La Vérité n'est pas toujours bonne à dire

par Samädhi , lundi 17 décembre 2012, 16:59 (il y a 4158 jours) @ Samädhi

John Fitzgerald Kennedy

John. Fitzgerald. Kennedy n'avait pas peur d'aller à l'encontre du système, il avait compris que le Federal Reserve Act était fait pour détruire le système américain, et comme il était un homme juste et honorable, il ne pouvait pas tolérer un tel système qui sentait la corruption de A à Z, et qui, peut-être bien, aurait voulu s’inspirer de l'histoire d'Abraham Lincoln ? Le 4 juin 1963, le président Kennedy signa un document présidentiel, appelé Executive Order 11110, qui annulait l'ancien amendement Executive Order 10289 du 19 septembre 1951. Ceci donna le droit légal au Président de fabriquer sa propre monnaie appelée "United States Notes" et ceci en ignorant complètement la "Federal Reserve Notes" qui appartenait aux banques privées.

Par les livres de comptabilité qui subsistent, ont sais que Kennedy a fait imprimer 4.292.893.825 $. Il était en train de miner la Federal Reserve Systeme of the United States.

Mais quelques mois après (en novembre 1963), le monde reçu un choc de savoir que le président des États-Unis fut assassiné, et qu’aucune raison ne fut donné au monde pour ce crime atroce, mais pour ceux qui sont au courant des faits et gestes obscurs du système monétaire (d’argent dette), ils ont très vite de faire librement ce rapprochement avec l’histoire d’Abraham Lincoln. Le but du président Kennedy était évident, il voulait mettre chaos le Fereral Reserve Act du 22 décembre 1913 et redonner le plein pouvoir au United States Congress, c'est-à-dire le pouvoir de créer toute la monnaie nécessaire afin de libérer le peuple Américain de cette tyrannie.

Il est intéressant de noter qu'une journée après l'assassina de Kennedy, comme cela fut aussi le cas avec Abraham Lincoln, toutes les "United States Notes" ont été appelé à être mis hors de la circulation, cet ordre fut donné à partir de l'exécutif du nouveau président Lyndon B. Johnson ? Est-ce qu'il était un instrument des banquiers ? À partir de ce moment, tout l'argent de Kennedy fut détruit. Libre à vous de comprendre d’où venait l’ordre… Mais ce fut toutefois le même modèle d’assassina que celui d’Abraham Lincoln. À mon avis, si la commission Warren n’a pas tenue compte de cette réaction aussi après l’assassina de Kennedy, c’est donc qu’un tas de gens ont été acheté par les banquiers de l’époque.

Le peuple américain est maintenant aux prises avec un déficit qui n'arrivera jamais à payer !... Depuis, les banquiers se sont donné le devoir de faire en sorte que les politiciens honnêtes soient contrôlés, et que la population ne soit pas informée de cette stratégie, c'est-à-dire donner l'impression au peuple que les nouveaux Présidents contrôlent la situation. Ainsi le peuple est dans l'ignorance la plus totale de toute cette réalité qui leur a été cachée, et dont les banquiers savent jouer dans l’art d’engluer le monde pour réussir à mettre le voile sur toute la réalité de cette histoire. Histoire de savoir tricher avec les faits réels en occultant certains détails afin d’éviter que le peuple ne sache jamais la vérité à leur sujet. Comme dans tous les sujets de politique, le monde est actuellement hypnotisé par les mensonges des médias de désinformation qui sont tous clairement à la solde des banquiers.

La commission Warren et le service secret du F.B.I.
Ainsi tout le monde savait qu’au cours des derniers mois qui suivirent l'assassinat du président Kennedy, qu’une véritable stratégie fut montée contre la Commission Warren qui fut chargée d'enquêter sur l'assassinat du président américain. « L'objectif de la Commission Warren fut d'évaluer le matériel de preuves réuni par le Federal Bureau of Investigation, ainsi que tout complément d'informations ultérieures, qui pourrait être soumis, soit par les autorités d'États, soit par les autorités fédérales. »
Pour dissiper définitivement toute la vérité sur cette enquête, le F.B.I. qui n'est qu'une organisation de recherche d'indices, de preuves, de culpabilités et de complicités qui peuvent conduire à d'éventuelles arrestations, sans jamais lui conférer une compétence judiciaire spécifique. Toute l’affaire de l'assassinat du président Kennedy révèle bien un véritable caractère de neutralité excessif, où le rôle du F.B.I. fut de brouiller les pistes pour que la vérité ne puisse jamais sortir au grand public, par peur d'une révolution, mais qui de surcroît perturberait surtout l’économie Américaine et « Britannique… »

Trop de gens ont tendance à rendre cette organisation responsable pour les fautes et les manquements de l'enquête. L'employé du F.B.I. n'est bien sûr pas responsable du résultat de cette enquête. Cependant, cette organisation peut avoir été contrôlée à tous moments et à tous les niveaux par la haute finance. C'est pour cette raison qu'il fallait que la Commission Warren aboutisse à la production d'une quantité d'hypothèses, de conclusions, qui d'ailleurs ne parurent jamais satisfaisantes aux yeux du monde entier. Ce genre de manœuvre n’a servi uniquement qu’à gagner du temps pour que le monde puisse se lasser, puis finalement oublier.

Il y a une contradiction importante sur un point précis entre les conclusions du rapport Warren et les constats du F.B.I.. Il s'agit de la trajectoire de la balle, ou ... des balles (?). Ce point est d'une importance capitale pour déterminer le caractère de la blessure. Était-ce une balle sortante ou entrante ? Si la blessure avait été provoquée par une balle entrante, cela prouverait que le président avait été atteint par-devant et non par-derrière. La commission Warren conclut qu'il s'agissait d'une balle ayant pénétré par le dos, pour sortir du corps par le cou et blesser le gouverneur Conally, assis de dos devant le président. Que lisons-nous dans le rapport initial du F.B.I., dressé par deux agents de cette organisation lors de l'autopsie ? Exactement le contraire ! En effet, le rapport d'autopsie contredit le F.B.I. et dit textuellement : « L'examen médical du corps du président a démontré qu'une balle a pénétrée sous l'omoplate (à environ 14 cm sous le col du veston), à droite de la colonne vertébrale (4,3 cm du milieu). Et cela, suivant un angle de 45 à 60 degrés vers le bas. »

La chemise et le veston du Président servent de pièces à conviction dans ce constat. Faut-il à tout ceci, ce poser vraiment la question ! « Pourquoi ce rapport de la Commission Warren a-t-il conclu différemment ? » La réponse est très simple, ce fut pour arriver à camoufler la réalité des faits au grand public et éviter la révolution, alors que toute l'affaire prouve qu'Oswald ne fut qu'un leurre pour créer la diversion idéale à toute cette enquête, où il fut sacrifier pour la cause de l’histoire officielle écrite par les banquiers, mais surtout pour écarter les banquiers du meurtre du président Kennedy.

La C.I.A. dans l'affaire Kennedy contrairement au service secret du F.B.I., qui n'est rien d'autre qu'une organisation de recherche d'indices, de preuves, de culpabilités, de complicités qui peuvent conduire à d'éventuelles arrestations, sans jamais lui conférer une compétence judiciaire quelconque. La C.I.A. par contre est de son côté une organisation opérationnelle, qui dispose de troupes de choc, capable de mener de véritables opérations de guerre ; elle opère dans la pure clandestinité, pour agir sournoisement dans l'économie des pays sans développement, en créant des branches spéciales, c'est-à-dire un cheval de Troie, qui, sous prétexte d'aider un pays à assurer sa stabilité, va lui proposer subtilement l'aide du F.M.I. avec son système de crédit ; son système d'argent dette. Que ce soit la C.I.A. ou le F.B.I., ces deux entités gouvernementales n’était pas du tout compétentes pour faire ce genre de travail. En apparence, selon la prestance que le peuple américain confère à ces deux institutions gouvernementales, cette stratégie en duo semble en surface avoir servir les intérêts des Américains, mais en réalité elle n’a aidée principalement que les intérêts des banquiers...

Comme toutes les bonnes opérations clandestines qui doivent aboutir à un but précis, elles comportent toutes et chacune des stratégies de diversions qui mettent aussi bien en échec les inspecteurs de police que les journalistes d’enquêtes qui peuvent facilement faire intrusion dans les affaires des organisations secrètes, comme le F.B.I. et de la politique de surface. Ainsi, à l'intérieure d'une opération de meurtre organisé par la « MAFIA des banquiers privés », il existe des chapitres sur lesquelles les enquêtes manipulent les policiers et les journalistes (qui sont complètement ignorants de l’existence du système d’argent dette, et de toutes les magouilles des banquiers). Cependant, ce genre de détail a eu de sérieuses conséquences sur le déroulement de l’enquête et de leur conclusion négatives qui ont des ramifications sur l’histoire, dite officielle, ci bien qu’ils ne comprennent absolument rien des stratégies et des motivations des services secrets, où ils sont littéralement téléguidé par la ruse de l’élite. La plupart de ces enquêteurs et journalistes, même s’ils sont des professionnels honnêtes, ont très certainement été choisit selon leurs intérêt pour qu’ils ne puissent tenir compte de l’histoire du système d’argent dette ; des dessous lugubres de la haute finance. Et dans ce genre d’affaire ils pensent tout simplement avoir fait leur part dans cette enquête. Il y a un slogan populaire qui dit que tout homme a son prix, mais il est plus facile pour l’élitisme de trouver des hommes jeunes en expérience et donc pratiquement ignorants de l’histoire secrète des hommes de pouvoir, pour dévier l’histoire à bas prix et dans le secret d’une immunité total. Bien qu’il soit encore possible que les dirigeants de la C.I.A comme du F.B.I. auraient pus rencontrer sur leur chemin des valises pleines de billets de banques !...

Lorsqu’un meurtre de l’envergure d’un Président des États-Unis est planifié, il est facile de s’imaginer que l’élite se charge de poster ses pions quelques mois avant que soit perpétré ce geste abominable. Que, derrière le FBI, la CIA et la police locale, et que dans tout ce déploiement d’individus qu’il puisse y avoir eu une infiltration de nature secrète ; de la franc-maçonnerie londonienne, et qu’il serait plausible qu’il puisse y avoir eu un tas de personnes qui ne se connaissaient pas durant cette enquête. Que, la communication et la confiance mutuelle ne puisse pas avoir été à son meilleur, et qu’un tel mélange excessif aurait d’ailleurs été très souhaitable de la part de l’élite qui était derrière tout ce remue-ménage, afin de pouvoir justifier les interférences à tous les niveaux de communications pour être en mesure de clôturer l’enquête policière sans y avoir de conclusion finale. C’est alors que les policiers qui sont déjà sur les liens pour détecter les moindres soupçons d’un attenta possible, ne puissent pas réellement savoir avec qui ils travaillaient dans ce genre de mission à grand déploiement pour la protection du président.

Les opérations clandestines font parties de la routine des services secrets de la C.I.A., elles consistent la plupart du temps à payer le rédacteur en chef d'un journal qui implante une rumeur parmi la population. À aider certains magasines parmi lesquels ils peuvent influencer très facilement l’opinion publique ou la divertir. À lancer des parachutistes au beau milieu de la nuit à un endroit quelconque. À s'emparer d'un cadre ou même à assassiner quelqu'un pour faire diversion. À créer une branche spéciale dans un pays sans développement. Autrement dit, à créer un cheval de Troie à un endroit stratégique. C’est ainsi qu’au Vietnam, le rôle de la C.I.A. fut de transformer une partie de la police vietnamienne en branche spéciale pour la lutte antiterroriste et de renseignements. Toutefois, la haute finance se sert littéralement des États-Unis pour faire leurs sales besognes en l'exposant à la face du monde comme étant la méchante police mondiale qui héritera automatiquement des conséquences négatives des guerres, mais qui en réalité appartiennent aux sionistes qui sont à la City. Puis c’est ainsi que l’élite sioniste s'en lave royalement les mains, alors qu'en réalité ce sont bien eux qui sont les pires crapules derrière toutes ces interventions stratégiques de guerres et de meurtres politiques. C’est très facile à comprendre, les États-Unis ont perdu le contrôle le 22 décembre 1913 face aux banques et à la City, et depuis ils doivent faire ce que les banques et la city veulent qu’ils fassent en récoltant bien sûr le blâme de leurs interventions guerrières dans le monde, alors que les vrais meurtriers sont confortablement bien installés à la City.

En attendant, c’est l'Amérique qui porte déjà dans son histoire la responsabilité de tous ses sacrifices, où ces psychopathes auront profités de la lâcheté de certains gouvernements américains pour avoir intervenu ponctuellement dans tous les endroits du monde, où les intérêts américains semblaient être menacés, alors qu’il été uniquement question que de stratégies de banquiers privés pour qu’ils puissent s’enrichir sur le dos des guerres, et de millions de victimes militaires et civiles. Lorsque je parle de la lâcheté de certains gouvernements américains, je fais une exception à la règle ; en excluant les deux gouvernements ; de Lincoln et de Kennedy, car ces deux présidents ont été responsables des rôles importants qu’ils jouaient en allant jusqu’au bout de leurs convictions, dans le seul but d’avoir cru qu’ils allaient pouvoir sauver leur pays de cette arnaque banquière...

La C.I.A. a été trempée dans beaucoup d'assassinas de Présidents étrangers, mais à l’instant où j’écris ses lignes, le plus effroyable des assassinas est celui du Président Kennedy en 1963 (50 ans après l’accord de Woodrow Wilson fait avec les banquiers privés). Car ils ont osés refaire le même modèle d’assassina à 100 ans d’intervalle avec celui d’Abraham Lincoln. C’est vraiment ahurissant de constater comment l’élite se sait supérieur devant n’importe quel gouvernement, devant n’importe quel peuple, parce qu’ils ont l’argent du monde en leur possession et qu’ils peuvent acheter qui ils veulent, pourvu que tout se passe selon leurs plans. C’est carrément du satanisme à l’état extrême de la politique économique, et qui dépasse de loin la fiction Hollywoodienne de plusieurs années lumières.

La C.I.A. utilise l'expertise de certaine personnes dont l'assassinat est leur métier, c'est donc par le biais de la MAFIA que la C.I.A. exécute certaines personnes. Par exemple, l'autorisation d'implanter de la drogue aux États-Unis se faisait par le biais de politiciens américains qui étaient très impliqués durant les années 60. Sachant que durant la période de la guerre du Vietnam, la grande majorité des policiers expérimentés avaient été recrutés par l’armée américaine, et pour compenser l’absence de ces policiers, les autorités policières se devaient recruter sur le tas de nouveaux policiers, et comme la disponibilité d’homme était à la baisse, ceux qui ont été engagés étaient pour la plus part que de véritables voyous déguisés légalement en policiers. À cette époque la drogue était très mal vue par la population, si une personne en savait de trop sur les agissements du gouvernement, et ne voulait se soumettre à la corruption des banquiers et à leur système de collusion, il suffisait de la compromettre avec une histoire de drogue pour démolir sa réputation, et de ce fait de discréditer tout ce qu’elle voudrait dénoncer pour que rien ne soit pris au sérieux. À l'heure actuelle, comme la drogue est devenue une affaire presque banale, certains individus se retrouvent avec des scandales sexuels sur le dos et sont ainsi discrédités.

C’est comme ça que les faiblesses des hauts dirigeants de l’O.N.U. sont gardés secrètement dans les archives de l’élitisme sioniste, c’est ce que les juifs appels un panama (une C.V. de mauvaise réputation) qui est une arme redoutable pour discréditer n’importe quelle personne. Or, à ce sujet, Dominique Stross Kan (D.S.K.) est devenu la victime du pouvoir sioniste, où son histoire d’abus sexuel est sorti de son panama monté de toute pièce par l’élite, parce qu’il a agit en dehors de la volonté de l’élite sioniste en voulant faire les choses à sa manière. Pour cela, l'élite manipule tout ce qui lui est possible de manipuler, ceci, même les mouvements féministes, les psychologues, les sexologues pour arriver à démolir la réputation de certaines personnalités nuisibles à leurs plans de démonisation ou de mondialisation.

La haute finance se sert toujours des services secrets pour effectuer ces sales besognes par le bais des sociétés secrètes, et se sert en certaines occasions de la M.A.F.I.A. pour brouiller les pistes avec l’aide du F.B.I.. Or, pour les policiers d’enquête qui tombent sur une ramification d’organisations secrètes, savent aussitôt qu’ils sont sur la piste d’une affaire hautement politisée qui doit rester secrète aux yeux du public. Ainsi pour exécuter le Président Kennedy, c'est la C.I.A. qui ordonna ce travail à la MAFIA comme ce fut aussi le cas pour exécuter Lee Harvey Oswalt par Ruby, où ce dernier était bien un agent de la C.I.A. qui travaillait occasionnellement pour la MAFIA. Bien entendu cette assassina avait été préparée d’avance, et la C.I.A. avait prévu de fausses pistes qui pouvaient éventuellement faire dévier les enquêteurs de la Commission Warren... En présumant qu'ils sont tombés droit dans le panneau, nous pouvons dès lors, penser librement qu'un haut placé du F.B.I. tomba par hasard sur une valise pleine de billets de banque ! Car, il est très compréhensible que l'argent puisse faire perdre toutes idées de patriotisme, ainsi nous pouvons facilement nous imaginer où est allé ce dossier, même s'il s’agissait du dossier de l’assassinat d’un Président des États-Unis.

Bref, nous savons toutefois que la haute finance n’est pas une armée d’enfants de chœur, et qu’il soit bien possible qu’elle puisse avoir acheté le silence de certains enquêteurs de la Commission Warren. Il est donc certain qu’une telle complicité institutionnelle peut facilement installer le silence qui se scelle à jamais avec de beaux billets de banque qui mènent à une multitude de personnes, à être les complices de meurtriers. Sachant que durant la guerre du Vietnam (1957 - 1974), comme le l’ai expliqué précédemment, il manquait d’homme pour remplir les fonctions de policier, et il y a eu un recrutement massif d’individus pas trop orthodoxes qui étaient de véritables voyous qui furent recyclés en policiers, et que le choix des policiers qui ont travaillés durant toute l’enquête puisse avoir été orchestré dans une collusion par des décisions gouvernementales pour fomenter l’assassinat du président Kennedy. Car pour la plupart de ces voyous déguisés en policiers, ils n'ont pas eu véritablement la moindre conscience de l’ampleur des enjeux qui se déroulaient derrière leurs participations, car leur attention était fixé sur l’appât du gain, où leur conscience primaire leur permettait quelques petits dérapages bien calculé. Une structure meurtrière est en mesure de passer discrètement les ordres de son commandement.

Toutefois, lorsque le temps passe avec les années et que toutes ces personnes qui étaient que des voyous ont pu probablement évoluer et avec un peu de remord, et peuvent s’apercevoir dans quelle galère ils s’étaient embarquées, alors qu’il est malheureusement trop tard. C'est donc là où chaque individu se défend dans de fébriles argumentations selon lesquels ils s'excusent maladroitement dans un mea-culpa en voulant se justifier de leur ignorance. Les seules excuses qu’ils peuvent donner est que lorsqu’ils travaillaient dans de telles organisations secrètes, ils n’étaient pas des participants pleinement conscients de tout ce qui s’y passé réellement, car souvent dans ces cas là, ces personnes ne sont pas très expérimentés sur le vif des faits réels de la politique et de l’histoire, c’est en quelque sorte une chaîne de personnages programmées à agir sans jamais trop réfléchir sur la portée des actes qu’ils posent durant leur travail. Certains fonctionnaires ne sont que des humains avec leurs propres faiblesses avec leurs propres doses d’ignorance, car ils ne font pas une exception à la règle des gens ordinaires, et peuvent être aussi bien des opportunistes sans scrupule. Pour certains d’entre eux, ils se disent que dans l’essentiel ; pourvu qu’ils puissent trouver une réelle compensation lucrative en bout de ligne, et qu’il n’y a aucun problème pour la personne de John F. Kennedy. Ce genre de personnages peut être volontaire pour fermer les yeux afin de pouvoir se justifier sur leur état d’ignorance de l’époque, et ainsi se donner bonne conscience pour ne pas être jugé d’avoir été complice en se disant ne pas avoir été conscients des véritables enjeux qui se jouaient derrière ce genre de mission ultra secrète, et ainsi de pouvoir se déculpabiliser devant le système judiciaire et du reste du monde. Quand on est un être sans fois ni loi et que l’on sait jouer le rôle de l’acteur désabuser. C’est une crème de personnages qui sont remarqués et triés dès leur sortie des écoles militaires pour exercer des rôles clefs, et être éventuellement au service de l’élitisme dans le but d’agir constamment dans l’ombre, et que leurs actions soient finalement dissimulées dans les zones grises de notre système de croyance, qui constitue le tissus même de l’histoire officielle livrée à la masse avec des éléments de surfaces faussés à tout point de vue.

En revanche, la haute finance sait de toute évidence que toutes ces histoires de meurtres n'intéresseront plus personne après vingt ou quarante ans, et finiront par tomber d'elles-mêmes dans les oubliettes de l’inconscient collectif. Ainsi, les meurtres d'Abraham Lincoln et de J. F. Kennedy furent clairement des opérations menées à la base par la haute finance, même si toutefois il n’est pas convenable et incorrect de voir les choses de cet angle pour carrément discréditer l’histoire officielle. Je sais que ma démarche intellectuelle est véritablement vouloir aller à l’encontre de la norme qui a tété établie par l’élitisme qui écrit l’histoire que nous devons croire tout en assumant toutes ses zones grises. En réalité lorsque l’on recherche la vérité on fini par la trouver, et une fois qu’on est certain de ce qu’on a trouvé, il faut alors assumer ce que l’on sait désormais, et lorsqu’on est honnête il faut partager ce savoir avec un grand nombre de personnes pour que la vérité soit su de tous. Il est certain toutefois que lorsque l’on sort le chat du sac, qui ressemble plutôt à un lion, le choc entre la vérité officielle et la vérité officieuse est énorme à faire réaliser aux gens que ce qu’ils savent est un tissu de mensonge. Car la rectification que les gens doivent faire et tout d’abord de réaliser que c’est ceux d’en haut qui imposent leur version pour n’écrire l’histoire qu’en surface pour ne jamais nuire à l’économie du système d’argent dette, et bien sûr pour s’assurer de toujours avoir la commande à distance en les mains... C’est d’une logique tellement élémentaire que cela saute aux yeux dès le moment où les zones grise se mettent en place, mais que voulez-vous, notre monde fonctionne à l’envers du bon sens, et c’est d’ailleurs pour cette raison que la logique élémentaire ne nous saute pas aux yeux tellement nous sommes habitué à comprendre les choses lorsqu’elles sont compliquées à l’extrême afin de cacher toutes les zones grise. Lorsque les choses semblent être compliquées, c’est souvent à cet endroit qu’il y a anguille sous roche, et généralement c’est à cet endroit que les gens démissionnent alors qu’il faudrait qu’ils aillent au-delà des limites qui nous est dit implicitement de ne pas dépasser.

Cependant les grands classiques officiels de la grande désinformation médiatique qui en ressort de l'enquête du F.B.I. sur le meurtre de Kennedy, nous amènent à croire que ce meurtre fut essentiellement orchestré par la C.I.A. et la MAFIA italienne. De telle sorte que cette désinformation renvoi mutuellement la balle sur ces trois cibles afin de faire une belle pagaille de diversion, puis le temps passe bien sûr, pour faire oublier les véritables intentions de ce meurtre politique. On le sait d’ailleurs que plus de 94% des médias du monde sont achetés par la haute finance pour faire le silence sur certains détails. Mentir par omission, c’est l’idée d’occulter un certain détail mis entre deux vérités et ainsi la pilule passe tout droit sans que l’on ne puisse s’apercevoir de toute la supercherie. Or, jamais personne dans cette histoire, n'a osé aller plus loin que ce qui est convenable de croire en terme de désinformation. Jamais personne n’a osé aller plus dans le fond du mystère pour aboutir dans les affaires de la haute finance, car c’est là que ce trouve le nid de frelons de tous les dessous lugubres d’une sale histoire perpétrée par la plus grande pègre au monde qui s’apprête à devenir le Nouvel Ordre Mondial. N’essayez jamais de faire croire que les vrais responsables des meurtres de Lincoln et de Kennedy sont les banquiers, car vous risqueriez alors de passer pour un antisémite. Voilà comment avec le tabou le plus occulte qui plane au-dessus des juifs qu’on en arrive à poser une muselière à des générations de gens, qui dans leur silence laissent toute la place à ces psychopathes d’imaginer un Nouvel Ordre Mondial régit par leurs soins, et que les prochaines générations ne comprendront plus rien. Devant toutes ces révélations, toutes aussi logiques les unes que les autres, il faut réaliser que nous sommes dans un réel cul-de-sac.

Même un journaliste honnête qui voudrait faire la lumière sur cette affaire, serait finalement convaincu qu’il n’est pas toujours bon de dire toute la vérité, car dans ce cas, il sait qu’il pourrait déclencher à lui seul une prise de conscience qui ne serait pas en faveur de l’élite. C’est finalement ce qu’un historien en science politique vous dirait sans hésiter, car pour ma part, ayant étudié l’histoire en autodidacte, je sais très exactement tous les dangers potentiels encourus, et c’est pour cette raison que je me dois d’attendre que le pire soit arrivé à son paroxysme pour que je puisses envoyer ce document au bon endroit et au bon moment, et que si certains évènements n’arrivent pas, alors personne en aura connaissance, mais j’en doute énormément. C’est toutefois bien vrai que toute vérité n’est pas bonne à dire, mais c’est aussi absolument nécessaire que le monde entier soit mis au courant de tout cette supercherie qui se passe dans de dos des gens qui ressentent bien, que de toute manière, cette crise économique n’est pas comme les autres. Car elle découle d’un tas de causes qui devront nécessairement se matérialiser un jour ou l’autre, selon la loi de cause à effet. Premièrement pour que ces meurtres ne impunément tombés dans l’oublie, et deuxièmement que la réalité de tous ces faits logiques puisse être définitivement arrivé à bon port pour que cela puisse devenir dans vos esprit la bonne version de l’histoire avec toute sa logique, pour que tous les citoyens américains ainsi que du monde entier puissent savoir dans quel monde nous nous dirigeons avec ce nouvel ordre mondiale. Mais je réfute catégoriquement toute idée de vengeance de ma part, car dans ce cas nous tomberions dans le piège de justifier alors une révolution ou une guerre qui serait assurément à l’avantage de ces psychopathes. Tout ce qu’il fait est qu’ils puissent perdre toute leur puissance.

La seule manière de ne pas leur faire le plaisir de déclencher une révolution ou une guerre et de freiner notre instinct de vengeance, est de relativiser, de philosopher afin de neutraliser le côté négatif qui est contenu dans la perception dualiste-tridimensionnelle qui anime les instincts triviaux. Mais de ne pas oublier pour autant que la clef de toute solution se trouve dans le changement qui passe tout d’abord dans une attitude pacifique, pour que l’on puisse demander à tous nos gouvernements de prendre une action collective planétaire pour paralyser tous ces banquiers au travers une commission planétaire. Pour que tous ces psychopathes ne puissent jamais oublier que nous n’oublierons jamais tous les meurtres dont-ils sont responsable, ainsi que des désastres écologiques pour garder à tout prix le pétrole pour la simple raison de faire de l’argent sur le dos des innocents. Et la liste est très longue si vous vous donnez la peine de comptabiliser l’ampleur des conséquences de toutes leurs décisions basées sur le mercantilisme stratégique de notre économie mondiale et de l’écologie planétaire.

Le goût excessif du secret est extrêmement dangereux pour la réputation de la démocratie et pour les services de renseignements eux-mêmes, car ils se croient tout permis et deviennent inefficaces. Les dessous lugubres du système de mondialisation suivent à la trace un tas de meurtres semblables, et se moquent bien des lois des pays dont la mondialisation veut coloniser après cette crise économique. La mondialisation plonge ses racines dans le sang de ses victimes qui est maintenant l’enfer des banques privées ! La mosaïque sioniste incarne bel et bien la plus haute forme de satanisme sur Terre puisque ce pouvoir risque de faire basculer la planète.

Lorsque vous contrôlez l’opinion, comme cela se fait aux États-Unis en possédant les médias, vous pouvez faire croire (à la plupart des personnes) tout ce que vous voulez, et vous pouvez les guider. Gore Vidal Golden Age (l’Age d’or).

L’homme qui ne lit jamais un journal est mieux informé que celui qui le lit, dans la mesure où le premier qui ne sait rien est plus proche de la vérité que celui dont la tête est remplis de mensonges et d’erreurs. C’est la triste vérité que de dire que la suppression de la presse ne pourrait pas plus priver la nation de ses « avantages » que c’est le cas aujourd’hui avec sa prostitution au mensonge. T. Jefferson

C’est références sont des preuves supplémentaires qui appuieront toutes cette recherche :

La création de monnaie. Depuis le 15 août 1971, date à laquelle le président Nixon a décidé de supprimer la libre convertibilité du dollar en or, la monnaie a été dématérialisée. Conséquence : l’argent est devenu une dette, car pour qu’il y en ait, il faut au préalable qu’il ait été emprunté. Lire la suite à cette adresse :

http://club-acacia.over-blog.com/article-nation-et-nationalisme-par-andre-gandillon-i-i...

La population doit être maintenant informée sur toute cette histoire du système monétaire mondiale basé sur les dettes qui engloutissent tous les pays.

Les histoires de Lincoln et de Kennedy ne sont pas deux histoires, mais bien une seule qui peut semblée au premier abord être une vengeance de l'Angleterre perpétré par les sionistes et la franc-maçonnerie situées à la City, ceci, pour faire payer aux américains le goût d'avoir essayé de prendre officiellement son indépendance envers l'Angleterre. Ce qui explique clairement que les États-Unis n’ont jamais été un pays libre et indépendant, tel que l’histoire officielle le laisse croire avec la statue de la Liberté qui est une illusion créée et signée par la franc-maçonnerie en guise de symbole de l’esclavagisme moderne déguisée en Liberté. Quoi de mieux finalement de faire croire à une chose en la maquillant par son contraire, c’est alors que le jeu d’illusion consiste à persuader et à engluer le monde avec de fausses vérités. Car en toute logique, un pays est tout simplement libre lorsqu’il fabrique lui-même sa propre monnaie libre de toute dette, et n’a donc pas de compte à rendre envers un autre pays, ainsi que des banques privées. Sur la scène mondiale, il est permis aux américains qu’ils puissent croire à l’illusion de leur suprématie, mais dans l’ombre de la politique Britannique et Sioniste, il est su qu’ils ne contrôlent rien depuis cette fameuse date 22 décembre 1913, car leurs vrais problèmes ont commencés à ce moment... Car ils sont devenus les joués de la City…

La plus grande partie de la population croira plus facilement à un gros mensonge qu’à un petit. Quelle chance pour les dirigeants que les hommes ne pensent pas. Adolf Hitler.

Laissez-moi contrôler les médias allemands et je pourrais alors contrôler tout le peuple allemand. Joseph Goebbels, ministre de la propagande d’Hitler.

Quand un tissu de mensonges bien emballé a été vendu progressivement aux masses pendant des générations, la vérité paraîtra complètement absurde et son représentant un fou furieux. Dresde James.

Chaque esprit progressif est opposé à un millier d’esprits médiocres nommés pour protéger le passé. Maurice Maeterlinck.

À l’heure actuelle, plus de 94% des médias du monde entier sont contrôlés par la haute finance. Tous ces médias sont alors légalement des prostitués conformément installés dans une collusion massive où ils peuvent être rassurés de nous mentir en pleine figure, et peu importe le type de désinformation qu’ils divulguent, dans les magasines, à la radio, à la télévision, dans les journaux et au sujet de nos gouvernements. Si bien que si vous voulez connaître la vérité, vous avez plus de change à imaginer tout à fait le contraire pour être certain de savoir ce qu’il se passe dans la réalité. Mais pourquoi nous leur faisons confiance à ce point ? Parce que ça fait partie de notre culture et de notre mentalité de croire les plus gros mensonges comme étant la vérité. Car lorsque nous sommes devant les faits logiques, avec du concret solide, qui expose réellement les faits logiques qui démontrent très bien que ce que nous savons a été biaisé, le contraste est tellement énorme pour faire une mis à jours, que nous nous refusons tout simplement d’admettre la vérité. Cela existe pour la simple raison que si nous voudrions faire une mise à jours de toutes ces zones grises, il nous serait très difficile de reconfigurer la réalité de notre modèle du réel, que nous serions pris durant un certain temps à ruminer le passé, où nous serions perdus dans le labyrinthe de notre mental, et que nous préférerions alors de nier tout en bloc pour ne pas subir un choc psychologique en retour. C’est ce que nous appelons le choc de la transition qui désorganise entièrement notre faux paradigme, et ce moment est une période de noirceur autant au niveau mental qu’émotionnel, et que cela pourrait bien expliquer cette période noirceur qui est mentionné dans l’Apocalypse (Révélation) qui expose la fin de notre système économique ainsi que notre système de penser, et non pas la fin du monde.

Dans notre culture nous avons pris l’habitude de nous laisser hypnotisés ; à prendre pour acquis les plus gros mensonges comme étant du cash, sans même essayer de comprendre l’arnaque et comment nous en sommes arrivé là. Nous sommes simplement des esclaves qui faisons fonctionner un système de consommation pour que l’économie puisse rapporter un maximum de profits à ceux d’en haut, et nous ne comprenons pas que nous sommes programmés pour n’être que des esclaves de ce que nous rêvons avoir pour faire compétition à notre voisin. C’est ce qui enclenche le rêve des avoirs, puis le désir d’avoir, c’est la carotte qui fait avancer l’âne et qu’il ne se rend pas compte qu’il est devant le précipice de sa propre ignorance…

Le jeu de complicité des journalistes avec ceux d’en haut n’est qu’une manipulation subliminale de masse, où ils attirent toute notre attention de façon à vouloir, que d’un côté, toutes les formes d’attractions puissent être là dans le but que l’on puisse se créer des rêves au travers de flashs publicitaires, et qu’en même temps que ces flashs publicitaires défilent, que d’autres images négatives s’intercalent au travers de toutes les nouvelles télévisées qui exposent des guerres en potentiel. Jouant ainsi de manière insidieuse avec nos peurs de pouvoir éventuellement perdre tous nos rêves et nos acquis. Il faut alors comprendre plus loin que ce qu’ils veulent que nous croyons pour vrai tout ce qui est un tissu de mensonges. Le vrai plan des journalistes est de créer un besoin incessant dans le fait que nous réagissions dans le sens de ce qu’ils veulent que nous faisions, et que nous soyons continuellement conditionnés à faire des plans dans nos têtes, et que durant ce temps que nous ne soyons pas présente à nos affaires essentielles, comme par exemple celui de nos finances. Cela ne signifie pas que les journalistes soient conscients de ce qu’ils font. Ils sont comme les agents secrets que l’on voit dans les films de James Bond. Dans les missions secrètes ce n’est bien sûr pas la caricature du personnage de James Bond, car en fait c’est une multitudes d’agent secrets qui font chacun une petite partie de la mission secrète, où dans la réalité ils entrent dans leurs rôles d’espionnage chacun à leur tour sans être conscients que l’élite a l’unique intention d’utiliser toutes leurs compétences et qu’il puisse ainsi être sûr et certain qu’il ne puisse y avoir la moindre fuite. Chacun fait son job et personne ne s’occupe de savoir ce que leur mission signifie réellement, c’est la routine qui devient la machine hypnotique de la masse. Il n’y a que les rédacteurs des services secrets qui savent l’ordre de mission, et ils sont toujours des hauts placés dans une quelconque loge maçonnique, où ils sont tenus par le secret d’allégeance faite à la Reine, exactement comme les politiciens, les systèmes armées et interpole.

Or, il est certain que ceux d’en haut n’aimeraient pas, que nous devenions tous conscients de leur plan de programmation collective. Ce qu’ils nous montrent aux nouvelles télévisées et pour la plupart du temps des vidéos montés de toutes pièces, comme ce fut le cas lors de la guerre du Koweït, où le kidnapping des 300 bébés koweitiens n’était qu’un coup monté de toutes pièces pour faire croire au peuple américain qu’il devait partir en guerre contre des barbares. C’était finalement une compagnie Londonienne qui avait fait la vidéo pour le compte des États-Unis. Puis dans la même période de temps, les médias nous montraient qu’il y avait une marée noire dans le golfe persique, où un ornithologue français qui regardait les nouvelles à la télé, s’est aperçu que l’oiseau qui était filmé, et qui était enduit de pétrole, n’était pas originaire du golfe persique. Il a signalé l’impair à des journalistes d’enquêtes qui se sont aperçus que c’était encore le même genre d’arnaque médiatique provenant de Londres, et qu’aussitôt les médias de désinformation se sont arrangés de retirer cette vidéo et ont vite passé à autre chose pour ne pas attirer trop l’attention avec cette boulette...

Puis un autre journaliste français « Thierri Messan » qui lui a aussi découvert l’arnaque du 11 septembre 2001, et depuis les journalistes français sont très mal venu aux États-Unis. Mais c’est ça le monde de la désinformation qui passent tout son temps à penser à des stratégies de ruse pour tromper continuellement les honnêtes gens qui font naïvement confiance à des êtres démoniaques qui leurs ont volés leurs Libres Arbitres sans qu’ils en aient conscience, et qu’ils ne savent pas qu’ils sont des esclaves en puissance. Car, avouons le, c’est uniquement grâce à l’ignorance collective que toute cette ruse est devenue possible. C’est donc un réel placement pour l’élite d’avoir une histoire officielle à livrer à ceux d’en bas pour qu’ils se tiennent tranquilles.

Lorsque vous disposez de meilleurs et de fiables informations et que vous décidez de les rejeter du revers de la main, pour ne pas vous impliquer, ou pour ne pas vous remettre en question, vous n’avez donc plus le droit de critiquer ce système si vous voyez que tout commence à aller de travers. Car ayant fait le choix de ne pas vous impliquer vous faite partie du problème en étant irresponsable. Le Savoir n’est jamais un problème. Le problème est toujours ailleurs que dans le Savoir, il faut donc avoir la capacité de pouvoir l’accueillir en soi pour ne pas développer un problème de digestion de trop de connaissances. Ce ne sont que les gens qui s’impliquent en assumant la réalité telle qu’elle est, qu’ils font en même temps le choix de trouver des solutions harmonieuses. Or, si vous avez fait le choix de ne pas vous impliquer même en étant au courant des faits réels, vous êtes automatiquement au centre du problème, et c’est pour cette raison que vous n’avez pas le droit de critiquer le système puisque vous adhérez à ce système en ne prenant pas vos responsabilités. Mais ne croyez surtout pas que vous êtes créatif lorsque vous osez critiquer le système, car vous ne faite rien d’autre que de la critique de démolition, et dans cette perspective vous ne trouverez jamais de vraies solutions, sinon que de percevoir la haine, la violence, ou la vengeance. Car la critique est négative, tandis que la recherche d’une solution pacifique est toujours positive, parce qu’elle ne participe pas à la violence, et du fait même qu’elle n’engendre aucune réaction en chaîne sur les causes initiales.

Vous ne pouvez pas faire de compromis lorsque vous êtes sous l’emprise de la peur. Très souvent, lorsque les gens sont sous l’emprise de la peur après avoir pris connaissance de certains détails qui les perturbent, ils préfèrent ne rien dire à leurs proches de ce qu’ils ont appris, pour ne pas leur faire peur. Mais la peur d’agir n’est rien à comparer devant les conséquences lorsque vos proches seront affectés de ce que vous ne vouliez pas leur dire, et c’est une réalité qui sera bien plus dure à supporter devant les conséquences réelles à venir. Ce que vous savez désormais est dans votre mémoire et le fait de savoir vous amène à devoir vivre avec ce savoir en sachant comment le diffuser de façon la plus harmonieuse possible, car si vous interprétez ces informations de manière insidieuse, vous serez alors dans le processus de réaction en chaîne pour répondre aux attentes de l’élite et aussi répondre à vos propres peurs.

La curiosité peut être salutaire pour certains, et pour d’autres elle sera un piège. Sachez bien que je ne suis pas responsable de vos interprétations car j’ai sciemment fait des pause entre certains paragraphes pour équilibrer tout le côté négatif avec des notions pour apprendre relativité, à philosopher et à tempéré pour atteindre un certain discernement existe pour chaque personne qui recherche la vérité. Mais si vous êtes incapable de l’équilibrer le négatif avec tout ce que j’ai amené de positif pour compenser, il vous faut apprendre à relaxer, car le choc de la vérité est toujours proportionnel au point d’ancrage sur lequel nous avons basés toutes nos croyances et que nous entretenons par notre raison. La lâcher prise doit être une avenue en vu de vous remettre en question et de vous détache de vos peurs. Je sais que nous sommes dans un moment de notre histoire où nous sommes inondés d’informations de catastrophes, qui pour la plupart son inventé pour amplifier les peurs des gens qui recherchent toutes sortes d’informations. C’est d’ailleurs pour cette raison que je glisse toujours par ci ou par là un peu de psychologie pour faire relaxer le mental. Si je ne le faisais pas il serait normal que des gens puissent percevoir que c’est uniquement du négatif en perspective, qui n’a le but de faire peur aux gens. Mais au contraire je prends le temps de faire cet équilibre pour éviter ce genre de problème. Je ne veux pas faire peur aux gens avec mes découvertes de relation de cause à effet avec les zones grises qui sont partout dans notre système de penser. Je sais toutefois que la critique est facile lorsqu’on a peur, et je sais aussi que la peur fait partie de la loi de l’attraction et qu’elle attire vers nous ce dont nous avons peur. C’est pour cette raison qu’en étant conscient de ce phénomène que je m’efforce de faire de petites pauses pour rééquilibrer l’attraction de la peur pour ne pas générer des ressentiments parmi les lecteurs.

Bref, je poursuis pour clore ce chapitre avec comme sujet l’attraction de nos croyances et la relation que nous avons avec notre raison. Or, c’est se faire littéralement un lavage de cerveau lorsque l’on croit les médias. La population a tellement était endoctrinée par des actes de foi qui se sont perpétrées durant des générations, que presque tout le monde a perdu la foi. La mode est venue de critiquer les gens qui croient en Dieu pour se faire croire qu’ils sont intelligents. Cette idée de croire en Dieu insulte les rationalistes, les athées ou les païens. Mais ne pas croire c’est tout de même croire que l’on ne croit pas. Sur Terre nous sommes obligés de croire à quelque chose pour devenir fonctionnel et les rationalistes comme les athées les sceptiques et les païens baignent dans le jus leurs propres croyances tout en croyant bien sûr avoir raison que dans leur raison. Mais lorsque l’on parle du système d’argent dette, même s’il est fictif théoriquement, il a un pouvoir sur toute les personnes qui utilisent l’argent, simplement parce que nous y avons cru, c’est pourquoi les dettes nationales sont entièrement fictives et qu’elles sont bientôt s’évanouir. Nous avons divorcé de Dieu qui nous semblait fictif pour de la sécurité matérielle bien factuelle, mais toutefois bien aussi fictive surtout lorsque nous réaliserons que tout et foncièrement virtuel au point d’avoir fait disparaître tout l’or des États-Unis avec des mensonges... L’illusionnisme est une chose possible dans notre monde ; avec un peu de mensonges et de diversion ont arrive à faire tourner les têtes durant qu’on leur joue dans le dos. Nous sommes retombés à l’âge de l’adoration du Veau d’or, et nous sommes désormais sous l’emprise du dieu Mammon, qui est le dieu qui abuse injustement des gens pour leurs voler leurs biens matériels et les rendre esclaves de leurs croyances.

La mondialisation est en fait une religion mondiale qui pointe à l’horizon et qui sera un autre endoctrinement de masse dans le matérialisme à outrance d’une technologie qui nous rendra de plus en plus dépendante d’un confort illusoire et d’une liberté virtuelle. Les temps changent, mais tout reste foncièrement pareil, car le vrai problème tourne autour d’une seule question, celle de l’ignorance de masse. Pour la plus part des gens, l’éveil est un fantasme utopique qui est étouffé par le fait que les médias renient l’idée qu’il y a une conspiration de l’esprit qui va se jouer dès la fin 2012, et se prolonger pour les 10 prochaines années pour faire disparaître les 2/3 de l’humanité. Ceci n’est pas une prophétie de ma part, car elle est mentionnée dans la Genèse et dans l’Apocalypse de St Jean.

Les médias s’amusent comme des petits fous à se moquer des gens qui savent que la théorie du complot est une chose bien réelle et qu’eux se font un plaisir de ridiculiser ces personnes. Les médias savent que c’est toujours les plus gros mensonges que la majorité des gens vont croire. L’être humain est une créature paradoxale où il a toujours besoin de se raconter des histoires pour justifier sa résistance à l’idée de s’ouvrir l’esprit devant l’idée de se retrouver devant ses propres peurs inconscientes, et que l’idée de se situer au-dessus du niveau « normal » de la mêlée, le rend littéralement inconfortable. De là il évitera de sortir des limites de sa petite zone de confort pour se sécuriser dans son groupe d’appartenance. La télévision est une source de désinformation qui est destiné à un large éventail de la population qui se situe à douze ans d’âge mentale, pour ne pas dire moins... C’est pour cette raison qu’il est impossible d’essayer de partager ce genre d’information avec tout le monde, car cela peut ressembler à du chinois qui n’est pas compréhensible à cette marge mentale de la société.

La peur extrême devant un phénomène ou un évènement, si elle dure trop longtemps, crée un état de conscience transitoire qui fige l’esprit pour entrer en inhibition et paralyse ainsi le corps. Si cet état persiste trop longtemps, les gens perdent leurs illusions et leurs rêves et peuvent se laisser mourir et c’est de cette manière que beaucoup de gens seront comme des zombis sans ne plus savoir quoi faire. Une personne qui perd ses illusions et ses rêves d’avenir n’a plus de projet et c’est dès cet instant qu’elle se voit dépérir, parce que n’ayant plus de repaires pour se propulser dans le futur, c’est ce qui va accélérer le processus de décrépitude pour que s’installe une maladie chronique qui emportera la personne dans le monde de ses propres limites et de ses peurs. Les cas de psychiatrie sont tabous dans notre société parce qu’ils font peur. L’ignorance est un état d’esprit tout comme l’est la conscience, il s’agit de faire un simple choix pour basculer d’un côté ou d’un autre, mais on ne peut pas tirer sur la tige d’une fleur pour la faire pousser. La remise en question est toujours une affaire qui appartient à l’ego, et c’est surtout sur ce point que se situe la nature émotionnelle de l’être humain, et c’est en suite sur le fond de sa raison que se joue tout le pouvoir décisionnel de la transition. Car tout se déclenche derrière la volonté d’arbitrer librement sa Vie en opérant des changements majeurs dans l’adaptation à devoir survivre autrement, car c’est toujours ce qui est plus grand que nous que nous devons suivre intuitivement pour nous détacher de nos faux ancrages psychologiques, et ainsi nous dépasser en faisant des choix différents que ceux que nous faisions auparavant.

Nos soucis et nos peines ne sont que nos propres expériences du passé, mais qu’il nous faut les enregistrer comme des leçons de Vie qui nous ont enseignées à savoir franchir les épreuves en les transformant en tremplins qui nous propulse dans le futur. C’est pour cette raison, qu’au sens dramatique du terme, nos peines et nos soucis n’appartiennent qu’à notre imagination, et que si nous dramatisons notre passé, c’est que nous vivons de la déception, car c’est dans cette manière d’interpréter les choses que nous démonisons notre propre futur pour hypothéquer ce qu’il nous reste à vivre. La meilleure manière de conjuguer avec tout ça est de ne pas vivre sur des attentes, car c’est la meilleure manière de vivre de la déception en retour. Vivre l’instant présent est à mon avis la meilleure manière de ne jamais être surpris par de mauvaises situations et d’être toujours branché dans l’actuel de l’actualité.

Si la seule chose que vous désirez est le confort, alors la vie n’est pas ce qu’il vous faut. Werner Erhard.

Si vous assistez à une injustice et que vous ne dites rien, vous vous rangez du côté de l’oppresseur. Desmund Tutu.

Le monde entier devrait se mobiliser pour exiger une commission pour exiger séance tenante réparation de tous ces psychopathes à tous les citoyens du monde en leur donnant sans aucun engagement d’aucune nature ; un million d’Euro par citoyen et sur le champ. Est-ce de l’utopie ? À vous de savoir si c’est déraisonnable de vouloir exiger quelque chose de raisonnable parce que des générations ses ont fait dévaliser par cette bande de psychopathes.

(…)