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Les Secrets de la Bible : Parks #4 / Gnose + Apocryphes

par panthère58, dimanche 24 mai 2015, 14:56 (il y a 3232 jours) @ panthère58

:-) Anton Parks #4

[image]

Éd. Nouvelle Terre
2009

MARIE, LA SAINTE VIERGE, MATRICE DU MESSIE
pp.120 à 153

Anton Parks y développe les points suivants :

. les racines sémantiques de Marie et de son double Meri (Isis)

. la jeunesse de Marie (Meri) : version égyptienne et textes apocryphes :

1. Le Protévangile de Jacques
2. L'Évangile du pseudo Mathieu
3. Le Livre de la Nativité de Marie

. les points communs, le lieu avec les symbole de l'Atlantide

. met en évidence le clonage génétique (Saint-Esprit/Elohim)

Extrait p.122 Le lecteur se souviendra de ce qui a été relevé dansmes ouvrages précédents : ce Saint-Esprit symbolise le pouvoir des "planificateurs", celui qui permet de donner naissance via la technologie des Elohim (planificateurs) et donc sans rapport sexuel.

Extrait p.127 Le mythe de la Vierge Marie n'a pas été inventé par les judéo-chrétiens. De nombreux indices nous informent que son origine est assurément égyptienne.

. une explication du pourquoi de la circoncision des rois et prêtres égyptiens

. dogme de la virgitié en 431 au Concile d'Éphèse en lien avec des traditions immémoriales

. le rôle des sept Hathor dans la "venue" d'Horus et dans "l'accompagnement" d'Osiris pour sa mort; en plus le lien d'avec les sept années de vaches grasses et maigres du rêve du patriarche Joseph (Osiris)

Extrait p.133 Petite parenthèse, nous avons ici la confirmation que la manipulation du genre humain ne date pas d'aujourd'hui... Les "dieux" politiciens de l'antiquité faisaient de la gestion économique et donnaient à leurs ministres (les prêtres) les moyens financiers de préserver leur autorité divine à travers le clergé.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dj%C3%A9ser

Une stèle, trouvée dans l'île de Sehel située au Sud d'Assouan, évoque une famine qui a frappé l'Égypte en l'an XVIII du règne de Djéser, famine qui dura sept ans.

Extrait p.134 Ces exemples nous démontrent simplement que les sept années de déluge ou de disette sont connues depuis la nuit des temps en Orient Ancien et qu'elles ne relèvent pas d'une époque biblique déterminée.

. le patriarche Joseph = Osiris et est associé à la lune et le pharaon = Isis

. lien entre Neith et Isis

Extrait p.136 Ceci implique aussi que la source orale utilisée pour ce passage de la Genèse est très ancienne et pas nécessairement contemporaine des rois égyptiens de la 18ième dynastie, comme le pensent les frères Sabbah et Joseph Davidovits. Il est bien question d'événements reculés dans le temps.

. la jumelle d'Isis serait Marie-Madeleine : les sept démons = rite ancien égyptien de purification

http://www.bible-en-ligne.net/bible,42N-8,luc.php

8:2 Les douze étaient avec de lui et quelques femmes qui avaient été guéries d'esprits malins et de maladies: Marie, dite de Magdala, de laquelle étaient sortis sept démons,

Dans la revue #21 Les Énigmes de l'Histoire avec un dossier sur Marie-Madeleine, les sept démons = p.55 ...les sept démons qui la possèdent. Dans son ouvrage Trois amies de Jésus de Nazareth, l'exégète Jean Pirot explique que cette « possession » n'était pas liée à l'idée de péché, mais plutôt à une profonde névrose. Et d'autres troubles psychologiques.

D'autres, croient vraiment à la possession et aux démon... :-P
M'enfin...

Extrait p.142 Ces sept démons sont généralement assimilés aux sept vices ou péchés capitaux que l'on retrouve sous la forme des sept riches vêtements ou apparats d'Istar...

. création génétique d'Isis par Osiris
. rivilité et différents entre Isis/Égypte et Marie-Madeleine (Nephtys/Sumer) mais finalement convergence

Parks se base sur des éléments éparpillés dans les mythologies mésopotamiennes et égyptiennes.

Extrait p.146 Il ne fait aucun doute que les femmes qu'étaient Nephtys, Inanna-Istar et Marie-Madeleine ne formaient primitivement qu'un seul individu.

. Parks nous dévoile qui serait en fait l'ange Gabriel dans la mythologie égyptienne, en lien avec la grande pyramide : le thème de l'annonciation et de la naissance se retrouve dans une frise du temple de Luxor qu'interprète Parks

. lien entre Horus, Akhenaton et Jésus qui s'insurgent tous contre le clergé, l'autorité

Conclusion : p.153 Après avoir relevé dans mes deux ouvrages précédents l'influence manifeste des écrits mésopotamiens sur les rédacteurs de l'Ancien Testament, nous découvrons peu à peu à quel point des pans entiers du Nouveau Testament, voir de la Bible elle-même, trouvent leur source dans les chroniques égyptiennes, aussi bien celle de la plus haute antiquité que celles des 18 et 19ième dynasties. Les ombres cumulées d'Isis, Osiris et Horus déchirent enfin le voile des mystères de nos origines.

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:-) Revue n°22 Les Énigmes de L'Histoire

[image]

Dans ce numéro :
Franc-maçonnerie & christianisme.
Le Christ et la Gnose.
Les racines chrétiennes de la F.M.
L'influence des Protestants.
Une origine opérative catholique.

Concernant le dossier sur la franc-maçonnerie, pp.36 à 53, à part l'historique un peu fastidieux, je retiens une devise : p.41 Les cercles de compagnons bâtisseurs jusqu'à nos jours, ont pour devise : « servir sans s'asservir ni se servir ».

Concernant la gnose, pp.56 à 79, la pensée gnostique, le gnosticisme : ça remonterait à la Haute Antiquité et les écrits apocryphes en sont imprégnés bien que non contemporains.

. Il est question des dieux associés aux astres lumineux.

Extrait p.57 D'ailleurs, les grands penseurs assimileront tous cette Lumière décrite au tout début de la Genèse de la Bible à la Connaissance, donc à la Gnose.

. pourquoi la Gnose est réservé à quelques initiés

. Saint-Irénée de Lyon le plus grand détracteur du gnosticisme

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A9n%C3%A9e_de_Lyon

Irénée de Lyon (en latin Irenaeus Lugdunensis, en grec ancien Εἰρηναῖος Σμυρναῖος : Eirênaĩos « pacifique » Smyrnaĩos « de Smyrne ») est le deuxième évêque de Lyon au IIe siècle entre 177 et 202. Il est un des Pères de l'Église. Il est le premier occidental à réaliser une œuvre de théologien systématique. Défenseur de la foi contre la gnose, il s'est illustré par sa dénonciation de l'idéologie dualiste et des sectes gnostiques qui la professaient.

Vénéré comme saint, il est fêté le 28 juin dans l'Église catholique et le 23 août dans l'Église orthodoxe.

Irénée est un théologien chrétien, farouche opposant du gnosticisme (auteur des ouvrages auxquels réfère la Clavis Patrum Græcorum, n°1306-1321).

Il est l'auteur d'un important ouvrage, Réfutation de la prétendue gnose au nom menteur, connu généralement sous le nom de Contre les hérésies (Adversus Hæreses). Il s'agit d'un traité contre Valentin d'Égypte et les gnostiques. Dans son traité, il mentionne entre autres l'existence d'un évangile de Judas. Jusqu'à la découverte des manuscrits de Nag Hammadi, Irénée était notre principale source de connaissances sur ce courant de la gnose. Il reste aujourd'hui encore une source indispensable.

Chez lui, l’autorité des Écritures est absolue : la Bible suffit pour connaître Dieu et son œuvre, toute spéculation supplémentaire est vaine. Il affirme l’unité de la foi de celle de l'Église, et soutient que l’Écriture révèle un plan de Dieu pour le salut des hommes.

Irénée est le premier à parler de la « Tradition » : contre les hérétiques, il défend la tradition de l'Église, qui revendique sa transmission par les apôtres (traditio ab apostolis : « tradition des Apôtres ») et se veut fondée sur la « règle de vérité » qui est la foi en Dieu et en son Fils Jésus-Christ.

Face aux hérétiques, qui s'appuyaient sur une Tradition "secrète" qui leur étaient propre et sélectionnait les Écritures, saint Irénée insiste sur l'Écriture dans sa globalité et la Tradition de l'Église telle que transmise au grand jour : l'Église est une Tradition (traditio : « transmission »). Il réfute les gnostiques en décrivant avec précision leurs doctrines, en s'appuyant sur les Écritures, en dégageant des critères d'interprétation pour une lecture ecclésiale de la Bible. L'Église fut pour lui la gardienne de la vérité et de la foi des apôtres reçue dans l'Écriture. Les sources d'Irénée de Lyon sont avant tout la « tradition catéchétique » et les Écritures. Saint Irénée est le premier de nombreux Pères anti-gnostiques : citons Saint Épiphane de Salamine par exemple. Les efforts des Pères ne furent pas vains, les gnostiques ont du redoubler d'efforts. Ils ont composé de plus belle des pseudépigraphes, afin de mettre leur doctrine sous des noms célèbres. Il semble qu'ils soient à l'origine de la pseudo-canonisation de Clément d'Alexandrie, inscrit clandestinement à un martyrologe et dont le Pape Benoit XIV a rappelé qu'il n'avait jamais été canonisé, et qu'on savait peu de chose sur lui. Son œuvre, remplie d'assertions hérétiques, peut-être ajoutées par falsification, parle de la "vraie gnose", ce que Saint Irénée exclut. La gnose — en matière de religion — (gnosis : connaissance profonde, en grec) a un "nom menteur" et n'est qu'une "prétendue" connaissance ; nous citons-là des passages du titre complet de l'œuvre majeur de Saint Irénée. En somme Saint Irénée témoigne de cette lutte primitive dans l'histoire de l'Église et il y participe brillamment entre la gnose et l'Église. Le cœur de sa longue œuvre, ce qui a participé à arrêter la propagation de la gnose, forcé les gnostiques à ruser c'est de stigmatiser toute la gnose comme une spiritualité opposée à la foi chrétienne.

Les gnostiques prétendent aussi se rattacher aux Apôtres, mais leur tradition est sans autorité, parce qu'elle ne repose pas sur l'institution et la transmission légitime de l'autorité, au contraire des évêques qui sont héritiers de l'autorité des Apôtres. Ils ont la même autorité pour transmettre que les Apôtres pour enseigner. Ce qui apparaît ici chez Irénée, c’est une théologie de l'institution ecclésiale : la transmission de l'enseignement des Apôtres n'est pas laissée à l'initiative des docteurs privés (laïcs). Les Apôtres eux-mêmes ont constitué les organes par lesquels ils ont voulu que leur enseignement soit transmis. Seuls ces organes institués par les Apôtres ont l'autorité des Apôtres. Ce sont eux seuls qui sont les critères des doctrines et qui garantissent leur conformité avec la révélation. De ceci, Irénée voit une confirmation dans l'unité de l'enseignement des évêques. Autant les écoles gnostiques sont divisées et se contredisent, autant l'enseignement des évêques est un sur toute la surface de la terre.

. quatre niveaux de lecture : littéral, allégorique, philosophique et secret

. il y aurait un message secret à décrypter dans les Évangiles apocryphes

. bibliothèque de Nag Hammadi : découverts dans le désert égyptien !

. une version alternative de Jésus versus celle des Évangiles canoniques

À suivre...

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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