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DOSSIER ANTON PARKS : Les Chroniques du Girku

par panthère58, jeudi 10 décembre 2015, 10:41 (il y a 3059 jours) @ panthère58

:-) Quatrième de quatre article / entrevues avec Anton Parks sur ECHO-ZEN

Lien : http://www.echo-zen.com/anton-parks-les-chroniques-du-girku/

ANTON PARKS : Les Chroniques du Girku

22/08/2012 8 Commentaires Par Chris

Possédant une formation de graphiste dans les disciplines du marketing et de la communication et travaillant dans ce domaine depuis 1985, Anton Parks s’est également spécialisé dans les cultures de l’Orient ancien dès les années 2000. A ce titre, il est l’auteur de la série les Chroniques du Gìrkù qui retrace, sous la forme d’un récit et d’un minutieux travail de recherche, les origines de l’humanité à travers le regard des dieux de nos mythologies. Anton Parks est aussi l’auteur de l’ouvrage le Testament de la Vierge, paru en 2009, essai où il révèle les sources égyptiennes du Nouveau Testament et où il développe une nouvelle théorie sur le fonctionnement hydroélectrique et électromagnétique de la Grande Pyramide de Gizeh. En 2011, paraît Eden, et à l’automne 2012 sortira la dernière Marche des Dieux.

Anton Parks est le créateur d’une thèse révolutionnaire sur le codage de la langue sumérienne – étude exposée dans sa série des Chroniques du Girku (3 tomes) où il est aussi retracé le processus qui l’a conduit à ces découvertes inédites. Fin 2005, il fut approché par l’équipe de Marcello G. Martorelli et Steve Currey afin de faire partie de l’expédition vers le Pôle Nord en qualité de linguiste spécialisé dans le langage Gina’abul (proto-sumérien) ; expédition avortée en raison de la disparition prématurée de Steve Currey.

T1- LE SECRET DES ÉTOILES SOMBRES (2005)

4ème de couverture :

L’humanité est plongée au cœur d’une querelle millénaire entre humanoïdes reptiliens d’une même famille devenus de véritables hors-la-loi universels. Leur dissension mutuelle et désaccords perpétrés à l’encontre de la communauté planificatrice de cette partie de l’univers, ont engendré, par le passé, des situations conflictuelles sur la Terre. Ce contexte anormal se répercute aujourd’hui encore dans notre société, car cette famille galactique, totalement déchirée, contrôle dans l’ombre l’ensemble des crédules habitants de cette planète.

Le premier volume de ce triptyque évocateur et hautement détaillé, vous révélera la Genèse d’une partie des « dieux » dont la trace se retrouve dans de nombreuses légendes de la Terre, en passant par la mythologie mésopotamienne jusqu’aux traditions des Amérindiens. Anton Parks détient un savoir ancestral encyclopédique dont l’ampleur défie toute rationalité. Il nous livre sans détours de nombreux rites et secrets relatifs à ces « dieux » déchus, ainsi que la raison cachée qui condamna ces derniers à s’échouer sur cette planète en des temps reculés. En parcourant « Le Secret des Etoiles Sombres », vous découvrirez toute l’organisation sociale et politique de cette famille galactique du nom de Gina’abul à laquelle appartiennent les fameux « dieux » Anunnaki des tablettes sumériennes. Ce récit est un parcours initiatique périlleux qui vous mènera au cœur d’une communauté de prêtresses en déclin, meurtrie par une société patriarcale enracinée dans une agressivité génétique programmée. Les chroniques d’Anton Parks donnent le vertige tant par les thèmes traités que par les nombreux éclaircissements totalement originaux qui en découlent. Au fil des pages, les mystères du passé et de nombreux thèmes restés incompris jusqu’à présent tombent, un à un, tel un château de cartes…

Les révélations d’Anton Parks ne s’arrêtent pas là. L’auteur nous dévoile également le code linguistique des « dieux », astucieusement dissimulé dans la grande majorité des anciens langages de la Terre. Le syllabaire suméro-assyro-babylonnien est la clé d’une codification inventive, la langue sumérienne est l’idiome empreinte des « dieux » qui servit à fabriquer tous les mots principaux et usuels de nombreux idiomes et langages ancestraux comme : le chinois, le dogon du Mali, les langues germaniques, l’ancien grec, l’hébreu, le hopi de l’Arizona, le latin… et bien d’autres encore. La démonstration de l’auteur est stupéfiante !

Parallèlement à son récit, Anton Parks vous propose une étude comparative visant à donner une explication universelle des différents mythes de la planète. Entre mythes voisins et distants, parfois séparés par un océan, votre compréhension s’élargira grâce à des similitudes stupéfiantes, dûment relevées, qui vous présenteront une nouvelle vision de l’histoire de l’humanité. Les traditions accumulées et démystifiées dans la série Les Chroniques du Girkù sont édifiantes. Les concordances légendaires relatées à travers l’histoire qui vous est dévoilée vous apporteront de précieuses informations sur l’origine de nombreuses traditions de la planète et vous aideront à mieux comprendre le système sournois dans lequel nous évoluons aujourd’hui.

A la lecture de Les Chroniques du Girkù, vous n’aurez jamais été aussi près de la vérité et vous ne verrez plus le monde de la même façon. Les qualificatifs manquent pour décrire cette œuvre magistrale.

Préface du premier éditeur :

Il semble que ce livre nous arrive d’un autre monde. Il nous plonge dans une dimension universelle, cosmique qui nous a toujours été présentée en tant que fiction, mythes et légendes. Ce qui nous a coupé de la création et de son créateur.

Autant nous trouvons ridicule l’ignorance ou la moquerie des « savants » ou possesseurs de la connaissance du 15ème siècle qui affirmaient que la Terre était plate alors que certains hauts initiés des sectes et sociétés secrètes à travers le monde savaient depuis toujours qu’elle était ronde et que le soleil ne tournait pas autour de la Terre.

Les Mayas, Incas, Dogons et plusieurs autres sociétés anciennes dites « sauvages » le savaient et possédaient même une cartographie du ciel détaillée et « l’Horus-cope » des 12 signes et maisons du zodiaque avec Horus, le soleil, à son centre.

Alors, comment qualifier l’ignorance ou encore mieux l’arrogance et la prétention d’aujourd’hui, fin 2004, que nous sommes seuls dans l’univers et que les humanoïdes sont les seules créatures intelligentes que Dieu ait créées. Anton Parks va plus loin que ce qui nous a été révélé à date sur les différents univers et diverses engeances qui les habitent.

La vraie connaissance nous est cachée, car elle est la base de la vérité qui nous libère de l’esclavage et des manipulations abjectes qui nous divisent et poussent les sociétés à s’entretuer et se détruire au nom de leur Dieu, leur histoire et textes sacrés.

L’auteur se veut un précurseur de la signification des codes linguistiques du langage pré-sumérien qui se retrouvent dans toutes les langues et qu’il nous dévoile après de longues recherches. Mais rarement vu ou lu, est le style dans lequel Anton Parks nous révèle son histoire. de sauriens ou reptiles. Un essai qui se lit comme un roman ou une nouvelle tout en nous éduquant à un nouveau système de vie interdimensionnel qui ressemble au nôtre avec des personnages qui vivent les mêmes émotions que nous.

À la seule différence qu’ils sont reptiliens, sauriens et dragons. Les anciennes créatures fabuleuses, serpentines et hideuses à nos yeux, de l’histoire de certains peuples, mais aussi réelles dans l’Univers que vous et moi.

Il est important de démystifier la présence de cette engeance qui existe dans l’univers et qui sur notre Terre se présente à nous sous la manifestation d’animaux tels que des lézards, iguanes, crocodiles, poissons, oiseaux, à l’exception chez les poissons, des mammifères comme les dauphins, les baleines qui allaitent leurs petits dans l’eau. Même chez les dinosaures, on retrouve le tyrannosaure qui pond des oufs et le brontosaure qui n’était qu’une vache immense à tétine comme celles qui broutent dans nos champs. Herbivores et carnivores chez les deux espèces y compris les humains.

Les Éditions NENKI sont fières d’être parmi ceux qui présentent des clefs qui ouvrent les portes de l’histoire interdite à la civilisation, de ses mours, croyances, religions et surtout de ses sources.

Vous comprendrez pourquoi les Dieux ont interdit aux humains de graver, peindre ou sculpter l’image et/ou la ressemblance des Dieux qui dominaient ce monde. Heureusement que certains désobéirent à l’ordre suprême, ce qui fait qu’aujourd’hui nous avons une plus grande vision de la réalité dont la fiction n’est qu’une esquisse.

Un récit passionnant qui vous transportera à travers les autres dimensions du temps et de l’espace. Dans le tome 2, vous connaîtrez les déroulements terrestres qui ont créé le monde ou la matrice sociale d’aujourd’hui, l’arrivée des lézards sur Terre et les guerres qui se sont poursuivies entre eux, depuis, jusqu’à ce jour…
Vous et moi devrons rester sur notre appétit jusqu’à sa sortie. © Nenki 2005

Magazine Nexus N°43-44 (printemps-été 2006) :

» Anton Parks, auteur autodidacte de nationalité française, a t-il écrit avec Le Secret des Étoiles Sombres un récit épique, mythologique, saga métissée de science-fiction et d’heroïc fantasy ou un livre « historique » ?… L’oeuvre de Parks reste inclassable et pose les questions essentielles : que se passait-il sur Terre avant la venue de l’Homme ? Qu’est-ce qui a précédé et provoqué l’avènement des civilisations humaines ?… L’auteur du Secret des Étoiles Sombres passionne des milliers de lecteurs à travers le monde avec ses récits épiques sur l’origine de la civilisation humaine. Mais ne nous y trompons pas : sous cette forme romanesque, Parks restitue peut-être notre véritable genèse, celle qui figure dans les textes sumériens qu’en tant que clairvoyant, Parks décrypte sans complexe… Accrochez-vous, c’est du Parks ! « .

T2- ADAM GENESIS (2007)

PRÉFACE, par le scientifique Gerry Zeitlin :

Avez-vous jamais rêvé d’être une conscience enclose dans le corps d’une autre personne pendant que cette même personne – homme ou femme – continue de faire les expériences qui lui sont propres.

Cela pourrait paraître quelque peu terrifiant : expérimenter intimement tout ce que la personne de ce rêve fait elle-même, tout en sachant que nous ne sommes pas celle-ci et que nous n’avons aucun moyen d’agir sur cette situation.

Cela pourrait pourtant assez bien décrire la façon dont Anton Parks a « fait l’expérience » de Sa’am, la figure centrale de la première moitié de la série des « Chroniques », dont le présent volume nous révèle des identités qui nous sont quelque peu plus familières. C’est du moins ce que laisse penser la façon dont il décrit son expérience. Sauf que Parks n’était guère en train de rêver ou de dormir. Ses « transports » qui le faisaient passer de sa vie en tant qu’Anton Parks à cet acteur silencieux de la vie de Sa’am / Heru allaient se produire de façon inattendue et intrusive alors qu’il était parfaitement éveillé.

Tous ces épisodes ont débuté en 1981 chez Parks, alors âgé de 14 ans, par une série de « flashes » qui prendraient spontanément place à n’importe quelle heure de la journée. Ceux-ci allaient en définitive évoluer pour devenir des « visions » survenant quotidiennement de deux à trois fois dans la journée.

C’était là des visions non désirées qui interféraient avec la vie d’un jeune homme en pleine croissance. Quelque dix années s’écouleront finalement jusqu’à ce que Parks parvienne à leur mettre un frein. Avant qu’elles ne s’évanouissent cependant, Parks avait pu découvrir qu’il avait intimement vécu, par le biais de son « partenariat » avec Sa’am / Heru, des périodes d’une histoire qui semblait se rapporter à notre Terre, et s’étendaient sur quelque 300 000 années tout au long de civilisations humaines inconnues à ce jour, pour s’achever à l’aube du christianisme.

La question pour Parks, et pour nous aujourd’hui, est de savoir comment considérer ces informations. Comment pourrait-il lui-même, et comment pourrions nous nous-mêmes jamais savoir si nous sommes là en présence de données historiques valides ou de produits d’une imagination fertile propres à alimenter une catégorie quelconque du genre de la science-fiction ?

Si nous avions bien sûr eu une connaissance préalable des mécanismes qui ont sous-tendu cette expérience, nous pourrions aujourd’hui être en mesure de faire une première évaluation des informations obtenues à travers le processus. Mais personne n’ignore que le savoir humain laisse passablement à désirer dans ce domaine. Nous serions même bien embêtés pour apposer un nom sur le phénomène auquel Parks a été soumis. Il ne s’agit clairement pas d’une expérience de rêve éveillé, étant donné que cela s’est produit à l’état de veille – sans compter moult autres raisons.

De fait, le type d’expérience qu’a connu Parks n’a probablement jamais été étudié par aucune sorte de scientifique – psychologue, parapsychologue et autres chercheurs en rêves… Nous aurions même beaucoup de mal à déterminer un domaine de recherche qui lui corresponde vraiment.

Face à de telles circonstances, Parks s’est rendu compte que la seule façon de comprendre le sens de ces informations était d’étudier les données elles-mêmes, de vérifier de quoi elles étaient faites et si elles pouvaient s’apparenter à de quelconques vestiges encore présents de nos jours et liés aux époques excessivement anciennes qu’elles supposent.

La question de leur cohérence intrinsèque semble s’être résolue d’elle-même. Comme n’importe quel lecteur du premier volume, « Le Secret des Étoiles Sombres », l’aura vu, le récit de Parks se tient magnifiquement de bout en bout -, là n’est pas le problème, et il n’y a pas de doute que les lecteurs auront le même sentiment quant au présent volume. Il y a pourtant deux problèmes importants auxquels nous sommes confrontés pour ce qui est de leurs correspondances externes.

La totalité de ce scénario implique premièrement des races étrangères à notre planète, issues d’autres dimensions, ainsi que des événements inconnus du savoir officiel et auxquels notre société moderne dénie toute validité. Ceci nous amène à la question suivante : les « autorités connaissantes » de notre société sont-elles compétentes pour émettre un jugement quant à la validité de cette partie-là de l’histoire de Parks ?

Il va bien entendu sans dire qu’en tant qu’autorités, elles revendiqueront le droit d’agir de la sorte. Et nous attendrions de leur part qu’elles considèrent que cette validité est ici sans fondement, soit parce que la possibilité que les informations de Parks puissent être valides n’est conforme à aucun de leurs modèles de réalité, soit parce que nous sommes à ce jour incapables de comprendre ce processus. Et il nous faudrait, étant donné qu’il s’agit des autorités, attendre qu’elles apprennent éventuellement suffisamment de choses à ce propos dans un avenir incertain – si tant est qu’elles nous en informent.

Et c’est pourtant là ce qu’elles déclareraient, étant donné qu’elles sont, en tant qu’autorités, censées tenir de tels propos.

C’est à nous de décider s’il convient de les écouter ou pas.
Ce qui constitue le second problème, ce sont les épisodes de cette histoire qui ont lieu sur notre planète et dans notre dimension, lesquels ont pu laisser des traces et ce, de manière si répétée que les séquences en questions ont commencé à empiéter sur des périodes connues de l’histoire humaine.

Nous avons ainsi la situation inverse : il y a bien des « autorités » de toutes sortes qui sont toujours prêtes à nous donner leur interprétation de telle ou telle trace physique, psychologique ou historique, insistant la plupart du temps sur le fait qu’elles sont dans le vrai, même si elles contredisent en cela d’autres autorités.
Face à cela, Parks disposait d’une possibilité d’action qui n’était autre que de se cultiver lui-même dans au moins deux disciplines susceptibles d’apporter quelques éclaircissements à propos de ces questions-là – et de découvrir ce qui avait des chances d’être le plus proche de la vérité pour ce qui est de notre passé comme de notre actuelle situation. J’ai nommé les domaines de la linguistique et de la mythologie.

Il lui fallait des connaissances en linguistique, car même s’il s’était trouvé en mesure de comprendre et d’utiliser les formes orales et écrites de la langue qu’employaient les êtres avec lesquels Sa’am / Heru était en relation, il n’avait à l’origine aucune idée de ce que cette langue aurait pu être. Comme il l’a lui-même soigneusement expliqué dans son premier volume, son étude a révélé que cette langue s’était avérée être une sorte de proto-sumérien. Il a au cours de ce processus également découvert que toutes les langues premières de l’humanité tiraient leurs racines phonétiques de cette langue fondatrice, et la façon spécifique dont chaque phonétique s’était adaptée en disait long sur la façon dont les civilisations qui les employaient articulaient leurs concepts.

Tout ceci a ainsi directement débouché sur une enquête exhaustive concernant les diverses mythologies du monde.
Là ou les spécialistes universitaires en mythologie se contentent d’assimiler les mythes à des croyances, qui les renseignent ainsi sur la façon dont étaient structurées celles des diverses civilisations premières, Parks est quant à lui en mesure de comparer ces mythes à ce dont il se « souvient », mythes qui constituent d’ailleurs souvent la trame de ses souvenirs.

Comparer cette même trame à des visions conventionnelles du monde ne va cependant pas sans mal. Les corrélations apparaissent clairement, et sont cependant surprenantes. Elles dressent un tableau de notre passé et de la situation présente qui défie pratiquement toutes les idées que nous pourrions avoir quant à ce que nous sommes – et ceci pour la simple et bonne raison que nos mythes sont souvent les restes d’événements étonnants.

En guise de conclusion à notre propos, je crois qu’il est important que nous en revenions à notre point de départ. À quoi sommes-nous censés apparenter l’expérience « paranormale », comme nous serions tentés de l’appeler, de Parks ? Les lecteurs auront en mémoire le rôle central tenu par le Gírkù dans le 1er volume, « Le Secret des Étoiles sombres ». Objet magique (tel qu’il nous apparaît tout au moins à nous) dont l’origine reste un profond mystère, lui-même déjà ancien lorsqu’il fut confié à Sa’am quelque 300 000 ans avant notre ère, le Gírkù a son identité propre. Il possède même un nom : Ugur, et se trouvait être le fidèle compagnon de Sa’am / Enki (comme nous allons le découvrir dans ce volume) et probablement d’autres qui lui ont succédé.

Ugur affiche en tant que personnalité des caractéristiques hautement vertueuses, parmi lesquelles la fidélité à son possesseur et, semblerait-il, à la Vérité elle-même. Ugur est l’éternel dépositaire de toutes les données historiques qui lui ont été confiées. Tout au long des livres de Parks, nous voyons Sa’am / Enki et ensuite Heru (Horus) enregistrer en Ugur les chroniques de maints millénaires. Nous apprenons ainsi que Mamitu-Nammu, la « mère » de Sa’am, a fait la même chose avant lui, d’autres encore l’ayant suivie. Et aujourd’hui, en ce temps qui est le nôtre, Parks indique (lors de communications privées – si ce n’est de manière on ne peut plus claire dans ses livres) que tout ce que comporte ses récits est remonté jusqu’à nous à partir de ce même Ugur.

Il nous est seulement possible d’imaginer comment tout cela s’est passé. C’est pourtant parce que tout cela s’est effectivement produit un jour que nous ne sommes aujourd’hui plus contraints d’affronter notre futur en aveugles, sans même la certitude d’une identité pour assumer notre destin. Nous découvrons ici que notre passé, pour avoir été tragique, n’en est pas moins empreint de noblesse – face aux ennemis les plus impitoyables qui soient, autrefois bien près, et toujours bien près de nos jours, de nous priver de notre héritage comme de notre destinée. Mais rien n’est encore joué.

Gerry Zeitlin, New York, mars 2007

T3- Le Réveil du Phénix (2010)

Préface, par James G. Rooms :

Une loi des cycles régissant l’ensemble de l’univers veut qu’après avoir atteint son sommet, un système décline, arrive à son point d’achèvement, puis est suivi de conditions nouvelles. Actuellement, nous semblons pris entre l’agonie d’un monde aux structures périmées et les douleurs de l’enfantement d’une ère nouvelle. Nous sommes entrés dans une période où tous les événements vont se précipiter : montée des fanatismes, conflits sociaux, pandémies, violences urbaines, crises économiques, pollutions, dérèglement climatique… Ces dernières années, un nombre record de catastrophes naturelles a été enregistré, ce qui a fait dire à certains que nous serions entrés dans une période post apocalyptique. Mais qu’est-ce au juste que l’Apocalypse ?
L’Apocalypse est un texte eschatologique majeur attribué à l’apôtre Jean. Il décrit la fin des temps et les catastrophes qui l’annonceront. Il fait état d’une révolte des éléments contre une humanité qui en a probablement trop joué. Il décrit une époque d’intervention divine dans les affaires humaines. Il y a jugement, sanction et actions directes de Dieu sur la terre. Les visions hallucinantes de Jean évoquent des frayeurs si puissantes qu’elles ont enflammé les esprits durant de nombreux siècles. Bien des artistes ont puisé à cette source inépuisable les thèmes de leurs œuvres maîtresses.
Mais si l’Apocalypse offre, en apparence, la vision symbolique d’une révélation ultime que certains ont interprétée comme étant la fin du monde, s’il n’évoque pour le public qu’une longue suite de cataclysmes, son véritable sens désigne bien autre chose. Le mot « apocalypse » provient du terme grec apocalupsis et signifie « lever le voile », « révéler ». En Grèce, le terme désignait des ouvrages au langage chiffré. L’Apocalypse vise avant tout à rendre visible et compréhensible des éléments qui furent dissimulés au monde profane durant des millénaires. Le texte se présente comme la révélation de choses demeurées cachées. Il est question d’une connaissance, d’un savoir secret qui sera révélé aux hommes aptes à le comprendre. Il est clairement indiqué que le moment venu, ceux qui auront le « discernement » (l’intelligence) pénétreront le sens des prophéties… Il s’agit d’un éveil des consciences, d’un changement de vibration et de polarité, laissant augurer un bouleversement complet de nos systèmes de croyances.
Cette connaissance cachée est liée à l’antique serpent, car l’Apocalypse vient clairement faire obstacle au diable et à son emprise sur le monde. La prophétie raconte comment l’humanité sera délivrée du joug du grand reptile et révèle que la guerre opposant les forces de la Lumière à celle des Ténèbres sera enfin résolue. Elle décrit le jugement de Dieu dans les « derniers jours » pour tous ceux qui auront vénéré la « Bête ». Et ses adorateurs seront nombreux : « Et ils adorèrent le dragon… Ils adorèrent la bête, en disant : « Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre elle ? » – Apocalypse. 13 :4. « Et tous les habitants de la terre l’adoreront…/… car le « grand serpent a séduit toute la terre »- Apocalypse. 12 :9.
Le serpent est au centre de l’Apocalypse et il est aussi au cœur de l’œuvre magistrale d’Anton Parks. En nous dévoilant le mystère de nos origines, Parks a brisé un sceau et ce sceau, une fois brisé, va certainement en entraîner quelques autres dans son sillage… Parks apparaît comme un éveilleur de consciences. Il est incontestablement l’un de ceux qui ouvrent la voie. C’est grâce à des chercheurs tels que lui que nous progressons dans notre quête de vérité. Et si certains esprits étriqués ou empreints de dogmatisme préfèrent ignorer ces signaux, s’en moquent ou n’y croient tout simplement pas, d’autres plus ouverts y voient l’annonce d’un changement radical de civilisation. Malgré la chape de plomb des tabous et des dogmes, nous sortons peu à peu de la léthargie dans laquelle l’Eglise, les religions, les gouvernements, le monde scientifique et les sociétés secrètes nous ont volontairement laissés.
Le serpent est incontestablement lié à un ou plusieurs événements traumatisants, profondément enracinés dans notre passé. Animal sacré et fabuleux, gardien des trésors enfouis, détenteur de la connaissance secrète, initiateur, figure de l’inconscient collectif, emblème phallique, tour à tour angélique et diabolique, créateur et destructeur, il pose la question fondamentale des rapports duels existant entre l’homme et l’univers, la matière et la spiritualité, les forces psychiques et la raison, la Lumière et les Ténèbres. Déifié dans toutes les cultures et les civilisations, il est porteur d’un grand nombre de messages contradictoires. Né des profondeurs de la terre et du domaine aquatique, il détient le secret de nos origines. Des divinités humano reptiliennes figurent dans les théogonies du monde entier en tant que précurseurs des hommes. Elles participent activement aux premières énergies créatrices. Et si une majorité de savants préfère penser que les êtres étranges peuplant nos mythes ne sont que des grands archétypes universels, des images fabuleuses, des figures emblématiques, des chercheurs audacieux comme Anton Parks, naviguant à contre-courant de la pensée unique, estiment que ces légendes non expurgées dissimulent l’énigme de nos origines.
Que savons-nous au juste de notre genèse ? Existe-t-il une vision objective et impartiale de l’état actuel de nos connaissances sur les origines de l’humanité et une ultime réponse convaincante quant à savoir comment et pourquoi la vie est apparue sur la terre, il y a environ 3, 8 milliards d’années ? L’homme actuel (l’homo sapiens) qui a connu une explosion démographique il y a seulement 200.000 ans est toujours à la recherche désespérée de ses origines. Il demeure, comme au premier jour, un éternel curieux qui tente de comprendre le sens de la vie en général, et surtout le pourquoi et le comment de sa création. Ses questions existentielles n’ont toujours pas trouvé de réponse…
Le fossé est immense entre les millions d’individus qui continuent à croire obstinément aux principes de la théorie de l’évolution de Darwin, et les millions de créationnistes qui s’accrochent désespérément à leurs dogmes surannés. Les travaux de Darwin présentent de nombreuses lacunes et incohérences, notamment au niveau de l’existence (supposée) d’espèces intermédiaires. Il s’avère impossible, au départ d’une poignée d’ossements parfois frauduleux, d’édifier une science exacte. C’est en Afrique australe que fut découvert le crâne de l’Australopithèque censé définitivement représenter aux yeux du monde entier, le précieux « chaînon manquant ». Prouver à tout prix la filiation directe entre l’homme et le singe, est devenu une telle nécessité pour les paléontologues et les scientifiques, que le débat principal portant sur d’autres découvertes tout aussi importantes mais déstabilisantes, a été censuré. Contre toute objectivité, la théorie de l’évolution continue à jouir d’une acceptation quasi unanime de la part des savants. Son statut est semblable à celui dont jouissait autrefois le récit de la création de la Bible !
Face aux esprits puristes et pompeux de la science, face aux croyants rivés à leurs dogmes inébranlables, il existera toujours des chercheurs rebelles prêts à tout pour faire jaillir une autre vérité. Ils continueront à rassembler un nombre impressionnant de faits, d’éléments insolites, de manifestations extraordinaires constituant autant de « pièces à conviction » à verser dans l’énorme dossier des énigmes de l’histoire humaine. Toutes les grandes révolutions furent portées par des esprits brillants, indépendants et novateurs. Ces visionnaires téméraires eurent le courage de braver les courants où régnaient en maître l’obscurantisme et la pensée unique. Parks est de ceux-là.
Au travers de ses propres découvertes, de son étonnante expérience personnelle et avec la complicité de son épouse Nora, Anton Parks nous fait découvrir une toute autre genèse. N’hésitant pas à franchir le cap de la critique et des deux thèses habituellement exposées, l’auteur parvient à synthétiser la nouvelle hypothèse qui remporte actuellement de plus en plus de suffrages, celle de l’origine extraterrestre (exogène) de la vie. Récemment, une équipe de savants chinois a affirmé avoir découvert des gênes extraterrestres dans l’ADN humain ! Ce groupe de chercheurs pense que les 97% des séquences non codantes de l’ADN humain représentent un code génétique de formes de vie extraterrestres… Et ces séquences seraient communes à toute la matière organique présente sur terre ! Toutefois, dans l’ADN humain, elles constitueraient la plus grande partie du génome, a déclaré le professeur Sam Chang qui supervise les travaux, de quoi déstabiliser plus d’un mandarin de la science officielle !
Relier les anciens textes sacrés à l’exogenèse de l’humanité et aux témoignages contemporains de rencontres du 3ème type, est une envie à laquelle de moins en moins d’auteurs résistent. Avant Parks, des pionniers avaient établi cette relation à travers la Bible puis, plus récemment, avec les écrits sumériens et les parchemins gnostiques de Nag Hammadi. Cette vision originale des mythes fondateurs de l’humanité a le mérite de donner une cohérence à des récits anciens faisant état d’entités venues des étoiles qui furent considérées comme des dieux par les peuples anciens. Le décodage particulier des écrits religieux portant sur la genèse du monde met en relief des informations très précises sur la nature de ces créatures probablement d’origine extraterrestre qui revendiquèrent le rôle de pères créateurs.
Anton Parks confronte ses lecteurs à une quantité d’informations cohérentes à propos d’une civilisation que bon nombre d’historiens et de chercheurs qualifient, à juste titre, de « berceau de l’humanité ». La culture religieuse sumérienne fait amplement allusion à la colonisation de notre planète par des créatures que les Sumériens appelaient les « Anunnaki » ou fils d’Anu (An), le Dieu suprême. La grande majorité des tablettes d’argile retrouvées relatent les aventures des guerriers Anunna. Elles racontent leur arrivée sur terre, leur colonisation et la création de la créature humaine qu’ils transforment en bétail et réduisent en esclavage. Alors que d’autres chercheurs présentent les Anunna comme une race monolithique composée de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Anton Parks évoque de nombreuses entités provenant d’autres dimensions de l’espace appartenant à la race des Gina’abul, mot signifiant « lézard » en sumérien.
Selon lui, les dieux reptiliens de l’antique Sumer ont fait main basse sur une partie de la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir. Ses chroniques évoquent une longue suite de combats et de rivalités entre différents clans, ceux défendant le culte de la déesse mère et les intérêts de la « Source » d’une part, et les mâles arrogants désirant imposer leur domination dans l’univers d’autre part. Ces derniers ont dérobé et détourné les caractéristiques du génome humain afin de fabriquer une sorte de chimère hybride qui devait leur servir d’esclave et accessoirement de nourriture.
Suite à l’intervention d’un « Dieu rebelle », le serpent instructeur de la genèse, le Lucifer chrétien, le Dieu Ea-Enki sumérien, l’Osiris des Égyptiens, un autre modèle humain, plus autonome que prévu, doté du discernement entre le bien et le mal et d’une intelligence, a vu le jour. Cette création fut perçue comme une insulte par les dieux jaloux. C’est de cette étrange histoire largement déformée que s’est inspirée la Bible pour construire la doctrine judéo-chrétienne. La terre n’est qu’un vaste laboratoire et nous sommes le fruit d’une expérience génétique. A l’origine, nous avons été créés pour servir. C’est l’un des secrets bien gardés, sous le voile des dogmes, un secret qui peu à peu est dévoilé au public grâce à des auteurs courageux comme Anton Parks. Pour lui, il ne fait plus aucun doute que les diverses manipulations génétiques entreprises par les « dieux » extraterrestres aboutirent à la création de « l’Homo sapiens ».
L’être humain possède dans son corps des vestiges ophidiens, notamment un cerveau « reptilien », héritage de ses lointains ancêtres sauriens terrestres (ou extraterrestres ?) qui, il y a environ trois cents millions d’années, sortirent de l’océan et déambulèrent sur le sol, leur premier objectif étant de survivre. Le méca¬nisme neuronal qu’ils développèrent ou cerveau « reptilien », se chargea de ces fonctions élémentai¬res. Et ce cerveau se trouve toujours à l’intérieur de notre boite crânienne ! Il est le siège de nos pulsions primitives et instinctives.
De génération en génération, les descendants des reptiles développèrent des adaptations nécessaires à leur survie (sang chaud, allaitement, fourrure…) et devinrent par évolution des mammifères. De nouvelles espèces se regroupèrent en une organisation sociale plus soudée. Ces modifications comportementales nécessitèrent des ajouts à l’ancien cerveau reptilien. C’est alors que dame Nature construisit un nouveau tissu neuronal qui entoura le cerveau primitif – le « cerveau mammalien » – qui guida le comportement maternel et un certain nombre d’autres émotions et qui poussa les premiers hommes à former des groupes soudés. La Nature développa encore un nouvel accessoire cérébral, enveloppant les cerveaux reptilien et mammalien d’une fine couche de substance neuronale, le néo-cortex ou « cerveau primate ». Il donna à l’homme son langage, sa raison, sa logique et sa culture. Mais ce néo-cortex présente un inconvénient, il n’est qu’un fin « vernis » apposé sur les deux anciens cerveaux, toujours actifs.
Que penser du repli semi-lunaire situé à l’angle interne de notre œil qui contient encore les fibres musculaires de ce qui reste d’une troisième paupière ou membrane nictitante, qui existe encore chez les crocodiles ! Que dire de ces ligaments ronds de l’articulation de notre hanche, reliquats d’une portion d’une capsule articulaire qui, chez le reptile, était située en dehors de l’articulation ? Que dire encore de ces glandes périanales autour de l’anus, de ces excroissances occasionnelles prenant la forme d’une queue primitive que l’on observe dans certains cas de malformations ? Que dire des cors, des ongles, et même de nos cheveux, sortes d’écailles rappelant la peau du reptile ? Le Haggadah, source de légendes et de traditions orales juives, ne révèle-t-il pas qu’Adam et Eve perdirent leurs « peaux brillantes et écailleuses » en mangeant le fruit défendu que l’Ancien Testament traduisit par la phrase suivante : « Adam et Eve virent qu’ils étaient nus » ?
Certains scientifiques ont émis l’hypothèse que si les dinosaures n’avaient pas disparu, ils auraient pu atteindre un degré d’intelligence comparable à celle que présente l’être humain et évoluer vers une forme humanoïde/reptilienne. Le Dinosaur Museum de Dorchester expose actuellement un curieux spécimen au public, un étrange petit homme vert, fruit de l’évolution de ce qui aurait pu devenir un bipède issu directement de la lignée des sauriens. Le modèle se base sur les travaux et les recherches du paléontologue Dale Russell. Comme il est à présent admis que l’apparition de l’intelligence humaine liée à l’encéphalisation fut due essentiellement à la bipédie et que l’homme est le seul être vivant à avoir développé une telle faculté, l’hypothèse révolutionnaire présentée par Russell n’est pas inintéressante.

Le professeur Phil Currie, de l’Université d’Alberta, a admis que certains dinosaures possédaient fort probablement le sang chaud. Ces redoutables lézards étaient bien mieux équipés pour la survie que l’espèce humaine. Leur disparition ne fut due qu’à la collision de la terre avec un météore. Si ce cataclysme n’avait pas eu lieu, qui peut dire comment leur espèce dominante, féroce et rusée aurait évolué, sachant que certains de ces animaux pouvaient se déplacer avec agilité sur leurs pattes arrière ? Les scientifiques ont aussi théorisé que la forme reptilienne était idéale pour voyager à travers l’espace. Capables d’hiberner ou de ralentir leur métabolisme pour les longues périodes et de s’immerger dans l’eau ou un environnement liquide, ils pourraient survivre aux longs périples spatiaux néfastes pour les mammifères.
Face à cette foule d’éléments, l’œuvre de Parks ne peut que nous interpeller. Ses livres soulèvent plusieurs interrogations majeures. Si les dieux, anges et démons d’autrefois étaient tous des aliens, pour la plupart de type reptilien, à l’éthique plutôt douteuse et aux intentions fort peu louables, une quelconque spiritualité est-elle encore possible ? Bref, si le domaine spirituel relève plutôt de l’interdimensionnel ou de l’extraterrestre, pouvons-nous croire encore en l’existence d’un Créateur unique, d’une « Source » ? Et cette « Source » de toute chose ne nous aurait-elle pas abandonnés aux mains de nos tortionnaires reptiliens ? A première vue, on pourrait le croire, mais pour Parks, il n’en est rien. Il s’agit d’une « retraite transitoire », car les planificateurs au service de la « Source » n’ont jamais cessé de porter un œil bienveillant sur leur création. A l’échelle humaine, cela peut sembler très long, mais à l’échelle temporelle de l’univers, ce laps de temps représente peu de choses. Ces planificateurs n’interviennent jamais dans le développement des races en pleine évolution, et c’est justement ce qui nous arrive actuellement. Ils ont pour objectif de faire régner une forme d’organisation et de « discipline » émanant de la « Source » que l’on peut assimiler à Dieu. Mais malgré leur haute technologie et leur extrême intelligence, ils « n’ont pas pour mission de résoudre tous les problèmes », dit Parks.
La « Source », aussi illustre soit-elle, n’empêche pas le malheur de s’abattre sur le système solaire. Elle n’empêche pas les différents conflits de se produire et même de s’étendre au-delà de ce système. La « Source » est une « matrice » céleste, une machine à faire des « équations ». Elle ne cesse jamais de combiner différentes formules, selon les régions de l’univers et les espèces qui les occupent. Cela ressemble un peu à un dispositif céleste qui multiplie les combinaisons en vue de créer une sorte d’équilibre impartial entre les différentes espèces de l’univers. Cela peu paraître beau et effrayant à la fois.
La créature humaine possède un karma rattaché aux reptiliens, car elle a été maintes fois manipulée génétiquement par ces créatures. La terre est un lieu où la dualité et le libre arbitre sont vécus avec une très grande force. Nous sommes tous des « dieux » potentiels et nous possédons tous une âme immortelle. L’âme accumule les expériences et n’a normalement qu’un seul objectif, celui de progresser. Malgré les conflits omniprésents, les batailles sanglantes pour le pouvoir qui constituent la trame de fond de l’œuvre de Parks, un fil conducteur immuable relie ses chroniques, et ce fil est le rôle du sexe et sa relation avec le divin, à travers l’énergie de la Kundalini. L’auteur révèle toute l’importance du pôle féminin. Il fait constamment allusion à l’amour sacré et donc, implicitement, à la nécessité pour chacun de nous de retrouver son âme complémentaire ou « âme jumelle » avec laquelle nous devons fusionner pour reformer notre unité androgyne primordiale… Le thème des âmes jumelles ou âmes sœurs est le point central de la série.
En tant que Sa’am-Enki (Osiris) et Heru (Horus-Lucifer), le personnage principal passe son temps à rechercher son âme sœur Sé’et (Aset-Isis). C’est une épreuve difficile et risquée car coexister dans la dimension matérielle avec son âme complémentaire requiert une parfaite maîtrise de ses énergies et un juste équilibre entre les deux partenaires. Si l’un des deux ne possède pas le même niveau de conscience en raison d’une évolution différente, les deux « amants célestes » rencontreront toujours des problèmes sur leurs routes et c’est exactement ce qui arrive aux protagonistes des chroniques qui passent leur temps à se chercher, à se retrouver et à se perdre.
Comme nous le découvrirons dans cet ouvrage, Parks a eu la chance de retrouver son double d’âme dans cette vie. Les circonstances furent pour le moins étonnantes comme le sont probablement toutes les rencontres entre les âmes prédestinées. Nora découvrit un jour par hasard les écrits d’Anton à travers une interview et fut persuadée de très bien le connaître, avant même d’avoir pris connaissance de son livre. « Que dire » écrit Nora, « sinon que nous étions déjà très amoureux avant de connaître nos têtes respectives ! » Finalement ils décidèrent de vivre ensemble puis d’unir leur destinée en 2008. Pour Nora, il ne fait aucun doute que nous n’avons qu’un seul double direct, qu’une seule âme sœur ou M’nen-Ba (« même essence ») comme le restitue le langage égyptien. Il y aurait beaucoup à dire sur ce thème récurrent dans l’œuvre de Parks, mais nous vous laissons le plaisir de le découvrir par vous-mêmes…
L’histoire biblique de l’homme a débuté dans un Jardin avec l’Arbre de la Connaissance. Elle se termine avec ce même arbre de vie placé « au milieu de la place de la ville (Jérusalem céleste) et sur les deux bords du fleuve, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations. » Le texte de l’Apocalypse se termine par l’apparition de la nouvelle « Jérusalem céleste », une cité resplendissante de lumière, que certains n’ont pas hésité à qualifier « d’objet volant non identifié », y voyant le retour des dieux anciens, ceux de Sumer. La boucle est bouclée. On peut penser que les humains pourront accéder enfin aux mystères de leur origine céleste.
Le temps des révélations approche. Apprêtons-nous à vivre des moments intenses, des instants terrifiants aussi car toutes nos valeurs fondamentales vont s’écrouler. La révélation de vérités cachées depuis le début des temps ayant trait à la genèse de l’humanité, à la véritable nature de Dieu (ou plutôt des dieux) et de Satan deviendra accessible aux « Jours de la Fin » et déstabilisera complètement les trois grandes religions monothéistes. Certains y voient la préfiguration du grand retour des créatures célestes, bonnes et mauvaises que nous avons qualifiées à tort d’anges, de dieux ou de démons. Selon certains, nous prendrons enfin conscience de nos vraies racines, probablement plus « extraterrestres » que divines.
L’avenir de l’homme passe nécessairement par une prise de conscience et une compréhension de son passé et de ses origines. Pour certains, cette perception a un caractère strictement spirituel. Pour d’autres, il ne peut s’agir que d’un entendement rationnel et logique. Des millions d’individus continuent à adhérer à un système de croyances rassurant mais basé, pour la plupart, sur des écrits trafiqués. Les uns et les autres considèrent l’hypothèse exogène comme complètement absurde. On a longtemps médit la démarche de certains chercheurs qui se dégageaient des normes, des contraintes et des sentiers battus de la pensée unique. Elle n’était pas à même, assurait-on, de résoudre toutes les difficultés liées à la Genèse de l’Humanité. La présente parution du troisième volume de l’œuvre entamée par Anton Parks qui bénéficie d’adjonctions et de développements importants, nous prouvera le contraire.

James G. Rooms
Rédacteur en Chef des revues « L’Égypte » et « Les Arcanes de l’Histoire »
Directeur Général des publications de la Fondation Horus © 2010 fondationhorus

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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