant que "seigneur de la Terre" et Ea "maître du temple de l’eau".

Dans l’inscription archaïque sumérienne (à gauche), [image dans le livre] on retrouve le signe de la croix, symbole des KIR-IŠ-TI, litt. "fils ardent de la vie" ou "poisson des étoiles et de la vie" qui sera repris par l’Église chrétienne comme symbole de Jésus le Christ (voir plus loin la partie intitulée "Sous le signe de la croix"). Le signe de la croix est bien antérieur au christianisme et se retrouve sur bon nombre de monuments antiques, particulièrement sur ceux d’Amérique centrale, où il est identifié comme étant "la croix de Quetzalcoatl". Ce même Quetzalcoatl étant assimilé à l’Étoile du Matin et au Christ de la culture précolombienne. Nous verrons plus loin qu’il s’agit d’un double d’Heru (Horus).

p.350 Le terme "Abgal" se décline ne "Apkallû" en akkadien. Cette dénomination servait à désigner un sage et par la suite un prêtre.

p.355 Le terme grec "Christos" qui se dit "Messias" en latin, possède comme sens "oint, sacré par le seigneur". On dit d’une personne qu’elle a été ointe [du latin "unctum" ("onguent")] lorsqu’elle a été consacrée par une onction liturgique.

p.357 En suivant notre pensée, nous n’aurons aucun mal à relever que le nom hébreu "Cohen", qui est extrêmement répandu, veut dire "prêtre".

p.358 ! Par la relation que possédaient les Abgal et Isis avec Sirius, il ne fait aucun doute que le rite des lamentations et de l’enterrement (KRST en égyptien) est en lien avec ce lieu céleste.

p.360 [du paragraphe de la citation de Plutarque ci-haut dans les billets subséquents au dossier Anton Parks] La langue latine nous apporte quelques éléments de compréhension concernant le terme "Messias" ("oint, sacré par le seigneur"). Nous avons deux termes latins extrêmement approchants qui sont "Messio", "la moisson", et "Messis", "récolte de produits de la terre".

Je pense en toute honnêteté que vous en avez suffisamment pour vous faire une idée. Si vous avez relevé une traduction erronée, mentionnez-le avec l’explication et le correctif.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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