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LES REPTILIENS ET L'HISTOIRE SELON LE CHAMAN CREDO MUTWA

par corbeau, lundi 10 mai 2021, 00:14 (il y a 1054 jours)

Lien pour le téléchargement de l’article complet Sur les Enlèvements par les Extra-Terrestres et les Reptiliens selon Credo MUTWA, par Rick Martin du 30 sept. 1999 et traduit par Daniel Maury (36 pages) :
https://www.reseauleo.com/2016/10/05/sur-les-enl%C3%A8vements-par-les-extra-terrestres-...

Rick Martin : Nos lecteurs sont au courant de l’existence des extra-terrestres reptiliens susceptibles de changer d’apparence, et ce dont j’aimerais discuter avec vous concerne les spécificités de leur présence, de leurs dirigeants, de leurs intentions, et de leurs méthodes d’opération en ce moment. C’est pourquoi, la première question que j’aimerais vous poser est : Pouvez-vous confirmer que des extra-terrestres reptiliens à la forme changeante existent effectivement sur notre planète en ce moment ? Et si c’est le cas, si vous pouvez le confirmer, pourriez-vous être précis à leur sujet. D’où viennent-ils?

Credo Mutwa : Le peuple du Rwanda, le peuple Hutu, aussi bien que le peuple Tutsi, déclare, et ce n’est pas le seul peuple en Afrique qui le déclare, que leurs ancêtres vraiment les plus anciens étaient une race d’êtres qu’ils appelaient les Imanujela, ce qui signifie “les Seigneurs qui sont venus”. Et certaines tribus en Afrique de l’Ouest, telle qu’un peuple Bambara, disent aussi la même chose. Elles disent qu’est venue du ciel, il y a de très nombreuses générations, une race de créatures hautement avancées et redoutables qui ressemblaient à des hommes, et ils les appèlent Zishwezi. Le mot Zishwezi signifie les créatures plongeantes ou planantes qui peuvent descendre du ciel en planant ou glisser à travers l’eau.

Alors vous pouvez voir que le peuple Zoulou en Afrique du Sud était au courant du fait que vous pouvez voyager à travers l’espace - non pas à travers le ciel comme un oiseau - mais que vous pouvez voyager à travers l’espace, et les Zoulous prétendent qu’il y a de très nombreux milliers d’années, il arriva, depuis les cieux, une race de gens qui ressemblaient à des lézards, des gens qui pouvaient changer de forme comme ils le voulaient. Et des gens qui marièrent leurs filles à un voyageur (extraterrestre), et qui donnèrent naissance à une race dominante de Rois et de Chefs tribaux, il y a des centaines de contes de fées, monsieur, dans lesquels un lézard femelle endosse l’identité d’une princesse humaine, se fait passer pour elle et se marie à un prince zoulou.

Chaque écolier en Afrique du Sud, monsieur, est au courant de l’histoire d’une princesse appelée Khombecansini. Khombecansini devait se marier avec un beau prince appelé Kakaka, un nom qui veut dire “celui qui est éclairé”. Maintenant, un jour où Khombecansini était en train de ramasser du bois de chauffage dans la brousse, elle rencontra une créature appelée un Imbulu. Et cet Imbulu était un lézard qui avait le corps et les membres d’un être humain, mais avec une longue queue. Et ce lézard parla à la princesse Khombecansini, “Oh, combien vous êtes belle, ma fille, si seulement je pouvais être comme vous. Si seulement je pouvais vous ressembler. Puis-je venir près de vous ?” dit la femme-lézard Imbulu à la princesse.

Et la princesse dit, “Oui, vous pouvez.”

Et alors que la femme-lézard, qui en était une des plus grandes, venait près de la fille, elle cracha dans les yeux de la fille et elle commença à changer. C’est à dire que le lézard prit soudain une forme humaine et ce lézard commença à ressembler de plus en plus et de plus en plus à la fille, à l’exception de sa longue queue pointue. Et ensuite, dans une explosion inattendue de violence, la femme-lézard immobilisa la princesse et lui enleva tous ses bracelets et ses colliers ainsi que sa jupe de mariée, et elle les enfila. C’est ainsi que le lézard devint la princesse.

À présent il y avait deux femmes identiques dans la brousse, la femme-lézard à la forme modifiée et la femme originale. Et la femme-lézard dit à la femme originale, “Maintenant tu es mon esclave. Alors tu vas m’accompagner au mariage. Je serai toi et tu seras mon esclave, suis-moi !” Elle prit un bâton et se mit à tabasser la pauvre princesse. Et ensuite elle s’en alla, accompagnée par d’autres filles qui étaient les demoiselles d’honneur, selon la coutume zouloue, et elle arriva au village du prince Kakaka. Mais, avant qu’elles n’atteignent le village elle devait faire quelque chose au sujet de sa queue, c’est à dire que la femme à la forme changeante devait, d’une manière ou d’une autre se cacher la queue. Donc, elle força la princesse à tisser un filet avec des fibres et elle y rentra sa queue et elle l’attacha serré sur elle-même. Elle ressemblait, maintenant, à une femme Zoulou avec de très grosses fesses attirantes, quand elles sont vues du dehors.

Et ensuite, quand elle arriva et devint la femme du prince, une chose étrange se mit à se passer dans le village. Tout le lait se mit à disparaître parce que chaque nuit la princesse à la forme changeante, la fausse princesse, avait l’habitude de dégager sa queue, qu’elle utilisait pour aspirer tout le lait aigre à travers un trou au bout de la queue. Et la belle-mère dit, “Qu’est-ce que c’est ? Pourquoi le lait est en train de disparaître ?” Alors, elle dit, “À présent, je vois, il y a un Imbulu parmi nous.”

La belle-mère, qui était une vieille dame intelligente, dit, “Il faut creuser un trou devant le village et il doit être rempli de lait.” Et c’est ce qu’on fit. Et ensuite, on a dit à toutes les filles qui étaient venues avec la fausse princesse de sauter par-dessus ce trou. L’une après l’autre, elles ont sauté. Et quand celle à la forme changeante fut forcée, à la pointe de la lance, de sauter elle aussi, au moment où elle sauta sa longue queue jaillit du filet sous sa jupe et se mit à boire bruyamment le lait à travers son trou, et les guerriers tuèrent celle à la forme changeante. Et c’est ainsi que la véritable princesse Khombecansini devint la femme du roi - du roi Kakaka.

Maintenant, monsieur, cette histoire se décline en de nombreuses versions. Partout en Afrique du Sud, parmi beaucoup de tribus, vous trouverez des histoires de ces étonnantes créatures qui sont capable de passer du reptile à l’être humain, et du reptile à n’importe quel autre animal de leur choix. Et ces créatures, monsieur, existent vraiment. Peu importe où vous allez, partout en Afrique du Sud, de l’Est, de l’Ouest, et du Centre, vous trouverez que la description de ces créatures est la même. Même parmi les tribus qui jamais, durant toute leur longue histoire, n’ont pas eu le moindre contact l’une avec l’autre.

Donc, il y a de telles créatures. D’où elles viennent, je ne prétendrai jamais le savoir, monsieur. Mais elles sont associées avec certaines étoiles dans le ciel, et une de ces étoiles est un groupe important d’étoiles qui fait partie de la Voie lactée, que notre peuple appelle Ingiyab, ce qui signifie “Le Grand Serpent”. Et il y a une étoile rouge, une étoile rougeâtre, près du bord de cet énorme cercle d’étoiles que notre peuple appelle IsoneNkanyamba.

Or, cette étoile appelée IsoneNkanyamba, je suis arrivé à trouver son nom anglais. C’est l’étoile appelée Alpha Centauri, en anglais. [NdT : Alpha du Centaure en français.] Alors, monsieur, il y a quelque chose qui vaut la peine d’être examiné. Pourquoi est-ce que sur bien plus de 500 tribus dans des parties de l’Afrique que j’ai visitées dans les 40 ou 50 dernières années environ, toutes décrivent des créatures similaires?

On prétend que ces créatures se nourrissent de nous les êtres humains ; qu’elles ont, à un moment donné, défié Dieu lui-même à la guerre, parce qu’elles voulaient la maîtrise complète de l’univers. Et Dieu leur livra une terrible bataille, Il les vainquit, les blessa, et les obligea à se cacher dans des villes sous la terre.

Elles se cachent sous la terre dans des cavités profondes, parce qu’elles ont toujours froid. Dans ces cavités, nous dit-on, il y a d’énormes feux qui sont entretenus en permanence par des esclaves humains, des esclaves comme des zombies. Et, on dit aussi que ces Zuswazi, ces Imbulu, ou quel que soit le nom que vous leur donnez, ne sont pas capables de manger de la nourriture solide. Soit, ils consomment du sang humain, soit, ils absorbent ce pouvoir : l’énergie qui est générée quand des êtres humains, sur la surface de la Terre, sont en train de combattre et de s’entre-tuer en grand nombre.

J’ai rencontré des gens qui s’étaient enfuis du premier Masaki au Rwanda… Ils disaient que le massacre des Hutus par les Tutsis, et des Tutsis par les Hutus, est vraiment en train de nourrir les monstres que sont les Imanujela. Parce que les Imanujela aiment inhaler l’énergie qui est générée par une multitude de gens lorsqu’ils sont terrifiés ou tués par d’autres gens.

Alors laissez-moi vous faire remarquer une chose intéressante, monsieur. Si vous étudiez les langues de toutes les nations africaines, vous trouverez dans les langues de notre peuple des mots qui sont similaires à des mots orientaux, du Moyen-Orient, et même amérindiens. Et le mot Imanujela signifie “le Seigneur qui est venu”. Ce mot que n’importe qui peut découvrir au Rwanda, chez le peuple rwandais Hutu et Tutsi, est très semblable au mot hébreu Emmanuel, qui signifie “Le seigneur est avec nous”. Imanujela, “ceux qui sont venus, les Seigneurs qui sont ici”.

Notre peuple croit, monsieur, que nous, les habitants de cette Terre, nous ne sommes pas vraiment les maîtres de nos propres vies bien que l’on nous fasse croire que nous le sommes. Notre peuple dit, c’est à dire, les Noirs de toutes les tribus, tous ceux qui sont initiés, tous les chamans partout en Afrique, quand ils arrivent à avoir confiance en vous et partagent leurs plus profonds secrets avec vous, ils disent que [avec] l’Imanujela, il y a l’Imbulu. Et il y a un autre nom sous lequel ces créatures sont connues. Ce nom est Chitauli. Or le mot Chitauli signifie “les dictateurs, ceux qui nous disent la loi. Autrement dit, “ceux qui nous disent, secrètement, ce que nous devons faire”. Maintenant, on dit que ces Chitauli nous ont fait un certain nombre de choses quand ils sont venus sur cette planète.

Je vous prie de me pardonner, mais je dois partager cette histoire avec vous. C’est une des plus étranges histoires que vous pouvez trouver partout en Afrique dans les sociétés secrètes de chamans et les autres lieux où les vestiges de notre ancienne connaissance et de notre ancienne sagesse sont encore préservés. Voilà, à l’origine, la Terre était couverte par un très épais manteau de brouillard ou de brume. En fait, les gens ne pouvaient pas voir le Soleil dans le ciel, sauf comme un halo de lumière. Et ils voyaient aussi la Lune la nuit comme une légère griffe lumineuse dans le ciel, parce qu’il y avait cette épaisse brume. Et la pluie était toujours en train de tomber sous la forme d’une bruine constante. Toutefois, il n’y avait pas de tonnerre. Il n’y avait pas de tempêtes.

Le monde était densément recouvert de grandes forêts, de grandes jungles, et les gens vivaient en paix sur la Terre à ce moment-là. Les gens étaient heureux et on dit, qu’à ce moment-là, nous, les êtres humains, n’avions pas l’usage de la parole. Nous faisions seulement des bruits amusants comme des singes ou des babouins heureux, mais nous n’avions pas la parole comme nous l’avons maintenant. Et en ces siècles-là, les gens se parlaient entre eux grâce à leur esprit.

Un homme pouvait appeler sa femme en pensant à elle, en pensant à la forme de son visage, l’odeur de son corps, et le toucher de ses cheveux en tant que femme. Qu’un chasseur soit sorti dans la brousse et ait poussé des cris pour faire venir les animaux, et les animaux auraient choisi l’un d’entre eux qui soit vieux et fatigué, et cet animal se serait offert lui-même au chasseur afin qu’il puisse le tuer rapidement et l’emporter à sa caverne pour servir de nourriture carnée.

Il n’y avait pas de violence contre les animaux. Il n’y avait pas de violence contre la Nature de la part des êtres humains à ce moment-là. L’Homme avait l’habitude de demander de la nourriture à la Nature. Il venait vers un arbre et pensait à un fruit, et l’arbre aurait permis à certains de ses fruits de tomber par terre, et l’homme les aurait pris.

Et toutefois, on dit ensuite que quand les Chitauli sont venus sur Terre, ils sont arrivés dans de terribles vaisseaux qui volaient dans l’air, des vaisseaux qui étaient façonnés comme des grandes boules et qui faisaient un bruit effroyable et un feu terrible dans le ciel. Et les Chitauli dirent aux êtres humains, qu’ils rassemblaient par la force à coup d’éclairs, qu’ils étaient de grands dieux du ciel et que dès lors ils allaient recevoir un certain nombre de grands dons de la part des dieux. Ces soi-disant dieux, qui étaient comme des êtres humains, mais très grands, avec une longue queue, et avec d’effroyables yeux ardents, certains d’entre eux avaient deux yeux - des yeux jaunes et brillants - d’autres avaient trois yeux, l’œil rond et rouge étant au centre de leur front. Ces créatures retirèrent ensuite les grands pouvoirs que les êtres humains avaient : le pouvoir de parler seulement grâce à la pensée, le pouvoir de déplacer des objets avec seulement leur esprit, le pouvoir de voir dans l’avenir et dans leur passé et le pouvoir de voyager, en esprit, vers d’autres mondes.

Tous ces grands pouvoirs, les Chitauli les ont enlevés aux êtres humains et alors ils ont donné aux êtres humains un nouveau pouvoir, l’usage de la parole. Mais, les êtres humains trouvèrent, avec horreur, que l’usage de la parole divisait les êtres humains, au lieu de les unir, parce que les Chitauli avaient créé d’une manière fourbe différentes langues, et ils provoquèrent une grande querelle entre les gens. Les Chitauli firent aussi quelque chose qui n’avait jamais été faite auparavant : ils donnèrent aux êtres humains des gens pour régner sur eux, et ils dirent, “Ce sont vos rois, ce sont vos chefs. Leur sang est le nôtre. Ils sont nos enfants, et vous devez écouter ces gens car ils parleront en notre nom. Si vous ne le faites pas, nous allons vous punir d’une manière absolument terrible.”

Avant l’arrivée des Chitauli, avant l’arrivée des créatures appelées Imbulu, les êtres humains étaient spirituellement une seule entité. Mais quand les Chitauli sont arrivés, les êtres humains sont devenus divisés, à la fois spirituellement aussi bien que par la langue.

Et ensuite, les êtres humains recevaient d’étranges nouveaux sentiments de la part des Chitauli. Les êtres humains commencèrent à se sentir en danger, si bien qu’ils se mirent à construire des villages entourés de très robustes clôtures de bois. Les êtres humains se mirent à devenir des fondateurs de pays. Autrement dit, ils entreprirent de créer des tribus et des terres tribales, qui avaient des frontières, qu’ils défendaient contre tout ennemi éventuel. Les êtres humains devinrent ambitieux et cupides et ils désiraient acquérir des richesses sous la forme de bétail, et de coquillages.

Et, une autre chose que les Chitauli forcèrent les êtres humains à faire, ils obligèrent les êtres humains à exploiter des mines à l’intérieur de la Terre. Les Chitauli mirent au travail les femmes humaines et leur firent découvrir des minéraux et des métaux de certains types. Les femmes découvrirent le cuivre ; les femmes découvrirent l’or ; les femmes découvrirent l’argent. Et, éventuellement, elles étaient guidées par les Chitauli pour allier ces métaux et pour créer de nouveaux métaux qui n’avaient jamais existé dans la Nature auparavant, des métaux tels que le bronze, le laiton et d’autres encore.

En outre, les Chitauli retirèrent alors du ciel la brume sacrée dispensatrice de pluie et pour la première fois depuis la création, les êtres humains regardèrent vers le haut et virent des étoiles, et les Chitauli dirent aux êtres humains qu’ils avaient tort de croire que la Divinité demeurait sous la Terre. “À partir de maintenant,” dirent les Chitauli aux habitants de cette Terre, “les habitants de la Terre doivent croire que Dieu est au Ciel et ils doivent faire ici sur la Terre des choses qui fassent plaisir à ce Dieu qui est au Ciel.”

Vous voyez, à l’origine, les êtres humains avaient cru que la Divinité était sous terre, qu’elle était une très grande mère qui demeurait sous la Terre car ils voyaient toute la verdure pousser en sortant de la Terre - l’herbe venait de sous le sol, les arbres poussaient de sous le sol, - et les gens avaient cru, pour cette raison, que les gens qui mouraient allaient sous terre. Mais quand les Chitauli firent tourner les yeux des humains vers le ciel, les gens commencèrent à croire, à ce moment-là, que Dieu est dans le ciel et que ceux qui meurent sur cette Terre ne vont pas sous terre, mais montent au ciel.

Et à ce jour, monsieur, où que vous alliez partout en Afrique en tant qu’investigateur, vous trouverez cette étonnante - ces deux idées étonnantes qui sont en contradiction l’une avec l’autre.

Beaucoup de tribus africaines croient en ce qui est appelé Midzimu ou Badimo. Maintenant, le mot Midzimu ou Badimo signifie “eux qui sont dans le ciel”. Mais, au Zoulouland, parmi mon peuple, vous trouvez ce schisme étonnant aller main dans la main. Il y a des Zoulous qui croient que ceux qui sont morts sont les Abapansi, qui signifie “ceux qui sont dessous, qui sont sous la Terre”. Ensuite il y a une autre idée qui se dit Abapezulu. Le mot Abapezulu signifie “ceux qui sont en haut”, et le mot Abapansi, qui est le plus vieux nom pour les esprits des morts, signifie “ceux qui sont sous la Terre”.

Ainsi, même aujourd’hui, monsieur, partout en Afrique parmi des centaines de tribus, vous trouvez cette étrange double croyance que les morts vont au ciel, côte à côte avec la croyance que les morts vont sous la Terre. On dit que cette croyance selon laquelle les morts vont sous la Terre remonte aux jours où notre peuple croyait que la Divinité était une femme, la grande Mère cosmique. Et, elle est opposée à la croyance liée au terme Abapezulu selon laquelle la Divinité est un homme qui habite au ciel.

Alors, monsieur, une autre chose que les Chitauli dirent à notre peuple, dit-on, c’est que nous, les êtres humains, sommes ici sur Terre pour transformer la Terre et la rendre convenable pour que “Dieu” y descende un jour et y demeure. Et on dit que ceux qui travaillent pour changer cette Terre et en éliminer tous les dangers pour que le dieu serpent, le Chitauli, y vienne et y demeure, seront récompensés avec de grands pouvoirs et avec de grandes richesses.

Bien que nous soyons tous au courant des dangers épouvantables que ceci entraînera, pourquoi sommes-nous en train de déboiser d’immenses zones de jungle en Afrique ? Sommes-nous sur Terre en train d’exécuter les instructions que les Chitauli ont programmées en nous ? Bien que mon esprit refuse de l’accepter, la réponse est un terrible oui, oui, oui.

Parmi les nombreuses personnes pourvues de sagesse qui m’honorent de leur amitié, il y a un homme de grand savoir qui vit en Israël, le Dr Sitchin. D’après les livres anciens qui ont été écrits par le peuple sumérien, en se servant d’argile, les dieux descendirent du ciel et forcèrent les êtres humains à travailler pour eux, à extraire de l’or pour eux. Cette histoire est confirmée par les légendes africaines dans toute l’Afrique, que des dieux descendirent du ciel et firent de nous leurs esclaves, et ils nous transformèrent en esclaves de telle façon que nous ne puissions jamais nous rendre compte que nous sommes des esclaves.

Une autre chose que notre peuple dit est que les Chitauli font de nous leur proie comme des vautours. Ils élèvent certains d’entre nous au-dessus des autres, ils remplissent certains d’entre nous de beaucoup de colère et d’ambition, et ils font de ces gens qu’ils ont élevés de grands guerriers qui font des guerres terribles. Mais, à la fin, les Chitauli ne permettent pas à ces grands dirigeants, à ces grands chefs de guerre et à ces rois, de mourir paisiblement. Le chef guerrier est utilisé pour faire autant de guerres que possible, pour tuer autant de membres de son peuple et de ceux qu’il appelle ses ennemis, que possible, et ensuite, à la fin, le chef guerrier meurt d’une mort terrible, son sang étant répandu par d’autres.

Au fond, les gens sont fondamentalement bons ; je le crois. Les gens ne veulent pas déclencher des guerres. Les gens ne veulent pas détruire le monde dans lequel ils habitent, mais il y a des créatures, ou il y a une force qui nous conduit, nous les êtres humains, vers l’auto annihilation. Et le plus tôt nous le reconnaîtrons, le plus tôt sera le mieux

Il y a une autre force derrière ces gens, une force terrible et étrangère à la Terre, qui fait des choses dans les coulisses, à cause de laquelle - et le plus tôt nous le reconnaîtrons, le plut tôt sera le mieux - monsieur, il est très courant pour des êtres humains qui ont des ennuis d’en rendre responsable d’autres forces que celles qui sont à l’intérieur d’eux-mêmes. Mais, j’ai étudié la situation en Afrique depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et avant, et j’ai des preuves qui indiquent qu’une force extra-terrestre est à l’œuvre en Afrique.

Quiconque étudie l’humanité avec amour, avec compréhension, et avec attention, reconnaît le fait qu’il y ait un Dieu rayonnant qui lutte pour prendre naissance à l’intérieur de chacun d’entre nous. Nous essayons de le refouler, bien que beaucoup d’entre nous n’en aient pas encore conscience. Nous sommes en train de développer une attitude qui consiste à vouloir protéger notre planète, peu importe qui nous sommes.

Nous croyons, monsieur, que les Mantindane (“les bourreaux”), les Gris, sont vraiment les serviteurs des Chitauli. Et qu’ils, contrairement à ce que les Blancs pensent - beaucoup de Blancs croient une chose qui est fausse, monsieur - selon laquelle les Mantindane font des expériences sur nous. Ils n’en font PAS. Je le répète, ils n’en font pas. Quiconque a traversé les enfers de ces êtres vous dira qu’il n’y a rien d’expérimental dans ce qu’ils font. C’est une résolution froide, froide et sans pitié, et ils ne font pas ce qu’ils nous font pour eux-mêmes, ils font ce qu’ils nous font pour des créatures plus grandes que celles qu’ils sont.

;-)

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L'ABDUCTION DRAMATIQUE DE CREDO MUTWA

par corbeau, lundi 10 mai 2021, 00:17 (il y a 1054 jours) @ corbeau

Credo Mutwa : Monsieur, c’était un jour ordinaire, comme n’importe quel autre jour. C’était une très belle journée dans les montagnes de l’est du Zimbabwe, qui sont appelées Inyangani. Ce sont des montagnes à l’est du Zimbabwe.

J’avais alors été chargé par mon professeur d’aller chercher une herbe spéciale que nous devions utiliser pour la guérison d’un certain initié qui était gravement malade. Et mon professeur, une femme appelée Mme Moyo, était Ndebele, du Zimbabwe, autrefois connu sous le nom de Rhodésie.

J’étais en train de chercher cette herbe, et je ne pensais à rien d’autre, et je n’avais aucune croyance que ce soit dans ces créatures. Je ne les avais jamais rencontrées auparavant, et bien que nous, les Africains nous croyions en de nombreuses choses, j’étais vachement sceptique, même au sujet de certaines entités auxquelles nous croyions à ce moment-là, parce que je n’avais jamais rencontré quelque chose comme ça avant.

Et tout à coup, monsieur, j’ai remarqué que la température autour de moi avait chuté, bien que ce soit une journée africaine vraiment chaude. J’ai soudain remarqué que maintenant il faisait froid et qu’il y avait ce qui semblait être une brume lumineuse bleue qui tourbillonnait tout autour de moi, qui se mettait entre moi et l’est du paysage. Je me souviens de m’être demandé, stupidement, ce que signifiait cette chose, parce que je venais juste de commencer d’arracher l’une des herbes que j’avais trouvées.

Soudain, je me suis trouvé dans un endroit très étrange, un endroit qui ressemblait à un tunnel recouvert de métal. J’avais travaillé dans des mines auparavant, et l’endroit où je me trouvais semblait être une galerie de mine qui était recouverte de métal grisâtre argenté.

J’étais allongé sur ce qui semblait être une paillasse très lourde et très grande ou une table de travail, monsieur. Mais néanmoins, je n’étais pas enchaîné à la table. J’étais juste allongé là et mes pantalons avaient disparu, ainsi que les grandes bottes que je portais toujours quand je sortais dans la brousse. Et soudain, dans cette étrange salle semblable à un tunnel, j’ai vu ce qui semblait être des créatures lentes, troublantes, grises et ternes qui se déplaçaient vers moi.

Il y avait des lumières dans cet endroit, mais pas des lumières comme nous les connaissons. Elles avaient l’air d’être des taches de matière incandescente. Et il y avait quelque chose au-dessus de l’entrée la plus éloignée qui ressemblait à de l’écriture, cette écriture-là sur la surface gris argenté, et ces créatures arrivaient sur moi mais j’étais hypnotisé, juste comme si on m’avait jeté un sort.

Mais je regardais les créatures alors qu’elles venaient vers moi. Je ne savais pas ce qu’elles étaient. J’étais effrayé, mais je ne pouvais bouger ni mes bras ni mes jambes. J’étais juste allongé là comme une chèvre sur l’autel du sacrifice. Et quand les créatures sont venues vers moi, j’ai ressenti de la peur à l’intérieur de moi. C’était de petites créatures, environ la taille d’un Pygmée africain. Elles avaient de très grosses têtes, de très minces bras, et de très minces jambes.

Je remarquais, monsieur, car je suis un artiste, un peintre, que ces créatures étaient bâties de travers du point de vue d’un artiste. Leurs membres étaient trop longs pour leur corps, et leurs cous étaient très minces, et leurs têtes étaient presque aussi grosses que des melons d’eau arrivés à maturité. Ils avaient des yeux étranges, qui ressemblaient à une sorte de lunettes de protection. Ils n’avaient pas de nez, comme nous en avons, seulement des petits trous de chaque côté de la zone surélevée entre leurs yeux. Leur bouche n’avait pas de lèvres, seulement de fines entailles comme si elles avaient été faites par un rasoir.

Et tandis que je regardais ces créatures, monsieur, stupéfait de fascination, j’ai senti quelque chose près de ma tête, autour de ma tête. Et quand j’ai levé les yeux, il y avait une autre créature, une qui était légèrement plus grande que les autres, et elle se tenait debout au-dessus de ma tête et me regardait.

J’ai levé mes yeux droit dans les siens et j’ai été complètement hypnotisé, et vous savez, j’étais envoûté. Je regardais la chose droit dans les yeux et je me suis aperçu que la créature voulait que je continue de la regarder droit dans les yeux. J’ai regardé et j’ai vu que, à travers ces couvercles sur ses yeux, je pouvais voir les véritables yeux de la créature derrière ce couvercle noir, semblable à des lunettes de protection. Ses yeux étaient ronds, avec des pupilles droites, comme celles d’un chat. Et la chose ne bougeait pas sa tête. Elle respirait ; je pouvais le voir. Je pouvais voir bouger des petites narines, qui se rapprochaient et se fermaient, mais monsieur, si quelqu’un me disait que je pue comme cette créature-là, vraiment, je lui en collerais un sur la gueule.

La créature empestait comme ce n’est pas possible. Elle avait une odeur étrange, une odeur chimique qui serrait à la gorge, qui puait comme des œufs pourris, et aussi comme du cuivre chaud [soufre], une odeur très forte.

Et la créature m’a vu la regarder, et elle me regardait avec mépris et, tout à coup, j’ai senti une douleur atroce et terrifiante sur ma cuisse gauche, comme si une épée avait été enfoncée dans ma cuisse gauche. J’ai hurlé de douleur, d’une manière horrible, en appelant ma mère, et la créature a posé sa main sur ma bouche. Vous savez, monsieur, c’était comme - si vous voulez connaître l’impression que ça donnait, je vous prie monsieur, de prendre la patte d’un poulet, un poulet vivant, et de le poser contre vos lèvres. C’était l’impression que donnait la main de la créature sur ma bouche.

Elle avait des doigts longs et maigres, qui avaient plus d’articulations que mes doigts humains n’en ont. Et le pouce n’était pas à la bonne place. Chacun des doigts se terminait par une griffe noire, presque comme certains oiseaux africains. La chose m’ordonnait de me taire. Et combien de temps la douleur a continué, monsieur, je ne le sais pas. J’ai hurlé et hurlé et hurlé, à nouveau.

Et ensuite, tout à coup, quelque chose a été retiré de ma chair, et j’ai baissé les yeux et j’ai vu ma cuisse couverte de sang, et j’ai vu que l’une des créatures - il y en avait quatre, à part celle qui se tenait debout au-dessus de ma tête - elles portaient des combinaisons collantes, qui étaient de couleur gris argenté, et leur chair ressemblait à la chair de certains types de poisson qu’on trouve dans la mer au large de l’Afrique du Sud. Et la créature qui se tenait debout au-dessus de ma tête avait l’air d’être une femme ; Elle était d’une certaine manière différente des autres. Elle était plus grande, plus grosse, quoiqu’elle n’ait pas de poitrine comme une femme, elle semblait être féminine. Et les autres avaient l’air d’avoir peur d’elle, je ne sais pas comment je peux décrire ceci.

Et alors, au même moment que cette terrible chose, une autre de ces créatures est venue vers moi - elle marchait en crabe, d’une manière légèrement saccadée, comme si elle était ivre - elle s’est approchée le long de la table, vers mon côté droit, et elle s’est tenue debout à côté de celle qui se tenait au-dessus de ma tête. Et avant que je puisse savoir ce qui m’arrivait, cette créature m’a enfoncé quelque chose qui était comme un petit stylobille argenté avec un câble à un bout, elle a poussé cette chose, froidement, dans ma narine droite.

Monsieur, la douleur était inimaginable. Du sang giclait partout. Je m’étouffais et essayais de crier, mais le sang pénétrait dans ma gorge. C’était un cauchemar. Ensuite, elle a retiré la chose et j’ai essayé de lutter et de me redresser.

La douleur était atroce, mais l’autre chose au-dessus de ma tête a posé sa main sur mon front et me retenait avec très peu de force. J’étais en train d’étouffer et d’essayer de cracher le sang, et alors je suis arrivé à tourner la tête vers la droite pour cracher le sang, ce que j’ai fait, et alors ce que les créatures m’ont fait, monsieur, je ne le sais pas.

Tout ce que je sais vraiment, c’est que la douleur a disparu, et à la place de la douleur, d’étranges visions ont submergé ma tête, des visions de villes, parmi lesquelles j’en reconnaissais à partir de mes voyages - mais, des villes qui étaient à moitié détruites, les bâtiments ayant leurs sommets emportés, avec des fenêtres comme des orbites vides dans un crâne humain. J’ai eu ces visions à plusieurs reprises. Tous les bâtiments que j’ai vus étaient à moitié inondés par une eau rougeâtre et boueuse.

C’était comme s’il y avait eu une inondation et les bâtiments émergeaient de cette grande inondation, en partie détruits par une sorte de catastrophe, et c’était un spectacle effroyable.

Et ensuite, avant que je m’en sois aperçu, l’une des créatures, celle qui se tenait à côté de mon pied, a enfoncé quelque chose dans mon membre viril, mais cette fois il n’y avait pas de douleur, juste une violente irritation, comme si je faisais l’amour à quelque chose ou à quelqu’un.

Et ensuite, quand la créature a retiré la chose, qui était comme un petit tube noir qu’elle avait forcé dans mon membre viril, j’ai fait quelque chose qui a produit un résultat étrange, et je ne l’ai pas fait intentionnellement. Je pense qu’elle était - ma vessie - ouverte, et j’ai uriné tout droit dans la poitrine de la créature qui avait retiré la chose de mon organe.

Et quand bien même j’aurais tiré sur la créature, elle n’aurait jamais réagi comme elle l’a fait. Elle s’est brusquement écartée de moi et a failli tomber, et ensuite elle s’est redressée et s’est éloignée en titubant comme un insecte ivre, et a quitté la salle. Je ne sais pas si mon urine a fait ça ; je ne le sais pas. Mais c’est ce qui s’est passé.

Ensuite, au bout de quelque temps, les autres créatures sont parties, en me laissant avec une douleur sourde dans ma narine, avec du sang sur ma cuisse, et la table humide d’urine. Et la chose qui se tenait au-dessus de ma tête n’avait pas bougé. Elle se tenait juste debout là avec sa main droite qui touchait son épaule gauche, d’une manière étrangement belle et féminine. Elle restait là à me regarder. Il n’y avait aucune expression sur son visage. Je n’ai jamais vu aucune de ces créatures parler ou émettre le moindre son que ce soit. Tout ce que je sais vraiment, c’est qu’elles semblaient être muettes.

Et ensuite, sorties de quelque part, il est arrivé deux autres créatures, dont l’une était faite entièrement avec du métal. Même dans mes pires cauchemars, je vois encore cette créature. Elle était grande. Elle était grosse. Et la zone dans laquelle nous étions était trop petite pour elle. Elle avançait avec le dos légèrement voûté, et ce n’était certainement pas quelque chose de vivant. C’était une créature de métal, une sorte de robot. Et elle est venue se tenir debout près de mon pied, tout son corps maladroitement courbé, baissant les yeux vers moi. Il n’y avait pas de bouche. Il n’y avait pas de nez. Il y avait juste deux yeux brillants, qui avaient l’air de changer de couleur, et qui semblaient bouger d’une certaine manière, comme le crépitement d’un appareil électrique.

Et ensuite, derrière cette énorme créature courbée, est venue une créature qui m’a surpris. Elle était très, très, très, très bouffie, monsieur, en apparence. Elle avait la peau rose. Elle avait un corps très humain au poil blond. Elle avait des yeux bleus bridés très brillants. Elle avait des cheveux qui ressemblaient à une sorte de fibre de nylon. Elle avait des pommettes hautes et une bouche presque humaine, avec des lèvres charnues et un petit menton pointu. La créature, monsieur, était indéniablement une femme mais en tant qu’artiste et que peintre, ce que je suis, et aussi en tant que sculpteur, j’ai remarqué que la créature était complètement mal proportionnée. Elle était fausse.

D’abord, ses seins étaient minces et pointus, et placés trop haut sur sa poitrine, pas là où les seins d’une femme normale seraient. Son corps était puissant, presque gras, mais ses jambes étaient trop courtes et ses bras étaient trop courts en proportion du reste de son corps. Et elle est venue vers moi, a baissé les yeux vers moi, et avant que j’aie saisi ce qu’elle faisait, d’une certaine manière elle s’est accouplée avec moi. C’était une expérience horrible, monsieur, même pire que ce qui m’avait été fait auparavant. Mais même maintenant, le traumatisme de ce jour-là a un effet sur ma vie même maintenant, exactement 40 ans plus tard.

Et après ça, quand les créatures ont été parties, laissant seulement celle des créatures qui était restée près de ma tête, la créature debout près de ma tête m’a secoué par les cheveux, elle m’a saisi par la tête et m’a forcé à me lever de la table et à descendre de la table. Je l’ai fait, j’étais dans un tel état que je suis tombé sur mes genoux et sur mes mains, sur le sol.

Et j’ai remarqué que ce sol-là était étrange. Il possédait des motifs animés, qui n’arrêtaient pas de changer et de se relayer - des motifs violets, rouges et verdâtres, sur un fond gris métallisé. Et la créature m’a tiré par les cheveux, à nouveau, me forçant à me relever, et elle m’a poussé brutalement et m’a obligé à la suivre.

Monsieur, cela me prendrait trop de temps pour décrire ce que j’ai vu dans cet endroit étrange, alors que la créature me poussait, brutalement, de salle en salle. Même maintenant mon esprit ne peut pas comprendre ce qu’était ce que j’ai vu. Parmi les nombreuses choses que j’ai vues il y avait des objets cylindriques énormes, faits de ce qui semblait être une sorte de verre. Et dans ces objets, des cylindres, qui s’étendaient du plafond jusqu’au sol de l’endroit que nous étions en train de traverser, il y avait ce qui avait l’air d’une sorte de liquide rose grisâtre. Et dans ce liquide j’ai vu des petites éditions des créatures extra-terrestres qui flottaient en tournant en rond, comme des petites grenouilles dégoûtantes, à l’intérieur de ce liquide.

Je ne pouvais pas comprendre ce qu’était ce qu’on me montrait. Mais ensuite, dans la dernière salle qu’on m’a fait traverser, j’ai vu des gens, et d’autres étranges créatures, auxquelles, même maintenant, mon esprit ne comprend absolument rien, couchées sur la table.

Et j’ai dépassé un Blanc, un véritable Blanc, qui sentait comme un être humain, qui sentait la sueur, l’urine, les excréments, et la peur. Ce Blanc était allongé sur une table comme celle sur laquelle j’avais été allongé, et j’ai regardé dans ses yeux et il a regardé dans les miens alors que je passais.

Et ensuite je me suis retrouvé dans la brousse. J’ai constaté que mes pantalons avaient disparu. J’avais une douleur atroce à ma cuisse gauche. J’avais une douleur dans mon pénis qui commençait à gonfler, et quand j’ai essayé d’y passer de l’eau, la douleur a été horrible. J’ai enlevé ma chemise et je m’en suis servi pour me couvrir les reins et j’ai marché à travers la brousse.

J’ai d’abord rencontré un groupe de jeunes Noirs rhodésiens qui m’ont guidé vers le village de mon professeur. Et quand je suis arrivé à l’extérieur de ce village, je sentais si horriblement mauvais que tous les chiens du village sont venus japper et montrer les dents pour me mettre en pièces. Et c’est seulement mon professeur et ses autres étudiants et les villageois qui m’ont sauvé ce jour-là. Mon professeur et les villageois n’étaient pas du tout surpris par ce que j’avais à leur dire. Ils l’admettaient, monsieur. Ils me disaient que ce qui m’était arrivé était arrivé à beaucoup d’autres personnes auparavant, et que j’avais de la chance de revenir en vie, car beaucoup de gens ont disparu dans cette partie du pays, sans jamais être revus - des Blancs, des Noirs, et ainsi de suite.

Monsieur, soyons bref. Au cours de l’année suivante, 1960, je livrais des colis dans la ville de Johannesburg. Vous voyez, je travaillais dans une boutique de curiosités, lorsqu’un Blanc m’a crié de m’arrêter.

J’ai supposé que le Blanc était un agent de la police secrète qui voulait examiner mes papiers. Et quand j’ai essayé de présenter les papiers, il m’a dit, avec colère, qu’il ne voulait pas voir mes papiers puants.

Monsieur, il m’a posé cette question : “Écoute, où diable t’ai-je vu auparavant ? Qui es-tu ?”

J’ai dit, “je ne suis personne, monsieur ; je suis juste un ouvrier.”

Il a dit, “Ne me dis pas de conneries, l’homme ; qui diable es-tu ? Où t’ai-je vu auparavant ?”

Et alors je l’ai regardé. Je le reconnaissais - ses longs cheveux épars châtain doré, sa moustache ridicule et sa barbe. Je me souvenais de lui - ses yeux bleus injectés de sang et la terreur visible qui luisait sur ses yeux, et sa peau aussi pâle que celle d’une chèvre.

J’ai dit, “Meneer”, comme on dit en afrikaans… “Meneer - je vous ai vu en Rhodésie dans un certain endroit sous terre.” Et même si j’avais frappé ce Blanc-là avec mon poing, il n’aurait pas réagi de cette manière-là, monsieur. Il s’est écarté, il s’est mis à marcher avec une expression terrible et il a disparu de l’autre côté de la rue.

Maintenant, en gros, c’est ce qui m’est arrivé, monsieur, mais ce n’est pas du tout une expérience unique.

Depuis cette époque j’ai rencontré vraiment beaucoup de gens qui ont eu la même expérience que celle que j’ai racontée, et la plupart d’entre eux étaient des Noirs et des Noires traditionnels qui ne savent ni lire ni écrire. Ils venaient me demander de l’aide en tant que chaman, mais j’étais, moi-même, en train de chercher quelqu’un de plus avancé que moi pour me dire exactement ce qui m’était arrivé. Parce que, monsieur, quand vous vous faites prendre par les Mantindane, vous devenez si traumatisé, votre vie devient si changée, vous devenez si gêné et honteux de vous-même, vous développez une haine de soi que vous ne pouvez pas comprendre, et il y a des changements subtils dans votre vie qui n’ont pas de sens pour vous.

Un : Vous développez un étrange amour pour l’humanité. Vous voulez secouer tout le monde par les épaules et dire, “Hé, réveillez-vous les gars ; nous ne sommes pas seuls. Je sais que nous ne sommes pas seuls!”

Et, vous développez le sentiment que votre vie ne vous appartient plus ; et en outre, vous devenez contraints par une étrange incitation de vous déplacer de lieu en lieu, de voyager. Vous devenez inquiets au sujet de l’avenir ; vous devenez inquiets au sujet des gens.

Et une autre chose, monsieur, pour laquelle j’espérais qu’un jour vous m’enverriez des gens pour le voir par eux-mêmes : vous développez une connaissance qui ne vous appartient pas. Vous développez une compréhension de l’espace, une compréhension du temps et de la création qui n’a aucun sens pour vous en tant qu’être humain - c’est un état tel, qu’après votre terrible torture, qu’après que des substances aient été retirées de vous, une certaine sorte d’échange a lieu dans lequel vous connaissez soudain des choses que le Mantindane doit connaître et que les êtres humains ordinaires ne connaissent pas.

In Enlèvements par les Extra¬Terrestres et les Reptiliens selon Credo MUTWA, par Rick Martin du 30 sept. 1999 et traduit par Daniel Maury.

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UN PEU D’ESPOIR VENANT DE CREDO MUTWA

par corbeau, lundi 10 mai 2021, 00:19 (il y a 1054 jours) @ corbeau

… Je peux vous dire, monsieur, que ces créatures, que les gens appellent à tort des extra-terrestres, ne sont pas extra-terrestres du tout.

Après de nombreuses années passées à étudier cette chose, à essayer de la comprendre, je peux vous dire ceci : que les Mantindane, et les autres sortes d’êtres extra-terrestres dont notre peuple a connaissance, sont sexuellement compatibles avec les êtres humains. Les Mantindane sont capables de féconder les femmes africaines.

Et je suis tombé sur beaucoup de cas de ce genre au cours de la dernière trentaine d’années. Par exemple, selon notre culture, l’avortement est considéré comme pire que le meurtre. Et si une femme d’une tribu d’une zone rurale de l’Afrique du Sud se trouve être mise enceinte par une personne inconnue, et qu’ensuite sa grossesse disparaît, que, monsieur, un parent de cette femme l’accuse d’avoir commis un avortement, et pourtant elle le nie, bien sûr.

Et à cause de la dispute qui s’ensuit entre elle et ses parents et les parents du mari, alors elle propose à ces gens qui l’accusent de l’emmener voir un sangoma ; c’est une personne comme moi. Le sangoma examinera parfois la femme et, si le sangoma trouve que la femme a été enceinte, et a eu d’une manière ou d’une autre son fœtus enlevé - une chose qui, quand elle est faite par les Mantindane, entraîne des lésions spécifiques sur la femme que quelqu’un d’expérimenté peut reconnaître - alors, le sangoma sait que la femme dit la vérité.

De plus, l’odeur qui persiste sur les gens qui sont passés entre les mains du Mantindane, ce qui est inoubliable pour un homme méticuleux, persiste toujours sur toute femme qui a été fécondée par le Mantindane, peu importe la quantité de parfum ou de poudre qu’elle essaie d’utiliser.

Donc, voilà pourquoi beaucoup de tels cas se retrouvent sur le seuil de ma vie. Des Sangomas me ramènent de telles personnes en grand nombre, parce qu’ils pensent que je suis le meilleur pour les aider dans de tels problèmes.

C’est ainsi que, dans la dernière quarantaine d’années, j’ai reçu beaucoup de femmes qui ont réellement été fécondées par les Mantindane et dont les grossesses se sont mystérieusement terminées, laissant la femme se sentir souillée, se sentir coupable, et rejetée par sa famille. C’est devenu mon devoir de convaincre la famille de l’innocence de la femme, d’essayer de guérir le terrible traumatisme spirituel et mental - aussi bien que physique - que la femme a subi, et à part ça de l’aider ainsi que les membres de sa famille, à oublier ce qui est arrivé.

Non, monsieur ; si ces extra-terrestres viennent d’une planète éloignée, pourquoi sont-ils capables de féconder des femmes ? Et pourquoi cette créature étrange, qui était nue, avec des poils pubiens roux, qui m’a grimpé dessus sur cette table de travail, pourquoi avait-elle un organe qui, quoique légèrement différent de celui d’une femme normale, était pourtant un organe féminin reconnaissable?

L’organe de la créature était à la mauvaise place. Il était légèrement plus sur le devant, là où celui d’une femme normale est entre les jambes. Mais il était reconnaissable, et il ressemblait à un organe féminin. Il avait des poils comme un organe de femme.

C’est pourquoi, monsieur, je crois que ces soi-disant extra-terrestres ne viennent pas du tout de très loin. Je crois qu’ils sont ici avec nous, et je crois qu’ils ont besoin de substances issues de notre corps, juste comme certains d’entre nous, les êtres humains, utilisent certaines choses extraites des animaux sauvages, tel que les glandes de singe, pour certains de nos propres objectifs égoïstes.

Je crois, monsieur, que nous devrions étudier ce dangereux phénomène très, très, clairement et avec des esprits objectifs.

Beaucoup trop de gens succombent à la tentation de considérer ces “extra-terrestres” comme des créatures surnaturelles. Ce sont juste des créatures tangibles, monsieur. Elles sont comme nous ; et, en outre, je vais faire ici une déclaration qui va être une surprise : les extra-terrestres gris, monsieur, sont comestibles. Surpris ?

Les Mantindane ne sont pas les seuls extra-terrestres que nous, les Africains, avons vus et dont nous sommes informés, et sur lesquels nous avons des histoires à raconter.

Il y a vraiment de très nombreux siècles, avant que le premier homme blanc ne vienne en Afrique, nous, le peuple Africain, nous avons rencontré une race d’extra-terrestres qui ressemblait exactement à l’homme blanc européen qui allait envahir l’Afrique dans notre avenir.

Ces créatures extra-terrestres sont grandes. Certaines d’entre elles sont plutôt bien bâties, comme des athlètes, et elles ont des yeux bleus légèrement inclinés et des pommettes hautes. Et ils ont des cheveux d’or, et ils ressemblent exactement aux Européens d’aujourd’hui, à une exception près : leurs doigts sont admirablement faits, longs et comme ceux des musiciens et des artistes.

Alors, ces créatures sont venues en Afrique depuis le ciel, dans des vaisseaux qui ressemblaient au boomerang du peuple Australien. Maintenant, quand un de ces vaisseaux descend pour atterrir, il crée un tourbillon de poussière, qui fait vraiment un très grand bruit, comme celui d’une tornade. Dans la langue de certaines tribus africaines, un tourbillon se dit zungar-uzungo.

Alors, notre peuple a donné plusieurs noms à ces extra-terrestres à la peau blanche. Ils les ont appelés Wazungu, un mot qui signifie approximativement “dieu” mais qui signifie littéralement “peuple du démon-poussière ou du tourbillon”.

Et, notre peuple connaissait bien ces Wazungu depuis le début. Ils les ont vus, et ils ont vu que certains - en fait, beaucoup - de ces Wazungu portent ce qui a l’air d’une sphère en cristal ou en verre, une sphère qu’ils s’amusent toujours à faire rebondir comme une balle dans leurs mains. Et quand une force de guerriers essaie de capturer un Wazungu, le Wazungu lance cette balle en l’air, l’attrape dans ses mains, et ensuite disparaît.

Mais, des Wazungu ont été capturés par des Africains dans le passé et gardés prisonniers par la force dans les villages des chefs, et dans les grottes des chamans. La personne qui a capturé le Muzungu, comme il est appelé au singulier, devait s’assurer qu’il gardait le globe de verre bien dissimulé aux Wazungu. Aussi longtemps qu’il gardait le globe en otage, le Muzungu ne pouvait pas s’échapper.

Un jour j’espère partager davantage de choses concernant cette information avec vos lecteurs, mais je renouvelle mon appel : S’il vous plait enquêtez ! S’il vous plait, enquêtons ! Arrêtons d’être trop sceptiques. Un scepticisme excessif est tout aussi dangereux et aussi mauvais que la crédulité.

Nous devons enquêter, monsieur, parce que tout porte à croire que les créatures extraterrestres qui partagent cette planète avec nous deviennent capables de tout. Pourquoi ? Car, voyez-vous, il y a un grand combat qui prend forme, et quiconque réfléchit profondément à de telles choses peut voir ce combat arriver.

Monsieur, qu’est-ce que cela vous dit ? Cela vous dit que, après avoir été dominés pendant bien des milliers d’années par des créatures extra-terrestres, les êtres humains se mettent à résister. Les êtres humains se mettent à se préoccuper du monde dans lequel ils vivent et dans lequel ils se trouvent. Mais, les extra-terrestres, les Chitauli, les Mantindane - appelez-les comme vous voulez - ne vont pas se laisser faire. Ils vont nous punir, comme ils l’ont fait il y a des siècles.

Les extra-terrestres ont détruit autrefois une nation dont le nom nous est parvenu à nous, les Africains, en tant que nation d’Amariri. On dit que les rois d’Amariri, ce pays fabuleux dont nous croyions qu’il s’étendait au-delà du soleil couchant, refusaient de faire ce que les Chitauli leur disaient de faire.

En ce temps-là, les rois refusaient de sacrifier leurs enfants aux Chitauli. Ils refusaient de faire la guerre à leurs semblables les êtres humains, afin de soutenir les Chitauli, avec leurs images de dieu.

On dit que les Chitauli ont fait descendre un feu du Ciel. Ils ont pris du feu à partir du Soleil lui-même et ils l’ont utilisé pour détruire cette grande civilisation. Ils ont provoqué des tremblements de terre et des raz de marée et ont détruit la grande civilisation du peuple Rouge aux longs cheveux verts, que l’on dit avoir été le premier peuple qui n’ait jamais été créé sur cette Terre. On dit que les Chitauli n’ont permis qu’à peu de survivants d’échapper à la destruction d’Amariri, et qu’ils sont prêts à le refaire dans un très proche avenir.

Jabulon, monsieur, est un dieu très étrange. On suppose qu’il est le dirigeant des Chitauli. À ma grande surprise, c’est un dieu à qui je trouve que surtout certains groupes de Blancs rendent un culte. Nous avons été au courant de l’existence de Jabulon pendant de très nombreux siècles, nous, les Noirs. Mais je suis surpris qu’il y ait des Blancs qui adorent ce dieu, et ces gens, parmi eux il y a des gens que beaucoup de personnes ont rendu responsables des choses qui sont arrivées sur cette Terre, à savoir, les francs-maçons. Nous croyons que Jabulon est le dirigeant des Chitauli. C’est l’Ancien. Et l’un de ses noms, dans la langue africaine, monsieur, est Umbaba Samahongo - “le seigneur roi, le grand père aux yeux terribles” - car nous croyons que Jabulon possède un œil grâce auquel, s’il l’ouvre, vous mourez s’il vous regarde.

On dit, monsieur, que l’Umbaba s’est enfui d’une terre orientale au cours d’une lutte pour le pouvoir avec l’un de ses fils, et qu’il s’est réfugié en Afrique centrale, où il se cache dans une caverne, profondément dans le sol. Et c’est une chose incroyable, monsieur - on dit que sous les Montagnes de la Lune au Zaïre se trouve cette grande cité de cuivre, faite de nombreux milliers de bâtiments brillants. Là réside le dieu Umbaba ou Jabulon. Et ce dieu est en train d’attendre le jour où la surface de la Terre sera débarrassée des êtres humains afin que lui, et ses enfants, les Chitauli, puissent sortir et profiter de la chaleur du Soleil.

Martin : Maintenant, on a dit - j’ai entendu dire que ces êtres sont très directifs et que la politique consistant à “diviser pour mieux régner” leur réussit bien.

Credo Mutwa : Oui, c’est ce qu’ils font, monsieur. Ils montent les êtres humains les uns contre les autres. Je pourrais vous donner beaucoup d’exemples amusants, en me servant de certaines langues africaines, sur la manière dont on dit que les Chitauli ont divisé les êtres humains. Ils aiment bien - savez-vous qui ils aiment bien, monsieur ? Ils aiment bien les fanatiques religieux.

Credo Mutwa : Ceux qui sont accablés par trop de religion sont très populaires parmi les Chitauli.

Martin : Oui. J’aimerais revenir un instant sur la cité de cuivre. Il semblerait que ce Jabulon soit l’équivalent de ce que, en Occident, nous appelons Satan. Diriez-vous ça?

Credo Mutwa : Je pense aussi, oui, monsieur. Il est le chef des Chitauli. Et, comme Satan, il vit dans une habitation souterraine où de grands feux sont toujours allumés, pour lui tenir chaud. Parce que, nous a-t-on dit, après la grande guerre qu’ils ont menée avec Dieu, ils sont devenus des êtres à sang froid et ils détestent les températures glaciales, c’est pourquoi ils ont besoin de sang humain, et aussi ils ont besoin d’un feu entretenu en permanence là où ils sont.

Martin : Et maintenant, lorsque vous pouviez voir ses véritables yeux sous les yeux externes du Gris, diriez-vous que c’étaient des êtres reptiliens sous ce couvercle?

Credo Mutwa : Oui, monsieur, exactement. Je vais vous dire pourquoi. Il y a un serpent ici en Afrique du Sud qui est appelé un mamba.

C’est l’un des serpents les plus venimeux que vous puissiez trouver. Il a des yeux EXACTEMENT comme ceux d’un Chitauli ou d’un Mantindane. Et c’est aussi le cas du python, monsieur. Les yeux d’un crocodile ont l’air très ET, et ils n’ont pas l’air aussi envoûtants et aussi perçants que ceux d’un mamba ou d’un python. Si vous pouvez imaginer, monsieur, les yeux d’un python, grossis environ dix fois, alors vous avez exactement ce à quoi ressemblent les yeux d’un Chitauli.

Martin : Bien, on a dit, et je crois que c’est vrai, qu’il y a une - faute d’une meilleure façon de le dire - il y a une guerre entre la Lumière et les Ténèbres, entre le Bien et le Mal, sur cette planète.

Credo Mutwa : Oui. Oui, monsieur. Oui, monsieur. Oui.

Martin : Et il y a certainement un Dieu dans Son Univers, un Dieu de Lumière et de Justice.

Credo Mutwa : Oui, monsieur.

Martin : Comment dans votre culture, comment envisagez-vous l’intervention de Dieu à travers Ses Hôtes, à travers Ses Représentants ? En toutes choses il doit y avoir un équilibre, et cela inclut ce qui se passe sur la planète terre - ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Comment voyez-vous - pour de nombreux lecteurs, ils peuvent lire tout ça, et ça semble être très effrayant et presque sans espoir - et pourtant, il y a certainement de l’espoir. Aussi, aimerais-je finir cette interview sur un message d’espoir.

Credo Mutwa : Oui. Volontiers, monsieur, il y a de l’espoir ! Regardez, tout d’abord, il y a un Dieu au-dessus de nous. Et ce Dieu est plus réel que la plupart d’entre nous ne le croient. Dieu n’est pas une création de l’imagination de quelqu’un. Dieu n’est pas quelque chose d’imaginé par des anciens hommes et des anciennes femmes à l’époque préhistorique. Dieu existe, monsieur. Mais debout entre nous et Dieu se tiennent des créatures qui prétendent être des dieux. Et ces créatures, nous devons nous en débarrasser afin de nous rapprocher de Dieu.

Monsieur, j’ai vécu une vie longue et très étrange, et je peux vous dire qu’il y a un Dieu, et qu’il intervient. Toutefois, nous percevons l’intervention de Dieu comme étant lente, mais attendez : Qui aurait pensé qu’il y a moins de trente ans, pas une seule personne ne se souciait de l’environnement. Qui a mis ce dévouement soudain en nous tous?

Aujourd’hui, monsieur, des gens partout dans le monde se lèvent pour défendre les droits des femmes et les droits des enfants. Qui a mis ces idées dans leur esprit ? Pas les Chitauli, pas une quelconque entité diabolique, c’est Dieu qui agit dans l’ombre et qui nous rend forts et capables de résister à ces vilaines créatures.

Vous voyez, monsieur, Dieu semble agir lentement à nos yeux, parce que Dieu vit dans une sphère temporelle complètement différente de la nôtre. Dieu est là. Dieu est en train d’agir. Et c’est Dieu, monsieur, qui, pour la première fois dans notre existence, nous fait prendre conscience de ces choses, nous fait prendre conscience que dans ce monde nous ne sommes pas seuls, et que nous devons être par notre âme seuls responsables de nos actes, et que nous devons neutraliser ces êtres extra-terrestres qui nous ont fait tourner en rond pendant des années.

Les êtres humains n’ont jamais connu aucun véritable progrès, monsieur, parce qu’il y a eu des forces qui nous ont empêché d’atteindre notre place légitime dans l’univers, et je fais allusion aux Chitauli, je fais allusion aux Mantindane, je fais allusion aux Midzimu. Nous devons arrêter de considérer ces créatures comme des créatures surhumaines. Ce ne sont que des parasites qui ont plus besoin de nous que nous n’avons besoin d’eux. Et seul un imbécile refusera toujours d’admettre le fait que nous ne soyons pas la seule espèce d’êtres intelligents que cette planète ait engendré.

Dans toute l’Afrique il y a des preuves accablantes qu’autrefois il y a eu des êtres humains gigantesques qui parcouraient cette planète, du temps des dinosaures. Il y a des empreintes de pas dans le granit, chacune d’un mètre quatre-vingt de long sur un mètre de large, des empreintes de pied d’êtres humains adultes, monsieur, qui remontent à de milliers d’années, des millions d’années. Où sont allés ces géants? Qui sait ; les dinosaures peuvent avoir engendré une race intelligente, une race qui nous fait croire qu’elle vient des étoiles, alors qu’en fait elle fait partie de cette planète sur laquelle nous vivons.

Il y a de l’espoir, et cet espoir est très lumineux. Un enfant-Christ est en train de naître en chacun de nous, mais comme toutes les morts, la mort de l’enfant-Lumière (la mort du vieil homme préalablement à l’avènement du Christ en nous) va être accompagnée d’un grand danger, étant donné que l’adversaire va être poussé au désespoir. L’ennemi fera des erreurs et nous le vaincrons au nom de Dieu. C’est ce que je crois, monsieur, et c’est ce que je vais persister à croire jusqu’à mon dernier souffle.

Credo Mutwa : Oui, monsieur. Alors, je parle à un compagnon de guerre, et je dis, “Nous vaincrons”, comme le chantaient les Marines américains pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Nous vaincrons, nous vaincrons, mais les sceptiques doivent arrêter de rire, et les imbéciles doivent arrêter d’appeler ces extra-terrestres, dieu. Il n’y a qu’un seul Dieu, et il ou elle ou ce principe est le seul qui nous a créés, et non pas un quelconque imposteur qui est venu d’ailleurs pour se cacher derrière nous et pour boire le sang de nos enfants. Qu’il en soit ainsi, monsieur.

Martin : Oui, c’est absolument exact. Credo, je vous prie de savoir que je vous suis profondément reconnaissant de ce que vous avez fait et du courage de seulement parler franchement. Ce n’est plus le moment de garder ces choses pour soi, et c’est le moment de seulement dire La Vérité. Et pour ceux qui n’en croient ou n’en envisagent même pas la possibilité, eh bien, tant pis pour eux.

Credo Mutwa : Exactement, et aussi mettre les gens en présence du fait qu’il n’y a aucune raison de craindre quoi que ce soit. Si nous partons d’un point de vue consistant à rendre accessible l’information qui devrait être accessible à toute personne sur cette planète resplendissante, qu’est-ce qui leur prend d’essayer de vous menacer pour que vous vous teniez tranquille ? Si c’est si ridicule, qu’ils en restent là. Qu’ils arrêtent d’assassiner, de ridiculiser et de détruire les gens en inspirant la crainte. C’est de ce point de vue que je me place, et je suis sûr que c’est aussi le cas de David (Icke), et évidemment de vous aussi. Je n’ai plus du tout peur. Il est temps pour nous d’oser prendre la parole et d’acquérir une conscience - une conscience commune et globale - et de placer cette chose en priorité. Merci, vraiment, je vous en suis vraiment reconnaissant.

In Enlèvements par les Extra¬Terrestres et les Reptiliens selon Credo MUTWA, par Rick Martin du 30 sept. 1999 et traduit par Daniel Maury.


P.-S. Les petits gris seraient en fait des carapaces ou armures biologiques à base de protéines pouvant être retirés et refermant des reptiles humanoïdes.

In https://fr.wikipedia.org/wiki/Vusamazulu_Credo_Mutwa

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CREDO MUTWA selon ELISABETH DE CALIGNY (vidéo)

par corbeau, lundi 10 mai 2021, 00:20 (il y a 1054 jours) @ corbeau

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