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GEORGE KAVASSILAS sous la loupe ! 11

par panthère58, lundi 02 mai 2022, 10:05 (il y a 717 jours) @ panthère58

:-) GEORGE KAVASSILAS sous la loupe !


Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=qlqrjX96qyQ
GEORGE KAVASSILAS - Our Journey & The Grand Deception 2009 3/3 (SK titulky)
605 visionnements • 5 août 2019
HiddenKnowledge

N.B. (1) Pour choisir la langue de votre choix :

1. Il faut cliquer sur l’icône à six pointes, juste à la droite de l’icône « CC »
2. Il faut ensuite cliquer sur « sous-titres codés »
3. Il faut alors cliquer sur « traduire automatiquement » qui va apparaître
4. Finalement, il ne reste qu’à faire dérouler le menu à la langue de votre choix.

Pour rappel, dans ses recherches linguistiques, mythologiques, archéologiques, d’écrits anciens, Parks trouve des validations du récit qu’il a reçu par flash de lumière, comme téléchargés. D’autres faits évoqués dans mon dossier « L'ÉNIGME SACRÉE / CORPUS DEAE / PRÉSENTATION 1 » viennent aussi appuyer son récit et ses recherches.

Lien dudit dossier : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=185283

En ce qui concerne George Kavassilas, ma perception est qu’il possède une information brute valable mais qu’il n’arrive pas à démêler et à bien rendre. Autrement dit, il a tous les morceaux du casse-tête mais n’arrive pas à bien les identifier pour le compléter. Et je trouve qu'il s'enlise dans le symbolisme qu'il prend pour la réalité.

N.B. (2) En brun-or, je me réfère aux propos de George Kavassilas et le marqueur de temps le plus récent émis.

« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en page 31 : La différence entre l’ouvrage que vous avez en main et ma série des « Chroniques » est que le contenu principal de cette dernière est rédigé sous la forme d’un récit. Le lecteur le sait dès le début. Il a le choix de croire ou de ne pas croire ce récit et les nombreuses notes et dossiers explicatifs qui l’accompagnent. Ici, la démarche est différente, et le doute n’est pas acceptable. Lorsqu’un véritable travail de recherche est engagé, il est toujours important de donner des références sérieuses.

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 24, note de l’auteur: La série des « Chroniques du Girku » est une chose, mes recherches parallèles en sont une autre. L’histoire écrite avec le cœur et inspirée par "l’Âme du Monde" se distingue de l’Histoire scientifiquement vérifiable. Dans le monde quantique au sein duquel nous évoluons et que nous appréhendons progressivement, ces deux formes de rédaction ne sont pas antagonistes. Elles se complètent.

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Dans cette troisième partie, il va mettre en lumière des chiffres et répondre aux questions.

Introduction : Remerciements

À 0H02’20" du vidéo : La Lune

La Lune était autrefois un vaisseau spatial, le joyau de la flotte des entités de la vraie lumière
Vaisseau créé par une des Sept Muses ou Sœurs des Pléiades, connue sous le nom de la déesse Diana (archange Ariel)

« Le Secret des Étoiles Sombres – Tome 1 », Anton Parks, section Archives et Décodages, en page 335, l’Arbre de Vie du jardin en Eden : En Grèce, la déesse Artémis régulièrement représentée dans un arbre, symbolise comme par hasard la lune ! La boisson sacrée des dieux aryens de l’Inde nommée Soma évoque, justement, à la fois la plante mythique d’où sont tirés le nectar d’immortalité et la lune

Wikipédia : Artémis (en grec ancien : Ἄρτεμις) est, dans la religion grecque antique, la déesse de la nature sauvage, de la chasse et des accouchements. Elle a été assimilée à la déesse Diane dans la mythologie romaine.

« Le Secret des Étoiles Sombres – Tome 1 », Anton Parks, en page 91 : An [YHWH] me [Sa’am-Enki-Osiris] répondit tout en continuant à fixer la planificatrice d’Uraš : Tigeme souhaite que Nammu et toi restiez sur Nalulkára (Grande Ourse) afin de procéder à la création des Kadištu (planificateurs) mâles, les Nungal. De mon côté, avec Ninmah, nous irons rejoindre notre colonie dans le système Ubšu’ukkinna en Mulmul (Pléiades), pour produire les Anunna. Mon géniteur Anšár, détenteur de cet endroit, et Kišár viendront tous deux avec nous. Lahmu et Lahamu resteront ici. Comme vous le savez, notre entreprise doit rester secrète. Nous communiquerons au fur et à mesure de l’avancée de nos travaux.

Toujours en page 91, note de bas de page 44 : Selon ma compréhension, le système stellaire de l’Ubšu’ukkinna correspond à l’étoile dénommée Maïa dans les Pléiades. Ce système stellaire contient 12 planètes. Le terme Ubšu’ukkinna est généralement traduit par les spécialistes en "l’assemblée" ou "le lieu de l’assemblée divine". Sa décomposition traduit pourtant son sens véritable : en UB (région, partie de l’univers, retraite) ; ŠU (force, pouvoir, puissance) ; UNKIN (assemblée) ; NA (station, être humain). Dans le contexte qui nous occupe, ce thème s’interprète en UB-ŠU-UNKIN-NA "la puissante partie de l’univers - station de l’assemblée". Dans un contexte "terrestre" UB-ŠU-UNKIN-NA peut textuellement s’interpréter en "la retraite du pouvoir - l’assemblée des humains". Chaque grande ville de Mésopotamie possédait un Ubšu’ukkinna à l’image de celui des "dieux" lorsqu’ils présidaient les affaires humaines. L’UB-ŠU-UNKIN-NA céleste des Sumériens englobe le Dukù qui représentait pour eux le "Saint Monticule", le lieu des origines des dieux.

Les Indiens Hopi de l’Arizona nomment l’Ubšu’ukkinna céleste Toonaotakha qu’ils traduisent en la Confédération des planètes. Il s’agit de la contrée céleste à 12 planètes où vivent les Kachinas, les guides spirituels des traditions hopies. (cf Ours Blanc, "KÁSSKARA UND DIE SIEBEN WELTEN"). Le système stellaire Toonaotakha est justement situé dans les Pléiades que les Hopis nomment "Seven Sisters". Il est intéressant de noter que le terme Toonaotakha est formé de la racine hopie Toonao qui veut dire "appartenir à un groupe", elle-même tirée du terme Toonam "groupe" ou "conseil tribal". Une fois de plus, tout s’accorde parfaitement.

« Le Secret des Étoiles Sombres – Tome 1 », Anton Parks, section Archives et Décodages, en page 333 : Le chiffre sept possède une connotation sacrée à travers le monde et particulièrement en Mésopotamie. Il n’est pas sans rapport avec les Pléiades que les Indiens Hopi de l’Arizona assimilent aux "Seven Sisters" (les sept sœurs), constellation qu’ils honorent comme étant le lieu où les divinités créatrices résident.

« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en page 98 : Celles qui apportaient le bon présage divin en Égypte étaient les Sefekh Shepsitu, "les sept déesses vénérables", dénommées également Hut-Heru’z, "les sept Hathor". Ces sept Hathor formaient une communauté de déesses dont le rôle était de repousser le mal, de favoriser tout phénomène de naissance et d’annoncer la providentielle inondation du Nil.

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© 2013, Éditions Nouvelle Terre, Anton Parks

« La Dernière Marche des Dieux », Anton Parks, en page 132 : Selon des versions plus tardives rapportées entre autres par Diodore de Sicile (1er siècle av. J.-C.), dans sa Bibliothèque Universelle (Livre III, chapitre 31), Atlas était le père de sept filles baptisées Atlantides. Aimées des dieux et des demi-dieux, les récits à leur sujet font descendre les anciens héros des sept Atlantides. Dotées d’une brillante intelligence, elles incarnaient la déité aux yeux des hommes, c’est pourquoi on leur attribua une place de choix dans le ciel : les Pléiades. Au même nombre que les îles des Canaries, les sept filles d’Atlas, assistées par un dragon à cent têtes, veillaient sur le jardin des dieux où poussaient des d’or, symboles d’immortalité.

Wikipédia : Pleiades est un superordinateur de la NASA, l'agence spatiale américaine. C'est l'un des supercalculateurs les plus puissants au monde, et représente la technologie de pointe de la NASA pour répondre aux besoins de calcul haute performance de l'agence, permettant aux scientifiques et ingénieurs de mener des modélisations et des simulations pour les projets de la NASA. Ce cluster SGI/HPE ICE à mémoire distribuée est connecté en InfiniBand.

Un vaisseau pléiadien à l’origine, conçu pour semer la vie sur des planètes
Il est venu ici une première fois pour créer l’écosystème terrien
À ce niveau, l’entité Diana a infusé de son énergie dans sa création

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Anton Parks, Éd. Pahana Books, © 2014

« Le Livre de Nuréa – Tome 0 », Anton Parks, en page 103 : Au démarrage de son projet [NUMUN, "semence" en sumérien], Šuhia s’investit totalement et elle multiplia les voyages sur Dubkù [la Terre]. L’ensemencement de la planète se fit par paliers.

Son plan suggérait d’implanter des milliers d’espèces vivantes pour créer un vivier exceptionnel en Anriba (la Galaxie).

À cette époque, son climat général était assez chaud avec un caractère tropical et humide. Des Ifs géants, de gigantesques Séquoias et de très hauts conifères régnaient en maître sur la plupart des régions. Le règne animal se limitait surtout aux petits reptiles, oiseaux, poissons, amphibiens, tous cousins inférieurs des Mušidim [Faiseurs de vie].

On recule de dizaines de millions d’années en arrière et il n’y avait pas de Lune en orbite autour de la Terre à cette époque, selon ce tome 0 « Les Chroniques du Ğírkù » d’Anton Parks. Voici la description de la Terre avant le projet de Šuhia :

« Le Livre de Nuréa – Tome 0 », Anton Parks, en page 94 : Se situait ensuite Dubkù [la Terre], la sainte planète où les Mušidim enseignaient à leurs enfants les arts universels. Cet astre se composait d’un continent unique, très volumineux, entouré d’un vaste océan parsemé de récifs et de hauts-fonds. Dubkù possédait quelques écoles fameuses où l’on inculquait le concept de la Source. Tout le monde pouvait prétendre entrer à l’École de la Source, sans distinction de sexe, à la seule condition d’être âgé d’au moins 10 Muanna de Hul et d’avoir suivi préalablement une formation réussie à l’École des Sciences. Aucune agglomération ne s’y trouvait, juste quelques regroupements de logis légers. Ce havre de paix, où chaque Faiseurs de Vie pouvait se ressourcer à l’abri de toute préoccupation matérielle, offrait à la Maison-Mère des individus d’un niveau de compétences exceptionnel et de haute élévation de conscience, capables de sillonner l’espace. Ce lieu idyllique [utopique...] perdit peu à peu de son calme à partir de l’époque lointaine de la Matriarche Šuhia, après la décision d’introduire des millions d’espèces vivantes pour créer un vivier exceptionnel en Anriba. On y implanta également des êtres à la stature colossale chargés de superviser la réserve naturelle. À partir de leurs propres gènes, les Mušidim assemblèrent ces spécimens qu’ils dénommèrent "les gardiens".

« Le Livre de Nuréa – Tome 0 », Anton Parks, en pages 204-205, Barbélú (surnommée la Mère des Origines, Pistis-Sophia, mère de Ía’aldabaut, le grand archonte Yaldabaôth chez les gnostiques et le créateur des Kingú-Babbar / Grands Blonds) :

Barbélú : D’où vient cette lune fragmentée autour de Dubkù (la Terre) ?

Šuhia : C’est un cadeau de nos ancêtres. Cette lune a été captée par Dubkù longtemps après ton époque. Elle est l’une des victimes des conflits qui éclatèrent au sein de la Maison-Mère.

« Le Chaos des Origines », Anton Parks, en page 159 : Les mystères entourant la première Création, placés sous silence dans la Bible judéo-chrétienne, se retrouvent ici [l’histoire gnostique de la Création] mis en avant dans une histoire où l’élément féminin reprend son rôle de maître d’œuvre primordial. Cet aspect féminin de Dieu se nomme généralement Sophia (« sagesse ») ou Pistis (« foi ») ou encore Barbélô.

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© 2016 / 2020, Éditions Nouvelle Terre, Anton Parks

« Le Chaos des Origines », Anton Parks, en pages 177-178 : Les manuscrits gnostiques assimilent Sophia (« Sagesse » en grec) à la Déesse-Mère qui donna lieu au processus de la création originelle. L’oiseau ou la colombe est un symbole universel représentant la Déesse-Mère que le christianisme détourna pour incarner le Saint-Esprit. Cet oiseau courroucé porte la responsabilité de la première création et ressemble étrangement à la Sophia des textes gnostique, entité féminine déchue par ses propres actes et à cause du Démiurge [Yaldabaôth qu’elle engendra à partir du sang d’un Kingalàm, le top des Archontes].

« Le Chaos des Origines », Anton Parks, en page 181 : Yaldabaôth souhaite à son tour crée comme sa Mère, mais à partir de l’image déformée qu’il porte en lui. Avec sa propre vision limitée, il conçoit un nouveau Ciel et une nouvelle Terre ainsi que ses Anges ou démons ; il s’agit des Kingú Babbar dans « Les Chroniques du Ğírkù » [les Nordiques, les Draconiens de Kavassials]. Yaldabaôth ne connaît pas « Dieu », se prenant lui-même pour le seul dieu créateur. [À l’image du trip de pouvoir des Bill Gates, George Soros, Klaus Schwab à un niveau, et des Macron, Trudeau, Legault à un autre niveau et leurs myriades « d’archontes » qui sont formées de collabos. Il se pourrait bien que ce Yaldabaôth soit le « rapace » derrière ces divers protagonistes.]

« Le Chaos des Origines », Anton Parks, en page 184 : Les textes gnostiques de Nag Hammadi ainsi que le récit de la Pistis Sophia expliquent clairement que l’humanité résulterait d’un combat titanesque et d’une lutte d’influences entre plusieurs races d’extraterrestres majoritairement reptiliennes. [Voilà pourquoi j’ai mentionné à quelques reprises que nous sommes les derniers-nés d’une grande famille cosmique dysfonctionnelle.]

« TERRE », Barbara Marciniak, en page 198 : La Lune est un satellite fabriqué. Elle fut construite et ancrée à l’extérieur de l’atmosphère terrestre pour agir comme appareil de médiation et de surveillance, comme un super-ordinateur, ou un œil, dans le ciel.

« MESSAGERS de l’Aube », Barbara Marciniak, en page 16 : Finalement, dans un des systèmes galactiques, un plan fut établi pour concevoir la Terre comme un centre intergalactique d’échange d’information. Bien des civilisations avancées firent don de leur ADN afin qu’une réplique de leur code les représente sur cette planète. Les maîtres généticiens conçurent ensuite diverses espèces… afin de faire de la Terre un centre d’échange d’information, un centre de lumière, une véritable bibliothèque vivante.

« TERRE », Barbara Marciniak, en pages 3-4 : Nos ancêtres [lesquels ?] faisaient partie des Planificateurs originels de la Terre, des chefs d’orchestre qui ensemençaient des mondes et des civilisations avec de la lumière et de l’information, grâce à la créativité et à l’amour. Le plan consistait à créer un centre intergalactique d’échange d’informations sur votre planète, la Terre. De nombreuses civilisations ont donné volontairement de leur ADN pour avoir une réplique de leur lignée et de leur code génétique sur cette planète. Les maîtres généticiens ont [ainsi] façonné une variété d’espèces, certaines humaines, certaines animales…

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Puis les Reptiliens, les Draconiens sont arrivés pour prendre le contrôle de la planète

« Le Livre de Nuréa – Tome 0 », Anton Parks, en pages 222 :

Barbélú : Qu’as-tu fait Ía’aldabaut ? Tu t’es uni à ta propre déraison !

Ia’aldabaut : J’ai fait comme toi avec tes Gina’abul, Ô ma mère. Je te présente les Babbar, les Autorités Lumineuses qui domineront toutes choses.

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© 2020 version originale, Éditions Nouvelle Terre, Anton Parks

« L’Oracle de l’Oiseau Tonnerre – Tome 4 », Anton Parks, en page 193, narration faite par Sabu (Anubis) lors d’une attaque surprise contre Seth (Enlíl) sur Mars : Heru (Horus), Dağde, moi-même et quelques soldats triés sur le volet prîmes la direction des souterrains millénaires jadis creusés par les Kingú albinos royaux, les Babbar. Ces derniers avaient dominé sans partage l’ensemble de Ti-ama-te (le Système Solaire) durant des centaines de millénaires, et sans doute plus encore, plongeant ainsi leurs racines depuis des temps immémoriaux au cœur même de l’histoire du Cosmos.

Il s’agit des archontes, ceux que Kiwan pour Richard Glenn qualifie de « rapaces ». Mais ça remonte à des millions d’années. Ce ne sont pas les mêmes que ceux évoqués par les Pléiadiens de Marciniak (Enki / Osiris / Horus / Lucifer / Christ / Nungal VS Enlil / Seth / Satan / Anunnaki) qui, lors de leur arrivée voilà près de 300 000 ans, vont les pourchasser et les faire fuir pour un temps, et prendre à leur place le contrôle du système solaire et de la Terre après avoir gagné en partie leur guerre civile ici, mais l’avoir perdue globalement dans leur système stellaire d’où elle a débuté.

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© 2007 / 2020, Éditions Nouvelle Terre, Anton Parks

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en pages 437 à 440 de la section « Archives et Décodages » : Le terme « Archonte » provient du grec ἄρχω / Archo (« être chef, diriger, régner ») et de Archon ἄρχον / Archon (« prince, chef, magistrat »). En Grèce antique, les Archontes étaient les détenteurs des charges les plus élevées, comme les fonctions judiciaires et politiques de chaque grande ville. Au sens large, Archonte désigne un individu puissant, détenteur d’une autorité publique. Au sens politique, un Archonte est un gouverneur ou un administrateur ; il serait ce que l’on nomme aujourd’hui un fonctionnaire de l’État. Les Archontes étaient tous de souche noble, comme l’étaient les Anunnaki d’An.

Il y a plusieurs niveaux de lecture avec les « archontes ». Il y a bien sûr la référence aux Anunnaki présents sur Terre depuis près de 300 000 ans. Mais bien avant eux, les Kingú-Babbar du Grand Archonte Yaldabaôth. Et derrière Yaldabaôth, il y a les Kingalàm.

En fait, les Kingalàm sont des Mušidim (Faiseurs de Vie) qui ont subi des métamorphoses suite à des radiations subies lors de voyages temporels. Avec le temps, ils ont oublié leurs origines. Et l'Humanité est la résultante de cette anomalie qui perdure depuis des millions d'années avec d'incessants conflits pour le pouvoir et le contrôle.

Les Mušidim (Faiseurs de Vie) se seraient échoués dans notre système solaire suite au Big Bang ou Grand Rebond. Les Gina'abul et Yaldabaôth auraient été créés des millions d'années plus tard sur Terre. En quelque sorte, la Terre est vraiment « le centre de l'Univers » !

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Et comme La Belle Histoire, je crois que nous nous sommes incarnés dans ces différentes versions d'une même famille galactique au fil des millions d'années qui jalonnent ses pérégrinations et ses péripéties. Et nous serions près d'une conclusion...

Au 7e siècle av. J.-C., alors que la situation politique d’Athènes n’est plus stable entre l’aristocratie et le peuple, un certain « Drakon » (ou Dracon) profite de la division interne des Archontes pour prendre le pouvoir. Drakon veut dire à la fois « dragon », « grand serpent » et « souverain » en grec ancien. Les découvertes réalisées dans cette étude laisseraient à penser que ce Drakon aurait pu, lui aussi, posséder du sang reptilien.

En - 621, Drakon rédige ses fameuses lois en qualité d’Archonte éponyme… La sévérité de ses mesures donne naissance à l’adjectif « draconien » que l’on retrouve dans les expressions « lois draconiennes » ou « mesures draconiennes ». En effet, la moindre faute, la plus infime soit-elle, était punie de mort !

Que peuvent vouloir dire ces quelques exemples parmi des milliers ? Ils nous informent simplement sur la nature reptilienne que possédaient certains rois ou notables de l’antiquité. [Serait-ce le cas des Mérovingiens… ?]

Comme tout auteur qui apporte de vérités dérangeantes, David Icke est souvent critiqué et humilié dans la presse comme sur le Web. David Icke a-t-il raison ? Existerait-il une conspiration reptilienne, et des descendants reptiliens seraient-ils infiltrés dans les hautes sphères gouvernementales ? Mon travail, ne serait-ce que dans cette étude, répond en partie à ces questions. Beaucoup de personnes savent qu’aujourd’hui que les différents gouvernements ne sont pas libres et qu’il existe bien une autorité cachée au-dessus de tout. Mais quelle est-elle ? Est-elle Anunna ? Est-elle Kingú, ou autre chose encore ? [Kingalàm ? Imdugud ? Tous ces choix de réponses peuvent correspondre aux Nordiques d’Orion, ces Draconiens de George Kavassilas. Et tous peuvent correspondre aux Archontes des gnostiques. Personnellement, je crois qu’au moins un de ces « élus » est derrière la menace de COP15.]

Cette étude offre désormais des réponses claires concernant ce sujet. La présence reptilienne dissimulée dans le passé de l’humanité comme dans le corps humain est certaine et indéniable.

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en page 374, section Archives et Décodages : Cette nouvelle interprétation de la tablette AO 4153, du Musée du Louvre offre quelques précisions inédites sur l’histoire des « dieux » échoués sur Terre et semble en accord avec le contexte général proposé dans mes différents essais comme dans les récits des Chroniques du Ğírkù.

Lors d’une guerre galactique contre des adversaires non spécifiés, une race reptilienne se serait échouée sur Terre, avec l’incapacité de repartir – « dans l’impossibilité de s’emporter dans le temps » précise le texte. Dans ce contexte difficile de survie, une colonie s’installe sous les ordres d’un « responsable ».

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en page 158, narration de Sa’am (Enki / Ptah / Osiris) : La guerre, la GUERRE, se poursuit en Ti-ama-te (le Système Solaire) encore et toujours ! Beaucoup plus longue que prévue, elle provoque de terribles pertes du côté Anunna, mais je ne connais pas les chiffres.

Les planificateurs félidés qu’on appelle « Urmah » déploient un grand dispositif militaire à l’est de la vaste Edin (plaine) vers Kankala (l’Afrique). Leur base n’a jamais pu être repérée par mes Kuku (ancêtres). Les Ušumgal pensent qu’il s’agit de bases souterraines. C’est effectivement ce que je viens de découvrir dans les archives de Nammu, précisément en ton cœur, Ugur [nom donné au Ğírkù (cristal)]. Cette zone secrète et souterraine se dénomme Kigal, un nom qui se rapporte à la densité inférieure « KIGAL ». [située sous le plateau de Gizeh / Giza, du sumérien GI-GAL (Antoine Gigal)]

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Mulge est l’astre des Planificateurs, avant sa destruction, devenant la ceinture d’astéroïdes. Bien sûr, du temps des Mušidim (Faiseurs de Vie), toutes ces planètes avaient une autre dénomination.

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en page 165, narration de Sa’am (Enki / Ptah / Osiris) : La guerre achève. Les combats semblent avoir cessé sur Udu’idimsa (Mars). Les Mìmínu (« gris ») se sont éparpillés sur l’ensemble de Ti-ama-te (le Système Solaire). Mulge, la planète des Kadištu (Planificateurs), ne sera jamais dominée par mes Kuku (ancêtres), car sa fréquence est bien trop haute pour notre race. Ti-ama-te étant désormais sous le contrôle des Gina’abul…

Depuis quelque Iti (mois), je me déplace souvent en Gigirlah vers l’extrême Sud de Kankala (l’Afrique). Les va-et-vient des félidés se sont intensifiés ces derniers Ud (jours). J’ai l’impression que les Urmah abandonnent les lieux… J’ai vu quelques spécimens de près à l’aide d’un engin grossissant. Les Urmah sont assez impressionnants, leur stature semble plus massive que la nôtre, ils possèdent de larges épaules et une tête de Piriğ (lion) avec une chevelure ocre.

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en pages 166 à 168, narration de Sa’am (Enki / Ptah / Osiris) : Ça y est, les Urmah viennent de quitter le Kigal dans un fracassant « son et lumière ». Ils sont partis il y a trois Ud (jours) à la faveur de la nuit. Une flotte colossale s’est arrachée de terre en plusieurs vagues successives dans un fracas continu qui a soulevé le sol. Seule une sommation venant exclusivement de la confédération Kadištu (planificatrice) peut justifier une telle manœuvre militaire. La situation est d’autant plus insolite à mes yeux que cela fait cinq Ud (jours) que nous possédons désormais les chiffres des survivants Anunna. Le nombre de soldats Gina’abul ne dépasse pas le millier d’individus. Ils seront près de 600 à descendre sur Uraš (la Terre). Les 400 autres seront principalement cantonnés sur Udu’idimsa (Mars). La victoire de mes Kuku (ancêtres) sur les Kadištu demeure un cuisant échec. Nous ne sommes qu’une poignée de survivants. Nos soldats subirent la plus grosse défaite connue de mémoire de Gina’abul. An et ses frères ont transformé cette débâcle en victoire pour soigner leur image et pour redonner le moral à notre colonie. Durant toutes ces années de guerre, mes Kuku eurent, certes, l’appui décisif de nombreuses unités Mìmínu (« gris »), mais cela n’explique pas pourquoi plusieurs milliers d’Urmah ont définitivement quitté Uraš il y a trois Ud, en pleine nuit…

Après leur départ, je me suis dirigé vers le large plateau abandonné par les soldats félidés.

Il s’agit de cavernes artificielles.

J’ai découvert différentes agglomérations dans le Kigal [sous le plateau de Gizeh]. Je suis renversé par ce lieu. J’aimerai m’installer ici.

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en page 173, narration de Sa’am (Enki / Ptah / Osiris) : Les Urmah me remarquèrent sans doute en train de les épier depuis plusieurs Iti (mois). J’ai pourtant été extrêmement discret. Ils auraient pu m’abattre sans laisser aucune trace. À l’opposé, ils me lèguent leur base secrète et deux vaisseaux aux allures dissemblables.

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en page 275, narration de Sa’am (Enki / Ptah / Osiris) sur Mulge-Tab (Vénus) alors la lune de Mulge : J’ai eu une discussion importante avec mes frères Abgal [Nommo]. L’un d’eux me souffla qu’ils avaient conversé ensemble et décidé de me proposer leur soutien appuyé sur Uraš : « En dehors de vos augustes Nindiğir (prêtresses), nous sommes les derniers véritables Kadištu (Planificateurs) présents en Ti-ama-te (le Système Solaire). Puisque tu as décidé de marquer cette sainte planète du sceau de Gagsisá (Sirius), nous nous devons de t’offrir notre assistance. »

Il a ainsi été décidé que plusieurs Abgal allaient m’accompagner sur Uraš (la Terre) afin d’œuvrer pour la paix des (l’humanité).

« MESSAGERS de l’Aube », Barbara Marciniak, en page 17 : Le projet d’une bibliothèque vivante sur Terre finit par faire l’objet d’une lutte. Dans les débuts de l’histoire de la Terre, il y eut des guerres dans l’espace pour la propriété de cette planète. Ces dieux créateurs firent un raid sur la Terre il y a environ 300 000 ans…

Mais comme déjà vu, voilà 300 000 ans ce fut plutôt une guerre qui amena les Anunna, les Nungal et compagnie (Enki / Enlil) dans notre système solaire, les forçant à un exil. Le véritable « raid », lui, remonterait à des millions d'années avec le Démiurge Yaldabaôth et ses archontes, les Kingú-Babbar. Alors les Pléiadiens feraient erreur.

« MESSAGERS de l’Aube », Barbara Marciniak, en page 19 : Ces nouveaux propriétaires qui arrivèrent ici, il y a 300 000 ans, étaient les êtres magnifiques [ils forcent la note, là...] dont il est question dans votre Bible, dans les tablettes babyloniennes et sumériennes, et dans les textes qu’on a retrouvés partout dans le monde.

« TERRE », Barbara Marciniak, en pages 13-14 : Certains dieux créateurs qui avaient le droit de faire tout ce qu’ils voulaient – car la Terre est une zone de libre arbitre – sont venus et ont fait main basse sur la planète. Cela s’est produit il y a environ 500 000 ans… [d'un livre à l'autre, il y a 200 000 ans de différence ; tout un écart-type !] La tyrannie qui s’est installée sur Terre nous revient. Si nous voulons croître, nous devrons guérir un passé auquel nous avons été reliés.

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 3 », Anton Parks, en pages 30 à 39, extraits sur l’arrivée de Sa’am (Enki - Ptah - Osiris) et de Sé’et (Isis) dans notre système solaire voilà près de 300 000 ans, narré par Sa’am : Le fluide de l’habitacle était sur le point de se solidifier lorsque nous amorçâmes la grande descente vers le cœur de Ti-ama-te (le Système Solaire).

Une gigantesque planète aux reflets vaporeux attira irrésistiblement nos regards et se matérialisa progressivement tout autour de l’habitacle. Elle possédait une lune de bonne taille. Mam m’informa qu’il s’agissait de Mulge (« l’Astre Noir »), la planète des Kadištu (Planificateurs).

La vie n’y est pas possible en dimensions KIGAL, mais elle l’est en ANGAL et dans son Abzu [monde creux]. Cette planète n’était visiblement pas notre destination, mais la suivante de ma mère le savait à coup sûr, car nous abordâmes bientôt une descente précipitée.

Nous quittâmes les feux terrifiants de Salbatánu [Mars, où se déroulait dans l’espace une partie de la guerre civile entamée dans les Pléiades] pour nous diriger vers Uraš [la Terre].

Un ballet impressionnant de vaisseaux Kadištu tournait autour d’elle comme le ferait un anneau naturel formé de fragments de pierres et de glaces.

« Il fut créé ici plusieurs variétés d’animaux qui synthétisent les différentes espèces que l’on peut trouver dans notre Univers », nous expliqua Mam.

Mam ajouta qu'Uraš était un parc naturel sacré pour lequel les Mušidim et ensuite le collectif Kadištu conjuguèrent leurs compétences planificatrices en vue de synthétiser leurs connaissances millénaires. Cette réserve sacrée se trouvait sous la responsabilité des Namlú’u (êtres humains).

En voyant toutes ces merveilles et cet équilibre menacé par la bataille qui faisait rage à quelques lieus de là, je me remémorais les propos des Kadištu (Planificateurs) et le fait que nous étions venus ici-bas pour transformer les probabilités d’Uraš.

Nous étions une poignée d’exilés sur ce globe étranger.

Ici, nous étions à l’abri des combats qui faisaient rage en Ti-ama-te, particulièrement ceux qui se déroulaient sur Udu’idimsa (Mars), le garde-manger de ce système stellaire. La conquête d’Udu’idimsa fut décisive pour mes Kuku (ancêtres). Mon créateur [l’Ušumgal dénommé An - YHWH] s’y installa avec ses sanguinaires partisans.

La grande majorité de notre collectivité se composait de membres planificateurs.

Notre survie fut difficile, car cette planète est extrêmement sauvage. Je m’aperçu peu à peu qu’Uraš semblait bien moins idyllique que prévu. Son histoire est émaillée de désaccords et de conflits souvent sanglants.

La densité du KI est particulièrement élevée sur Uraš. J’ai parfois les oreilles qui sifflent légèrement. Les Anunna ont beaucoup de mal à supporter le KI de cette planète et ils souffrent souvent de maux de crâne. Les Nungal semblent supporter cette fréquence sans problème, ce qui est pour moi une énigme.

[image]
KIGAL = 3e dimension et moins / ANGAL = 4e dimension et plus

« ÁDAM GENISIŠ – Tome 2 », Anton Parks, en pages 70 à 73, extraits épars narrés par Sa’am (Enki / Osiris) qui rencontre un Kingú-Babbar (Nordique / Draconien) après s’être fait abducté par eux : L’étrange personnage me fit face. Il était vêtu d’étoffes aux nuances vermeilles. Je ne fus guère surpris de découvrir un Babbar pure souche.

Sa physionomie semblait pratiquement identique à celle des Nungal [anges veilleurs / déchus], avec toutefois des yeux très clairs, de longs cheveux aux reflets kùsig (de l’or) et une petite queue que les Nungal ne possèdent pas.

Les Babbar possèdent cette arrogance bien connue. La même que les Kingú rouges. Malgré leurs différences physiques, ils ne sont pas frères pour rien ! Les Kingú-Babbar et les Kingú rouges nous ont toujours méprisés au plus haut point. Ils nous considèrent comme inférieurs. Des rumeurs prétendent qu’ils auraient dévoré certains d’entre nous par le passé…

Les Planificateurs ont aussi, suite à un compromis, créé un être hybride conçu à partir des Kingú-Babbar et de leurs guerriers félidés Urmah : les Imdugud.

« TERRE », Barbara Marciniak, en page 24 : La Terre est l’une des [douze] bibliothèques essentielles de cette galaxie et de cet univers ; c’est pourquoi l’enjeu est si grand.

« TERRE », Barbara Marciniak, en pages 78-79 : Les documents sumériens contiennent de nombreuses clés pour mieux comprendre votre lignée ancestrale [datant de plus de 500 000 ans]. Ces documents anciens rappellent un temps, il y a des centaines de milliers d’années, où deux frères monarques [en opposition], Enki [père cloneur] et Enlil [fils cloné], étaient en charge du projet Terre. Ces visiteurs appelés les Anunnaki, sont venus des cieux sur la Terre et ont joué aux dieux.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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