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COMPLÉMENT SURPRENANT #02 -PARTIE 2-COMPLET-

par gilles surprenant ⌂, vendredi 17 janvier 2020, 03:37 (il y a 1562 jours) @ gilles surprenant

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[image]VIDÉORANDIA #2-CLIQUEZ ICI-
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Scandale (Bombshell) est un film dramatique américain réalisé par Jay Roach, sorti en 2019. Il s'inspire de faits réels sur les accusations contre Roger Ailes, cofondateur de Fox News Channel.Plusieurs femmes travaillant pour Fox News ont plusieurs altercations avec le fondateur de la chaîne, Roger Ailes.Inspiré de faits réels, SCANDALE nous plonge dans les coulisses d'une chaîne de télévision aussi puissante que controversée. Des premières étincelles à l'explosion médiatique, découvrez comment des femmes journalistes ont réussi à briser la loi du silence pour dénoncer l'inacceptable.

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Alors qu'ils sont encore des enfants, Martin et Dovidi se lient d'amitié à travers la musique. Dovidi est un violoniste de génie et décide de prendre Martin sous son aile pour qu'il l'accompagne au piano. Alors qu'une guerre mondiale fait rage, nos deux amis eux tentent d'apporter de la lumière grâce à la musique. Devenu de jeunes hommes, à la veille d'un grand spectacle où il sera le soliste, Dovidi disparaît. Martin passera alors sa vie à chercher son ami.Film fait par le Québécois François Girard (Le violon rouge, Hochelaga).

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-VIDÉO CLIQUEZ ICI-Joseph Campbell and the Power of Myth with Bill Moyers | Star Wars | PBS-
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Il n’y a pas de doute à mes yeux que le mythologue américain Joseph Campbell est un des grands maîtres à penser de notre époque; et qu’il était devenu, à la fin de sa vie, ce qu’on appelle dans les grandes traditions spirituelles un être réalisé.
On lui demanda un jour s’il avait la foi. Il répondit sans hésiter: "Je n'ai pas besoin de la foi. J'ai l'expérience..." De toute évidence, il faisait allusion à l’expérience d’être éveillé à lui-même, à sa nature profonde qui est le Soi. Il avait donc atteint le but de la démarche spirituelle, ou du moins il avait franchi le seuil de cet espace mental qu’on appelle le Nirvâna, qu’il définissait d’ailleurs comme un état d’esprit, correspondant à l’expérience de la réalisation.

J’ai envie de dire: pourtant, Campbell n’a été pendant plus de trente ans qu’un professeur de mythologie comparée dans un Collège des Etats-Unis... Il a aussi fait paraître plusieurs ouvrages qui lui ont valu à un moment la réputation d’être une autorité mondiale en la matière. Dans les milieux universitaires, toutefois, sa démarche a suscité et suscite encore une certaine controverse. On lui reproche une interprétation plus intuitive que scientifique de certains mythes et, surtout, un enseignement qui tient moins de la mythologie même que de la spiritualité.

Mais au cours des 20 dernières années, sa vision du monomythe, selon laquelle il existe une structure universelle de tous les grands mythes, devait étendre considérablement l’influence de Campbell. De nombreux créateurs se sont inspirés de ses travaux pour structurer leurs œuvres, parmi lesquels plusieurs cinéastes dont George Lucas qui reconnaît volontiers qu’il a conçu sa trilogie Star Wars, les livres de Campbell sur sa table de travail.

À une étape de sa démarche, cet homme d’une culture exceptionnelle est parvenu à des synthèses fulgurantes qui l’ont amené à suggérer que les mythes renferment un enseignement initiatique, ce qu’il n’était pas le seul à soutenir du reste, mais à les véhiculer comme tels: c’est-à-dire non plus seulement comme une discipline universitaire mais plutôt comme un outil de croissance et de réalisation au plan spirituel. Tel était du moins le cheminement que les mythes lui ont permis de faire, et qu’il suggérait dans son enseignement.


Quelques années avant sa mort, alors que Campbell avait plus de 80 ans, son destin prit un cours inattendu. Le journaliste Bill Moyers, animateur à la télévision américaine, et plus spécialement depuis quelques années à la télévision éducative de la PBS, conçut le projet d’une série d’entretiens avec Campbell, pour la télévision. George Lucas accueillit ce projet avec enthousiasme et voulut y être associé. Il faut dire ici que l’estime de Lucas pour Campbell tient de la vénération. A l’occasion d’une cérémonie en l’honneur du mythologue, Lucas termina son hommage public par cette phrase: "Joe, vous êtes mon Yoda..." — allusion à un sympathique personnage de gourou d’un de ses films, qui s’exprime du reste, comme un Maître Zen, ou taoïste, ...bref, comme Campbell! La plupart des entretiens de Moyers avec Campbell devaient d’ailleurs se dérouler dans la bibliothèque de Skywalker Ranch, domaine de George Lucas en Arizona.


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Au printemps 1989, The Power of Myth, la série de six émissions tirée des 24 heures d’entretiens de Campbell avec Moyers, diffusée par la PBS, devait remporter un extraordinaire succès.
https://markcz.com/joseph-campbell/
La première diffusion de la série attira chaque semaine plus de 2 millions et demi de téléspectateurs; une seconde diffusion, à la demande du public, à peine quelques mois plus tard, connut un égal succès; enfin, au cours de la même période, le livre édité à partir de ces entretiens est demeuré sur la liste des best-sellers du New York Times pendant 21 semaines...Mais Campbell venait de mourir à 83 ans.
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Et c’est ainsi que ce grand mythologue est lui-même entré, pour ainsi dire, dans la légende... L’Amérique venait de découvrir en lui un de ses grands maîtres à penser et, du même coup, un de ses Maîtres spirituels.

L’influence de Joseph Campbell sur mon évolution récente est considérable. Plus spécialement depuis la diffusion de ses entretiens à la télévision. J’avais déjà lu certains de ses articles et quelques-uns de ses ouvrages, mais la série télévisée — de même que, depuis, la vidéocassette — offre l’avantage de la communication orale, permettant non seulement de se familiariser avec le message mais de découvrir le messager; et de constater que l’adéquation entre les deux est parfaite.

Campbell EST le message qu’il véhicule... Ce que Bill Moyers du reste, souligne dans l’introduction du livre The Power of Myths: "Lorsqu'il (Campbell) nous dit que les mythes sont une source d’enseignement sur notre potentiel spirituel le plus profond, capable de nous guider vers la joie, l'illumination et même l’extase de vivre, il s'exprime comme quelqu'un qui a fréquenté les lieux où il invite les autres à se rendre." Son enseignement ne me touche en profondeur que parce qu'il en est le vivant témoignage. J’ai revu à plusieurs reprises ces entretiens sur vidéocassette. J’en ai fait, pour tout dire, une forme de rituel. Je me suis même offert le luxe d’une analyse de contenu. Et — ô magie de l’électronique! — j’ai de plus en plus le sentiment de me trouver en présence de Campbell...

L’idée maîtresse de l’enseignement de Campbell se trouve simplement dans le message commun à tous les grands mythes, qu’il a su incarner dans sa vie, et "qu’on peut ramener, comme il le dit, à l’exigence pour la psyché humaine de se centrer avec détermination en fonction de principes d’excellence".

A propos de notre époque, Campbell dit que nous ne savons plus voir la vie comme une aventure vers laquelle on va, mais comme un ensemble de dangers qu'il faut éviter: les drogues, le divorce, l'inflation, le cholestérol, la guerre nucléaire... "De toute évidence, dit-il, il ne suffit pas de dire non à tout ce qui nous menace si, par ailleurs, nous n’avons rien qui soit suffisamment important à quoi dire oui."

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Depuis des millénaires, toutes les civilisations sur tous les continents se sont enrichies et ont perpétué de grands mythes et légendes issus de la nuit des temps.Peut-on les relier entre eux, trouver des sources communes et en dégager le sens profond? C'est ce travail titanesque qu'a réalisé Joseph Campbell, reconnu aujourd'hui comme le plus grand spécialiste mondial du mythe. Dans cet essai, il expose et développe sa théorie du monomythe selon laquelle tous les mythes répondent aux mêmes schémas archétypaux. En effet, le périple de presque tous les grands héros mythiques se déroule selon un enchaînement bien déterminé: il commence par un " appel à l'aventure " poussant le héros à abandonner son pays et ses proches. Au cours de son voyage, il devra franchir un premier obstacle, souvent aidé d'un maître ou d'un guide spirituel, épreuve dont il sortira grandi. Se succéderont alors d'autres épreuves qu'il franchira victorieux, s'affranchissant graduellement de l'aide de son mentor, pour accomplir finalement l'objet de sa quête, atteindre une apothéose qui représentera symboliquement l'émancipation. Le héros retourne enfin au pays, complètement transformé par l'expérience initiatique de son épopée. Joseph Campbell démontre que quasiment tous les héros mythiques, de quelque époque ou culture que ce soit, suivent dans les grandes lignes ce schéma. Les oeuvres plus contemporaines ne font pas exception: Star Wars, tout comme Matrix ou le Seigneur des Anneaux, sont construits selon ce même archétype. Ce n'est pas un hasard si Le Héros aux milles et un visages est le livre de chevet des plus grands scénaristes et metteurs en scène.

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Le monomythe est une théorie élaborée à la fin des années 40 par Joseph Campbell, un écrivain, mythologue et anthropologue américain, selon laquelle tous les mythes de l’humanité se basent sur le même schéma. Oui, tous les mythes : les cosmogonies de toutes les cultures, les héros grecs, le culte des ancêtres, les contes amérindiens, indiens, chinois, anglais, les légendes, chaque livre de la Bible, peuvent être comparés et rassemblés. L’humanité ne ferait que décliner à l’infini le même mythe fondateur. Par extension, la littérature, dans toute sa variété, n’est qu’une variation de ce monomythe.Campbell a produit un archétype de mythe, appelé le Voyage du Héros. Trois grandes étapes se succèdent : la séparation, l’initiation et le retour.
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STRUCTURE DU MONOMYTHE

La structure fondamentale avancée par Campbell se compose de cinq grandes étapes :

-Un appel à l'aventure, que le héros doit accepter ou décliner ;
-Un cheminement d'épreuves, où le héros réussit ou échoue ;
-La réalisation du but ou du gain, qui lui apporte souvent une meilleure connaissance de lui-même ;
-Un retour vers le monde ordinaire, où le héros réussit ou échoue ;
-L'utilisation du gain, qui peut permettre d'améliorer le monde.

GENÈSE DU CONCEPT DE MONOMYTHE
Dans son livre Theories of Mythology, l'helléniste Eric Csapo mentionne brièvement les travaux de Campbell dans la section « Psychanalyse » et les définit comme « une approche jungienne à la base, quoique éclectique, du mythe ». Les travaux de Campbell sont influencés par la psychologie analytique fondée par Jung (lui-même ancien collaborateur de Sigmund Freud) dans la première moitié du XXe siècle.Luke Skywalker vit une vie de fermier sur Tatooine. Soudain, deux droïdes lui montrent l’appel à l’aide de la princesse Leïa et il rencontre Obi-Wann, qui lui parle des Jedi et des Sith, puis plus tard commence une formation de Jedi. Luke refuse de partir : il est trop attaché à son oncle et à sa tante. Mais quand ces derniers sont tués, il ne peut revenir en arrière et accepte la quête : délivrer la princesse Leïa, rejoindre la rébellion et détruire l’Etoile Noire. Il rencontre des alliés, comme Han Solo et Chewbacca, et des ennemis, dirigés par Darth Vador. Lors de l’ultime épreuve, Luke fait appel aux enseignements d’Obi-Wann et détruit l’Etoile Noire. L’aventure terminée, Luke est honoré par les rebelles.
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Frodon vit une vie paisible à Hobbitbourg. Soudain, il entre en possession d’un Anneau magique et il rencontre Gandalf, qui lui parle de Sauron. Frodon cache l’Anneau, mais quand les Nazgûls sont lancés à sa poursuite, il ne peut rester à Hobbitbourg et il accepte la quête : détruire l’Anneau pour sauver la Terre du Milieu. Il rencontre des alliés, comme Aragorn, et des ennemis dirigés par Sauron, par l’intermédiaire de ses lieutenants. Lors de l’ultime épreuve, Frodon détruit l’Anneau. L’aventure terminée, il est honoré par tout le monde et retourne à Hobbitbourg mener sa vie tranquille.

Harry Potter, les films de Disney, les grands cycles de fantasy, la littérature tout entière suit, de près ou de loin, ce schéma.Les travaux de Campbell n’ont pas fait l’unanimité dans le monde universitaire, surtout chez les mythologues qui mettent en avant le manque de preuves. Campbell a lui-même admis que tous les mythes ne présentent pas la totalité des étapes, ni dans le même ordre.
-VIDÉO CLIQUEZ ICI-Star Wars : Monomythe et voyage du héros.-

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Incontournable dans les films, le sabre laser n’est pas une arme tout à fait comme les autres. Elle a en effet pour but de symboliser la force de celui ou celle qui la porte.Les Jedi et les Sith ne choisissent cependant pas ces teintes en fonction de leur goût, mais plutôt de leur personnalité ou de leur style de combat.Chaque teinte a en effet sa propre signification.


Les sabres bleus

Ils sont généralement confiés aux gardiens et donc aux Jedi à l’aise avec les combats physiques. Parmi les plus connus se trouvent Obi-Wan Kenobi ou encore Anakin Skywalker, du temps où ce dernier n’avait pas encore renoncé au côté lumineux de la Force.Luke a d’ailleurs récupéré dans la première trilogie le sabre de son père.Les sabres turquoiseTrès répandus aussi chez les Jedi, les sabres turquoise symbolisent avant tout la pureté et ils sont donc remis aux Chevaliers adeptes de méditation. En règle général, les Jedi qui utilisent des sabres de cette couleur sont très sensibles au côté lumineux de la Force.Des Jedi comme Ferus Olin par exemple.


Les sabres verts

Les sabres verts sont aussi très répandus chez les Jedi, mais ils s’adressent davantage aux diplomates ou aux consulaires, et donc à celles et ceux qui tentent de négocier la paix sans avoir recourt à la violence.Qui-Gon Jinn était ainsi équipé d’un sabre de ce type et il en va bien entendu de même pour Yoda ou Ahsoka Tano. Luke finit également par hériter d’un sabre vert, un sabre construit par ses soins.


Les sabres verts clairs

Ces sabres sont habituellement remis aux Jedi proches de la nature et capables d’entrer en communion avec elle.Rahm Kota, par exemple, possède un sabre de ce type. De même pour Kao Cen Darach.


Les sabres violets

Beaucoup plus rares, ces sabres sont censés être remis aux Jedi faisant appel à des techniques issues du côté lumineux comme du côté obscur de la Force. Ils requièrent par conséquent beaucoup de sagesse et de maîtrise de soi.

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Certains d’entre vous savent sans doute que Samuel L. Jackson avait expressément demandé à avoir un sabre laser de cette couleur dans la seconde trilogie. Il faut néanmoins noter que Mace Windu n’est pas le seul à manier ce type de sabre.Dark Traya en manipule un aussi et elle est d’ailleurs un Seigneur Sith. Même chose pour Mara Jade, qui a commencé sa vie comme Main de l’Empereur Palpatine avant de devenir une figure emblématique du Nouvel Ordre Jedi fondé par Luke Skywalker… son époux avec lequel elle a eu un fils prénommé Ben Skywalker.


Les sabres orange

Très rares eux aussi, ces sabres symbolisent avant tout la ruse et la négociation. Ils sont donc généralement confiés aux espions et à toutes les personnes œuvrant dans l’ombre, comme les assassins.Deux personnages connus ont eu un sabre de ce type : Yaddle, un Jedi appartenant à la race de Yoda, et Tyvokka, une Wookie capable de percevoir fugacement l’avenir.

Les sabres jaunes

Ces sabres sont confiés aux Jedi Sentinelles et donc aux Jedi vouant leur vie à étudier les techniques de combat… du côté obscur.

Créées du temps de l’Ancienne République, les Sentinelles étaient généralement chargées de poursuivre et de traquer les serviteurs du côté obscur ou les Jedi s’étant un peu trop écartés de la lumière. Elles offraient effectivement une résistance accrue au côté obscur de la Force.Parmi les Sentinelles les plus connues se trouvent Bastila Shan ou encore Atton Rand.


Les sabres dorés

Les Jedi dotés d’un tel sabre font rarement appel à la force physique.Ils sont en effet plus discrets et ils n’aiment habituellement pas en venir aux mains… ce qui ne les rend pas moins dangereux pour autant. En réalité, ces derniers présentent généralement une grande connexion à la Force et il ne faut donc pas les sous-estimer.


Les sabres argentés

Peu de Jedi ont un sabre de ce type. Cette couleur symbolise avant tout la concentration et ils sont donc remis aux guerriers les plus sages et présentant une grande connexion avec la Force.


Les sabres blancs

Encore une couleur méconnue. Et pour cause, puisque peu de Jedi manipulent de tels sabres.En réalité, cette couleur est attribuée aux guerriers capables de faire preuve d’une abnégation complète pour la cause qu’ils défendent, une cause pour laquelle ils sont bien entendu prêts à tout sacrifier.En règle générale, les Jedi œuvrant pour la paix et la justice arborent un sabre laser de cette couleur. Ahsoka Tano finit d’ailleurs par avoir un sabre de ce type dans Star Wars Rebels.


Les sabres marron

Ils sont aussi assez rares, et pour cause. Ces sabres sont habituellement remis aux Chevaliers Jedi très axés sur l’offensive et les attaques physiques, des Jedi capables de lancer des attaques dévastatrices sur leurs ennemis.Lowbacca, le neveu de Chewbacca, est équipé d’un sabre de ce type.


Les sabres rouges

On change de camp cette fois. Les sabres rouges sont en effet surtout utilisés par les Sith. Il faut d’ailleurs signaler que les cristaux utilisés pour concevoir ces armes n’existent pas à l’état naturel. Ils sont donc construits de toute pièce en laboratoire.Dark Vador porte bien entendu un sabre de ce type, et il en va de même pour son maître ou pour Dark Maul.


Les sabres noirs

Ces sabres sont extrêmement rares. En réalité, un seul sabre de ce type a été recensé pour le moment et il a été créé par Tarre Vizla, le premier Mandalorian à rejoindre l’Ordre Jedi.Par la suite, le sabre est retombé aux mains des autres représentants de la maison Vizla et ces derniers l’ont utilisé pour tuer des Jedi et reprendre le contrôle de Mandalore. Pre Vizla, le Gouverneur de Concordia, a fini par mettre la main dessus avant de mourir sous les coups de Dark Maul.

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Rey, une héroïne née sous le signe du Bélier - signe de feu.Le personnage de REY - ce Mot veut dire "ROI" en espagnol.
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Peu de Jedi manipulent de tels sabres.En réalité, cette couleur est attribuée aux guerriers capables de faire preuve d’une abnégation complète pour la cause qu’ils défendent, une cause pour laquelle ils sont bien entendu prêts à tout sacrifier.En règle générale, les Jedi œuvrant pour la paix et la justice arborent un sabre laser de cette couleur.-Le diamant est dit « brillant », lumineux, étincelant. Il est fait de lumière blanche.La blancheur de l'aube fait place aux rougeurs de l'aurore. En tant que couleur de la pureté, le blanc n'est pas une couleur positive mais une couleur neutre.Le mot BLANC provient du germanique « blank » qui signifie brillant, clair, sans tache, mais aussi nu.- A l'origine, la blancheur est sans couleur, passive, peut-être même sans vie, neutre comme la mort et la blancheur des os.Il est aussi la couleur de l’initiation. Le candidat, mot qui vient de « candide » (candidus), signifie « blanc ».Dans la science des blasons, le blanc se dit « d’argent. »Le blanc est la couleur de l’Est, c’est-à-dire de l’aube (alba signifie « blanc »), et du point du jour qu’on ne doit pas confondre avec l’aurore qui, elle, est rouge, ou rose, et safran. Tôt le matin, alors qu’on ne voit pas encore le soleil, la nuit noire commence par blanchir. C’est l’aube. Puis le ciel, à l’horizon, se colore. C’est l’aurore qui est là. L’aube est un moment de vide entre nuit et jour.On peut reconnaître par analogie les trois étapes principales du Grand Œuvre alchimique : l’œuvre au noir (la nuit), l’œuvre au blanc (l’aube), et enfin, l’œuvre au rouge (l’aurore).L’opposé du blanc est le noir, sa « contre-couleur ». L’un est Lumière, l’autre est Ténèbres. Ils sont complémentaires : les ténèbres révèlent la lumière, et la lumière révèle les ténèbres. Sans l’une, l’autre n’existe pas. Le damier, l’échiquier, le beauceant, étendard des Templiers, parti de sable (noir) et d’argent (blanc), sont des symboles de cette règle de révélation des contraires et des complémentaires. La lumière au fond du tunnel apparait blanche ; en revanche, un puits sans fond apparaît noir. Sans contraste, le blanc ne se discerne pas. En Extrême-Orient, le Taiji tu est le symbole de la dualité du yin et du yang. Il est une parfaite illustration de la complémentarité du blanc et du noir. Si on mélange le blanc et le noir, on obtient une couleur neutre : le GRIS. Luke a pour guide Yoda. Lorsque Luke se coupe de la force il se coupe aussi de la force Fantôme de Yoda. Luke fait donc ce choix à un momnent de sa vie... En choisissant de former à sa manière Rey il se reconnecte à la force et donc aux force Fantôme...

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Le stade du miroir est un terme utilisé par plusieurs psychologues et psychanalystes. Le premier a été Henri Wallon, suivi de René Zazzo, Jacques Lacan, D.W. Winnicott, Françoise Dolto et d'autres. Ces trois derniers auteurs introduisent ce stade dans la théorie psychanalytique."L'enfant considère d'abord son image comme étrangère. Il reconnaît d'abord autrui dans le miroir, comme sur une photo : placé devant un miroir à côté d'un adulte, il se tourne d'adord vers l'adulte. La reconnaissance est plus complexe puisque l'enfant n'a jamais eu une perception visuelle de l'ensemble de son corps, en particulier de son visage. En parlant de "stade du miroir", Jacques Lacan (1901-1981) a mis l'accent sur la puissance de l'image spéculaire (image perçue dans le miroir). C'est seulement vers 2 ans que l'enfant reconnaît vraiment son image dans le miroir. c'est un moment fondateur car l'enfant se perçoit comme unité corporelle et comme moi séparé et différent des autres." D'abord l'enfant reconnaît les autres et s'appelle par son prénom. Après, il se reconnaît en tant qu'individu et il dit "je" (vers 3ans). Plus un enfant se connaît, plus il s'intéresse aux autres.

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Un cristal de quartz à l'extrémité d'un tube de cuivre recouvert d'une lanière cuir.
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-LIEN
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Le SABRE LASER est une arme personnelle développée par chaque CHEVALIER DJÉDI.Au centre, un CRISTAL qui doit être synchronisé sur le CRISTAL BIOLOGIQUE du MAÎTRE DJÉDI.


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Dans STAR WARS - SABRE ROUGE et BLEUE -COULEUR du MAL CONTRE LE BIEN...

DANS LE FILM LA MATRICE - LE CHOIX ENTRE LA PILULE ROUGE ET LA PILULE BLEUE...

SUITE SAMEDI...

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Quelques semaines après les événements du 11 septembre, l'Institute for Creative Technologies (ICT) de l'université de Californie du Sud (USC) organisait, le 9 octobre 2001 avec le soutien du Pentagone, une série de séminaires avec des scénaristes hollywoodiens.
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Coordonnés par le général Kenneth Bergquist, les scénaristes Steven E. De Souza (Die Hard, Piège de Cristal ; Die Hard 2, 58 minutes pour vivre) et David Engelbach (série télévisée MacGyver), le réalisateur Joseph Zito (Delta Force One : the Lost Patrol, Invasion USA, Missing in Action, Portés disparus) devaient imaginer des scénarios d'attaques terroristes et mettre au point d'éventuelles répliques.

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Sidious est la contraction du mot anglais insidious qui veut dire insidieux et du verbe seduce (séduire) et Palpatine vient du latin palpare qui veut dire palper, flatter et du Palatin, l'une des sept collines de la Rome antique,sur laquelle plusieurs empereurs résidèrent.
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Par extension, l'adjectif "palatinus" a acquis le sens d'impérial. Le nom latin de la colline, "Palatium", est la racine des mots palais et palace.Empereur vient à l'origine de imperare "prendre des mesures pour qu'une chose se fasse", "forcer à produire" !

La terminaison en « ine » rappelle Lénine ou Staline, marquant ainsi une proximité avec ces dictateurs totalitaires.

Palpatine combinerait donc la démagogie, voire la corruption de la Rome antique, et l'impitoyable poigne de Staline.Tinea, racine latine de Vermine, teigne. La traduction littérale de "Empereur Palpatine" serait "celui qui force à aller toucher la vermine".

Le premier aspect est démontré dans les 3 premiers films, où il monte une intrigue magistrale pour devenir le chef et le sauveur d'une galaxie qu'il a secrètement poussé au bord du gouffre.

Dans les trois films suivants (les plus anciens), c'est un tyran impitoyable qui écrase toute opposition, et rase des planètes pour l'exemple.

Il est également possible que George Lucas ait voulu rendre hommage à son collègue (et ami) Martin Scorsese et notamment à son film Taxi Driver (1976), dans lequel apparaît le sénateur Palantine.

Lors du New York Comic Con 2014, James Luceno dévoile le véritable nom de Palpatine : Sheev Palpatine.

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