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DOSSIER VIH / SIDA : 2. Jean-Pierre Olivier

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 09:21 (il y a 3059 jours) @ panthère58

:-) DOSSIER VIH / SIDA : Deuxième partie

Entre [ ] signifie que j’ai soit corrigé une faute de français ou que j’ai complété la phrase parce que l'article a été coupé et il manque quelques mots.

Entre […] signifie que je saute un ou des paragraphes ou des phrases de l'extrait.

Des coquilles peuvent être présentes malgré mes révisions.

2. Jean Pierre Olivier
Journal Vert
1995-2003 ?
[image]
SIDA : la vérité qui fait peur
Les médicaments et les drogues sont peut-être les vrais responsables

Soyons clair : personne ne meurt du sida. Tout simplement parce que le sida n’est pas une maladie en tant que telle, mais bien, comme son nom l’indique, un syndrome (ensemble de symptômes) d’une immunodéficience dite « acquise ». Et si on meurt de quelque chose, ce n’est pas du sida mais de maladies qui surviennent lorsque notre système immunitaire est délabré. Des maladies parfois communes, parfois aussi assez rares il est vrai, mais qui ont toujours existé et sont répertoriés depuis longtemps : pneumonie pneumocystis carinii, sarcome de Karposi (une forme de cancer), cytomégalovirus ainsi qu’une vingtaine d’autres moins connues. Depuis la conférence de presse fortement médiatisée du 23 avril 1994 où le Dr Robert Gallo, un éminent virologue américain, a annoncé qu’il avait trouvé la «cause» du sida, il est généralement admis dans la communauté scientifique que le sida est causé par le VIH (virus de l’immunodéficience humaine). À l’époque, cette retentissante déclaration avait été entérinée par la secrétaire du Département de la Santé des États-Unis, si bien que pendant de longues années, on n’a plus jamais remis en question l’équation VIH = SIDA.

L’un des premiers à le faire fut le Dr Peter Duesberg, professeur de biochimie et de biologie moléculaire à l’Université de Californie à Berkeley. Pionnier dans la recherche des gènes du cancer, ses travaux lui ont valu d’entrer à la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, en 1986, pour avoir dressé le plan de la structure génétique des rétrovirus. Or un jour, au grand scandale des milieux scientifiques officiels, le docteur Duesberg a osé soutenir que le VIH n’a rien à voir avec le sida. Ce sont, a-t-il soutenu, les drogues illégales et des médicaments hautement toxiques, incluant l’AZT et les nombreux antiviraux que l’on donne comme traitement aux personnes infectées qui sont responsables de l’effondrement de l’immunité et par conséquent, du sida. Aujourd’hui, le Dr Duesberg, est dans le collimateur de ce lobby colossal et à l’échelle du monde, qui maintient que le VIH est le premier et le seul responsable des maladies du sida. Par la suite et comme par hasard, le gouvernement américain a coupé la plupart des subventions dont bénéficiait ce chercheur scientifique et des pressions sont faites pour que les étudiants universitaires évitent ses cours sous peine d’être pénalisés par le jury lors des examens…

Ce que soutient le Dr Duesberg, ainsi que d’autres dissidents de la théorie officielle, c’est que le VIH n’obéit pas aux exigences des postulats de Koch *, lesquels sont reconnus pour définir les rapports spécifiques entre un microbe et la maladie dont il est réputé responsable. Alors que la théorie officielle dit que la multiplication du virus cause l’affaissement du système immunitaire et ouvre la porte à toutes sortes d’infections dites « opportunistes », le Dr Duesberg et beaucoup d’autres scientifiques depuis, affirment au contraire que le virus en tant que tel est inoffensif et ne se multiplie que parce que le système immunitaire du malade est déprimé. Mais comment expliquer d’autre part que tant de personnes séropositives depuis fort longtemps ne semblent pas s’en porter plus mal ? Lors du 12e Congrès international de pharmacologie qui se tenait à Montréal il y a quelques années, le Dr Jay A. Levy déclarait : « La moitié des gens infectés par le sida n’ont pas encore développé la maladie après dix ans ». Il serait malaisé de vider la question car si l’on possède de nombreuses statistiques sur les personnes atteintes de maladies, on n’en a guère sur les bien-portants (qui ne consultent pas, comme de raison).

La seule question est : le VIH cause-t-il le SIDA ou pas ? Et si tel est le cas, d’où vient-il ? Est-il transmissible, sexuellement ou autrement ? Comment l’homme a-t-il pu un jour être infecté par ce virus ? Des théories courent à l’effet que des chimpanzés seraient à l’origine de la contamination. On sait depuis longtemps que certaines races de singes sont porteuses d’un virus appelé VIS (virus de l’immunodéficience simiesque) mais ce virus ne les rend pas malades en aucune façon. Or, on a pu démontrer [que] cette souche de virus était très proche du VIH et il n’en fallait pas plus pour [que] des scientifiques affirment que le virus a été transmis à l’homme par ces primates. Par ailleurs, le magazine Rolling Stones a déjà accusé le Wistar Institute de Philadelphie, considéré comme un leader mondial pour ce qui touche, en biologie, aux virus et à la recherche sur le cancer, d’avoir répandu le virus du sida en Afrique par le biais de vaccins contre la polio, au début des années soixante.

UN VIRUS DE CULTURE

Une autre théorie, plus troublante celle-là, nous vient du Dr Robert Strecker, spécialiste en médecine interne. Pour lui et son équipe de chercheurs, il y a deux possibilités : la première est que le virus a muté dans des bovins ou des moutons et a été adapté artificiellement à l’homme grâce à un développement dans des cultures de tissus humains ; un certain virus bovin fonctionne en effet comme un destructeur sélectif de cellules-T (exactement comme le fait le VIH). L’autre éventualité est que le virus a été carrément fabriqué en laboratoire par manipulation génétique. Il faut se rappeler que ces techniques étaient déjà à la disposition des scientifiques des années soixante et que les laboratoires du monde entier qui travaillent sur la guerre bactériologique ont toujours eu une dizaine d’années d’avance sur les autres spécialités. Selon le Dr Strecker, le VIH ressemble beaucoup au BLV, le virus de la leucémie bovine. Quand on reprend les travaux vétérinaires de l’époque, dit-il, on s’aperçoit que tout le domaine de l’immunodéficience faisait l’objet d’études dans des laboratoires qui s’occupaient, entre autre, de recherches sur les armes de guerre biologique pour différents départements du gouvernement américain…

Le même Dr Strecker évoque la possibilité d’un traitement contre le sida pour le moins non conventionnel : « En théorie, dit-il, c’est très simple, mais dans la pratique, c’est plus compliqué. Comme les virus ressemblent à de petits cristaux, on devrait pouvoir les fracasser avec des fréquences électromagnétiques et les détruire. Tout comme on peut faire tomber du cristal et le détruire sans que la maison s’écroule, on devrait pouvoir en théorie ébranler les virus sans détruire la structure cellulaire environnante. »)

Richard Glenn avait évoqué cette possibilité dans une de ses émissions sur le câble dans les années 90.

Quant à lui, le Dr Horowitz soutient que les membres du FBI et de la CIA qui dirigeaient un programme de contre-espionnage anticommuniste, appelé COINTELPRO, sont responsables de la transmission du sida à des populations américaines bien précises de même que dans certains pays du Tiers-Monde…

On se souvient de l’époque du célèbre sénateur McCarthy qui, dans les années quarante et cinquante, pourfendait tout ce qui pouvait recéler le moindre brin de communisme. Vingt ans plus tard (c’est l’époque de Nixon), cette chasse aux sorcières sévissait toujours mais en secret et s’en prenait aussi bien à certaines minorités comme les homosexuels et les Noirs qu’à toute personne soupçonnée de sympathies communistes. Exagération ? On n’a qu’à se rappeler le cas de cet Américain qui a récemment demandé au Canada le statut de réfugié, persécuté qu’il est dans son pays parce qu’il est un communiste avoué.

Mais revenons à la thèse voulant que le VIH ne soit pas la cause du sida. Plusieurs études soulignent que 40% des maladies du sida n’auraient aucun lien avec la chute de l’immunité. « Première zone d’ombre, dit Renaud Russeil dans son ouvrage Enquête sur le sida, un virus s’attaquant à l’immunité devrait entraîner des maladies liées à l’état du système immunitaire. (…) La maladie est d’origine virale et contagieuse, mais l’épidémie reste généralement confinée autour des comportements à risques. » D’après un virologue allemand, le docteur Stefan Lanka, on n’a jamais publié la moindre photo d’une particule isolée du VIH, ni de ses protéines ou de ses acides nucléiques (ARN). Aucune expérience contrôlée selon le protocole d’usage * n’a été publiée à ce jour. Ce qu’on nous a montré, selon lui, ce sont des photos de particules semblables à des virus en culture, mais jamais le virus isolé. La différence en virologie est celle du jour et de la nuit ! « L’existence du VIH, souligne-t-il, est déduite d’un test sur des anticorps, mais la façon dont tout ceci opère reste un mystère, tant qu’on n’aura pas prouvé que le virus existe réellement et qu’il n’aura pas été isolé sans contaminants. »

On a aussi soutenu que le virus du sida a délibérément été créé par le gouvernement des États-Unis pour servir d’instrument de dépopulation. À l’appui de cette thèse, le NSM 200 (National Security Memorandum), un document top secret du début des années soixante-dix, rédigé par le secrétaire d’État de l’époque, Henry Kissinger et dans lequel il indiquait que « la dépopulation devrait être la plus haute priorité du gouvernement américain concernant la politique étrangère sur le Tiers-Monde. » Et ailleurs dans le texte : « La réduction du taux de population dans ces États est une question vitale pour la sécurité nationale des États-Unis. » Le document contient même une carte géographique de ces régions où la dépopulation est souhaitable : ce sont tous des pays du Tiers-Monde… On peut avoir accès à ce dossier aux archives nationales des États-Unis. Voilà un exemple flagrant des agissements d’un véritable « gouvernement secret en action » car rien de tout cela n’était connu du Congrès et encore moins de la population américaine.

On peut trouver à la bibliothèque du Sénat américain un autre document encore plus troublant appelé Army Appropriations Hearing. Il s’agit d’un rapport datant de juillet 1969, concernant des demandes de budget pour l’armée américaine qui réclamait (et a obtenu) 10 millions de dollars pour développer « un agent biologique synthétique qui pourrait affaiblir ou détruire le système immunitaire humain ». Et à la même époque, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publiait plusieurs articles favorisant des recherches visant à développer « un virus hybride qui pourrait affecter sélectivement le système immunitaire humain ». Ces textes, Kissinger Memorandum, Army Appropriations Hearing et les articles émanant de l’OMS, sont des documents officiels et vérifiables dont on ne peut contester l’authenticité. Toutes ces informations ont été mises en lumière dans une émission de télévision provenant de Network 23 et diffusée sur un canal du câble de la région de Los Angeles. On y fait notamment état d’une incroyable coïncidence, à savoir qu’en 1972, une importante délégation de l’OMS s’est rendue en Afrique Centrale – dans une région connue aujourd’hui comme la ceinture du sida – afin d’administrer à des milliers d’Africains un vaccin contre la variole. Un événement qui a aussitôt été suivi par les premières manifestations du sida (qui ne portait pas encore ce nom) sur la planète. Cette remarquable coïncidence avait fait la une du London Times mais curieusement, n’a jamais eu droit à la moindre mention, nulle part dans la presse américaine. Par la suite, on a institué des campagnes de vaccination gratuite contre l’hépatite dans les communautés homosexuelles de New York et de San Francisco et, coïncidence ? ces populations ont dans les quelques années qui ont suivi été qualifiées de groupes à risque et les statistiques officielles ont fait [état] d’un nombre alarmant de cas de sida dans ces communautés.

Quoi qu’il en soit la question demeure : le sida est-il causé par le VIH, comme le soutiennent une majorité de scientifiques ? Ou l’effondrement du système immunitaire n’a-t-il rien à voir avec ce virus ? Et d’où vient ce virus ? Des animaux ? Ou bien a-t-il été délibérément fabriqué par l’homme ? Bien malin qui pourrait répondre à ces questions. Peut-être bien qu’aucune des hypothèses n’est la bonne. Que Gaïa, cette bonne vieille terre, a tout simplement décidé de faire le ménage sur cette planète surpeuplée que de toute manière, les hommes ne cessent de maltraiter. Que périodiquement, à différentes époques, surgissent des fléaux qui ont pour objectif de nettoyer la planète et que le sida n’est autre chose qu’une autre de ces vastes opérations de nettoyage organisé par l’écosystème de l’Univers…

À lire : La Guerre des virus. Leonard Horowitz. Éditions Félix.
Enquête sur le sida. Renaud Russeil. Éditions Vivez Soleil.
HIV - reality or artefact. Stefan Lanka. Continuum, avril-mai 1995. Vol. 3 Issue I.

* VACCIN IMPOSSIBLE (Postulat de Koch)

Des doutes sont émis sur la relation de cause à effet entre le VIH et le sida parce que ce virus ne répond pas au postulat de Koch, condition scientifique indispensable pour lui en attribuer la cause et développer un vaccin.

1) Le microbe doit être présent dans chaque cas de la maladie, en quantité suffisante pour entraîner des effets pathologiques (ce qui n’est pas le cas : des milliers de personnes qui sont mortes d’un effondrement de leur système immunitaire et d’infections opportunistes sans qu’on ait constaté, lors d’examens ou même d’autopsies, la présence du virus VIH).

2) L’agent ne se trouve pas dans d’autres maladies (le VIH est présent dans le cas de plusieurs types d’infections).

3) Après isolation et propagation du microbe en culture, l’agent peut entraîner de nouveau la même maladie (le virus mute continuellement et sa présence peut ne jamais entraîner la maladie comme chez ces prostituées africaines infectées qui ne sont pas malades).

4) À partir de l’hôte expérimentalement infecté, il faut pouvoir isoler de nouveau le microbe spécifique (très souvent, on ne déduira sa présence que si les tests détectent des anti-corps. C’est comme dire que si une ville est « infestée » de policiers, elle est probablement « infectée » par des bandits).

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