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Chute de la CAQ et de Legault gains du PQ

par Jeromec, mercredi 01 novembre 2023, 11:38 (il y a 744 jours)

Quel plaisir délectable de lire les nouvelles le matin avec des merveilleuses nouvelles...
La lune de miel est-elle terminée?

"Vous dites une chose un jour et son contraire le lendemain. Problème de mémoire ou d'honnêteté?"

Horoscope de François Legault. 31 octobre 2023. ''

https://www.journaldequebec.com/2023/11/01/legault-en-chute-pspp-en-profite-la-caq-en-t...

Chute de la CAQ, gains du PQ

Chute de la CAQ, gains du PQ: Legault obtiendrait un gouvernement minoritaire si le vote était aujourd'hui
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Quebec
GENEVIÈVE LAJOIE
Mercredi, 1 novembre 2023 05:00

MISE À JOUR Mercredi, 1 novembre 2023 05:00

Les signaux sont au rouge pour François Legault, qui voit ses appuis dégringoler dans les intentions de vote au profit du PQ de Paul St-Pierre Plamondon. Si des élections avaient lieu aujourd’hui, la CAQ devrait se contenter d’un gouvernement minoritaire.

• À lire aussi: Meilleur premier ministre: PSPP dépasse Legault aux yeux des Québécois


Les plaques tectoniques de la scène politique québécoise bougent. Même s’ils sont toujours en tête, les troupes caquistes ne récoltent désormais que 30% des voix, une baisse de quatre points en un mois et de onze points depuis l’élection, révèle un sondage Léger/Le Journal-TVA.


«C’est le pire score qu’ils ont obtenu depuis qu’ils sont au gouvernement», lance le sondeur Jean-Marc Léger.

Les points perdus par la CAQ se transfèrent directement au Parti Québécois, qui gonfle ses appuis d’autant.

Les Québécois semblent avoir trouvé une «vraie alternative» au gouvernement Legault, alors que plusieurs souverainistes rentrent au bercail, souligne le président de la firme de sondage.

Ayant la faveur de 26% des électeurs, les troupes de Paul St-Pierre Plamondon soufflent dans le cou des caquistes. La CAQ ne devance son plus proche rival que de quatre points également chez les francophones. «On a un gouvernement minoritaire avec un score comme celui là», estime M. Léger.

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PSPP meilleur PM, devant Legault
Et François Legault n’est pas étranger à cette baisse. Son étoile pâlit aux yeux des Québécois, qui lui préfèrent désormais Paul St-Pierre Plamondon comme meilleur premier ministre.

Le chef de la CAQ est maintenant moins populaire que son parti, une première. Seulement 23% des citoyens le voient comme le leader politique le mieux placé pour occuper le siège de PM.

Le cœur des électeurs bat maintenant davantage pour le chef péquiste, sur une lancée depuis la victoire historique de son parti à la partielle de Jean-Talon. «Les Québécois aiment des chefs qui sont gagnants», souligne le président de la firme Léger.

En 2017, le triomphe de Geneviève Guilbault dans la circonscription de Louis-Hébert avait donné des ailes à la CAQ, qui a ensuite réussi à déloger les libéraux du pouvoir. Le gain dans Jean-Talon apparaît de plus en plus lui aussi comme un élément déclencheur de changement.


«La victoire dans Jean-Talon a libéré la parole souverainiste. Le PQ, c’était une cause perdante pendant de nombreuses années», signale Jean-Marc Léger.

Il attribue aussi une bonne part de la chute de la CAQ et de l’insatisfaction à l’égard du gouvernement à la crise de l’inflation.

Attention aux souverainistes de la CAQ
La souveraineté est stable à 35% d’appuis chez les électeurs, ce qui fait dire au sondeur que les péquistes ont le potentiel de grimper encore dans les intentions de vote.

Mais surtout, les indépendantistes sont nombreux à la CAQ. Les récentes attaques acerbes du premier ministre à l’égard des conséquences d’un pays du Québec pourraient profiter à PSPP.

«Chez les caquistes qui sont souverainistes, qui entendent Francois Legault avoir un discours aussi dur à l’égard de la souveraineté, ça risque d’avoir un impact auprès de sa clientèle», analyse le sondeur. ''


https://www.journaldequebec.com/2023/10/31/cette-semaine-ca-passe-ou-ca-casse-pour-le-t...

12 à 13 milliards $ pour le tramway de Québec
La facture a plus que triplé, a appris «Le Journal», et le maire Marchand fera le point mercredi à 9h30


STÉPHANIE MARTIN
Mardi, 31 octobre 2023 11:18

MISE À JOUR Mardi, 31 octobre 2023 15:13

Le coût total du projet de tramway de Québec a connu une hausse fulgurante et est maintenant évalué entre 12 et 13 G$, a appris Le Journal auprès de sources près du dossier.

Les dernières informations publiques sur le projet de tramway de Québec le chiffraient à 4 G$, mais on sait depuis des mois que ce prix était appelé à gonfler, en raison notamment du contexte économique et de l’inflation.

Le Journal a appris que la facture a explosé pour se chiffrer en date d’aujourd’hui entre 12 et 13 G$. Cela inclut les 569 M$ de contrat à Alstom pour la conception et la fabrication du matériel roulant, soit les rames du tramway.

Aux dernières nouvelles, on ne sait toujours pas si un ou deux consortiums sont toujours sur les rangs pour réaliser le volet infrastructures du tramway. Les seules informations qui ont filtré identifiaient deux consortiums qualifiés. Le premier, Mobilité de la Capitale, qui compte dans ses rangs le géant français Vinci, et le second, ModerniCité, dont on sait très peu de choses.

Ça passe ou ça casse
Mercredi matin, 9h30, Bruno Marchand fera le point sur le projet de tramway, qui vit une période de turbulences importantes, et c’est cette semaine qu’on saura si «ça passe ou ça casse», selon nos informations. Nous sommes à 48 heures de la date du 2 novembre, où la Ville de Québec attend les soumissions des consortiums pour la construction des infrastructures du tramway. On ne sait pas s’il y aura bel et bien dépôt.


«Demain matin, on va se revoir pour une annonce importante, à 9h30, où on va faire le point sur où nous en sommes par rapport à la suite des choses», a indiqué M. Marchand plus tôt en journée, en impromptu de presse, en marge d’une conférence de presse sur le Carnaval.

«Période importante»
«On est dans une période importante. Présentement, on discute avec le gouvernement et c’est de ça qu’on va vous faire part, entre autres, demain. C’est une période très importante, mais j’ai confiance.»

Le maire a réitéré mardi son intention de réaliser le tramway. «Je ne vais pas abandonner le projet de tramway. Je ne vais jamais abandonner le projet de tramway. [...] On travaille un plan A, on se prépare avec un plan B. Notre objectif, c’est d’être prêt à toute éventualité. Et vous allez voir, nous sommes prêts.»

Il dit ne pas avoir l’intention de couper le tracé ou de changer le mode de transport. Le gouvernement discute avec la Ville et il est au courant du plan B, a-t-il indiqué. «On cherche des solutions.»


Lundi, le premier ministre François Legault avait parlé d’ajustements au tramway.

«Un, ça prend un coût raisonnable et deux, il faut peut-être ajuster le projet pour qu’il réponde mieux au besoin de la population. Tout ça, actuellement, c’est dans les mains de Bruno Marchand», a déclaré le premier ministre.

Cela survenait après le dévoilement des résultats d’un sondage qui révélait que 36% de la population est pour le projet et 54%, contre, avec 10 % d'indécis.


CITATION DE BRUNO MARCHAND, EN PRÉVISION DE L’ANNONCE DE MERCREDI
«On est dans une logique de faire en sorte que ce projet-là voie le jour et on travaille avec notre partenaire principal, qui est le gouvernement, à comment on fait pour le réaliser. Présentement, les échos sont bons.»

«Je ne gagne pas du temps.»

«Les canaux sont ouverts, on a des discussions franches [avec le gouvernement].»

«Changer le mode de transport, c’est repartir dans une réflexion, une construction, de la recherche de financement qui va nous amener dans 5, 10 ans, avant d’en être au point où nous en sommes. [Raccourcir le tracé, c’est] non. J’ai une vision et je veux qu’on serve l’ensemble de la région et je veux trouver les différents moyens pour servir l’ensemble de ce qui est prévu présentement et plus encore, notamment la couronne nord.»
''


Meilleur premier ministre: PSPP dépasse Legault aux yeux des Québécois - explication

https://www.youtube.com/watch?v=cwcOg7KABBU

ça sert à rien de tenter de construire un tramway à coût pharaonique et en même temps faire des coupures dans le transports en commun qui existe déjà... (et où est passé le 800 million$ volé par la CAQ à Montréal pour le Tramway nommé plus de de 13 milliard$ (minimum)

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2022819/transport-commun-guilbault-nouvelle-propos...

Transport en commun : les villes se disent « acculées au pied du mur » par Québec


Un homme marche près d’un autobus de la STM.
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La ministre des Transports s'engage à présenter une nouvelle offre aux villes du Grand Montréal, mais elle tente de tempérer les attentes.

La Presse canadienne
Publié hier à 15 h 32 HAE
Québec va présenter une nouvelle proposition aux municipalités du Grand Montréal qui réclament une bonification du financement du transport collectif. Les maires et mairesses affirment se sentir « acculés au pied du mur », tandis que les villes doivent entériner leur budget d'ici quelques jours.

On se sent acculé au pied du mur, déplore la mairesse de Montréal, Valérie Plante, en conférence de presse, mardi. Le 15 novembre, la Ville de Montréal adopte son budget.

Les maires et mairesses de la région du Grand Montréal sont revenus à la charge tandis qu'ils affirment se buter à un silence radio dans leurs négociations avec le gouvernement. Mme Plante était accompagnée du maire de Laval, Stéphane Boyer, de la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, et de la mairesse de Mercier, Lise Michaud, pour presser le gouvernement de bonifier son offre.

La ministre des Transports, Geneviève Guilbault, répond qu'elle présentera une nouvelle offre. Elle n'a pas voulu dévoiler les contours financiers de sa proposition avant de l'avoir présentée aux municipalités, a-t-elle dit lors d'une mêlée de presse à Québec.

Le gouvernement Legault proposait de couvrir 20 % du déficit résiduel des sociétés de transport en commun pour la période 2024-2028. Une proposition que les villes jugent inacceptable et insuffisante pour maintenir la fréquence des services.

Avec la pandémie et l'essor du télétravail, le déficit structurel des sociétés de transport en commun s'est accru. Les villes plaident qu'elles ne peuvent pas financer 80 % du déficit structurel tandis qu'elles n'ont pas le droit de faire des déficits.

Les négociations entre Québec et les villes représentent un bras de fer entre David et Goliath, dénonce le maire de Laval, Stéphane Boyer.

[Pour nous,] les municipalités, nos revenus, ils croissent deux fois moins rapidement que ceux du gouvernement du Québec. On ne peut pas faire de déficit, ce que le gouvernement provincial peut faire. Alors, on ne joue pas à armes égales.

Une citation deStéphane Boyer, maire de Laval
Pour Laval, l'écart à combler serait de 30 millions de dollars, a donné en exemple M. Boyer. Trente millions, c'est la croissance de mon budget total pour la ville, pour tous les services : pour le déneigement, pour l'entretien des parcs, pour l'entretien des immeubles, pour tout.

Ce n'est pas acceptable, ajoute le maire de Laval. On ne peut pas digérer ça en dedans de quelques semaines.

La ministre Geneviève Guilbault s'est engagée à présenter une nouvelle offre, mais elle a voulu tempérer les attentes. Elle a souligné que les municipalités réclament des fonds au provincial, mais que le gouvernement n'a aucun contrôle sur les dépenses des sociétés de transport. On n'a pas notre mot à dire sur la manière dont les opérations et les décisions sont prises.

Elle rejette l'analogie faite par les maires et mairesses qui ont comparé le financement du transport en commun à une tarte, en déplorant l'absence de l'un des pâtissiers, le gouvernement du Québec.

On paie grosso modo la moitié de la tarte, mais on n'a aucun contrôle sur les coûts de production de la tarte.

Une citation deGeneviève Guilbault, ministre des Transports du Québec
La ministre assure qu'il est possible de réduire les dépenses des sociétés de transport, sans effet négatif sur les services, ce que contestent les municipalités. Je suis assez certaine qu'il y a d'autres façons d'économiser qu'en fermant le métro ou en demandant au gouvernement de payer 75 % des déficits d'exploitation.

Au Parti québécois, on juge que l'offre de la ministre est insuffisante. Le gouvernement traîne la patte, [il] n'est pas prêt à prendre le leadership sur cette question-là, déplore Joël Arseneau, porte-parole du troisième parti d'opposition en matière de transport.

Manon Massé, de Québec solidaire, s'inquiète de voir les sociétés de transport collectif être contraintes de réduire leurs services. On dirait que la CAQ ne réalise pas que les travailleurs et travailleuses de toutes les classes sociales prennent l'autobus, le métro, le transport en commun, pour aller au travail, pour porter les enfants à la garderie, pour se déplacer.

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