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Chronologique

Décrochage scolaire: les mesures sanitaires ont pesé lourd

par Jeromec, mercredi 17 août 2022, 18:38 (il y a 610 jours)

Maintenant le bilan...

mettons que c'est plutôt gênant....

pis on se demande pourquoi il y a autant de pénurie de main d'oeuvre.....

et la Caq tente sont gonflé à bloc de leur bilan....(!)

J'ai comme le goût de vomir, pas vous?
:-|
La drogue, alcool et cigarette une bien essentiel, mais pas les livres...! on a empêché les mères de famille d'acheter du linge d'hiver à leurs enfants pendant l'hiver! Assez délirant... mais ça a passé comme du beurre dans la poêle.....

La suite des choses, on va recommencer les mêmes folies et plus cet automne....:-|
Les fous ont pris contrôle de l'asile...:-|


https://www.journaldemontreal.com/2022/02/15/decrochage-scolaire-les-mesures-sanitaires...

Décrochage scolaire: les mesures sanitaires ont pesé lourd sur le moral des élèves


CIMON CHAREST

Mardi, 15 février 2022 10:12
MISE À JOUR Mardi, 15 février 2022 10:27
La pandémie continue d'avoir des impacts sur la motivation scolaire. Après 23 mois de COVID-19, les étudiants sont moins motivés que jamais et les mesures sanitaires ont pesé lourd sur leur moral.

«On a enlevé toutes les zones de motivation pour permettre aux jeunes de rester à l’école. Les amis, les activités parascolaires, le sport, le loisir...», a déclaré Véronique Thibault, directrice chez Pro-Jeune-Est, qui milite contre le décrochage scolaire.


Selon un sondage de la firme Léger réalisé auprès de 500 étudiants âgés de 15 à 22 ans, 32 % ont songé de quitter les bancs d'écoles depuis le début de la crise sanitaire. Aussi, 47 % voient leur avenir de façon plus négative.


«C’est inquiétant, et ce n'est malheureusement pas une surprise non plus parce que c’est sûr que c’est une situation qui est difficile. On ferait un sondage auprès d’un autre groupe de la population, on n'aurait probablement pas autant d’optimisme que d’habitude», a admis Marc-Antoine Tanguay, porte-parole chez Alloprof.

Toutefois, le même sondage offre une lueur d'espoir : 77 % des répondants voient leur avenir avec optimisme, alors que 81 % se sentent capables de réaliser leurs objectifs, et plus des trois quarts sont satisfaits de leurs résultats académiques.

«Il y a 40 % plus d’élèves qui consultent Alloprof qu'avant la pandémie. Alors oui, peut être que c’est difficile, ce n’est pas évident tous les jours. Pour les jeunes, il y a des changements dans leur routine, peut-être qu’ils ont du rattrapage à faire puisque ce n’est pas facile à aborder, mais ils veulent. Ils le démontrent, ils viennent sur notre site, puis on parle souvent de plus de 100 000 jeunes par jour qui sont sur le site de Alloprof. Donc, il y a aussi des signes encourageants.»

Le nombre de décrocheurs scolaires a plus que triplé, voire quintuplé l'an dernier dans certaines régions du Québec, dont au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie.[/co[/color]lor]

Rentrée sans autobus jaunes: les parents invités à prévoir

par Jeromec, mercredi 17 août 2022, 18:57 (il y a 610 jours) @ Jeromec

C'est peut-être une bonne nouvelle d'éviter les camps de concentration gouverne Mentale....?

de toute façon la plupart des entreprises ne demandent même plus de cv pour embaucher....

faites vous en pas, le ministre de l'éducation regarde dans l'autre direction tout le temps des élections....:-|

heureusement que ma grand môman est décédée, elle capoterait du monde de marde dans lequel on est....:-|

J'ai honte du Kébek...! En espoir que nos politiciens finissent par vomir dans leurs miroirs de temps en temps....:-| Quand t'aggrave les problèmes pis que tu es fiers en plus de l'avoir fait....:-| lâche les réseaux sociaux....:-|


heureusement il y a les bibliothèque publiques, ça aide pour l'édukation... en espérant que le gouvernement provincial s'en mêle pas, ça va l'aggraver....

tous les élus provinciaux sont à sacrer dehors... congédié!!!! Vous êtes non seulement incompétent, mais arrogant en plus....!!

ça serait bien... une pause de politiciens pendant 2 mois... arrêtez d'aggraver les problèmes, on s'En occupe....:-| on n'est jamais si bien déservie que par soi-même...

J'ai pas assez d'un estomac pour vomir tout le mépris que j'ai envers la classe politique... bon, au moins moi je m'exprime avec des mots et pas autre chose....
:-| en espérant que ça reste calme d'ici la fin des élections...:-| restons pacifiques quand même.... :-| on garde le sourire les amis:-D
y sont encore plus fous que moi et toi multiplié ensemble...

https://www.tvanouvelles.ca/2022/08/17/rentree-sans-autobus-jaunes-les-parents-invites-...

Rentrée sans autobus jaunes: les parents invités à prévoir un plan B pour le retour en classe

Rentrée sans autobus jaunes: les parents invités à prévoir un plan B pour le retour en classe
Daphnée Dion-Viens| Publié le 17 août 2022 à 11:32

Devant l’impasse qui persiste entre Québec et les transporteurs, le réseau scolaire passe à l’action en se préparant activement à vivre une rentrée sans autobus jaunes. Tous les centres de services scolaires concernés demandent maintenant aux parents de prévoir un plan B pour le retour en classe.

• À lire aussi: La menace de grève des chauffeurs d'autobus toujours en vigueur

• À lire aussi: Hausse des demandes d’aide à l’approche de la rentrée scolaire


• À lire aussi: La rentrée scolaire vous coûtera plus cher

«Ça va nécessiter la collaboration de tous, parce que c’est clair que ça va changer le quotidien de plusieurs», affirme Dominique Robert, président-directeur général adjoint de la Fédération des centres de services scolaires du Québec (FCSSQ).

Le 30 juin, 60% des contrats avec les transporteurs sont arrivés à échéance dans le réseau scolaire. Jusqu’à maintenant, seulement 15% des contrats échus ont pu être renouvelés, selon des données compilées la semaine dernière par la FCSSQ.

L’impasse persiste donc dans plusieurs centres de services scolaires, qui se préparent maintenant à mettre en place des «mesures de contingence» qui varieront d’une région à l’autre, afin d’atténuer l’impact des bris de services.

Un accès élargi aux services de garde, une bonification du transport en commun dans les grands centres et un meilleur encadrement des élèves marcheurs font partie des mesures qui seront mises en place. L’enseignement virtuel n’est pas envisagé.

Écoutez le segment LCN de Yasmine Abdefadel sur QUB radio :

Les parents à la rescousse
Mais peu importe les endroits, les solutions reposeront en bonne partie sur les épaules des parents, reconnaît M. Robert.

Au cours des prochaines heures, des communications seront envoyées aux milliers de familles concernées, les invitant à prévoir dès maintenant un plan B pour la rentrée, ajoute-t-il.

«Le mot d’ordre sera la souplesse. On ne sera pas dans une situation normale», affirme M. Robert, qui se dit tout de même confiant d’en arriver à des ententes d’ici le premier jour de classe.


«Service essentiel»
À la Fédération des comités de parents du Québec, son président Kévin Roy rappelle que le transport scolaire est un «service essentiel». «Il faut que ça se règle», lance-t-il.

«C’est important d’aviser les parents le plus rapidement possible pour qu’ils s’organisent, mais il faut aussi penser aux familles monoparentales ou avec des horaires atypiques pour qui ça ne sera pas possible de trouver un plan B», ajoute-t-il.

De son côté, la Fédération des transporteurs par autobus réclame une hausse de financement de 20 à 25% pour combler l’augmentation des coûts du carburant, de la main-d’œuvre et de l’entretien des véhicules.

Son président-directeur général, Luc Lafrance, indique que les négociations ont «progressé un peu» la semaine dernière avec le ministre de l’Éducation, mais aucune discussion n’a eu lieu depuis.

«Il y a encore un écart important qui reste à combler», laisse-t-il tomber.

DES CHAUFFEURS D’AUTOBUS SCOLAIRES RÉCLAMENT DES HAUSSES SALARIALES DE 35%
Les chauffeurs d’autobus scolaires affiliés à la CSN réclament des augmentations de salaire de 35%, ce qui explique en partie l’impasse entre Québec et les transporteurs qui pourrait forcer des milliers de parents à se trouver un plan B pour la rentrée.

«Pour une fois, les chauffeurs sont vraiment mobilisés à avoir un changement et c’est en bonne partie pour ça que les transporteurs n’acceptent pas l’argent du ministère. Ils savent que cette fois-ci, nous sommes très motivés à ne pas prendre des miettes», affirme Josée Dubé, présidente du secteur transport scolaire de la Fédération des employées et employés de services publics affiliée à la CSN, qui représente environ 3000 conducteurs d’autobus et de berlines.


La centrale syndicale réclame une augmentation de 7000$ par circuit par chauffeur, alors que leur rémunération est en moyenne de 20 000$ par année, soit une hausse de 35%.

Pour Mme Dubé, il s’agit d’une demande tout à fait justifiée dans le contexte de pénurie. «À la base, 20 000$ par année pour conduire un véhicule avec en moyenne 100 enfants par jour, ce n’est vraiment pas beaucoup. L’an passé, il y a eu beaucoup de bris de services parce que les chauffeurs n’étaient pas là», dit-elle.

Selon la Fédération des transporteurs scolaires, il manquait environ 1500 chauffeurs en juin, à la fin de l’année scolaire.

«Avec la pandémie, on s’est rendu compte que ceux qui étaient à leur retraite et qui venaient travailler, ils ne sont pas revenus parce que c’est plus difficile qu’avant», affirme Mme Dubé.

La gestion des enfants turbulents dans les autobus est de plus en plus exigeante, ajoute-t-elle. «Les enfants à défi, ils ont des accompagnateurs dans les classes pour ne pas déranger le professeur. Nous, on a ces enfants-là dans les autobus et nous devons les gérer nous-mêmes», laisse-t-elle tomber.

Les chauffeurs d’autobus affiliés à la CSN, dont la moyenne d’âge est de 55 ans, travaillent en moyenne 25 heures par semaine. Leurs journées commencent tôt et se terminent parfois tard, mais elles sont entrecoupées d’une longue période de pause en mi-journée.

CENTRES DE SERVICES SCOLAIRES QUI N’ONT PAS DE CONTRAT DE TRANSPORT POUR LA RENTRÉE: QUELQUES EXEMPLES
Outaouais

Haut-Bois-de-l’Outaouais
Portage-de-l’Outaouais
Région de Québec

Premières-Seigneuries
Découvreurs
Navigateurs
Région de Montréal

Montréal
Laval
Pointe-de-l’Île
Ailleurs dans la province

Grandes-Seigneuries (Montérégie)
Samares (Lanaudière)

La hausse du décrochage scolaire se confirme au Québec

par Jeromec, mercredi 17 août 2022, 19:09 (il y a 610 jours) @ Jeromec

Dans le chapitre ''Maintenant le bilan''

évidemment, ça figure pas sur le site de la CAQ... bien sûr que non..... c'Est pas très vendeur...

Des cinglés au pouvoir.... avec un fond de pension en plus....:-|

https://www.journaldequebec.com/2021/08/23/la-hausse-du-decrochage-scolaire-se-confirme

La hausse du décrochage scolaire se confirme au Québec

La hausse du décrochage scolaire se confirme au Québec
Le nombre d’élèves ayant abandonné a augmenté dans la plupart des endroits


PHOTO STEVENS LEBLANC
Dans la région de Québec, l’organisme Vallée Jeunesse vient en aide à des jeunes qui ont décroché ou qui ont d’importantes difficultés scolaires. C’est grâce à cet organisme que Philippe Tremblay, 15 ans, a pu réussir son année.
Photo logo de la journaliste Daphnée Dion Viens du Journal de Québec, lundi le 11 Janvier 2016 à Québec. SIMON CLARK/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI
DAPHNÉE DION-VIENS
Lundi, 23 août 2021 00:00
MISE À JOUR Lundi, 23 août 2021 00:00
La hausse du décrochage scolaire constatée en juin dans certaines écoles secondaires semble se confirmer. Le nombre de jeunes qui ont abandonné leurs études en pleine pandémie est en augmentation dans une majorité de centres de services scolaires. Ils sont même de trois à cinq fois plus nombreux dans certaines régions.

• À lire aussi: Deux fois plus d’élèves autistes dans les écoles québécoises


• À lire aussi: Les écoles de Québec sont en manque de personnel


C’est notamment le cas dans le Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie.

De plus, le nombre d’élèves qui ont quitté l’école en 2020-2021 a doublé dans certains centres de services scolaires des Laurentides, de la Montérégie et de Chaudière-Appalaches, selon des chiffres obtenus par Le Journal à la suite d’une demande d’accès à l’information.

Sur les 72 centres de services scolaires de la province, 42 nous ont fait parvenir des données à ce sujet.

Dans 30 organisations, on constate une augmentation du phénomène, qui est plutôt stable dans quatre centres de services et en baisse dans huit autres.

La compilation de ces chiffres permet de confirmer la tendance à la hausse rapportée par Le Journal à la fin juin, quand des données avaient été obtenues dans une quinzaine de centres de services, dont celui de Montréal, où le nombre de décrocheurs avait doublé comparé à l’année précédente.

Écoutez la chronique de Sylvain Dancause, enseignant de mathématique

Pas de portrait officiel

Au ministère de l’Éducation, aucun portrait provincial récent n’est toutefois disponible à ce chapitre.

Les derniers chiffres rendus publics pour l’année scolaire 2018-2019 font état d’un taux de décrochage de 14,2 %, en légère hausse depuis deux ans.

« Mais lorsqu’on aura les chiffres officiels, il y a de fortes chances que l’on va effectivement constater une augmentation du décrochage », affirme Égide Royer, expert en matière de réussite scolaire, qui presse Québec d’obtenir rapidement un portrait réel de la situation.


Les facteurs

La pandémie, qui a forcé des milliers d’élèves du secondaire à étudier à la maison une journée sur deux l’an dernier, a pu pousser davantage de jeunes à quitter l’école au cours des derniers mois, tout comme les nombreux emplois à combler sur le marché du travail.

« Quand les taux de chômage sont très bas, les taux de décrochage ont tendance à remonter », souligne M. Royer.

Cet expert se réjouit néanmoins des 13 millions $ annoncés récemment par Québec pour favoriser le raccrochage scolaire, qui permettront d’embaucher dans chaque centre de services un agent de liaison responsable de faire un suivi personnalisé auprès des élèves qui ont décroché.

D’ailleurs, M. Royer souligne que le Québec est « l’un des systèmes scolaires qui ont le plus gardé ses écoles ouvertes depuis le début de la pandémie », ce qui pourrait aussi avoir contribué à limiter les dégâts.

DES EXEMPLES DU NOMBRE D’ABANDONS*

Fleuve-et-des-Lacs (Bas-Saint-Laurent)

Au 1er juin 2021 : 10 élèves
2019-2020 : 2 élèves
Chic-Chocs (Gaspésie)

Au 1er juin 2021 : 14
2019-2020 : 5
Rivière-du-Nord (Laurentides)

Au 1er juin 2021 : 95
2019-2020 : 41

Hautes-Rivières (Montérégie)

Au 1er juin 2021 : 88
2019-2020 : 42
Appalaches (Chaudière-Appalaches)

Au 1er juin 2021 : 16
2019-2020 : 7
Vallée-des-Tisserands (Montérégie)

Au 1er juin 2021 : 119 élèves
2019-2020 : 71 élèves
* Ces données des centres de services scolaires concernent des jeunes dont le motif de départ peut être lié à l’abandon scolaire (ex. : abandon, raison inconnue, accès au marché du travail, raison personnelle).

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