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Chronologique

Hydro-Québec: les Québécois vont payer pour les prix d’ami

par Jeromec, vendredi 02 décembre 2022, 16:35 (il y a 482 jours)

Tout fier d'Avoir signé des contrats pour vendre à l'état de New York de l'électricité à prix moindre que le Québec va payer pour se débarasser à rabais des surplus d'électricité...

La CAQ avait promis de faire face à l'inflation... et dans le plan de match augmenter les tarifs Hydro-Électriques aux heures de pointe...:-|

D'où l'expression ''Con$ comme la CAQ'' prend tout son sens...

https://www.tvanouvelles.ca/2022/12/02/la-sobriete-energetique-pronee-vous-pourriez-dev...

La «sobriété énergétique» prônée: vous pourriez devoir baisser votre chauffage

Démarrer son lave-vaisselle la nuit et baisser le chauffage à la maison pourrait bientôt faire partie de votre quotidien. Le ministre Pierre Fitzgibbon envisage toutes les avenues pour que le Québec économise de l’énergie et songe même à installer des éoliennes dans le Grand Nord.

Une pénurie d’électricité se dessine. Pour faire face à cet enjeu, le ministre de l’Énergie mise d’abord et avant tout sur la «sobriété énergétique». Un projet de loi en ce sens sera déposé en 2023, a-t-il dévoilé vendredi.

«Nous ne sommes pas sobres dans notre consommation, a-t-il plaidé. Nous, comme consommateurs, aussi peut-être faut-il changer nos habitudes».

Selon M. Fitgibbon, on doit «absolument» analyser la tarification dynamique, qui prévoit que l’électricité coûte plus cher aux périodes de pointe.

Même chose pour la baisse du chauffage dans les maisons. «Moi j’ai vécu en Chine, pis je peux vous dire qu’on arrivait le soir dans les maisons et c’était froid, a-t-il insisté, en conférence de presse. Il faut le considérer et on travaille avec Hydro-Québec sur ça, ce sont les experts quand même».

Et avant de construire de nouveaux barrages, le Québec doit miser sur l’éolien pour hausser sa production d’énergie. «On peut en faire beaucoup plus, il vante beaucoup à certaines places dans le Québec», a-t-il soutenu.

Le ministre prend pour exemple le Danemark, qui puise la moitié de son énergie dans l’éolien. «Tout est dans le Nord (du pays) et le monde est dans le Sud. Ils ont un gros tuyau qui part et relie ça. Il va falloir commencer à la regarder. Est-ce qu’on peut faire des projets éoliens massifs dans des endroits où ça va être socialement acceptable?»


Pierre Fitzgibbon laisse même entendre qu’on pourrait ne pas avoir besoin ultimement de nouveaux barrages si on mise davantage sur le vent. «L’éolien, si on met (par exemple) 10 MégaWatts dans le Nord, on n'a pas besoin de barrages».

Sans oublier que nos installations hydroélectriques actuelles sont âgées et peuvent être améliorées. Le ministre a soutenu qu’il existe désormais de nouvelles turbines plus performantes. ''

https://www.journaldemontreal.com/2022/12/02/les-quebecois-vont-payer-pour-les-prix-dam...

Hydro-Québec: les Québécois vont payer pour les prix d’ami aux Américains
C’est ce qu’affirment un ex-ingénieur hydroélectrique et d’autres anciens de la société d’État

Hydro New York

La gouverneure de l’État de New York, Kathy Hochul (au centre), a donné mercredi le coup d’envoi au chantier du Champlain Hudson Power Express, une ligne à haute tension de 545 km qui alimentera la ville de New York en énergie verte québécoise. Kahsennenhawe Sky-Deer (1re à partir de la droite), grande cheffe de la communauté mohawk de Kahnawake, était présente pour la cérémonie.

DAVID DESCÔTEAUX
Vendredi, 2 décembre 2022 00:00
MISE À JOUR Vendredi, 2 décembre 2022 00:00
Alors qu’une pénurie d’électricité se dessine et que François Legault souhaite bâtir de nouveaux barrages, Hydro-Québec s’est engagée à vendre 20 TWh aux Américains à bas prix.

« Ils ont puisé dans le bloc patrimonial pour vendre au rabais l’équivalent de 93 % de la rivière Manicouagan aux Américains ! », s’insurge Pierre F. Gingras, ex-ingénieur spécialisé en projets hydroélectriques qui a travaillé 32 ans chez Hydro-Québec.


Lui et d’autres anciens d’Hydro trouvent aberrant qu’on invite les Québécois à la « sobriété énergétique », comme l’a laissé entendre le ministre Pierre Fitzgibbon, pendant qu’Hydro vendra son or bleu au sud de la frontière.

« On va remplacer ça par quoi ? C’est impossible aujourd’hui de remplacer ces barrages. Des rivières de la qualité de la Manicouagan, on n’en a plus ! Les Américains vont profiter de deux générations de Québécois qui se sont tués à l’ouvrage pour qu’on ait de bons tarifs », déplore celui qui a évalué plus de 200 projets de barrages pendant sa carrière.


Ententes à long terme

Hydro-Québec a conclu récemment des ententes avec l’État du Massachusetts et la Ville de New York, pour leur fournir en tout 19,85 TWh pendant 20 et 25 ans respectivement.

Dans le cas du contrat avec le Massachusetts, le prix que recevra Hydro-Québec à l’an 1 du contrat sera de 5,15 cents US le kWh (l’an 1 devait débuter en 2024, mais sera reporté en raison de litiges juridiques). À l’an 20 du contrat, ce prix sera de 8,24 cents, ce qui suppose un taux d’inflation de 2,5 % pendant la durée du contrat.

Le problème, c’est que le prix de l’électricité sur le marché était déjà de 8,4 cents au dernier trimestre de cette année. L’inflation explose et la demande pour l’électricité propre n’a jamais été aussi forte. Les Américains gagneront-ils au change ?


La rencontre de l'heure Daoust - Martineau, avec Yves Daoust et Richard Martineau, tous les jours 9 h 30, en direct ou en balado sur QUB radio :


« Ça demeure d’excellents contrats. Ce sont des engagements à long terme et les prix sur le marché fluctuent beaucoup. L’inflation actuelle ne durera pas », tempère Simon Bergevin, directeur principal du Parquet de transactions énergétiques chez Hydro-Québec, questionné mardi lors d’une conférence du CORIM.

Le prix du gaz naturel (une référence pour celui de l’électricité) était de 1,52 $ il n’y a pas si longtemps, rappelle-t-il, même s’il dépasse aujourd’hui les 7 $. Des facteurs comme la guerre en Ukraine poussent le prix à la hausse, mais « un prix de 5,15 cents dans le contrat du Massachusetts, ça reste un bon prix à long terme », dit-il.


« Dans un portefeuille, tu veux être diversifié. Actuellement, la majorité de nos exportations d’électricité, on la vend sur le spot (marché à court terme). Mais sur le long terme, tu veux aussi une partie de ton portefeuille qui va être fixe », illustre M. Bergevin.

Un avis que partage le professeur d’économie Pierre Fortin. « Le prix de 5,15 cents le kWh a peut-être l’air faible aujourd’hui, mais on peut produire présentement à 7 cents le kWh avec l’éolien, qui sera notre principal concurrent aux É.-U. et dont le prix continuera probablement à diminuer dans les années à venir. »


« C’est aussi une bonne idée d’avoir une présence ferme aux États-Unis, avec des alliés d’affaires dans ce pays, question de minimiser les risques du portefeuille », ajoute-t-il.

Écoutez la rencontre Lavoie-Montpetit avec Marie Montpetit, analyste politique sur QUB radio :

Une victoire dans le Maine

Par ailleurs, la Cour suprême du Maine a validé, mercredi, le bail qu’avait obtenu le partenaire d’Hydro-Québec dans le dossier du projet NECEC, une nouvelle ligne de transmission entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre.

Il s’agit de la deuxième décision favorable du tribunal en lien avec ce projet, après celle rendue en août dernier au sujet de la constitutionnalité du référendum de novembre 2021.

Hydro-Québec n’est toujours pas sortie du bois dans ce dossier, car des plaidoiries sont prévues en avril 2023.''

La Nouvelle Réalité de la CAQ...

par Jeromec, vendredi 02 décembre 2022, 16:51 (il y a 482 jours) @ Jeromec


L'inflation
La Tarification ''dynamique''
La sobriété énergétique
la pénurie de médicaments
Des urgences débordées
Pénuries de Main D'oeuvre
Ségrégation de l'immigration
Racisme
La Violence urbaine
Plus de crimes, moins de policiers
Anti-Montréal
+ de Décrochage - de profs
La Ligne info santé 811 débrodées.
Hausses de tarifs
Coupure dans l'aide alimentaire
Les Menaces, le chantage, les mensonges
Anti-Transport en commun
Pro étalement urbain
L'exploitations des richesses naturelles à rabais.
La CAQ Parce que c'est pire que vous pensez.
Parce que l'alcool, le pot et les cigarettes les sociétés d'états
passent avant les écoles, les livres et l'éducation...
Rendre les pauvres plus pauvres et aider les riches à s'enrichir.

Sobriété pour les Pauvres, Générosité, subventions et prêts pardonnable pour les riches...

C'est lui qui est élu, c'est lui qui décide..
La CAQ, Duplessis Version 2022, attendez 2023, vous n'avez encore rien vu...

Le Medef - Les Guignols - CANAL+

https://www.youtube.com/watch?v=D551Xdohqk8

PARODIE - RAMONES (HEY HO LEGAULT) - ÉLECTIONS 2018

https://www.youtube.com/watch?v=T40L6sB4xqs

:-) Pas d'argent à faire avec l'environnement, on en parlera dans 10 ans...
La CAQ C'est ''Chouette (couche-tard))

LA CAQ : FIer partenaire de l'exode des francophones Montrélais en banlieues caquisses... Merci pour le 800 millions de Montréal... Québec n'a même pas eut la courtoisie de dire merci....:-)

Un autre hiver où il faudra ouvrir les fenêtres (écoles)

par Jeromec, vendredi 02 décembre 2022, 17:33 (il y a 482 jours) @ Jeromec

https://www.lapresse.ca/actualites/education/2022-12-02/qualite-de-l-air-dans-les-ecole...

Qualité de l’air dans les écoles Un autre hiver où il faudra ouvrir les fenêtres

(Québec) Même si la qualité de l’air « s’améliore » dans les écoles, estime le nouveau ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, des centaines de classes du Québec devront à nouveau ouvrir les fenêtres cet hiver, malgré le froid, pour que la concentration de dioxyde de carbone (CO2) respecte les normes dictées par la santé publique.''

#indécrottagecaq:-|

Le nouveau ministre de l'éducation se cache (des médias so)

par Jeromec, vendredi 02 décembre 2022, 17:52 (il y a 482 jours) @ Jeromec

Le nouveau ministre de l'éducation se cache (des médias sociaux) depuis deux jours... ''on'' exclus la personne qui parle.. demande bien pourquoi...

Ha oui, la nouvelle présidente de l'Assemblée Nationale est encore une député de la CAQ, pour s'assurer de la neutralité des débats évidemmetn...

https://www.lapresse.ca/actualites/education/2022-12-02/qualite-de-l-air-dans-les-ecole...

Qualité de l’air dans les écoles Un autre hiver où il faudra ouvrir les fenêtres
2:10
(Québec) Même si la qualité de l’air « s’améliore » dans les écoles, estime le nouveau ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, des centaines de classes du Québec devront à nouveau ouvrir les fenêtres cet hiver, malgré le froid, pour que la concentration de dioxyde de carbone (CO2) respecte les normes dictées par la santé publique.


HUGO PILON-LAROSE
LA PRESSE
M. Drainville a dévoilé vendredi au Parlement les résultats des mesures prises cet automne dans les écoles en matière de qualité de l’air. Entre le 5 septembre et le 28 octobre dernier, 724 des 68 548 classes du Québec dépassaient la norme ministérielle de 1500 parties par million (PPM) mesurée par les lecteurs de CO2. De ce nombre, 72 fracassaient les 2000 PPM. Une bonne qualité de l’air dans un espace clos réduit les risques de transmission de maladies comme la COVID-19.

Les classes qui dépassent la norme feront l’objet d’un suivi serré du ministère de l’Éducation, a indiqué Bernard Drainville, soit par l’installation d’échangeurs d’air ou par d’autres mesures, comme le remplacement des fenêtres. D’ici à ce que des correctifs soient apportés, le ministre a affirmé que les parents ne devaient pas s’inquiéter pour leurs enfants, alors qu’une concentration nettement plus élevée de CO2 dans une pièce serait néfaste pour leur santé.

Bernard Drainville

« [On va] s’assurer que dans toutes les classes du Québec, on descende sous les 1500 PPM, qui est une norme qui n’est pas idéale, la norme idéale c’est 1000, mais à 1500, on assure une qualité de l’air qui est adéquate pour les élèves du Québec », a affirmé M. Drainville. Il ne s’est pas engagé sur le temps qu’il faudra à Québec pour changer la donne.


Les données récoltées au cours de l’automne dans les écoles révèlent qu’entre 76 % et 85 % des classes enregistraient, selon les semaines, une concentration de CO2 inférieure à 1000 PPM.

Des locaux vétustes
Le nouveau ministre de l’Éducation dit faire de la qualité de l’air dans les classes le premier dossier sur lequel il met tous ses efforts, depuis le début de son mandat. Alors qu’il a effectué ces dernières semaines une tournée des écoles du Québec, il explique la mauvaise qualité de l’air de certaines classes en raison de la vétusté de plusieurs écoles.

« La vaste majorité des classes qui sont problématiques sont des classes dans les écoles qui datent d’avant 1980. Parler de ventilation, c’est aussi parler du fait que notre parc d’écoles est vieillissant et qu’il faut continuer de faire de gros investissements pour le rajeunir », a-t-il dit.

D’ici à ce que les écoles soient rénovées ou que de nouveaux établissements soient construits, les enseignants des classes problématiques devront se résoudre à ouvrir encore une fois les fenêtres de leur classe cet hiver. M. Drainville s’attend aussi à ce que les prochaines données fournies par le ministère indiquent que la situation s’empire, alors que l’hiver rend plus difficile la circulation d’air dans les classes qui ne disposent pas de ventilation mécanique.

Une solution difficile à gérer
La présidente de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), Mélanie Hubert, souhaite que Québec installe un échangeur d’air dans les classes qui dépassent les 1000 PPM lors de plus d’une lecture de CO2 par jour. Elle rappelle que les données fournies par le ministère sont des moyennes et qu’il est fréquent selon elle que la qualité de l’air d’une classe ne respecte pas la norme plus d’une fois par jour.

Mme Hubert affirme également qu’ouvrir les fenêtres en plein hiver est une solution qui cause bien souvent des problèmes en classe. Dans certains cas qui lui ont été rapportés, l’enseignant a dû débattre avec les élèves assis près des fenêtres, qui refusaient de les ouvrir même si la lecture de CO2 recommandait d’aérer la pièce.

« Il va falloir se donner le temps de rénover les écoles, on s’entend qu’on ne peut pas faire ça en six mois, mais on ne peut pas se fier au 1500 PPM [avant] d’installer un échangeur d’air », a-t-elle dit.

Coupures d'électricité : la Suisse, (auto électrique)

par Jeromec, vendredi 02 décembre 2022, 18:07 (il y a 482 jours) @ Jeromec

Autos électriques : ''It's a trap(?)

https://www.automobile-magazine.fr/voitures-electriques/article/36852-coupures-delectri...

Coupures d'électricité : la Suisse, premier pays au monde à restreindre la circulation des voitures électriques ?

La Confédération Helvétique a publié un nouveau décret décrivant les différents scénarii de coupures d'électricité . En dernier recours, les voitures électriques seront fortement limitées dans leurs déplacements.

Celle-là, les Européens ne l'avaient probablement pas vue venir. Mais la Suisse, jamais à court d'idées simples, souvent assez radicales, a décidé de planifier les éventuelles pénuries d'électricité à venir cet hiver. Il faut dire que nos voisins helvètes dépendent assez fortement de l'électricité allemande et française, puisque leurs barrages et production hydroélectrique ne sont pas assez généreux pour l'autosuffisance. Malheureusement, la France étant déjà elle-même dans une situation tendue, elle ne pourra peut-être pas fournir les MWh habituels à la Suisse, qui a prévu des solutions de secours pour le moins extrêmes.


Pour l'heure, l'Ordonnance du Conseil Fédéral suisse est en consultation "accélérée" jusqu'au 12 décembre. Mais l'idée est bien de poser un cadre légal sur les restrictions à mettre en place en cas de tensions trop fortes sur le réseau. S'il fait très froid, notamment, la Suisse pourrait alors agir à la fois sur les professionnels et les industries, qui sont les plus gros consommateurs, mais aussi sur les particuliers !

"En cas de pénurie imminente, la Confédération lancerait dans un premier temps des appels urgents à réduire la consommation à tous les consommateurs d'électricité. Le Conseil fédéral pourrait parallèlement décréter de premières restrictions et interdictions d'utilisation. Celles-ci seraient durcies par palier, de la baisse du niveau de confort (interdictions d'éclairer des objets, p. ex.) à des mesures plus restrictives (fermeture d'établissements, p. ex.). L'objectif est de mettre en œuvre des mesures d'intervention qui ciblent au plus près le cas concret, en fonction de la situation en matière d'approvisionnement, des conditions météorologiques et des conséquences sur l'économie et la population. Les biens et services vitaux doivent être préservés autant que possible. Les différents paliers ont été définis en collaboration avec les milieux économiques et les cantons, afin de limiter autant que faire se peut les dommages économiques et les distorsions de concurrence."
Et un chapitre tout particulièrement nous interpelle : le "palier" 3 sur 4.


"L’utilisation privée de voitures électriques n’est autorisée que pour les trajets absolument nécessaires (pour l’exercice d’une profession, pour faire des achats et pour se rendre chez le médecin, à des manifestations religieuses ou à des audiences de tribunaux, p. ex)".

Il reste évidemment à savoir quels seront les stades de déclenchement des différents paliers, et surtout comment feront les autorités suisses pour contrôler les déplacements de tous les propriétaires de véhicules électriques. Ces derniers pourraient tout de même avoir du mal à comprendre que leur voisin puisse partir avec son véhicule diesel pendant qu'eux, ayant peut-être acquis une électrique par souci écologique, doivent laisser un modèle moins polluant au garage...

LEs deux Larrons En contradictions (en images)

par Jeromec, vendredi 02 décembre 2022, 21:37 (il y a 481 jours) @ Jeromec

qu’a fait Québec des 432 millions$ du fédéral École?

par Jeromec, samedi 03 décembre 2022, 12:22 (il y a 481 jours) @ Jeromec

En terme de détournements de fond$ publique la CAQ c'est des professionel$$$

[image]
https://www.lesoleil.com/2021/03/11/covid-19-qua-fait-quebec-des-432-millions-du-federa...

Le gouvernement Legault refuse de dévoiler comment auront été dépensés les 432 millions $ du gouvernement fédéral destinés à rendre les écoles plus sécuritaires en temps de pandémie. Le motif évoqué: ces renseignements risqueraient de nuire aux relations entre Québec et Ottawa.

Fin août, le gouvernement fédéral avait annoncé un transfert de 2 milliards $ aux provinces pour mieux assurer la sécurité des élèves et des enseignants du pays pendant la pandémie. Québec avait récolté 432 millions $. L’aide devait être distribuée en deux versements, le premier à l’automne 2020, le second au début de 2021, après un exercice de reddition de comptes.

«Ce qu’on a demandé, c’est qu’en décembre, ils [les gouvernements provinciaux] nous disent ce qu’ils ont fait avec l’argent, comment ils ont protégé les enfants, avant qu’on verse la deuxième moitié de cet argent», avait expliqué le premier ministre Justin Trudeau en conférence de presse, en réponse à une question de journaliste.

Le gouvernement fédéral calculait que les écoles pourraient notamment, avec cet argent, améliorer leur système de ventilation, augmenter les mesures d’hygiène ou acheter de l’équipement de protection personnelle et des produits de nettoyage.

Justin Trudeau avait assuré lors de son annonce qu’il ne voulait pas empiéter sur les compétences provinciales. «Ce sont mes collègues, les premiers ministres des provinces, qui ont la responsabilité d’assurer la sécurité de nos enfants en classe et celle des enseignants au travail. Mais notre gouvernement va être là pour les aider», disait-il.

Le premier ministre ontarien Doug Ford avait révélé le 26 août que certains de ses homologues, réunis en conférence téléphonique la veille, n’étaient «pas heureux que quelqu’un leur pile sur les pieds» et qu’ils s’étaient plaints d’un empiétement dans leur compétence.

La Presse Canadienne (PC) s’était alors enquise de la position du gouvernement Legault, qui avait renvoyé les questions au sujet de l’aide d’Ottawa au cabinet de la ministre responsable des Relations canadiennes, Sonia LeBel.

«À l’aube de cette rentrée scolaire bien particulière, nous accueillons favorablement l’annonce du gouvernement fédéral. Il est primordial que nous ayons la flexibilité pour utiliser cet argent selon nos priorités», avait fait savoir la ministre LeBel dans une déclaration écrite transmise à la PC.

Sonia Lebel avait également indiqué que le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, consulterait ses partenaires du réseau scolaire afin de déterminer les priorités pour investir les quelque 216 millions $ auxquels Québec avait droit dès l’automne.

Le Soleil a demandé à la mi-janvier au ministère de l’Éducation comment il avait utilisé ou comptait utiliser les 432 millions $ du fédéral. Pour toute réponse, on nous a écrit ceci: «Concernant les 432M$ d’un nouveau fonds fédéral, le Québec utilise sa juste part de l’ensemble des fonds qui lui sont transférés pour appuyer ses propres priorités visant à maintenir un environnement sain et sécuritaire dans les écoles québécoises au cours de l’année 2020-2021, finançant ainsi des initiatives déjà planifiées ou de nouvelles initiatives.»

Le porte-parole du ministère rappelait ensuite que le ministre Jean-François Roberge avait annoncé le 26 septembre «de nouvelles initiatives pour un montant total de 85 M$ pour répondre aux mesures sanitaires et soutenir la réussite des jeunes dans un contexte de retour en classe après un arrêt prolongé».

«Des sommes supplémentaires avaient aussi été annoncées au réseau pour les frais liés à la COVID-19, notamment pour assurer la cohérence des actions du réseau scolaire avec les recommandations de l’INSPQ», écrivait encore Bryan St-Louis.

Devant le refus du ministère de ventiler les dépenses effectuées jusqu’à maintenant et celles à venir, Le Soleil s’est adressé le 21 janvier au responsable de l’accès à l’information, qui avait en principe 30 jours pour répondre à notre demande.

Après s’être prévalu du délai de 20 jours imparti la loi, celui-ci nous a finalement informé jeudi que «les documents recensés» ne pouvaient nous être transmis «étant donné qu’ils contiennent des renseignements dont la divulgation pourrait porter préjudice à la conduite des relations entre le gouvernement du Québec et un autre gouvernement [article 19 de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels]».

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Antonyme de Éthique : CAQ

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Contrats d'Hydro-Québec: Fitzgibbon ne veut pas rouvrir

par Jeromec, samedi 03 décembre 2022, 18:45 (il y a 481 jours) @ Jeromec

Vendre pour VINGT ANS D'AVANCE!!!!!!!!

https://www.journaldemontreal.com/2022/12/03/lutte-contre-les-armes-a-feu-carey-price-p...
Contrats d'Hydro-Québec: Fitzgibbon ne veut pas rouvrir les ententes d’exportation aux É.-U.


David Descôteaux
Samedi, 3 décembre 2022 00:00 MISE À JOUR Samedi, 3 décembre 2022 00:00

Le ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Pierre Fitzgibbon a dû justifier hier les contrats qu’Hydro-Québec a signés avec des partenaires américains pour leur livrer près de 20 TWh d’électricité durant plus de 20 ans, alors même qu’il invite les Québécois à consommer moins d’électricité et à être plus « sobres ».

• À lire aussi: Hydro-Québec: les Québécois vont payer pour les prix d’ami aux Américains

• À lire aussi: Fitzgibbon, un ministre de l’Énergie déconnecté

« Je ne veux pas retourner trop en arrière, je regarde en avant. Il y a un mérite à ce contrat-là, pour permettre aux électrons de se promener d’un bord puis de l’autre. Parce que n’oubliez pas, Hydro-Québec achète beaucoup d’électricité aussi », a-t-il répondu en point de presse. 

Le Journal rappelait hier qu’Hydro-Québec a conclu des ententes avec l’État du Massachusetts et la Ville de New York pour leur fournir en tout 19,85 TWh d’électricité propre pendant 20 et 25 ans respectivement. 

Des prévisions erronées

Pourquoi de tels contrats ? Rappelons qu’en 2018, alors qu’Éric Martel était aux commandes de la société d’État, Hydro disait avoir des surplus d’électricité de 40 TWh, qu’il fallait écouler. 

La même année, Hydro a remporté un contrat au Massachusetts, qui allait la menotter pendant 20 ans dans un contrat où les Américains recevraient quelque 10 TWh d’énergie propre au coût de 5,15 cents le kWh la première année. (Le prix actuel négocié sur les marchés se situe déjà à plus de 8 cents le kWh.)

De gros surplus à grosse pénurie

En 2021, Hydro jugeait toujours qu’elle avait d’importants surplus. Elle a alors signé son deuxième gros contrat d’exportation aux États-Unis, soit quelque 10 TWh à la Ville de New York pendant 25 ans.

Mais quelques mois plus tard, Hydro mentionnait dans son plan stratégique que le Québec avait besoin de 100 TWh pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050. 

Dans le cas du contrat avec le Massachusetts, le prix que recevra Hydro-Québec à l’an 1 du contrat sera de 5,15 cents US le kWh, alors que le prix de l’électricité sur le marché était déjà de 8,4 cents au dernier trimestre de cette année.

La CAQ refuse d'honorer l'aide Alimentaire...

par Jeromec, samedi 03 décembre 2022, 19:04 (il y a 481 jours) @ Jeromec

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[image]
T'sé veux dire...

:-|

Pour comprendre suivez l'argent...

par Jeromec, samedi 03 décembre 2022, 20:38 (il y a 481 jours) @ Jeromec

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Pour comprendre suivez l'argent... et le pouvoir...
Vend à rabai$ l'électricité aux États-Unis et se prépare à imposer ''l'austérité énergétique''....

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Avatar

La CAQ refuse d'honorer l'aide Alimentaire...

par Ammabaoth ⌂ @, dimanche 04 décembre 2022, 14:30 (il y a 480 jours) @ Jeromec

C'est très bien comme ça.

Un pour nous

Zéro comme Ouellet pour la Caq

---
☆AMMABAOTH☆
7ième Conférence Mondial des Religions
https://youtu.be/IbmCooXRuLw
Ammabaoth@gmail.com

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