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MES SOURCES DE RÉFLEXION 12 : L'Égypte et...

par panthère58, mardi 24 mai 2016, 15:58 (il y a 2893 jours) @ panthère58

:-) MES SOURCES DE RÉFLEXION 11 : L’Égypte

N.B. On est toujours dans la foulée de mon argumentation à savoir que pour moi, l’histoire du « Jésus » des Évangiles, c’est l’histoire d’Osiris ressuscité en Horus.

Le christianisme est-il né avec Jésus comme on veut nous le faire croire depuis 2000 ans, ou en Égypte avec l’assassinat d’Osiris/Enki, ressuscité en Horus voilà 12 000 ? Évidemment, dans mes sources de réflexion, Anton Parks occupe une grande place.

Concernant Anton Parks, il y a d’autres infos dans le dossier :
"Les Secrets de la Bible"
Lien : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=123255

. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu.

. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative.

Comme d’habitude, dans mes billets :

En or : des extraits de différentes sources référées
En vert : interventions des participants au vidéo
En bleu : mes commentaires personnels
Normal : des explications, précisions
En gras : titre ou souligner l’importance

. Entre parenthèses, [ ] soit que j’ai mis le mot qui convient mieux au niveau de la compréhension de la langue française, ou celui que je pense avoir entendu. Ou encore, j’ai corrigé une coquille apparente du texte.

. Entre parenthèses avec trois petits points […], je saute une narration qui n’est pas vraiment utile au niveau du message pour principalement me simplifier la tâche dans sa retranscription narrative

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L’ÉGYPTE

P(3)58 : Voici donc quelques extraits parmi d’autres sources qui se tournent vers l’Égypte ancienne. Pour moi, c’est une preuve circonstantielle qui vient conforter ma réflexion à savoir que l’Égypte ancienne pré-dynastique joue un rôle de premier plan, particulièrement pour la compréhension des textes bibliques, précisément les Évangiles.

Revue : ÉGYPTE ANCIENNE
DIVERTI Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 15 Février/Mars/Avril 2015

[image]
N.B. La photo couverture du numéro 15 n’y était pas.

1. LA MOMIFICATION ET LE TRIBUNAL D’OSIRIS
L’accès à la vie éternelle
Par :
William Cevenit

Extrait p.82 : À l’instar de Caïn et Abel ou de Romulus et Remus, le fratricide d’Osiris par Seth est un archétype commun à la plupart des cultures de l’Antiquité. Mais l’impact du myhte d’Osiris dépasse de loin le cadre de l’Égypte pharaonique et on peut observer dans le thème du dieu trahit qui subit un martyre, meurt puis ressuscite pour vivre éternellement au « royaume des morts », ainsi que dans celui de l’enfant né d’une union miraculeuse, une lointaine préfiguration du christianisme.

Extrait p.84 : Même si les membres de la famille royale et les hauts dignitaires se font aussi embaumer et inhumer dans des tombeaux richement décorés, seul Pharaon peut se réclamer des dieux : vivants, il est Horus, mort il est Osiris. C’est aussi, on l’aura compris, une affaire de politique, où il s’agit de légitimer le pouvoir de Pharaon par quelque chose qui est incontestable et qui dépasse l’homme, et pour cela, une entité de nature céleste est idéale. Du moins tant qu’on y croit. Les rois de France prétendaient bien détenir leur pouvoir de Dieu, donc le moins qu’on puisse dire est que l’idée a perduré.

Revue : ÉGYPTE ANCIENNE
DIVERTI Éditions
Rédacteur en chef : Philippe Ilial
No 11 Février/Mars/Avril 2014

[image]

1. AKHÉNATON a-t-il INVENTÉ le MONOTHÉISME ?
Par :
Umberto Vasco

Extrait p.31 : Akhenaton aurait donc tenté de balayer le polythéisme plutôt encombré de la religion traditionnelle égyptienne et sa réforme religieuse aurait été le premier monothéisme de l’histoire. La chronologie retenue à l’époque de ces découvertes situant la jeunesse de Moïse au 13ième siècle av. J.-C., soit environ un siècle après Akhenaton, la tentation était trop forte pour ne pas essayer de faire d’Aton le prototype du dieu d’Israël, Yahvé, postulant une forme de filiation directe entre les deux religions, dont Akhenaton et Moïse auraient été les prophètes respectifs.

Thèse de Sigmund Freud qui veut que le savoir d’Akhenaton aurait été transmis aux Israélites par Moïse.

P(3)58 : Voici ma réflexion : si dans les faits, ce n’est pas Moïse mais Akhenaton qui se serait enfui d’Égypte avec ses fidèles et certains artéfacts égyptiens suite à l’échec de sa réforme religieuse ?! D’où l’empressement à effacer toutes traces de son passage dans l’Égypte. Mais la faiblesse de cette possibilité est que la description faite d’Amon correspondrait plus à Yahvé que celle d’Aton.

Extrait p.35 : Les seuls textes religieux connus sont les deux « hymnes » à Aton : le Grand Hymne à Aton, gravé dans la tombe du pharaon Ay. […] C’est la ressemblance entre certains passages du Grand Hymne avec le Psaume 104 de l’Ancien Testament qui a alimenté bien des spéculations. […] Ils ne sont pas totalement nouveaux dans la mesure où ils s’inspirent de textes antérieurs à la gloire d’Osiris ou même d’Amon. […] Aton, Akhenaton et Néfertiti forment la nouvelle triade divine et la seule offerte à l’adoration du peuple.

2. AMENEMHAT IV pourrait-il être MOÏSE ?
Par :
Vincent Willaime

Extrait p.62 : Dans le récit biblique, le pharaon de l’Exode n’est pas nommé et diverses hypothèses ont été explores en cherchant des points communs entre le récit mythique et le contexte historique, dans le cadre de ce que l’archéologie peut mettre en lumière. […] Mais une autre hypothèse, plus originale, pour ne pas dire plus, situe l’Exode à la fin du Moyen Empire et avance que Néférousobek était la princesse qui a trouvé Moïse dans un panier d’osier flottant sur le Nil. Fille ou sœur d’Amenemhat III, ne pouvant avoir d’enfants, elle l’aurait adopté et élevé comme son propre fils ; c’est lui qui aurait régné à la mort du pharaon, sous le nom d’Amenemhat IV.

P(3)58 : Quand on aura élucidé le mystère de l’Exode, on aura plus de recul pour mieux analyser les textes bibliques et les événements depuis cette période.

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Hermétisme : La Cabbale mère égyptienne
Par Elishean - mai 22, 2016
Source : http://www.cabbale.org
Vu sur : http://www.unisson06.org/
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Copyright les Hathor © Elishean/2009-2015/ Elishean mag

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P(3)58 : J’aime bien ce lien avec les trois chiffres : 3, 5 et 8 !

Extrait 1 : Chez les juifs, la cabbale provenait des Kaldéens par Daniel et Esdras.

Chez les Israélites antérieurs à la disparition des dix tribus non juives, la Cabbale provenait des Egyptiens, par Moïse.

Chez les Kaldéens comme chez les Egyptiens, la cabbale faisait partie de ce que toutes les Universités métropolitaines appelaient la Sagesse, c’est-à-dire la synthèse des sciences et des arts ramenés à leur principe commun. Ce Principe était la Parole ou le Verbe.

Un précieux témoin de l’antiquité patriarcale prémoïsiaque déclare cette sagesse perdue ou bouleversée 3.000 ans environ avant Notre-Seigneur. Ce témoin est Job et l’antiquité de ce livre est autologiquement signé par la position des constellations qu’il mentionne : « Qu’est devenue la Sagesse, où donc est-elle ? » dit ce saint patriarche.

Dans Moïse, la perte de l’unité antérieure, le démembrement de la Sagesse patriarcale, sont indiqués sous le nom de division des Langues et d’Ere de Nimrod.

Cette époque Kaldéenne correspond à celle de Job.

P(3)58 : Alain Nyala a évoqué récemment dans un vidéorandia que la « Tradition » était fragmentée :

Extrait 2 : Depuis ce temps babélique, aucun peuple, aucune race, aucune Université, n’a plus possédé qu’à l’état de débris fragmentaires l’ancienne Universalité des connaissances divines, humaines et naturelles, ramenées à leur Principe : le Verbe-Jésus. Saint Augustin désigne sous le nom de Religio vera cette Synthèse primordiale du verbe.

Extrait 3 : Jésus, dans Sa dernière prière si mystérieuse, jette en cela comme en tout, une lumière décisive sur le mystère historique qui nous occupe ici :

« O Père ! Couronne-moi de la Gloire que j’ai eue avant que ce Monde ne fût ! »

Le Verbe incarné fait allusion en cela à Son oeuvre, à Sa création directe comme Verbe créateur, Création désignée sous le nom de Monde divin et éternel de la Gloire prototype du Monde astral et temporel, créé par les Alahim sur ce modèle incorruptible.

Que le Principe créateur soit le Verbe, l’Antiquité n’a sur ce point qu’une voix unanime. Parler est créer y sont synonymes dans toutes les langues.

Chez les Brahmes, les documents antérieurs au culte de Brahma représentent ISOu-Ra, Jésus-Roi, comme le Verbe créateur.

Chez les Egyptiens, les livres d’Hermès-Trismégistes disent la même chose ; et OShI-Ri est Jésus-Roi lu de droite à gauche.

Chez les Thraces, Orphée, initié aux Mystères d’Egypte vers la même époque que Moïse, avait écrit un livre intitulé : le Verbe divin.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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