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Chronologique
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DOSSIER VIH / SIDA : Dr Jean-Marc Brunet n.d.

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 08:34 (il y a 3040 jours)

:-) DOSSIER VIH = SIDA : LE MENSONGE CONTINUE...

Le plus bel exemple de collusion et de corruption qui implique des milliards de dollars depuis les années 80.

Le plus bel exemple de médecins qui ne font que suivre les directives/les ordres/les consignes de l'OMS, de la Santé Publique, de la FDA américaine, du Collège des Médecins du Québec, sans rien remettre en question, aveuglément. La prescription de l'AZT faisait partie d'un véritable génocide ! Avez-vous entendu un ou des médecins faire leur mea culpa ? Avez-vous entendu le Collège des Médecins faire le point sur cette délicate question ? Avez-vous entendu la Santé Publique ? On tue des gens sur prescription, et on se réfugie dans le déni, l'hypocrisie...

Comme dans l'armée, comme dans les corps policiers, comme les politiciens... Et probablement souvent de bonne foi, comme ça semble être le cas pour le Dr Réjean Thomas, devenu le symbole au Québec de la lutte contre le SIDA.

Même les revues gaies sont devenues des courroies de transmission de ce mensonge, les compagnies pharmaceutiques achetant de la pub $ à profusion dans ces revues homosexuelles, revenus devenus essentiels pour la survie de bien de ces revues ! Conflit d'intérêt vite éjecté sous le couvert encore d'une morale. Là aussi, le mensonge est devenu un dogme que l'on ne peut remettre en question sans en essuyer les coups bien nourris.

Ce qui plane sur l'équation VIH = SIDA, plane aussi sur toute la question du cancer.

Mon opinion personnelle sur la question : L'AZT prescrit a tué des milliers, voire des millions de personnes, rapidement en faisant porter le chapeau au virus VIH. La trithérapie fait le même travail mais lentement... ! Ça donne l'illusion que ce traitement fonctionne bien. Et aujourd'hui, on veut l'imposer à titre préventif... !?

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DOSSIER VIH / SIDA : Première partie

Entre [ ] signifie que j’ai soit corrigé une faute de français ou que j’ai complété la phrase parce que l'article a été coupé et il manque quelques mots.

Entre […] signifie que je saute un ou des paragraphes ou des phrases de l'extrait.

Des coquilles peuvent être présentes malgré mes révisions.

1. Dr Jean-Marc Brunet n.d.
Journal de Montréal
Mercredi 11 Janvier 1995
Chronique : VIVEZ EN SANTÉ / VIVEZ HEUREUX !

Virus du sida

Un lecteur me demande sur quoi se basent les gens qui soutiennent que le virus du VIH n’est pas la cause du sida, alors que cette réalité est reconnue universellement.

Le virus VIH (virus de l’immunodéficience humaine) a été découvert par le professeur Luc Montagnier, de France, à partir d’un tissu ganglionnaire prélevé chez un individu qui présentait les symptômes du sida. On a conclu que ce virus était responsable du sida puisqu’il s’agissait d’un nouveau virus.

Mais le fait qu’un virus soit présent dans les tissus d’un individu qui présente un trouble quelconque de santé ne prouve pas que ce virus soit la cause de ce trouble. En fait, jamais personne n’a pu démontrer que le VIH causait les symptômes reliés au sida. Il s’agit d’une affirmation totalement gratuite. Même si cette affirmation est véhiculée universellement, elle n’en demeure pas moins gratuite pour autant.

On prétend que le VIH attaque les lymphocytes T 4 et les détruit. Comme le soulignait le Dr Peter Duesberg, de l’Université de la Californie à Berkeley, le VIH n’infecte qu’un nombre très limité de cellules. On parle d’une cellule sur 10 000 ou d’une cellule sur 100 000. Cette faible contamination par le virus rend d’ailleurs le VIH difficile à déceler. Pour le Dr Duesberg, le VIH est un rétrovirus qui semble passablement inoffensif.

Si le taux des lymphocytes T 4 infectés par le VIH est faible, ces derniers ne peuvent pas être détruits par ce virus parce [que] chaque mois, la moitié de ces lymphocytes est renouvelée. Le taux de renouvellement dépasse largement le [nombre de lymphocytes infectés.]

Il faut donc que le sida soit causé par d’autres facteurs. Le sida pourrait tout simplement résulter d’un effondrement du système immunitaire, engendré par de mauvaises habitudes de vie. D’ailleurs, cette hypothèse est vraisemblable puisqu’on rencontre des cas de sida chez des personnes chez qui le VIH n’est pas présent. C’est à Amsterdam, en 1992, que ce phénomène a été observé. Si des gens présentent les symptômes du sida sans être porteurs du VIH, c’est qu’une autre cause justifie cette affection.

Chez les gens porteurs du VIH, on estime qu’au bout d’une période de sept ans, 33% demeureront sans symptômes. Un deuxième tiers aura des symptômes variés, sans toutefois qu’on puisse parler du sida. Si donc 66% des porteurs du virus s’en sortent, on ne peut pas affirmer que ce virus cause le sida. Il faut nécessairement que d’autres facteurs soient impliqués dans l’effondrement du système immunitaire. Ces autres facteurs pourraient tout simplement être de mauvaises habitudes de vie.

Au lieu de s’affoler devant les dangers du sida et d’adopter une attitude défaitiste, il vaudrait beaucoup mieux prendre les bons moyens pour tonifier le système immunitaire. Au lieu de condamner les gens à mort, à plus ou moins long terme, lorsqu’on découvre qu’ils sont porteurs du VIH, il vaudrait beaucoup mieux modifier leurs mauvaises habitudes de vie, combler leurs carences nutritionnelles et favoriser leur désintoxication.

Évidemment, l’approche des bonnes habitudes de vie pour tonifier le système immunitaire n’est pas populaire dans la recherche impliquée dans la lutte contre le sida. Pour cette industrie, il semble préférable de retenir l’hypothèse que le VIH cause le sida et s’impliquer dans le développement de tests, de médicaments et de vaccins. À l’heure actuelle, on consacre des milliards de dollars à travers le monde dans la recherche sur le sida. Tout laisse croire qu’il serait beaucoup plus rentable de s’impliquer plutôt dans l’éducation de la santé et la prévention de la maladie.

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DOSSIER VIH / SIDA : 2. Jean-Pierre Olivier

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 09:21 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) DOSSIER VIH / SIDA : Deuxième partie

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2. Jean Pierre Olivier
Journal Vert
1995-2003 ?
[image]
SIDA : la vérité qui fait peur
Les médicaments et les drogues sont peut-être les vrais responsables

Soyons clair : personne ne meurt du sida. Tout simplement parce que le sida n’est pas une maladie en tant que telle, mais bien, comme son nom l’indique, un syndrome (ensemble de symptômes) d’une immunodéficience dite « acquise ». Et si on meurt de quelque chose, ce n’est pas du sida mais de maladies qui surviennent lorsque notre système immunitaire est délabré. Des maladies parfois communes, parfois aussi assez rares il est vrai, mais qui ont toujours existé et sont répertoriés depuis longtemps : pneumonie pneumocystis carinii, sarcome de Karposi (une forme de cancer), cytomégalovirus ainsi qu’une vingtaine d’autres moins connues. Depuis la conférence de presse fortement médiatisée du 23 avril 1994 où le Dr Robert Gallo, un éminent virologue américain, a annoncé qu’il avait trouvé la «cause» du sida, il est généralement admis dans la communauté scientifique que le sida est causé par le VIH (virus de l’immunodéficience humaine). À l’époque, cette retentissante déclaration avait été entérinée par la secrétaire du Département de la Santé des États-Unis, si bien que pendant de longues années, on n’a plus jamais remis en question l’équation VIH = SIDA.

L’un des premiers à le faire fut le Dr Peter Duesberg, professeur de biochimie et de biologie moléculaire à l’Université de Californie à Berkeley. Pionnier dans la recherche des gènes du cancer, ses travaux lui ont valu d’entrer à la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, en 1986, pour avoir dressé le plan de la structure génétique des rétrovirus. Or un jour, au grand scandale des milieux scientifiques officiels, le docteur Duesberg a osé soutenir que le VIH n’a rien à voir avec le sida. Ce sont, a-t-il soutenu, les drogues illégales et des médicaments hautement toxiques, incluant l’AZT et les nombreux antiviraux que l’on donne comme traitement aux personnes infectées qui sont responsables de l’effondrement de l’immunité et par conséquent, du sida. Aujourd’hui, le Dr Duesberg, est dans le collimateur de ce lobby colossal et à l’échelle du monde, qui maintient que le VIH est le premier et le seul responsable des maladies du sida. Par la suite et comme par hasard, le gouvernement américain a coupé la plupart des subventions dont bénéficiait ce chercheur scientifique et des pressions sont faites pour que les étudiants universitaires évitent ses cours sous peine d’être pénalisés par le jury lors des examens…

Ce que soutient le Dr Duesberg, ainsi que d’autres dissidents de la théorie officielle, c’est que le VIH n’obéit pas aux exigences des postulats de Koch *, lesquels sont reconnus pour définir les rapports spécifiques entre un microbe et la maladie dont il est réputé responsable. Alors que la théorie officielle dit que la multiplication du virus cause l’affaissement du système immunitaire et ouvre la porte à toutes sortes d’infections dites « opportunistes », le Dr Duesberg et beaucoup d’autres scientifiques depuis, affirment au contraire que le virus en tant que tel est inoffensif et ne se multiplie que parce que le système immunitaire du malade est déprimé. Mais comment expliquer d’autre part que tant de personnes séropositives depuis fort longtemps ne semblent pas s’en porter plus mal ? Lors du 12e Congrès international de pharmacologie qui se tenait à Montréal il y a quelques années, le Dr Jay A. Levy déclarait : « La moitié des gens infectés par le sida n’ont pas encore développé la maladie après dix ans ». Il serait malaisé de vider la question car si l’on possède de nombreuses statistiques sur les personnes atteintes de maladies, on n’en a guère sur les bien-portants (qui ne consultent pas, comme de raison).

La seule question est : le VIH cause-t-il le SIDA ou pas ? Et si tel est le cas, d’où vient-il ? Est-il transmissible, sexuellement ou autrement ? Comment l’homme a-t-il pu un jour être infecté par ce virus ? Des théories courent à l’effet que des chimpanzés seraient à l’origine de la contamination. On sait depuis longtemps que certaines races de singes sont porteuses d’un virus appelé VIS (virus de l’immunodéficience simiesque) mais ce virus ne les rend pas malades en aucune façon. Or, on a pu démontrer [que] cette souche de virus était très proche du VIH et il n’en fallait pas plus pour [que] des scientifiques affirment que le virus a été transmis à l’homme par ces primates. Par ailleurs, le magazine Rolling Stones a déjà accusé le Wistar Institute de Philadelphie, considéré comme un leader mondial pour ce qui touche, en biologie, aux virus et à la recherche sur le cancer, d’avoir répandu le virus du sida en Afrique par le biais de vaccins contre la polio, au début des années soixante.

UN VIRUS DE CULTURE

Une autre théorie, plus troublante celle-là, nous vient du Dr Robert Strecker, spécialiste en médecine interne. Pour lui et son équipe de chercheurs, il y a deux possibilités : la première est que le virus a muté dans des bovins ou des moutons et a été adapté artificiellement à l’homme grâce à un développement dans des cultures de tissus humains ; un certain virus bovin fonctionne en effet comme un destructeur sélectif de cellules-T (exactement comme le fait le VIH). L’autre éventualité est que le virus a été carrément fabriqué en laboratoire par manipulation génétique. Il faut se rappeler que ces techniques étaient déjà à la disposition des scientifiques des années soixante et que les laboratoires du monde entier qui travaillent sur la guerre bactériologique ont toujours eu une dizaine d’années d’avance sur les autres spécialités. Selon le Dr Strecker, le VIH ressemble beaucoup au BLV, le virus de la leucémie bovine. Quand on reprend les travaux vétérinaires de l’époque, dit-il, on s’aperçoit que tout le domaine de l’immunodéficience faisait l’objet d’études dans des laboratoires qui s’occupaient, entre autre, de recherches sur les armes de guerre biologique pour différents départements du gouvernement américain…

Le même Dr Strecker évoque la possibilité d’un traitement contre le sida pour le moins non conventionnel : « En théorie, dit-il, c’est très simple, mais dans la pratique, c’est plus compliqué. Comme les virus ressemblent à de petits cristaux, on devrait pouvoir les fracasser avec des fréquences électromagnétiques et les détruire. Tout comme on peut faire tomber du cristal et le détruire sans que la maison s’écroule, on devrait pouvoir en théorie ébranler les virus sans détruire la structure cellulaire environnante. »)

Richard Glenn avait évoqué cette possibilité dans une de ses émissions sur le câble dans les années 90.

Quant à lui, le Dr Horowitz soutient que les membres du FBI et de la CIA qui dirigeaient un programme de contre-espionnage anticommuniste, appelé COINTELPRO, sont responsables de la transmission du sida à des populations américaines bien précises de même que dans certains pays du Tiers-Monde…

On se souvient de l’époque du célèbre sénateur McCarthy qui, dans les années quarante et cinquante, pourfendait tout ce qui pouvait recéler le moindre brin de communisme. Vingt ans plus tard (c’est l’époque de Nixon), cette chasse aux sorcières sévissait toujours mais en secret et s’en prenait aussi bien à certaines minorités comme les homosexuels et les Noirs qu’à toute personne soupçonnée de sympathies communistes. Exagération ? On n’a qu’à se rappeler le cas de cet Américain qui a récemment demandé au Canada le statut de réfugié, persécuté qu’il est dans son pays parce qu’il est un communiste avoué.

Mais revenons à la thèse voulant que le VIH ne soit pas la cause du sida. Plusieurs études soulignent que 40% des maladies du sida n’auraient aucun lien avec la chute de l’immunité. « Première zone d’ombre, dit Renaud Russeil dans son ouvrage Enquête sur le sida, un virus s’attaquant à l’immunité devrait entraîner des maladies liées à l’état du système immunitaire. (…) La maladie est d’origine virale et contagieuse, mais l’épidémie reste généralement confinée autour des comportements à risques. » D’après un virologue allemand, le docteur Stefan Lanka, on n’a jamais publié la moindre photo d’une particule isolée du VIH, ni de ses protéines ou de ses acides nucléiques (ARN). Aucune expérience contrôlée selon le protocole d’usage * n’a été publiée à ce jour. Ce qu’on nous a montré, selon lui, ce sont des photos de particules semblables à des virus en culture, mais jamais le virus isolé. La différence en virologie est celle du jour et de la nuit ! « L’existence du VIH, souligne-t-il, est déduite d’un test sur des anticorps, mais la façon dont tout ceci opère reste un mystère, tant qu’on n’aura pas prouvé que le virus existe réellement et qu’il n’aura pas été isolé sans contaminants. »

On a aussi soutenu que le virus du sida a délibérément été créé par le gouvernement des États-Unis pour servir d’instrument de dépopulation. À l’appui de cette thèse, le NSM 200 (National Security Memorandum), un document top secret du début des années soixante-dix, rédigé par le secrétaire d’État de l’époque, Henry Kissinger et dans lequel il indiquait que « la dépopulation devrait être la plus haute priorité du gouvernement américain concernant la politique étrangère sur le Tiers-Monde. » Et ailleurs dans le texte : « La réduction du taux de population dans ces États est une question vitale pour la sécurité nationale des États-Unis. » Le document contient même une carte géographique de ces régions où la dépopulation est souhaitable : ce sont tous des pays du Tiers-Monde… On peut avoir accès à ce dossier aux archives nationales des États-Unis. Voilà un exemple flagrant des agissements d’un véritable « gouvernement secret en action » car rien de tout cela n’était connu du Congrès et encore moins de la population américaine.

On peut trouver à la bibliothèque du Sénat américain un autre document encore plus troublant appelé Army Appropriations Hearing. Il s’agit d’un rapport datant de juillet 1969, concernant des demandes de budget pour l’armée américaine qui réclamait (et a obtenu) 10 millions de dollars pour développer « un agent biologique synthétique qui pourrait affaiblir ou détruire le système immunitaire humain ». Et à la même époque, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publiait plusieurs articles favorisant des recherches visant à développer « un virus hybride qui pourrait affecter sélectivement le système immunitaire humain ». Ces textes, Kissinger Memorandum, Army Appropriations Hearing et les articles émanant de l’OMS, sont des documents officiels et vérifiables dont on ne peut contester l’authenticité. Toutes ces informations ont été mises en lumière dans une émission de télévision provenant de Network 23 et diffusée sur un canal du câble de la région de Los Angeles. On y fait notamment état d’une incroyable coïncidence, à savoir qu’en 1972, une importante délégation de l’OMS s’est rendue en Afrique Centrale – dans une région connue aujourd’hui comme la ceinture du sida – afin d’administrer à des milliers d’Africains un vaccin contre la variole. Un événement qui a aussitôt été suivi par les premières manifestations du sida (qui ne portait pas encore ce nom) sur la planète. Cette remarquable coïncidence avait fait la une du London Times mais curieusement, n’a jamais eu droit à la moindre mention, nulle part dans la presse américaine. Par la suite, on a institué des campagnes de vaccination gratuite contre l’hépatite dans les communautés homosexuelles de New York et de San Francisco et, coïncidence ? ces populations ont dans les quelques années qui ont suivi été qualifiées de groupes à risque et les statistiques officielles ont fait [état] d’un nombre alarmant de cas de sida dans ces communautés.

Quoi qu’il en soit la question demeure : le sida est-il causé par le VIH, comme le soutiennent une majorité de scientifiques ? Ou l’effondrement du système immunitaire n’a-t-il rien à voir avec ce virus ? Et d’où vient ce virus ? Des animaux ? Ou bien a-t-il été délibérément fabriqué par l’homme ? Bien malin qui pourrait répondre à ces questions. Peut-être bien qu’aucune des hypothèses n’est la bonne. Que Gaïa, cette bonne vieille terre, a tout simplement décidé de faire le ménage sur cette planète surpeuplée que de toute manière, les hommes ne cessent de maltraiter. Que périodiquement, à différentes époques, surgissent des fléaux qui ont pour objectif de nettoyer la planète et que le sida n’est autre chose qu’une autre de ces vastes opérations de nettoyage organisé par l’écosystème de l’Univers…

À lire : La Guerre des virus. Leonard Horowitz. Éditions Félix.
Enquête sur le sida. Renaud Russeil. Éditions Vivez Soleil.
HIV - reality or artefact. Stefan Lanka. Continuum, avril-mai 1995. Vol. 3 Issue I.

* VACCIN IMPOSSIBLE (Postulat de Koch)

Des doutes sont émis sur la relation de cause à effet entre le VIH et le sida parce que ce virus ne répond pas au postulat de Koch, condition scientifique indispensable pour lui en attribuer la cause et développer un vaccin.

1) Le microbe doit être présent dans chaque cas de la maladie, en quantité suffisante pour entraîner des effets pathologiques (ce qui n’est pas le cas : des milliers de personnes qui sont mortes d’un effondrement de leur système immunitaire et d’infections opportunistes sans qu’on ait constaté, lors d’examens ou même d’autopsies, la présence du virus VIH).

2) L’agent ne se trouve pas dans d’autres maladies (le VIH est présent dans le cas de plusieurs types d’infections).

3) Après isolation et propagation du microbe en culture, l’agent peut entraîner de nouveau la même maladie (le virus mute continuellement et sa présence peut ne jamais entraîner la maladie comme chez ces prostituées africaines infectées qui ne sont pas malades).

4) À partir de l’hôte expérimentalement infecté, il faut pouvoir isoler de nouveau le microbe spécifique (très souvent, on ne déduira sa présence que si les tests détectent des anti-corps. C’est comme dire que si une ville est « infestée » de policiers, elle est probablement « infectée » par des bandits).

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DOSSIER VIH / SIDA : 3, Claudia Rainville

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 09:48 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) DOSSIER VIH / SIDA : Troisième partie

Vous remarquerez, étrangement, que le Collège des Médecins, la FDA américaine, la Santé Publique et autres intervenants officiels, sont complètement fermés aux dissidents de la théorie officielle : VIH = SIDA ! Et ce malgré des preuves irréfutables. Quand le même phénomène s'observe pour d'autres situations comme pour le fluor dans l'eau, comme pour le 11/9, comme pour le cancer, comme pour la guerre à l'État islamique, comme pour la dette, et j'en passe, c'est qu'il y a dans l'ombre un autre pouvoir qui gouverne et qui a une mainmise.

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3. Claudia Rainville
Métamédecine : La guérison à votre portée
Les Éditions FRJ
1995
[image]

Extrait 1 (pp.74 - 79) : Arrêtons-nous quelques instants, et demandons-nous quel peut être l’effet sur le psychisme d’une personne qui apprend qu’elle est séropositive. Question bien secondaire pour le virologue occupé à traquer les subtilités biochimiques des virus dans ses éprouvettes !

Question intéressante pour les psychologues et les thérapeutes qui cherchent à conserver le moral de la personne anéantie par cette nouvelle.

Mais, pour la personne elle-même, c’est une réalité avec laquelle elle doit vivre. Un tel décidera de se battre contre la maladie et aura recours à l’AZT, la diététique, la médecine holistique ou la prière, selon ses conceptions. Un autre le prendra sereinement jusqu’à ce qu’un spécialiste consulté à l’occasion d’une infection lui annonce qu’il a maintenant atteint le stade du sida. Il sera choqué et n’y croira pas. Un autre demandera à son partenaire de le quitter pour tenter de refaire sa vie et s’enfoncera lui-même dans un isolement de plus en plus désespéré. Beaucoup connaîtront la panique, cherchant à se faire rassurer à la moindre « manifestation » jugée suspecte, ce qui multipliera les examens, les traitements et le maintiendra dans un état d’anxiété. Enfin, d’autres vendront tout ce qu’ils possèdent et vivront comme s’il ne leur restait plus qu’un an ou deux à vivre, se préparant déjà psychologiquement à mourir.

Chacun réagit avec les ressources propres à sa personnalité, mais on peut dégager deux grandes tendances : celle de sombrer dans un processus de désespoir et d’abandon, en se repliant sur soi, en attendant la fin, et celle d’accuser le coup mais avec le sentiment d’avoir une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête. Et, c’est souvent ce qui arrive. Après des mois ou des années de séropositivité assumée sans trop de difficulté, ces personnes vivent un conflit qui se répercute sur le corps, conformément aux lois de cause à effet. Si le lien avec la séropositivité est établi, l’épée, jusqu’alors suspendue, le transperce et c’est le commencement d’une fin qui peut survenir en très peu de temps.

ET SI L’ÉQUATION VIH-SIDA ÉTAIT FAUSSE ?

Et si l’état d’anxiété entretenu et les traitements préconisés, et non la présence du virus VIH, qui était responsable de la destruction du système immunitaire ? Voilà la conclusion de plusieurs spécialistes de la question, dont un éminent chercheur américain, Peter Duesberg.

Peter Duesberg est professeur de biologie moléculaire à l’université de Berkeley, et membre de l’Académie nationale des sciences. Sa renommée internationale et sa spécialité en virologie l’a amené à participer au décodage chimique du VIH. Familiarisé avec la pathologie virale et les rétrovirus en particulier, il prend sérieusement en compte les lacunes et les incohérences liées à ce qu’il considère être devenu un dogme aveugle : le sida est engendré par ce rétrovirus. Il relève encore d’autres arguments :

- Le VIH atteint moins de lymphocytes que le taux naturel de renouvellement de ces cellules ;
- L’absence de maladie chez les chimpanzés infectés artificiellement ;
- La proportion beaucoup plus grande de séropositifs qui passeront au stade du sida en Occident par rapport à cette même proportion en Afrique ;
- Le nombre important de cas de sida diagnostiqués cliniquement se développent sans la présence du virus VIH, ni même d’anticorps. Ce phénomène est en contradiction avec la doctrine de l’étiologie spécifique qui enseigne que pour pouvoir établir un lien de causalité entre un germe et une maladie infectieuse, il est indispensable que 100 % des individus atteints de cette maladie soient contaminés par le germe responsable.
[Postulat de Koch]

Peter Duesberg en arrive à la conclusion que l’équation VIH = SIDA est fausse, que le virus est probablement très ancien, nouvellement décrit mais inoffensif en soi. De tradition orthodoxe, il continue à croire à une atteinte immunitaire, mais il la relie à d’autres facteurs, notamment à la montée des drogues utilisées par les homosexuels, aux diverses formes de toxicomanie et à la malnutrition.

Plus graves encore sont ces affirmations : le principal médicament anti-sida qu’est l’AZT provoquerait des dégâts majeurs dans l’organisme, notamment sur le système immunitaire, puisqu’il s’agit d’un produit chimiothérapique cytostatique (famille de substances qui inhibent la division cellulaire) qui participerait directement à la propagation du sida. Et, c’est ce produit qu’on offre à ceux et celles qui sont séropositifs.

[Depuis 1995, on a substitué la trithérapie à l’AZT : au lieu de tuer rapidement les personnes séropositives, on les tue lentement donnant ainsi l’illusion de son efficacité. J’avais lu de la documentation scientifique à cet effet. Je vais faire la recherche ultérieurement pour compléter le dossier. Probablement dans des documentaires vidéos.]

Les répercussions sont lourdes de conséquences puisque cela signifie que le sida n’est pas une maladie infectieuse et n’a rien à voir avec la sexualité. Quant au traitement préconisé, il s’apparente davantage à un génocide thérapeutique. […]

« Le sida ne mène pas inévitablement à la mort, surtout si l’on veille à supprimer les cofacteurs qui aggravent la maladie, il est très important de dire cela aux gens qui sont affectés. Les facteurs psychologiques sont critiques pour maintenir la fonction immunitaire. Si l’on supprime le soutien psychologique à quelqu’un en lui annonçant qu’il est condamné à mort, ces mots seuls peuvent représenter pour lui une condamnation. »
- Prof. Luc Montagnier (découvreur officiel du virus VIH)

ET SI LE VACCIN N’ÉTAIT EN DÉFINITIVE QU’UN VESTIGE D’UN VACCIN REÇU ?

Le VIH fut officiellement « découvert » en 1983 à l’Institut Pasteur à Paris par le professeur Luc Montagnier. Certaines personnes se sont penchées sur cette question et ont fait d’étonnantes découvertes qui les ont amenés à conclure que le VIH était une pure création de laboratoire et non la découverte d’un virus déjà existant.

Robert Strecker, médecin gastro-entérologue et docteur en pharmacologie, a conclu « Le sida a été délibérément provoqué, soit volontairement soit involontairement, par des essais de vaccination contre l’hépatite B sur les homosexuels. » Il est également convaincu que le continent africain a été contaminé de la même façon, au moment des campagnes de vaccinations contre la variole, pour étudier, à la demande de l’OMS, les effets de certaines bactéries et de certains virus. Il explique que le VIH ne peut venir de la nature, tant il est différent des autres virus connus. Il serait le résultat d’un clonage de virus d’animaux.

Eva Lee Snead, pédiatre, auteure de plusieurs communications scientifiques et des volumes intitulés Some Call it Aids… I Call it Murder et The Connection between Cancer, Aids, Immunizations, and Genocide. Elle a entrepris, depuis plusieurs années, une série de recherches médicales sur l’augmentation des taux de cancer et de leucémie chez les enfants. Elle établit la ressemblance des syndromes cliniques du VIH et ceux du SV 40 des singes verts d’Afrique. On a retrouvé du SV 40 chez certains individus. La seule façon pour un humain d’avoir le SV 40 du singe c’est soit en ingérant sa chair, soit en se le faisant inoculer en même temps qu’un vaccin. On a également trouvé ce même SV 40 dans le vaccin Sabin contre la polio (« la soupe du singe » SABIN) avec lequel on a vacciné des millions d’enfants pendant des années. Or, on a constaté que le SV 40 cause des anomalies congénitales, des leucémies, des cancers, une grave immunosuppression, des symptômes semblables à ceux du sida. La pédiatre démontre la responsabilité des vaccins dans l’apparition du sida et dans l’accroissement des leucémies et des cancers.

« Essex et un autre chercheur, Abroy, se demandent si la contamination n’aurait pas pu se faire par voie médicale, c’est-à-dire par des produits réalisés à l’aide de sang de macaques, tels que le vaccin polio (Sabin) oral et d’autres compsantes de médicaments. »4

Rappelons toutefois, comme le disait Claude Bernard (biologiste), que « le microbe n’est rien, le milieu est tout ».

Qui n’a pas reçu le vaccin Sabin contre la polio ?

Je suis persuadée que, si l’on faisait passer des tests de dépistage du VIH dans une population saine non soupçonnée d’être séropositive, on retrouverait une quantité surprenante de personnes séropositives. Séropositif ne veut rien dire de plus qu’avoir été en contact avec le rétrovirus VIH.

Et si ce [constat], contrairement à ce qu’on a voulu nous laisser croire, n’était qu’un vestige d’une vaccination reçue ? Quel soulagement pour la personne qui ne vit plus depuis qu’on lui a annoncé qu’elle était séropositive ! Et pourtant, c’est la conclusion à laquelle en arrivent d’éminents professionnels, chercheurs et médecins que l’on veut faire taire.

Le professeur Peter Duesberg fut mis au ban de ses pairs, il fut écarté des débats et des médias, on lui a retiré ses subventions pour ses recherches sur le cancer.

Le docteur Ryde Geerd Hamer, Allemand dont la démarche diffère fondamentalement de l’étude scientifique habituelle, dans la mesure où il prend en considération le psychisme de l’individu et le fonctionnement de son cerveau sans se limiter aux seuls aspects organiques et symptomatiques de la maladie, a été radié à vie en 1986 de l’Ordre des médecins. Il lui est donc interdit de pratiquer. En plus, il a été menacé à plusieurs reprises d’internement psychiatrique et ignoré des médias.

On peut se demander pourquoi on veut tant faire taire ceux qui ne cherchent qu’à réveiller leurs frères et leurs sœurs de la terre pour qu’ils recouvrent la santé. Serait-ce que la maladie est une entreprise très lucrative ?

On peut être séropositif et dormir bien tranquillement sur ses deux oreilles. Sans déficience immunitaire, pas de sida. Le sida est une maladie d’autodestruction reliée le plus souvent à une culpabilité de vivre. Il sera approfondi au chapitre « Le mal de vivre, comment s’en libérer ».

Extrait 2 (p.166) :

Le sida et la séropositivité sont deux affections bien différentes à ne pas confondre, même si certains séropositifs sont devenus sidatiques par la peur, l’angoisse ou les traitements d’AZT qui ont eu raison de leur système immunitaire.

Le sida est une forme d’autodestruction reliée à un mal de vivre ou à la culpabilité de vivre. C’est en intervenant au niveau de ce mal de vivre qu’on peut espérer une véritable guérison.

(4) « Sida, la voie du singe », Sciences & Vie, no 821, février 1986

Elle donne un exemple de cette culpabilité de vivre chez un homosexuel.

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DOSSIER VIH / SIDA : 4. Dr Guylaine Lanctôt

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 09:55 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) DOSSIER VIH / SIDA : Quatrième partie

Entre [ ] signifie que j’ai soit corrigé une faute de français ou que j’ai complété la phrase parce que l'article a été coupé et il manque quelques mots.

Entre […] signifie que je saute un ou des paragraphes ou des phrases de l'extrait.

Des coquilles peuvent être présentes malgré mes révisions.

4. Guylaine Lanctôt, M.D.
La Mafia Médicale
Éd. Voici La Clef
1994

N.B. Je vais éviter de retranscrire certains passages qui sont pratiquement identiques au livre de Claudia Rainville notamment sur l’origine du virus. De même pour la saga du sida (historique de 1950 à 1992) qu’elle présente dans son livre et qui reprend des étapes qui ont été déjà soulignées dans le dossier jusqu’à présent.

[image]

Extrait (pp.135-136) : Toute la question est là : qu’est-ce qui cause le sida ? Parce qu’un bon diagnostic conduit à un bon traitement. Si les maladies du sida ont en commun une faiblesse immunitaire, il est logique d’orienter nos efforts vers les causes de cette faiblesse immunitaire pour corriger la maladie… et, surtout, la prévenir. Les CAUSES DE LA FAIBLESSE IMMUNITAIRE les plus fréquentes chez les personnes malades d’une des maladies du sida sont :

1. La drogue. Elle semble être la plus dévastatrice. Ce ne sont pas les seringues contaminées qu’il faut stopper, c’est l’usage même de la drogue.

2. Les médicaments : antibiotiques, anti-inflammatoires, chimiothérapie, transfusion, dérivés sanguins… "Nous sommes une société immunodéprimée", s’exclamait Dr. McKenna. Aux U.S.A., par exemple, on dépense par année 30 milliards $ en médicaments prescrits, 50 milliards $ en médicaments non prescrits (OTC : over the counter).

3. Les vaccins. Nous savons que les vaccins dépriment le système immunitaire. Les enfants reçoivent près de 20 vaccins avant d’entrer à l’école. Puis on soumet la population de tout âge aux vaccinations ciblées annuelles et aux vaccinations de masse occasionnelles.

4. La pollution de l’air, de l’eau, des aliments. Les innombrables produits chimiques industriels polluent l’eau que l’on boit et l’air que l’on respire. De plus, nos aliments sont remplis de radioactivité, d’ondes électromagnétiques, de pesticides et d’engrais chimiques, sans parler des vaccins et des hormones contenus dans la viande que nous mangeons.

5. La malnutrition. Soit par carence (manque), soit par excès, soit par alcoolisme. Elle va de pair avec les maladies infectieuses. Elle est surtout présente dans les pays du Tiers-Monde et chez les femmes enceintes.

6. Les infections répétées, de toutes sortes, aigües ou chroniques.

7. Les facteurs qui affectent l’âme de la personne : désespérance et impuissance. Absence de sens à la vie. Soumission au pronostic fatal.

8. Style de vie débauché et décousu. Absence d’amour et de soutien affectif.

9. La peur qui nous emprisonne. Elle est notre pire ennemie.

Au congrès de Copenhague sur le sida, en mai 1992, les patients "survivants" du sida étaient tous d’accord. Pour vivre, il faut corriger les causes de la déficience immunitaire. Avant tout, il faut se libérer de la peur. Elle nous tue. Les autres solutions proposées par la médecine scientifique sont inefficaces, surtout l’AZT. Aucun de leurs amis qui avaient pris l’AZT (fort dépresseur immunitaire) n’avait survécu. On survit au sida, mais on ne survit pas à l’AZT. […]

Plus encore, cette approche V.I.H. = sida tue des gens en bonne santé et empêche de guérir les vrais malades du sida. Car le sida, ça se prévient et ça se traite… mais pas à l’AZT. Le solide bon sens nous permet de deviner que ce n’est pas avec des médicaments immunodépresseurs (qui affaiblissent le système de défense) que l’on renforce un système immunitaire….

La Dr Lanctôt pose la question à savoir pourquoi les autorités imposent-elles par la force l’équation VIH = SIDA qui inclus un seul virus, une seule maladie, par transmission sexuelle et ce, malgré l’opposition de plusieurs spécialistes, malgré des lacunes scientifiques (postulat de Koch) ? Et pourquoi imposent-elles un traitement toxique à l’AZT ? Les réponses incluent la question financière, de la collusion, de la corruption, des politiques de dépopulation ciblée.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

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DOSSIER VIH / SIDA : 5. Les 10 plus gros mensonges

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 14:25 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) DOSSIER VIH / SIDA : Cinquième partie

Entre [ ] signifie que j’ai soit corrigé une faute de français ou que j’ai complété la phrase parce que l'article a été coupé et il manque quelques mots.

Entre […] signifie que je saute un ou des paragraphes ou des phrases de l'extrait.

Des coquilles peuvent être présentes malgré mes révisions.

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5. NoName Tv - La Vérité sur le virus du Sida (2010)

Publiée le 11 août 2013

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Invités :
Co-auteurs du livre « Les 10 plus gros mensonges sur le sida », 2005
Dr Étienne de Harden, chercheur canadien
Jean-Claude Roussez, journaliste scientifique
Et
Dr Luc Montagnier par l’entremise d’un vidéo intégré dans l’entrevue

RÉSUMÉ :

. Plus grande erreur médicale du siècle dernier ? Une mystification ?
. Livre : « Les 10 plus gros mensonges sur le Sida ».
. Précisions sur le VIH et le SIDA et la séropositivité (qui n’est pas basée sur la présence du VIH mais sur les anticorps censés le combattre).

Questions posées aux invités :

1. Virus : observé ou pas ?

Non.

1972 : Nixon (9 ans de recherches infructueuses sur le cancer malgré des crédits colossaux).
1981 : Premiers cas de Sida qui tombent à point pour renouveler les subventions de recherches qui a amené un faux lien, un lien d’opportunité.
1983 : Dr Luc Montagnier, découverte de ce qui serait un virus.
1984 : Dr Robert Gallo, prétendue découverte de virus sur un échantillon provenant du labo du Dr Montagnier, avec en prime le dépôt du brevet du test qui l’a rendu très riche !

Une déclaration officielle gouvernementale américaine s’ensuivra, une première, qui crée la probable équation VIH = SIDA avec la collaboration médiatique qui élude le terme « probablement » de cette déclaration pour en faire une affirmation.

2. Quelle est la valeur du test du sida et le fait d’être reconnu séropositif puisque le virus n’a jamais été observé ?

Le test n’identifie pas le virus mais des anticorps supposés combattre la multiplication du VIH. On n’a pas démontré non plus la spécificité de ces anticorps.

Christine Johnson, auteure américaine, publie en 1998, un article important qui évoque 70 conditions médicales qui peuvent par elles-mêmes causer ladite séropositivité dont la vaccination antigrippale. Voilà qui expliquerait les nombreux cas en Afrique.

À 11 :30 du vidéo :

Étienne de Harden : Donc, ce test n’a strictement aucune valeur. A uniquement permis de terroriser la population du monde entier et de justifier d’une façon qui ne peut être mieux caractérisée que celle d’un génocide pharmacologique, a semblé justifier la prescription à tous ces patients séropositifs, de médicaments d’une toxicité tout à fait mortelle. […]

Jean-Claude Roussez : Eh oui. Dans cette histoire de sida, il y a eu deux phases. La première phase avec des vrais malades, i.e. des gens qui étaient atteints d’immunodépression. Il y a des gens immunodéprimés, qui n’ont plus de système immunitaire, ceux-là, on les soigne. Bon. Mais, le plus honteux dans cette histoire de sida, c’est le fait d’avoir justement inventé ces tests de séropositivité, qui ont permis de classer parmi les malades, des gens qui sont parfaitement sains ! Et là a commencé le gros génocide.

Une notice accompagne ces tests sur leur non-fiabilité. Une même personne pouvait être testée séropositive dans un pays et ne pas l’être dans un autre selon les critères.

Le scandale de l’approbation du traitement à l’AZT par la FDA. En 1987, le taux de décès des hémophiles augmente dramatiquement suite au traitement à l’AZT.

À 15 :54 : l’entrevue avec le Dr Luc Montagnier. Tirée du documentaire House of Numbers, de mémoire, que je vais réécouter avant de le soumettre dans ce dossier. Il suggère un traitement qui rejoint le propos de Jean-Marc Brunet en 1995 dans sa chronique quotidienne du Journal de Montréal. (cofacteurs, stress…)

Il n’y a pas de vrai sida en Afrique, juste des compagnies pharmaceutiques voraces !

Le virus ne peut choisir son hôte, son pays… C’est un assemblage inerte. Même son de cloche qu’en 1993, alors qu’on nous laissait sous-entendre que le virus de la méningite ne pouvait pas traverser le pont qui séparait Hull d’Ottawa ! Mais qu’il pouvait se retrouver partout ailleurs au Québec. (les cas venaient principalement de la région de l’Outaouais)

Études épidémiologiques et les prostituées qui démontrent que ce n’est pas infectieux.

L’hypothèse de départ est fausse : VIH ≠ SIDA !

L’improbabilité d’un vaccin !
L’argent et des emplois en jeu.

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En complément : http://www.alterinfo.net/Les-10-plus-gros-mensonges-sur-le-sida_a8262.html

Samedi 31 Mars 2012

Commençons par la fin, le 10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord au sujet de la cause virale du sida

Plusieurs centaines de scientifiques, et non les moindres, ont préféré prendre des risques sur des carrières qui s’annonçaient souvent très prometteuses plutôt que d’accepter les nombreux mensonges et incohérences distillés par les instances officielles. [Vous trouverez des références à la fin de cet article.]

Présentation de cet article

« Les 10 plus gros mensonges sur le sida » Livre écrit par le Dr Étienne De Harven et le journaliste scientifique et technique Jean-Claude Roussez. Publié en 2005 aux éditions Dangles, en France Article de Dany Quirion pour Alter Info Il est important ici de souligner que cet article est uniquement composé d’extraits intégraux tirés du livre. Plusieurs autres informations cruciales ne sont pas abordées ici et elles demeurent à découvrir dans le livre.

Reprenons depuis le début. 1er mensonge : Le sida est une nouvelle maladie.

Aussi bien le grand public que la majorité des professionnels de la santé sont persuadés que le sida est un phénomène épidémique apparu soudainement au début des année 80, causé par l’émergence d’un nouveau virus. Le syndrome d’immunodéficience acquise, ou sida, n’est pas à proprement parler une maladie. Un syndrome n’est qu’un ensemble de signes et de symptômes survenant simultanément chez le patient, qui se caractérise par une forte diminution, voire un effondrement, des défenses immunitaires. Depuis longtemps les deux principales causes d’immunodéficience acquise étaient parfaitement connues et documentées : - la malnutrition; - l’usage de substances dangereuses pour le système immunitaire (drogue, certains médicaments, sang transfusé).

2e mensonge : Il existe un virus du sida : le VIH


Lorsque l’on prend le temps (et il en faut beaucoup) de consulter la littérature scientifique relative au virus proprement dit, on est frappé par le fait qu’aucune de ces investigations n’a jamais réussi à mettre directement en évidence la présence de la moindre particule virale, et en particulier pas la moindre particule rétrovirus, chez un malade du sida. […] C’est une équipe de l’Institut Pasteur dirigée par Luc Montagnier qui a la première annoncée la découverte d’une activité virale, en 1983, à partir de prélèvements effectués sur un malade du sida. L’année suivante, l’équipe de Robert Gallo, aux États-Unis, fit une annonce similaire. On s’apercevra par la suite que Gallo avait quelque peu fraudé en utilisant pour sa « découverte » un échantillon que Luc Montagnier lui avait généreusement offerte quelques mois auparavant. Il arriva la même mésaventure à Robin Weiss, le grand spécialiste britannique du sida, qui fut obligé de reconnaître que sa propre découverte du virus résultait du fait qu’il avait, lui aussi, reçu un échantillon de la culture de Luc Montagnier. On peut ainsi constater que, de part et d’autre de l’Atlantique, les trois équipes les plus en pointe sur le sujet, n’ont réussi à annoncer qu’une très vague présomption à partir de cultures cellulaires issues d’un même patient! Il n’y a d’ailleurs dans toute la littérature médicale pas un seul article dans lequel on pourrait trouver la conclusion selon laquelle un tel rétrovirus a été isolé, et que ce virus est la cause du sida.

3e mensonge : Le VIH est la cause du sida


Revenons au début des années 80. Les premiers cas de sida ont été détectés aux États-Unis au sein de la communauté homosexuelle et chez les toxicomanes par voie intraveineuse. Il est nécessaire de préciser que ce n’est pas le fait d’être homosexuel qui constitue un facteur de risque vis-à-vis du sida. Seul le style de vie de certains homosexuels masculins est de nature à provoquer une immunodéficience. […] Différentes drogues circulaient abondamment (cannabis, cocaïne, amphétamines, LSD, barbituriques, héroïne…), mais les vedettes incontestées étaient les « poppers », petites fioles contenant du nitrite d’amyle, un puissant vasodilatateur possédant des vertus apparemment aphrodisiaques. À l’origine, ce produit était un médicament utilisé comme dilatateur coronarien dans le traitement des crises d’angine de poitrine. La communauté homosexuelle détourna les nitrites de leur usage thérapeutique pour en faire leur stupéfiant le plus prisé, et cela dès les années 60. […] Dès qu’ils sont dans le sang, les nitrites se transforment en oxyde nitrique et endommagent les parois internes des vaisseaux sanguins, ce qui explique leur implication dans un cancer des capillaires : le sarcome de Kaposi. Bien qu’interdits, les poppers ont continué jusqu’à aujourd’hui à être disponible, que ce soit en empruntant des noms innocents comme « nettoyant pour cuir », ou bien en plein jour, par exemple dans les sex-shops. Le phénomène s’est même aggravé par la suite puisqu’ils ont été adoptés par certains hétérosexuels en quête de performances. Malgré l’évidence que l’usage des poppers était associé à la majorité des cas de sida chez les homosexuels, aux États-Unis, certains médias appuyés par les organismes de santé publique diffusèrent dès 1983 auprès de la communauté gay des informations disculpant totalement les nitrites. Cette attitude peut être qualifié de criminelle. Il a fallu attendre 1994 pour que Robert Gallo, « co-découvreur » du « VIH » et (riche) promoteur du premier test de dépistage, admette lors d’une conférence du NIDA (National institute on drug abuse) que le sarcome de Kaposi, maladie typique de la communauté homosexuelle, ne pouvait être causé par un virus mais que les poppers devaient en être la principale cause. Cet aveu tardif n’a absolument rien changé à l’attitude officielle. [Ce chapitre contient d’autres informations sur les toxicomanes, les hémophiles, les mal-nourris, etc.]

4e mensonge : Les médicaments antiviraux sont bénéfiques


En 1987, apparut le premier médicament antiviral prétendument spécifique au sida : l’AZT. L’azidothymidine, ou AZT, fut découverte dès 1964 et proposée en vue d’une utilisation dans les thérapies anticancéreuses. Ses effets dévastateurs (et systématiquement mortels chez les souris de laboratoire!) ont suscité un rejet catégorique de la part des autorités chargées de l’accréditation des nouveaux médicaments anticancéreux. Autres temps autres mœurs : le besoin de fournir aux malades du sida une thérapie […] on accorda de toute urgence l’autorisation surprenante de mettre sur le marché l’AZT, malgré sa très haute toxicité. - Les autres antiviraux : Chacun possède son propre système d’effet génétique mais le principe est tours le même.

5e mensonge : La séropositivité est un signe d’infection par le VIH


Ce mensonge est certainement le plus inique de tous ceux qui sont dénoncés dans cet ouvrage, car il a permis de faire croire à des millions de personnes qu’elles étaient malades et contagieuses. […] Le test de type « Western Blot » est utilisé pour confirmer une séropositivité lorsque celle-ci a été détectée par un ou deux tests de type « Elisa ». C’est donc un test considéré comme plus fiable. Un test Western Blot comprend dix bandes alignées correspondant aux dix protéines que l’on a définies comme étant typiquement et exclusivement relatives au « VIH ». L’harmonisation internationale des diagnostics étant inexistante, on peut être déclaré séropositif dans certains pays lorsque seulement deux bandes ont réagi. Dans certaines contrées, il en faut trois. Dans d’autres, quatre bandes sont nécessaires. On voit donc que selon le pays où l’on réside, le même sérum, analysé dans des conditions identiques, peut fabriquer un séropositif ou un séronégatif, au gré de la législation en vigueur. Mais il y a plus intéressant encore. Puisque les dix protéines utilisées dans les tests sont annoncées comme typiques du « VIH », on peut se poser les deux questions suivantes, totalement à l’opposé l’une de l’autre : - Pourquoi deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors qu’une seule devrait être suffisante pour diagnostiquer la présence du virus? - Pourquoi seulement deux à quatre bandes sont-elles nécessaires alors que la présence du virus devrait impliquer obligatoirement la présence des dix protéines qui lui sont attribuées, donc la réaction de toutes les dix bandes du test? […] Cela dit, il faut signaler que ces tests inspirent si peu confiance qu’aux États-Unis, la FDA (Food and drug administration) n’a apportée sa caution à aucun d’entre eux. […] Il est important de rappeler que, faute de standard internationale, on peut être classé séropositif ou séronégatif selon le pays où l’on réside. Sur les dix bandes de test que compte le Western Blot, il suffit d’en avoir deux qui soient jugées « positives » pour être déclaré infecté en Afrique. Il en faudra trois en Grande-Bretagne et quatre en Australie. Il y a plus grave. Les tests sont si peu spécifiques que les fabricants eux-mêmes annoncent que leurs tests ne peuvent servir à affirmer ou infirmer la présence du « VIH ». Ils signalent également qu’il y a de nombreuses sources possibles de faux-positifs, en tout une soixantaine. […] - La charge virale Le concept de « charge virale » a été introduit aux USA par le docteur David Ho, par ailleurs promoteur des multithérapies, espérant ainsi fournir une explication au fait que personne ne trouvait de « VIH » directement chez aucun patient. Le médiatique personnage (élu « homme de l’année 1996 » par Time Magasine) proposa alors que le virus savait se rendre indétectable mais qu’on pouvait néanmoins le mettre en évidence grâce à la technique PCR (polymerase chain reaction), qui est un procédé de multiplication de l’ADN. En 1997, David Ho et ses collaborateurs traitèrent un groupe de vingt patients avec une bithérapie associant AZT et inhibiteur de protéase. Dès le début du traitement, la fameuse « charge virale » de ces patients était tombée à un niveau indétectable et y est restée. Ce résultat fut présenté comme l’évidence que la bithérapie prescrite était efficace. Selon les scientifiques orthodoxes eux-mêmes, au moins 99,8% des particules mesurées par le test de charge virale ne sont pas infectieuses! D’où viennent-elles? De « VIH » mal assemblés, bons pour le rebut? Le problème, c’est que ces virus boiteux, tout comme ceux qui sont présents comme virulents, n’ont jamais été vus au microscope électronique. Pourtant, avec la quantité importante de particules que l’on prétend trouver, il n’y aurait rien de plus facile. […] Mieux encore : l’inventeur de la technique PCR [PCR le test de la charge virale], Karry Mullis (qui a obtenu le prix Nobel de chimie en 1993 pour cette invention) tient pour frauduleuse l’utilisation de son procédé dans la recherche de la « charge virale ». Ce scientifique authentique et incontestable se heurte pourtant à un mur. On étouffe ses propos contestataires, bien que sa démonstration soit brillante et documentée. Trop d’intérêts et de carrières sont en jeu.

6e mensonge : Le sida est contagieux


Toutes les maladies vénériennes (syphilis, blennorragie, herpès génital ou anal …), dès qu’elles ont été sexuellement transmises, provoquent une infection dont les symptômes sont évidents au bout de quelques jours, et cela sans faire de distinction entre les individus. - Le sida des homosexuels Les cinq premiers cas de sida furent observés et décrits à Los Angeles, en 1981. L’auteur du premier rapport sur ces cinq cas initiaux, Michael Gottlieb, avait clairement indiqué que ces cinq patients étaient homosexuels, et faisaient tous usage de nitrite d’amyle (poppers). En outre, il indiquait que ces cinq malades ne s’étaient jamais rencontrés et n’auraient donc pas pu se contaminer l’un l’autre. Qu’est-ce qui a bien pu faire penser à Michael Gottlieb qu’il venait de découvrir une nouvelle maladie infectieuse? Rien ne permet de répondre à cette question, et le mystère reste entier. Une parabole aidera à mieux saisir l’importance de la question : imaginons qu’un médecin ait pour mission de surveiller la santé d’une centaine d’ouvriers travaillant tous dans une usine de colorants. C’est une vieille usine, mal ventilée, et où l’on manipule une abondance de sels de plomb. Après quelques années, le médecin identifie une dizaine de cas de saturnisme parmi ces ouvriers. Va-t-il en conclure que le saturnisme est une maladie contagieuse parce que les malades travaillaient tous dans la même usine? Ou va-t-il conclure que ses patients ont tous été exposés au même risque toxique et ont par conséquent tous développé la même maladie? La réponse est trop évidente… Comment expliquer que le docteur Gottlieb n’ait pas raisonné de la même façon, et n’ait pas immédiatement compris que ses cinq patients avaient tous été exposés aux mêmes drogues toxiques, et par conséquent avaient tous développé la même pathologie?

7e mensonge : Le VIH est la source de nombreuses maladies


Le virus de la rougeole n’est présent que chez les rougeoleux, celui de la grippe chez les grippés, etc. Avec le « VIH », une nouvelle ère a commencé : celle des virus polyvalents, polymorphes et tout-puissants, capables de causer non seulement une importante variété de maladies infectieuses (dues à l’immunodéficience), mais aussi des pathologies n’ayant rien à voir avec le système immunitaire. En tout, c’est une trentaine de maladies qu’est supposé provoquer ce tueur invisible, plus proche monstrueux et pitoyables aliens des films de science-fiction que d’un micro-organisme. Comment les biologistes et les professionnels de la santé ont-ils pu avaler cette couleuvre qui remettait en cause tout ce qu’ils avaient appris jusque-là? Il faut croire que leur faculté de raisonnement a été anesthésiée par les beaux discours venant des mandarins et des laboratoires pharmaceutiques. Car il faut le souligner, dès que l’on fait partie de l’élite scientifique, on peut se permettre d’émettre l’hypothèse la plus délirante en étant certain d’être suivi par l’ensemble d’une opinion publique informée par des médias en recherche permanente de surenchère et de sensationnel. Apporter la moindre preuve est inutile : seule compte la notoriété. [Docteurs : Dépêchez-vous à mettre votre nez dans ce livre, principalement ce chapitre.]

8e mensonge : Il vaut mieux savoir que l’on est séropositif


Le stress aigu a parfois des conséquences salutaires, car il permet de réagir efficacement en face d’un danger immédiat (fuir ou combattre). En revanche, le stress permanent est une source de déséquilibre entraînant une cascade d’événements préjudiciables. Les perturbations psychologiques provoquées par l’annonce d’une séropositivité et les réactions émotionnelles qui en découlent induisent des réactions physiologiques dommageables pour la santé, en affaiblissant les réactions naturelles de défense de l’organisme. C’est ainsi que la boucle de régulation hormonale mettant en jeu les glandes surrénales et certaines glandes endocrines du cerveau (hypophyse, hypothalamus, épiphyse) se trouve fortement perturbuée en cas de stresse intense, l’une des conséquences étant une surproduction de certains messagers chimiques (neuromédiateurs), comme le cortisol qui est une hormone immunosuppressive. Le stresse affaiblit donc l’activité du système immunitaire, mais provoque aussi de nombreuses autres perturbations, […]

9e mensonge : L’épidémie du sida est dévastatrice


Les organismes de santé publique s’accordent à donner des informations apocalyptiques sur la progression du sida dans le monde. Elles sont relayées avec beaucoup de complaisance (et sans vérification) par l’ensemble des médias et par les organisations dont le sida est la raison d’exister. Cette montée de la terreur s’est faite par étapes successives : 1. Attribuer à un virus l’immunodéficience acquise a été le premier pas. Un pas décisif qui a permis d’imposer l’idée que le sida était une maladie infectieuse, donc transmissible. 2. Mettre au point des tests de séropositivité a servi ensuite à prétendre pouvoir détecter une infection au sein de population en bonne santé (et inventer en même temps le sida hétérosexuel). 3. Dans un troisième temps, le nombre des maladies censées être causées par le « VIH » a progressé par paliers, passant de trois à trente en quelques années. 4. En plus, la définition même du sida a été profondément modifiée à quatre reprises (1982, 1987, 1992 et 1998) par les CDC (Centers for disease control and prevention) et l’OMS (Organisation mondiale de la santé), chaque nouvelle définition entraînant une escalade catastrophique de l’apparente épidémie. 5. Enfin, les statistiques basées sur des extrapolations acrobatiques ont permis d’augmenter chaque année les chiffres de la contamination, surtout dans les pays où les contrôles sont les plus difficiles à opérer. Quelle est la situation actuelle, lorsque l’on s’en teint aux faits? Dans les deux régions du monde où le sida a fait ses premières apparitions, les États-Unis et l’Europe de l’Ouest, la prétendue épidémie a fait long feu. En Océanie, elle n’a même jamais débuté. En revanche, les statistiques officielles annoncent une flambée des infections dans plusieurs zones qui avaient été longtemps épargnées. [Chacune de ces régions sera analysée par la suite dans le chapitre, de même que les statistiques.]

10e mensonge : Les scientifiques sont tous d’accord


[Nous l’avons partiellement vu au début de l’article, mais voici quelques noms de dissidents à cette adresse :] http://www.virusmyth.net/aids/group.htm Seul site français entourant la controverse du sida : www.sidasanté.com Et un dernier article intéressant: http://www.planetenonviolence.org/VIH-et-Sida-Voix-dissidentes,-dissensions-volontairem...

En savoir plus sur http://www.alterinfo.net/Les-10-plus-gros-mensonges-sur-le-sida_a8262.html#y5QyMTKh06ly...

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DOSSIER VIH / SIDA : 6. Avec BOB : Jean-Claude Roussez

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 14:37 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) Avec Jean-Claude Roussez

Co-auteur du livre : Les 10 plus gros mensonges du sida.
Rétroaction du billet précédent.

Publiée le 9 mars 2015

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DOSSIER VIH / SIDA : 7. Quelques vidéos

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 14:51 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) 7. Quelques vidéos

Le film dirigé par Jean-Marc Vallée nous remet dans le contexte des années 80. Tiré d'un fait vécu.

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DOSSIER VIH / SIDA : 8. Documentaire House of Numbers

par panthère58, mardi 01 décembre 2015, 19:22 (il y a 3040 jours) @ panthère58

:-) House of Numbers (2009) Sous-titré en français.

[image]


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DOSSIER VIH / SIDA : Article, suivi

par panthère58, lundi 25 janvier 2016, 15:21 (il y a 2985 jours) @ panthère58

:-) Suivi du DOSSIER

Ext-ce que tout est véridique ? Chose certaine, il est clair que c'est la prescription de l'AZT qui a tué des millions de personnes et non le VIH comme tel. Et jusqu'ici, le génocide est nié par les médecins qui l'ont prescrit probablement pour la plupart de bonne foi, en suivant les consignes aveuglément.

Lien : http://www.elishean.fr/?p=53291

Extrait :

SIDA : L’histoire avérée d’un génocide programmé

[image]

En 1975, Le Président Gerald Ford signe le Mémorandum de Défense de la Sécurité Nationale n°314. Les Etats-Unis implémentent le NSSM-200 de Kissinger .

En 1976, les Etats-Unis produisent le compte rendu n ° 13 du programme « Spécial Virus ».

Le rapport prouve l’existence d’accords internationaux des États-Unis avec les Russes, Allemands, Britanniques, Français, Canadiens et Japonais.

Le complot visant à tuer des Noirs a un large soutien international. En Mars, la production du virus du sida commence, en Juin 1977, le programme avait produit 66 000 litres de SIDA.

Le président Jimmy Carter autorise la poursuite du plan secret pour abattre la population noire.

vaccin hepatiteEn 1977, le Dr Robert Gallo et les scientifiques soviétiques se réunissent pour discuter de la prolifération des 66 000 litres de SIDA. Ils intègrent le SIDA dans le vaccin de la variole pour l’Afrique et le vaccin expérimental de l’hépatite B pour Manhattan.
D’après les auteurs Juin Goodfield et Alan Cantwell, le lot n ° 751 a été administré à New York à des milliers de personnes innocentes.

Ce gouvernement ne sera jamais en mesure de réparer le mal fait aux personnes pour le viol social, l’humiliation et les préjudices faits aux personnes qui font face au VIH / SIDA quotidiennement.

« Les hommes de l’ombre avaient calculé avec précision que vous ne vous soucieriez pas de la mort de noirs et d’homosexuels. En fait, vous ne vous souciez pas que près d’un demi-million de vétérans de la guerre du Golfe soient infectés par quelque chose de contagieux. Bientôt, il n’y aura plus de population noire ni de militaires handicapés, les Blancs âgés commenceront alors soudainement à mourir et vous n’aurez toujours rien compris. »

Cela vous permettra peut être de mieux comprendre la situation.

Une vidéo réalisée par le docteur Léonard Horowitz confirme les recherches du Dr Grave. Le Dr gallo y est pris en flagrant délit de mensonge en fin de vidéo.

Soudain, tout comme le président Nixon l’avait prédit, le nombre de morts explosait. Le 4 Novembre 1999, la Maison Blanche annonçait, ….

« Dans un délai de cinq ans, tous les nouveaux infectés par le VIH aux Etats-Unis seront afro-américains …. »

Il faudra tôt ou tard que nos experts soient autorisés à prendre en compte l’histoire de ce programme de virus. Il serait invraisemblable, sans cela, de tenter d’élucider l’étiologie du SIDA.

Davantage de détails sur l’histoire du programme de virus secret peuvent être trouvés dans les archives du Dr. John B. Moloney.

L’examen des fichiers du Dr Moloney permettra encore d’identifier d’autres dates et archives qui correspondent à l’une des plus grandes proliférations de maladies dans l’histoire de la race humaine. Nous avons trouvé le chaînon manquant. Le fondement de la logique de recherche d’un programme fédéral destiné à tuer. Nous pouvons identifier quelques-unes des personnes qui ont travaillé dans l’ombre comme les Drs Robert Gallo et Garth Nicolson.

Connaissant les mécanismes d’attaque par lesquels nous pouvons stopper le SIDA, il est désormais temps que plus personne ne puisse être touché par cette chimère de mycoplasme synthétique. Aider ceux d’entre nous qui sont encore là pour réaliser une vie épanouie et contributive. Nous sommes tous un même peuple.

Le 28 Septembre 1998, j’ai déposé une plainte contre les Etats-Unis pour la «création», «production» et «prolifération» du SIDA.

Le 7 Novembre 2000, la cour d’appel s’aligna sur la décision du tribunal de première instance jugeant que l’allégation de fabrication du SIDA était « sans fondement ». »

Le monde attend toujours que la cour se prononce sur les éléments de ce dossier. Le tribunal ne peut pas continuer à simplement écarter nos experts et l’organigramme du gouvernement.

On m’a demandé de donner mon point de vue en ce qui concerne le programme fédéral MK-NAOMI.

Le signe MK-NAOMI est le nom de code prévu pour désigner le développement du SIDA.

La partie «MK» sont les initiales des deux co-auteurs du virus du SIDA, Robert Manaker et Paul Kotin. La partie « NAOMI » signifie « les noirs ne sont que des individus temporaires. » ( Negroes are Only Momentary Individuals).

Le gouvernement américain continue à orchestrer le silence des très hauts échelons du Congrès et des militaires.

À l’heure actuelle, personne ne prend ses responsabilités.

Les honnêtes gens finiront par créer un tsunami d’indignation dans l’opinion publique. Nous ne pouvons pas permettre à l’Etat un droit autocratique de gouverner en dehors de la constitution.

Notre société est structurée de façon à dissimuler les crimes d’Etat, tout en punissant les citoyens pour des délits mineurs.

Leur stratégie est basée sur la confusion générale qu’ils peuvent créer en manipulant les médias. Ils sont très habiles à ce jeu là. Nous devons nous concentrer sur la présentation régulière de l’organigramme qui est le chaînon manquant qui prouve l’existence d’un programme de recherche coordonné pour développer un virus du cancer qui détruit le système immunitaire.

Cette compilation de documents judiciaires et de correspondances est l’accomplissement du véritable effort d’un homme afin de résoudre le mystère de l’origine du sida. Nous avons trouvé l’origine du SIDA, c’est nous.

sida
Boyd ‘Ed’ Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009

L’origine du SIDA est aussi à l’origine de presque tous les virus du cancer qui existent.

Le Lymphome, la leucémie et le SIDA sont une petite partie d’une longue liste de maladies créées par l’homme. Ces cancers ont été développés dans un endroit appelé Fort Dietrich, Maryland, États-Unis, dans une installation de l’armée.

En 1971, Fort Detrich changea de mains, et sous le couvert de l’Institut national de la Santé (NIH) la «recherche» biologique a continué, après que le président Nixon ait déclaré que les Etats-Unis réduiraient le financement et l’arrêt de la «recherche» biologique, en fait, ce financement pour la recherche biologique a augmenté en 1970 avec l’appropriation de 10 millions de dollars pour créer un virus de suppression immunitaire « pour lequel aucune immunité naturelle ne pouvait être obtenue ».

L’OMS est dirigée par l’ONU et à son tour, l’OMS répercute les plans du nouvel ordre mondial sur le peuple. Les vaccinations de masse, les pénuries alimentaires, les prédictions de pandémie.

Si vous n’êtes pas déjà au courant du but de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, l’AMA (American Medical Association), faites des recherches, l’information n’est pas si difficile à trouver, vous avez juste à regarder dans la bonne direction.

L’AMA a été créée pour stopper les établissements d’enseignement de santé alternatifs aux États-Unis et pour faire en sorte qu’il ne soit possible de se former que dans les universités.

C’est pourquoi la plupart des médecins ne connaissent pas les bienfaits de l’oxygène et la vraie santé et ne connaissent pas grand chose comme remèdes.

Comme Hippocrate le disait: « soyez votre propre médecin ».

Nous avons été tellement endoctrinés à penser que notre santé est si complexe, et avons appris qu’il n’y a pas de remède de fond pour la maladie, mais la vérité est que la maladie humaine est soignable facilement, la toxicité externe et le cancer créés par l’homme est une autre chose, mais là encore il existe des remèdes avec une variété d’options, qui sont tenues à l’écart du peuple par la mafia médicale aux commandes car «un malade guéri est un client perdu». »

Conclusion :

Que dire si ce n’est que ce médecin a tout compris.

Merci à lui pour ses recherches qui démontrent que les plans génocidaires de l’élite sataniste qui nous gouverne ne datent pas d’hier. Méfions-nous de leurs manigances.

Non, les gouvernements ne veulent pas notre bien-être (l’article montre bien que des accords ont été passés avec divers pays, y compris la France), non l’OMS ne s’intéresse pas à notre santé (au contraire, ils sont là pour diminuer la population mondiale, typiquement par le biais de ce genre de programmes).

Si par hasard, cet hiver on voit un virus mutant de la grippe aviaire faire son entrée, on saura pourquoi.

Sources:
http://www.boydgraves.com/flowchart/
http://fr.scribd.com/doc/20536742/Boyd-Graves-ESP-1-HIV-AIDS-Development-Timeline
http://fr.scribd.com/doc/20272035/hb-15090
http://www.mpwhi.com/hr_dod_1970.html

Vu sur http://www.2012un-nouveau-paradigme.com

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