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DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Onnouscachetout.com Partie 1

par panthère58, jeudi 14 janvier 2016, 19:57 (il y a 3017 jours) @ panthère58

:-) La Dernière Marche des Dieux

En or : des extraits des liens ou livres
En bleu : mes commentaires personnels
Ordinaire : info, précision,...

Je présente cette entrevue à titre indicatif, question d'alimenter une saine réflexion sur ces sujets évoqués.

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Extrait lié au vidéo : « Il y a plus de 10.000 ans, la grande citerne atlante, Bu-Henem, est détruite lors du Grand Cataclysme signalé par Platon dans son Critias. Le dieu Thot évoque l’existence de ce sanctuaire sacré et retrace ainsi l’histoire de l’Atlantide dans une longue composition gravée sur les murs du temple d’Edfu en Haute-Égypte. L’archéologue français Auguste Mariette désensabla cet édifice à partir de 1860.

Pour les Égyptiens de l’antiquité, la seule façon de conserver en mémoire leur véritable passé fut de le consigner par écrit d’une façon cryptée. Ainsi, ces textes, incompréhensibles au commun des mortels, purent défier le temps et échapper à la destruction des profanateurs pour parvenir jusqu’à nous.

Notre conception du culte ne peut envisager la pratique de croyances millénaires accompagnées d’une telle dévotion. Nos convictions et nos idéaux sont régulièrement remis en question par manque d’informations solides sur notre passé. Cette situation inconfortable permet l’ensemencement des religions et des dogmes qui parsèment la planète depuis des temps lointains.

Dans les textes de Thot traduits par Anton Parks, les forces du mal détruisirent plusieurs fois le monde des anciens dieux par l’acte guerrier. Les luttes armées entrainent la destruction de la culture et de la mémoire, ainsi que toute trace de civilisation.

Anton Parks nous livre ici une page importante de notre histoire par le biais de documents historiques et archéologiques de première main. Les doctrines atlantes codifiées par les rites et inscrites sur les murs du temple d’Edfu contribuent aujourd’hui à la reconstitution de notre passé ; un passé qui dépasse bien souvent notre entendement. La Dernière Marche des Dieux rassemble pour la première fois ces documents oubliés à travers les âges. Ils forment certainement la source primordiale de Platon. Les portes de l’Atlantide nous sont de nouveau ouvertes. »

Lien : http://www.elishean.fr/?p=41044

Extrait : Anton Parks: Interview Web 2014

Par Elishean - juil 16, 2014

Surpris. Nous le sommes de nouveau avec ce dernier opus de l’auteur des Chroniques du Ğírkù. Il confirme une fois de plus qu’aucun de ses bouquins ne se ressemble. Son premier essai, Le Testament de la Vierge, nous avait démontré dans un travail pointu de mythologie comparée que les premiers auteurs des religions du Livre avaient plagié les mythes de Sumer et de l’Égypte antique. Eden, le second essai, avait prolongé ces recherches par le décryptage des tablettes de Nippur (ville de l’ancienne Mésopotamie) qui décrivent ni plus ni moins que les premiers chapitres de la Genèse et la vie de l’humanité primordiale selon la cosmogonie sumérienne.

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Avec un style assez léger bien que déployant une trame narrative parfois grave, Anton Parks nous entraîne avec La Dernière Marche des Dieux sur les pas des survivants de l’archipel atlante. Ensemble d’îles qui, selon toute vraisemblance, se seraient situées exactement là où Platon les avaient localisées il y a près de 2500 ans dans ses célèbres textes du Timée et du Critias. Il n’en demeurerait guère aujourd’hui que les Canaries et les Açores. Ce troisième essai n’aurait pu contenir que les traductions égyptiennes de la première partie qu’il n’en aurait pas été moins fameux. Mais l’auteur est allé plus loin, pour notre plus grand plaisir. Son récit se développe de manière chronologique en évoquant tour à tour :

les plus anciens textes relatant l’Amenti ou A’amenptah (nom égyptiens de l’Atlantide),
la découverte et les recherches autour de la route préhistorique reconnue qui a conduit les suivants d’Horus à travers le désert du Sahara jusqu’à Abydos,
la découverte et les fouilles archéologiques (entreprises dans cette citée) du temple de Sethy 1er, menées notamment par Emile Amélineau,
l’excavation du puits de Strabon, le Saint des Saints de l’Égypte antique, appelé aussi l’Osireion – jusque là relégué au rang de mythe – , soit le cénotaphe de l’ancien grand dieu de la terre noire,
la biographie de Dorothy Eady (plus tard renommée Omm Sethy), une enfant britannique aux rêves étranges qui la mèneront une fois devenue adulte jusqu’au lieu où sa précédente incarnation avait connu l’Amour puis la mort : la fameuse Abydos…

Que dire de la traduction des textes évoqués plus haut ? Ils sont reconnus, d’une part, puisque visibles à qui le souhaite sur les murs du temple d’Edfu (dédié au souverain Horus) et réputés être de la main même du dieu de la Sagesse, Thot. Ce qui nous fascine, d’autre part, est la capacité de Parks à s’accaparer une langue antique afin de nous fournir des traductions souvent inédites de ces innombrables textes – dont la traduction définitive ne sera terminée par l’archéologie officielle que d’ici plusieurs années. Travail monumental, pour ne pas dire mégalithique – et d’une rare honnêteté intellectuelle –, qui en rebuterait plus d’un, mais pas notre spécialiste de l’Orient ancien ! Que disent donc ces hiéroglyphes ? Pas moins que ce que l’auteur a déjà évoqué dans sa série des Chroniques du Ğírkù (notamment le Tome 3, le Réveil du Phénix), à l’exception près que ce n’est plus là l’évocation de souvenirs mais bien des récits « palpables » et gravés dans la roche. Une validation de plus qui va dans le sens des informations apportées par Parks depuis 2005. Les écrits de Thot évoquent la vie en Amenti, les conflits qui opposent les clans des dieux Horus et Seth, les passages de l’Oeil du Son destructeur (Vénus) et les reconstructions qui en découlent ainsi que la marche qui conduira les rescapés de l’archipel mythique vers Abydos, la ville sacrée d’Osiris qui illuminera l’Égypte entière. Ces traductions ne sont pas livrées telles quelles mais encore une fois complétées par des preuves géologiques, anthropologiques, archéologiques et linguistiques qui valident ce scénario historique.

Dans la seconde partie de l’ouvrage, des tranches de vie de personnages associés aux découvertes réalisées à Abydos (débutant au 18ème siècle et se prolongeant jusqu’à nous), s’entrecroisent dans une mécanique dont seul le Destin a le secret. L’engagement et la persévérance de l’archéologue Emile Amélineau, persuadé de l’existence historique d’Osiris, sont exaltants. La vie entière de Dorothy Eady, réincarnation supposée d’une prêtresse d’Isis aux temps de Sethy 1er, est un hymne à l’Amour éternel. Les mots d’Anton Parks ont su rendre un vibrant hommage à cette grande dame. Autodidacte qui a su, non seulement, s’imposer à l’Égyptologie par ses divers talents (linguistiques, artistiques, …) et son abnégation à sortir la brillante Abydos de sa torpeur millénaire, mais qui nous touche aussi de par son renoncement à la vie matérielle occidentale et son dévouement quasi sacrificiel à la ville d’Osiris et à ses habitants.

L’essai se conclut en toute beauté avec la révélation de l’identité de Moïse, qui, à l’époque d’Akhenaton planifia son propre exil du royaume d’Égypte accompagné de sa caste cléricale. Il poussa la trahison envers son pharaon jusqu’à lui dérober notamment de saintes reliques du dieu Osiris. Artéfacts aux propriétés « surnaturelles » (pour ne pas dire technologiques) qui lui permirent d’assoir son pouvoir sur sa communauté et s’assurer d’écrire le mythe fondateur pour tout un peuple en devenir…

Dans la Dernière Marche des Dieux, nous sommes donc transportés à une époque finalement pas si lointaine où les dieux foulaient encore la Terre. Ici, celle de l’Égypte antique, contrée dont les mystères s’évaporent à mesure qu’Anton Parks rédige ses ouvrages. Et dans ce dernier, comme dans les cinq précédents, vous obtiendrez nombre de révélations une fois de plus inédites impliquant des répercussions considérables sur notre connaissance du passé.

Nous vous laissons à présent la parole, chers lecteurs, puisque les questions de l’interview qui suivent ne sont ni plus ni moins que les vôtres!

Dans la Partie 2 de ce billet.

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Anton et Nora Parks en 2008, lors de leur dernier voyage en Égypte, © 2013 antonparks.com, La Dernière Marche des Dieux
Anton et Nora Parks en 2008, lors de leur dernier voyage en Égypte, © 2013 antonparks.com, La Dernière Marche des Dieux

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De Nassim Haramein dans son livre L'Univers Décodé

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Louise Courteau Éditrice, 2012

Extrait p.138 : Et en prenant les dimensions de l'intérieur, vous obtenez la moitié des dimensions extérieures. Ainsi, vous obtenez des caisses de résonance de fréquences écartées d'une octave à l'intérieur du sarcophage. Alors, j'ai commencé à penser que cet objet n'était peut-être pas hébraïque.

Peut-être qu'en fait Moïse l'avait apporté quand il a quitté l'Égypte avec les Israéliens. C'est ce qui pourrait expliquer le changement d'avis du pharaon d'Égypte : après avoir permis à Moïse de partir, il aurait soudain compris qu'il était parti avec la source d'alimentation. [Arche d'alliance] Il l'aurait donc poursuivi. C'est très intéressant, je commence à avoir une meilleure idée de ce qui s'est passé. J'ai essayé d'extrapoler et j'ai obtenu quelques données pour m'appuyer. J'ai entrepris l'étude des textes égyptiens anciens afin d'y dénicher des preuves.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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