L'Évangile de Marie-Madeleine - Daniel Meurois

par Lucie Daudelin, lundi 29 avril 2013, 22:51 (il y a 4015 jours) @ Baryton

MAGDALA <--> MAKÉDA EST LÀ: la Reine du Sud devant être relevée à la Fin des Temps, au rythme mélodique
de la GAM (anagramme de MAG) Isiaque du MI RÉ LA...
MARIA DE MAGDALA - à la fois ÉPOUSE & MÈRE- qui vécut bel et bien à proximité de RHEDAE (Rennes le
Château), et qui décéda non loin de là... à SERRES ! C'est ELLE qui est donc honorée en ces lieux, et le Vatican
ne s'y trompe pas !
Il est donc grand temps de divulguer que pour les Initiés, utiliser "Marie-Madeleine" participe de l'occultation d'un
savoir ésotérique lié à la TERRE et à la LUNE, laquelle chaque année au matin du 25 décembre, est la première à
voir le SOLEIL ressusciter, les journées s'allongeant à nouveau au terme de 3 jours et 3 nuits.
Lignée de NOUN (N.N.) = la Lignée des Carpes Célestes (ENKI-EA & NIN KHURSAG)
Magdala (en arabe : Magdal) est la "migdal nounaya" du Talmud et la Tarichée des grecs. Ce mot désigne le
POISSON DE SALAISON et cette réminiscence de l'Ikhtus est fort curieuse... Magdala a donné notre prénom
Magdeleine , madeleine , Maguelone signifiant en grec « élevée, magnifique » mégalon. L'hébreu migêdol signifie
« tour, citadelle » et ces deux sens sont très proches.
On a répandu par IGNORANCE que Maria de Magdala fut possédée par sept démons or en grec Daimonos et
Daimonikos signifient « inspiré, médium vaticinateur » et le grec ancien ne possède pas de sens péjoratif pour
ces termes. Il n'y a donc pas de pécheresse repentante qui ait eu besoin d"un exorcisme du Sauveur. Par contre,
dans le cadre de l'Initiation à l'Éveil, il est fort probable que les SEPT "démons" puissent également correspondre
aux SEPT CHAKRAS !!!
LUC : Parmi elles étaient Maria de Magdala, mère de Jacques et de Joseph. Maria de Magdala,LUC : Parmi elles étaient Maria de Magdala, mère de Jacques et de Joseph. Maria de Magdala, Épouse de Yohan
de Got l'Ancien alias Jean le Baptiseur, eut bien pour fils jumeaux Jacob de Got alias Jacques "le Juste" et non
pas Joseph mais JEAN l'Évangéliste, de son vrai nom Yohan de Got "le Jeune".
MARC : Il y avait aussi des femmes qui regardaient de loin. Parmi elles étaient Marie de Magdala, mère de
Jacques le Mineur...Elle fut également MARIAMNE DE BETH.ANA : de la Maison Royale d'ANA, la Grande-Déesse Mère aux mille
noms : Nîn.Ana, Aset-Isis, Astara, Astarté, Aten.A (dont le culte se célébrait en Égypte bien avant la Grèce),
Ishtar, Ashérah, Dana, Diana, Vénus Uranie, etc... : SOPHIA, l'Âme du Monde !
Le hic d'importance, c'est qu'Elle fut originaire de la colline (ou lieu élevé) de MAGDALUM, en AETHIOPIA,
l'ancien nom donné à l'ÉGYPTE ! Et par conséquent, même si cette idée hérisse le poil des fidèles croyants, Elle
fut NOIRE, mais Belle ! Et c'est ainsi qu'avec MARIA L'ÉGYPTIENNE Elle ne fit qu'Une, Porteuse de Sa propre
Croix !
Allons plus loin en la découverte de Maria l'Égyptienne :
Nîn.Ana (Sumer) = Nephtys - Meri Miktal en égyptien (Miriam Migdal en hébreu) - soeur d'Isis, et gardienne du
corps d'Osiris. Décomposition en sumérien :
mí : femme, féminin
mi : nuit, noire, sombre
ig : porte, entrée
ég, ék, íg : levée de terre, digue, fossé d'irrigation, arroser
igi : oeil, yeux, face, devant, en face de, regarder
ta : nature, caractère, vers, de, pour, au moyen de
taka, tak, tag, ta : quitter, ouvrir, laisser ouvert
la : abondance, luxuriance, santé, joie, bonheur.mi - ig - ta -la = "la porte noire de l'abondance", "la sombre entrée vers l'abondance", "la sombre entrée du
bonheur".
mi - igi - ta - la = "la femme devant l'abondance", "la femme qui regarde vers l'abondance".
mí - íg - ta - la = "le féminin arrose la nature luxuriante".
mi - íg - ta - la = "sombre fossé d'irrigation pour l'abondance".
mí - ig - ta -la = "la femme à l'entrée de la joie", "la femme - porte ouverte à l'abondance", "la femme, porte
vers la luxuriance".
Ces définitions parlent d'elles-même, faisant l'éloge du sexe féminin sous les termes poétiques de "porte noire",
"sombre entrée", "sombre fossé d'irrigation", et du féminin comme porteur d'abondance et de joie. On voit là le
lien entre la fonction de "prostituée" sacrée et le nom de l'ordre sacerdotal encadrant cette fonction. En
sumérien, la définition de Migdal n'a donc aucun rapport avec une tour, mais c'est pourtant son sens en hébreu,
sans compter que ce mot Migdal aurait plusieurs autres sens : dans le Cantique des Cantiques, il évoque un
parterre embaumé : «Ses joues ressemblent à des "migdalot" exhalant leurs parfums.» Ctq 5:13
Si l'on interprète la représentation de Nephtys à la lumière de la décomposition du terme Migdal en sumérien
("porte noire de l'abondance"), ce qu'elle a sur la tête pourrait bien figurer une porte surmontée d'une coupe. Le
hiéroglyphe qu'a Nephtys sur la tête représente le plan d'une enceinte à porte fortifiée (hiéroglyphe O6 ou O7)
surmontée d'une corbeille (hiéroglyphe V30). Le plan du Temple symbolise le Temple et son entrée, la corbeille symbolise le réceptacle de l'abondance, la fête.
La corbeille porte le fruit comme l'utérus porte l'enfant. La porte sombre du temple symbolisant le vagin, la
corbeille qui le surmonte symbolise l'utérus, siège du développement du foetus tout au long d'une grossesse. Le
rébus "porte temple + corbeille" donne d'aillers une définition s'approchant de celle résultant de la décomposition
du terme Miktal en sumérien : "le temple de l'abondance" ou "le temple abondant" ou encore "le temple en fête"
(principe des offrandes). Le temple abondant c'est le ventre de la femme attendant un enfant, c'est le symbole
de la maternité et de la fertilité; hors Nephtys représente justement l'archétype de la sage-femme et la
protectrice des sages-femmes. Si l'on considère que Nephtys aurait bien pu porter l'épithète "Meri Miktal" alors
ceci donne :"qui a la responsabilité de porter la sombre entrée vers l'abondance" ou encore : "qui a la responsabilité de
porter le temple vers l'abondance". Et c'est donc aussi le sens caché du nom Maria de Magdala...
Pour conclure voici une autre décomposition de Migdal/Magdala en suméro-akkadien :
mí : femme, féminin
igi : oeil, yeux, face, devant, en face de, regarder
dalû : porteur d'eau, puiser de l'eau
dalu : seau
mí - igi - dalu = "la femme en face du porteur d'eau" : le Verse-Eau !
Autre possibilité de décomposition :
mi : nuit, noire, sombre
ig : porte, entrée
dalû : porteur d'eau, puiser de l'eau
dalu : seau
mi - ig - dalu : "la sombre entrée du porteur d'eau", "la sombre entrée du seau" (= le puits).
Maria de Magdala ayant rencontré Iesus = le Sauveur devant un puits, c'est une drôle de coïncidence ! Le puits
symbolisant l'entrée sombre, le sexe féminin. Le seau, le porteur d'eau, symbolisera alors l'époux...!Et justement, le Sauveur aide Maria de Magdala au puits, se faisant porteur d'eau : on peut y voir le présage de
son futur rôle d'époux par rapport à Elle. Aussi, sur une portée symbolique plus large le Sauveur devient-il le
porteur d'eau vive, l'initiateur de l'ère du Verseau...
Si Magdala est "la sombre entrée du porteur d'eau", c'est à dire "le puits", alors la signification de Maria de
Magdala devient : "la mère du puits" (sachant que Marie signifierait Mère à l'origine) et donc aussi "Marie du
puits".
"Marie de la tour" est son image inversée cadrant plutôt avec le culte religieux patriarcal. Est-ce alors vraiment
un hasard si Migdal signifie "tour" en hébreux ?
Il est évident qu'un puits est en fait le contraire d'une tour : c'est une tour inversée ou tout du moins le puits mis
au jour. La tour est mis sous la lumière (porteur de lumière en tant que phare). Le puits est le domaine de
l'ombre, de la lumière cachée. La tour étant un symbole phallique, masculin; le puits étant lui un symbole
yonique, féminin.
En définitive, dire seulement que Maria de Magdala est "Marie de la Tour", c'est travestir son image; c'est violer
le voile. À moins que ce soit une manière de faire passer un message du genre : "dévoile ce qui est
habituellement caché" ? Ceci est valable pour une femme si elle est vue comme prostituée, ou pour un endroit
où le secret est dévoilé à l'initié.. Via ''le livre des révélations'' de Philippe Pigot