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DOSSIER VIH / SIDA : 3, Claudia Rainville

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 09:48 (il y a 3068 jours) @ panthère58

:-) DOSSIER VIH / SIDA : Troisième partie

Vous remarquerez, étrangement, que le Collège des Médecins, la FDA américaine, la Santé Publique et autres intervenants officiels, sont complètement fermés aux dissidents de la théorie officielle : VIH = SIDA ! Et ce malgré des preuves irréfutables. Quand le même phénomène s'observe pour d'autres situations comme pour le fluor dans l'eau, comme pour le 11/9, comme pour le cancer, comme pour la guerre à l'État islamique, comme pour la dette, et j'en passe, c'est qu'il y a dans l'ombre un autre pouvoir qui gouverne et qui a une mainmise.

Entre [ ] signifie que j’ai soit corrigé une faute de français ou que j’ai complété la phrase parce que l'article a été coupé et il manque quelques mots.

Entre […] signifie que je saute un ou des paragraphes ou des phrases de l'extrait.

Des coquilles peuvent être présentes malgré mes révisions.

3. Claudia Rainville
Métamédecine : La guérison à votre portée
Les Éditions FRJ
1995
[image]

Extrait 1 (pp.74 - 79) : Arrêtons-nous quelques instants, et demandons-nous quel peut être l’effet sur le psychisme d’une personne qui apprend qu’elle est séropositive. Question bien secondaire pour le virologue occupé à traquer les subtilités biochimiques des virus dans ses éprouvettes !

Question intéressante pour les psychologues et les thérapeutes qui cherchent à conserver le moral de la personne anéantie par cette nouvelle.

Mais, pour la personne elle-même, c’est une réalité avec laquelle elle doit vivre. Un tel décidera de se battre contre la maladie et aura recours à l’AZT, la diététique, la médecine holistique ou la prière, selon ses conceptions. Un autre le prendra sereinement jusqu’à ce qu’un spécialiste consulté à l’occasion d’une infection lui annonce qu’il a maintenant atteint le stade du sida. Il sera choqué et n’y croira pas. Un autre demandera à son partenaire de le quitter pour tenter de refaire sa vie et s’enfoncera lui-même dans un isolement de plus en plus désespéré. Beaucoup connaîtront la panique, cherchant à se faire rassurer à la moindre « manifestation » jugée suspecte, ce qui multipliera les examens, les traitements et le maintiendra dans un état d’anxiété. Enfin, d’autres vendront tout ce qu’ils possèdent et vivront comme s’il ne leur restait plus qu’un an ou deux à vivre, se préparant déjà psychologiquement à mourir.

Chacun réagit avec les ressources propres à sa personnalité, mais on peut dégager deux grandes tendances : celle de sombrer dans un processus de désespoir et d’abandon, en se repliant sur soi, en attendant la fin, et celle d’accuser le coup mais avec le sentiment d’avoir une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête. Et, c’est souvent ce qui arrive. Après des mois ou des années de séropositivité assumée sans trop de difficulté, ces personnes vivent un conflit qui se répercute sur le corps, conformément aux lois de cause à effet. Si le lien avec la séropositivité est établi, l’épée, jusqu’alors suspendue, le transperce et c’est le commencement d’une fin qui peut survenir en très peu de temps.

ET SI L’ÉQUATION VIH-SIDA ÉTAIT FAUSSE ?

Et si l’état d’anxiété entretenu et les traitements préconisés, et non la présence du virus VIH, qui était responsable de la destruction du système immunitaire ? Voilà la conclusion de plusieurs spécialistes de la question, dont un éminent chercheur américain, Peter Duesberg.

Peter Duesberg est professeur de biologie moléculaire à l’université de Berkeley, et membre de l’Académie nationale des sciences. Sa renommée internationale et sa spécialité en virologie l’a amené à participer au décodage chimique du VIH. Familiarisé avec la pathologie virale et les rétrovirus en particulier, il prend sérieusement en compte les lacunes et les incohérences liées à ce qu’il considère être devenu un dogme aveugle : le sida est engendré par ce rétrovirus. Il relève encore d’autres arguments :

- Le VIH atteint moins de lymphocytes que le taux naturel de renouvellement de ces cellules ;
- L’absence de maladie chez les chimpanzés infectés artificiellement ;
- La proportion beaucoup plus grande de séropositifs qui passeront au stade du sida en Occident par rapport à cette même proportion en Afrique ;
- Le nombre important de cas de sida diagnostiqués cliniquement se développent sans la présence du virus VIH, ni même d’anticorps. Ce phénomène est en contradiction avec la doctrine de l’étiologie spécifique qui enseigne que pour pouvoir établir un lien de causalité entre un germe et une maladie infectieuse, il est indispensable que 100 % des individus atteints de cette maladie soient contaminés par le germe responsable.
[Postulat de Koch]

Peter Duesberg en arrive à la conclusion que l’équation VIH = SIDA est fausse, que le virus est probablement très ancien, nouvellement décrit mais inoffensif en soi. De tradition orthodoxe, il continue à croire à une atteinte immunitaire, mais il la relie à d’autres facteurs, notamment à la montée des drogues utilisées par les homosexuels, aux diverses formes de toxicomanie et à la malnutrition.

Plus graves encore sont ces affirmations : le principal médicament anti-sida qu’est l’AZT provoquerait des dégâts majeurs dans l’organisme, notamment sur le système immunitaire, puisqu’il s’agit d’un produit chimiothérapique cytostatique (famille de substances qui inhibent la division cellulaire) qui participerait directement à la propagation du sida. Et, c’est ce produit qu’on offre à ceux et celles qui sont séropositifs.

[Depuis 1995, on a substitué la trithérapie à l’AZT : au lieu de tuer rapidement les personnes séropositives, on les tue lentement donnant ainsi l’illusion de son efficacité. J’avais lu de la documentation scientifique à cet effet. Je vais faire la recherche ultérieurement pour compléter le dossier. Probablement dans des documentaires vidéos.]

Les répercussions sont lourdes de conséquences puisque cela signifie que le sida n’est pas une maladie infectieuse et n’a rien à voir avec la sexualité. Quant au traitement préconisé, il s’apparente davantage à un génocide thérapeutique. […]

« Le sida ne mène pas inévitablement à la mort, surtout si l’on veille à supprimer les cofacteurs qui aggravent la maladie, il est très important de dire cela aux gens qui sont affectés. Les facteurs psychologiques sont critiques pour maintenir la fonction immunitaire. Si l’on supprime le soutien psychologique à quelqu’un en lui annonçant qu’il est condamné à mort, ces mots seuls peuvent représenter pour lui une condamnation. »
- Prof. Luc Montagnier (découvreur officiel du virus VIH)

ET SI LE VACCIN N’ÉTAIT EN DÉFINITIVE QU’UN VESTIGE D’UN VACCIN REÇU ?

Le VIH fut officiellement « découvert » en 1983 à l’Institut Pasteur à Paris par le professeur Luc Montagnier. Certaines personnes se sont penchées sur cette question et ont fait d’étonnantes découvertes qui les ont amenés à conclure que le VIH était une pure création de laboratoire et non la découverte d’un virus déjà existant.

Robert Strecker, médecin gastro-entérologue et docteur en pharmacologie, a conclu « Le sida a été délibérément provoqué, soit volontairement soit involontairement, par des essais de vaccination contre l’hépatite B sur les homosexuels. » Il est également convaincu que le continent africain a été contaminé de la même façon, au moment des campagnes de vaccinations contre la variole, pour étudier, à la demande de l’OMS, les effets de certaines bactéries et de certains virus. Il explique que le VIH ne peut venir de la nature, tant il est différent des autres virus connus. Il serait le résultat d’un clonage de virus d’animaux.

Eva Lee Snead, pédiatre, auteure de plusieurs communications scientifiques et des volumes intitulés Some Call it Aids… I Call it Murder et The Connection between Cancer, Aids, Immunizations, and Genocide. Elle a entrepris, depuis plusieurs années, une série de recherches médicales sur l’augmentation des taux de cancer et de leucémie chez les enfants. Elle établit la ressemblance des syndromes cliniques du VIH et ceux du SV 40 des singes verts d’Afrique. On a retrouvé du SV 40 chez certains individus. La seule façon pour un humain d’avoir le SV 40 du singe c’est soit en ingérant sa chair, soit en se le faisant inoculer en même temps qu’un vaccin. On a également trouvé ce même SV 40 dans le vaccin Sabin contre la polio (« la soupe du singe » SABIN) avec lequel on a vacciné des millions d’enfants pendant des années. Or, on a constaté que le SV 40 cause des anomalies congénitales, des leucémies, des cancers, une grave immunosuppression, des symptômes semblables à ceux du sida. La pédiatre démontre la responsabilité des vaccins dans l’apparition du sida et dans l’accroissement des leucémies et des cancers.

« Essex et un autre chercheur, Abroy, se demandent si la contamination n’aurait pas pu se faire par voie médicale, c’est-à-dire par des produits réalisés à l’aide de sang de macaques, tels que le vaccin polio (Sabin) oral et d’autres compsantes de médicaments. »4

Rappelons toutefois, comme le disait Claude Bernard (biologiste), que « le microbe n’est rien, le milieu est tout ».

Qui n’a pas reçu le vaccin Sabin contre la polio ?

Je suis persuadée que, si l’on faisait passer des tests de dépistage du VIH dans une population saine non soupçonnée d’être séropositive, on retrouverait une quantité surprenante de personnes séropositives. Séropositif ne veut rien dire de plus qu’avoir été en contact avec le rétrovirus VIH.

Et si ce [constat], contrairement à ce qu’on a voulu nous laisser croire, n’était qu’un vestige d’une vaccination reçue ? Quel soulagement pour la personne qui ne vit plus depuis qu’on lui a annoncé qu’elle était séropositive ! Et pourtant, c’est la conclusion à laquelle en arrivent d’éminents professionnels, chercheurs et médecins que l’on veut faire taire.

Le professeur Peter Duesberg fut mis au ban de ses pairs, il fut écarté des débats et des médias, on lui a retiré ses subventions pour ses recherches sur le cancer.

Le docteur Ryde Geerd Hamer, Allemand dont la démarche diffère fondamentalement de l’étude scientifique habituelle, dans la mesure où il prend en considération le psychisme de l’individu et le fonctionnement de son cerveau sans se limiter aux seuls aspects organiques et symptomatiques de la maladie, a été radié à vie en 1986 de l’Ordre des médecins. Il lui est donc interdit de pratiquer. En plus, il a été menacé à plusieurs reprises d’internement psychiatrique et ignoré des médias.

On peut se demander pourquoi on veut tant faire taire ceux qui ne cherchent qu’à réveiller leurs frères et leurs sœurs de la terre pour qu’ils recouvrent la santé. Serait-ce que la maladie est une entreprise très lucrative ?

On peut être séropositif et dormir bien tranquillement sur ses deux oreilles. Sans déficience immunitaire, pas de sida. Le sida est une maladie d’autodestruction reliée le plus souvent à une culpabilité de vivre. Il sera approfondi au chapitre « Le mal de vivre, comment s’en libérer ».

Extrait 2 (p.166) :

Le sida et la séropositivité sont deux affections bien différentes à ne pas confondre, même si certains séropositifs sont devenus sidatiques par la peur, l’angoisse ou les traitements d’AZT qui ont eu raison de leur système immunitaire.

Le sida est une forme d’autodestruction reliée à un mal de vivre ou à la culpabilité de vivre. C’est en intervenant au niveau de ce mal de vivre qu’on peut espérer une véritable guérison.

(4) « Sida, la voie du singe », Sciences & Vie, no 821, février 1986

Elle donne un exemple de cette culpabilité de vivre chez un homosexuel.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58

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