McGill soutient que la hausse des droits menace sa célèbre École de musique Schulich

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Par La Presse Canadienne, 2023
MONTRÉAL — L'Université McGill affirme que la hausse de 8000 $ des droits de scolarité pour les étudiants de l'extérieur de la province menace notamment l'avenir de la célèbre École de musique Schulich.

Le principal et vice-chancelier de McGill, Deep Saini, a déclaré jeudi que les inscriptions d'étudiants canadiens hors Québec pourraient chuter de 20 à 80 % après l'entrée en vigueur des nouveaux droits de scolarité de 17 000 $ pour les établissements anglophones, l'automne prochain.

Il estime qu'une telle perte serait «dévastatrice» pour l'école Schulich, «dont la population étudiante au premier cycle provient à près de 40  % de l’extérieur du Québec».

M. Saini évoque également la possibilité de réductions dans les équipes sportives universitaires, dont le tiers des membres proviennent d'ailleurs au Canada.

McGill estime que l'augmentation des droits de scolarité ainsi que les nouveaux droits liés à l'inscription des étudiants étrangers la priveront de 42 à 94 millions $ de revenus chaque année.

M. Saini prédit aussi des suppressions d’emplois par centaines et la suspension de grands projets d’infrastructure.

Le gouvernement de François Legault plaide que la majorité de ceux qui viennent étudier dans une université anglophone au Québec, en bénéficiant de tarifs avantageux, quittent ensuite la province. Le gouvernement affirme qu'il doit doubler les droits de scolarité pour les étudiants hors Québec dans un établissement anglophone afin de protéger le français, en réduisant le nombre d'anglophones à Montréal.

La Presse Canadienne

J'ai parlé a des gens de l'équipe de Football de Bishop, tous fans de la CAQ bien sûr....

Frais de scolarité: les équipes sportives de Bishop's menacées

https://www.youtube.com/watch?v=3U6DAaG-EsE

L'Anti émeute, ce qui en reste du SPVM décîmé vont les adorer...

Hausse des droits de scolarité « Nous sommes ici pour vous, Bishop’s »
Plus de 100 membres influents de la communauté de l’Estrie sont montés sur la scène du Théâtre Centennial de l’Université Bishop’s, mardi matin, pour manifester leur appui à cet établissement anglophone, dont la survie serait menacée par la hausse des droits de scolarité décrétée par le gouvernement Legault à l’endroit des étudiants des autres provinces.

Publié hier à 16h56Partager
Suzanne Colpron
SUZANNE COLPRON
LA PRESSE
C’est devant une salle comble et des applaudissements à tout casser que l’ancien maire de Sherbrooke Jean Perrault a lancé : « Nous sommes ici pour vous, Bishop’s. »

Des étudiants, des membres du personnel et des citoyens de la région avaient répondu en grand nombre à cet appel à la mobilisation en faveur de Bishop’s. Plus de 650 personnes se trouvaient dans la salle et sur scène, et 220 autres écoutaient l’évènement en rediffusion dans le bar de l’université.

Bishop’s recrute près du tiers de sa clientèle étudiante dans les autres provinces. Le gouvernement a annoncé le 13 octobre qu’il allait doubler les droits de scolarité imposés à ces étudiants, à compter de septembre prochain. La facture va passer de près de 9000 $ à 17 000 $.

Les écoles de Montréal fermées pour la matinée lundi prochain

Les écoles du centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) seront fermées pour la matinée, le 6 novembre prochain. C’est la grève du front commun syndical, dont fait partie le personnel de soutien et professionnel, qui entraîne cette fermeture.

Publié le 30 octobrePartager
Marie-Eve Morasse
MARIE-EVE MORASSE
LA PRESSE
Bien que les enseignants du CSSDM n’aient pas, jusqu’à présent, déclenché la grève, les « activités de mobilisation et de piquetage annoncées par les syndicats » qui représentent le personnel de soutien et professionnel empêcheront l’accès aux écoles, écrit le CSSDM dans une lettre envoyée aux parents.

Les cours reprendront en après-midi, selon l’horaire habituel. Le service de dîner, le service de garde et le transport scolaire pour se rendre à l’école ne seront toutefois pas offerts, précise le CSSDM.

« Nous sommes conscients que l’absence de transport scolaire peut poser un défi majeur pour certains d’entre vous et que, dans ces circonstances, vous pourriez décider de garder votre enfant à la maison pour cette journée particulière », poursuit-on, en précisant que les absences devront être motivées.

Le front commun a annoncé la semaine dernière que ses membres seront en grève le 6 novembre. La nouvelle offre déposée par Québec dimanche a été jugée « insultante » par les syndicats, qui maintiennent leur moyen de pression.

Les enseignants du CSSDM ne font pas partie de ce front commun syndical. Le syndicat qui les représente, l’Alliance des profs, détient toutefois un mandat de grève générale illimitée à exercer au moment opportun.

Le front commun comprend 420 000 travailleurs dans la santé, les services sociaux et l’éducation représentés par des syndicats de la CSN, de la CSQ, de l’APTS et de la FTQ.

Montreal protest denounces CAQ government's tuition hike

https://www.youtube.com/watch?v=2xExNW7zG5s

La CAQ préfère évidemment des unilinge francophone fermé sur le monde, c'est tellement plus facile à manipuler...

Manifestation monstre de la FIQ devant les bureaux du ministre Dubé : explications 20h30
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Agence QMI

Lundi, 30 octobre 2023 19:41

MISE À JOUR Lundi, 30 octobre 2023 21:08

Quelques milliers d'infirmières ont donné un avant-goût de l’Halloween au ministre de la Santé en organisant une «marche de l’horreur» devant ses bureaux à La Prairie, lundi soir.

Organisée par la Fédération interprofessionnelle de la santé (FIQ), la manifestation a commencé dans le parc des Jésuites, sur le boulevard Taschereau, fermé pour l’occasion entre le boulevard Matte et la rue de la Levée. Les participants ont ensuite marché vers le bureau de Christian Dubé, situé à quelques pas du parc.

«Si nos conditions de travail ne sont pas meilleures, il n’y aura plus personne dans le domaine de la santé. On est en train de frapper un mur», s’est exclamée une manifestante rencontrée par TVA Nouvelles.

Écoutez l'entrevue avec Julie Bouchard, présidente de la Fédération interprofessionnelles de la santé du Québec (FIQ) au micro d’Alexandre Dubé via QUB radio :

Les personnes présentes sur place ont expliqué être là pour recevoir de meilleures hausses salariales que celles proposées, mais aussi pour s’opposer à la volonté du gouvernement de pouvoir déplacer plus aisément le personnel d’un établissement à l’autre, selon ses besoins. Cette volonté viendra reléguer au second rang l’ancienneté, les préférences et les compétences des infirmières, craint le syndicat.

«Le gouvernement fait fausse route. Ça fait des mois qu'on lui dit. Mais il refuse de nous entendre. Ce que le gouvernement propose, ça va détériorer les soins à la population parce que les professionnelles en soins vont toutes courir vers la porte de sortie», a commenté le vice-président de la FIQ et coresponsable de la négociation, Jérôme Rousseau.

Les membres de la FIQ ont voté à 95 %, la semaine dernière, en faveur d’une grève qui pourrait être limitée. Ils commenceront par exercer deux jours de grève les 8 et 9 novembre.

En vertu d’un jugement du tribunal du travail, les infirmières sont tenues, malgré leur grève, d’offrir un service normal dans les services d’urgence et de soins intensifs. D’autres départements vont devoir se passer, en partie, de leur présence. Ainsi, seulement 70 % des heures prévues seront offertes dans les blocs opératoires (80 % après six jours de grève), tandis que 85 % du service sera maintenant dans des unités de soins comme la pédiatrie, l’hémodialyse ou la radio-oncologie.

La FIQ représente environ 80 000 infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes cliniques.

Contre la hausse des frais de scolarité: des étudiants manifestent dans les rues à Montréal

Des centaines d'étudiants universitaires ont quitté leurs cours et se sont rassemblés au centre-ville de Montréal lundi après-midi pour protester contre la hausse des frais de scolarité au Québec.
Cet article est une traduction de CTV News Montreal.

«Nous voulons envoyer un message fort et clair à la CAQ: nous ne tolérerons tout simplement pas cette hausse au niveau de l'accès à l'éducation, ce qui nous unit tous à cette cause», a expliqué l'un des organisateurs de la manifestation, Alex O'Neill, étudiant à l'Université McGill. «Le fait que nous ayons pu mobiliser un tel nombre d'étudiants, de professeurs et de membres du grand public pour cette cause met en lumière un problème plus vaste et je pense qu'à cet égard, François Legault a ouvert la boîte de Pandore.»

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Les manifestants se sont rassemblés au square Dorchester à 13h, brandissant des pancartes et scandant «Hey hey, ho ho, la hausse des frais de scolarité doit cesser».

Les manifestants marcheront jusqu'au portail Roddick de l'Université McGill. Une petite présence policière surveille la foule.

Des étudiants se rassemblent pour protester contre la hausse des frais de scolarité au Québec.
Des étudiants se rassemblent pour protester contre la hausse des frais de scolarité au Québec.
Photo : Lillian Roy | CTV News

La manifestation de lundi a été baptisée Automne bleu par ses organisateurs, un clin d'œil aux manifestations contre les frais de scolarité du printemps érable de 2012 et une référence aux couleurs de la CAQ.

«Le projet de doubler les frais de scolarité pour les étudiants de l'extérieur de la province politise l'accès à l'éducation. Nous ne pouvons pas laisser cela se produire», peut-on lire sur la page Facebook de l'événement. «La diversité de la présence étudiante à Montréal devrait être célébrée - c'est une caractéristique clé et une contribution à la culture de la ville. Et c'est quelque chose dont nous devons être fiers. Cette augmentation insensée des frais de scolarité va diminuer cette qualité frappante qui rend la ville si remarquable.»

À VOIR | Frais de scolarité à Bishop’s : la grogne contre le gouvernement continue de monter

et voilà, sûrement qu'il va y avoir une loi des mesures d'urence?

ça ne serait tellement pas étonnant.

https://www.facebook.com/events/332495562631995/

Le FRACA Montréal et la Coalition Main rouge, vous invitent à une action pour dénoncer les attaques de la CAQ envers notre filet social. Venez déguisé.es!
Un an après sa réélection, et après 5 années de pouvoir, la CAQ dérape!
Depuis des mois, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec (CAQ) nous impose d’horribles projets de lois et de réformes qui font craindre le pire pour le filet social. Par exemple :
• Projet de loi 15 en santé et services sociaux
• Projet de loi 31 sur le logement
• Projet de loi 23 et 40 en éducation
Chacune de ces réformes et projets de lois est un massacre pour le filet social au profit des entreprises et du milieu privé. Ces horreurs de la CAQ contribuent à créer une société à deux vitesses : ceux et celles qui peuvent se permettre les services de santés privés, les écoles privées et l’investissement en immobilier; et ceux et celles qui doivent se contenter de services publics en déclin et de logements de moins en moins abordables.
Ces réformes et projets de lois cherchent à minimiser l’autonomie des organismes communautaires en les intégrant encore plus dans le système de santé afin de patcher les trous créés par le saccage du filet social. Notre système public s'est fait mordre par le privé et ça ne sert à rien de le cacher : Il faut traiter l'infection!
Encore plus horrifiant, c’est que tous ces changements vont diminuer le pouvoir démocratique de la population ainsi que des communautés. C'est effrayant, mais c'est surtout inacceptable! Le gouvernement se doit de représenter la population entière, au lieu de défaire le filet social pour remplir les poches de ses amis.
Revendiquons la taxation de la richesse et un réinvestissement massif dans nos services et nos programmes sociaux. Nos droits ne sont pas à vendre, refusons la privatisation de notre filet social!
Parce que le filet social est le résultat de nos luttes passées et présentes, rejoignez le FRACA Montréal et la Coalition Main rouge pour riposter contre les horreurs de la CAQ !
Les détails :
• Rassemblement et manifestation de 11h à 13h
• Rendez-vous au métro Square-Victoria
Accessibilité :
• Métro accessible : Place d'Armes
• Transports adaptés (début et fin)
Palais des congrès
1001 Place Jean-Paul Riopelle
Montréal (Québec) H4L 4G9

une bonne nouvelle dans le lot!

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2022332/entente-de-principe-unifor-voie-maritime
Fin de la grève à la voie maritime après une entente entre les parties

La Presse canadienne
Publié hier à 19 h 53 HAE
Mis à jour aujourd’hui à 1 h 26 HAE
La grève ayant débuté le 22 octobre dernier dans la voie maritime du Saint-Laurent prendra fin. La Corporation de Gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent (CGVMSL) et le syndicat représentant les 360 employés concernés sont parvenus à une entente, dimanche. Elle est jugée si satisfaisante par les deux parties que le travail reprendra dès lundi matin, même si elle n'a pas encore fait l'objet d'un vote des syndiqués.

Les deux parties en ont fait l'annonce séparément par communiqué en milieu de soirée, dimanche.

Nous avons en main une entente qui est équitable pour les travailleurs et qui assure un avenir solide et stable à la Voie maritime, a déclaré Terence Bowles, président et chef de la direction de la CGVMSL, dans ce communiqué.

Nous savons que cette grève n'a pas été facile pour personne et apprécions la patience et la coopération de nos partenaires binationaux de l'industrie maritime, les armateurs, les expéditeurs, les ports, les communautés locales et tous ceux qui dépendent de ce corridor de transport vital des deux côtés de la frontière canado-américaine.

Une citation deTerence Bowles, président et chef de la direction de la CGVMSL
La Corporation n'était pas disponible pour accorder une entrevue en soirée, dimanche, indiquant notamment que comme l'entente devra être ratifiée cette semaine par les employés, il serait inapproprié d'en partager les détails.

Le vice-président, relations externes, de l'organisation, Jean Aubry-Morin, a toutefois précisé dans un courriel que l'accord est à la fois équitable pour les travailleurs et assure un avenir solide et stable à la Voie maritime.

Les quelque 360 employés sont représentés par Unifor. Cinq sections locales du syndicat Unifor, deux au Québec et trois en Ontario, avaient déclenché la grève dimanche dernier après avoir voté pour un tel mandat dans une proportion de 99 %.

Les travailleurs auront à se prononcer sur cette entente jeudi, a indiqué Daniel Cloutier, directeur d'Unifor pour le Québec.

Un cargo sur le fleuve Saint-Laurent.
Ouvrir en mode plein écran
La grève a paralysé la Voie maritime du Saint-Laurent pendant une semaine.

C'est une offre très intéressante, elle sera recommandée à nos membres de façon unanime par les comités de négociation impliqués, a souligné M. Cloutier dans un entretien téléphonique avec La Presse canadienne. Les unités concernées touchent les employés qui travaillent dans le groupe de la supervision et de l'ingénierie et dans le groupe de l'entretien, des opérations et du personnel de bureau.

Pour la première fois en 55 ans, les travailleuses et travailleurs de la Voie maritime ont pris la difficile décision de faire la grève. Ils l'ont fait afin de lutter pour un environnement de travail plus respectueux et pour un contrat qui reflète la situation économique actuelle, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d'Unifor, dans un communiqué.

Ils ont montré que la meilleure entente est obtenue à la table de négociation et je félicite les comités de négociation pour leur travail remarquable au nom de leurs membres.

Une citation deLana Payne, présidente nationale d'Unifor
Réouverture progressive dès lundi matin
Le salaire était le principal point en litige, mais les relations de travail étaient aussi un enjeu de discorde.

Au niveau monétaire, on est très satisfaits de l'entente, a dit M. Cloutier. Il y avait aussi des enjeux relatifs aux relations de travail : on parlait d'un climat toxique à un certain point, mais l'Employeur a accepté d'embarquer dans un processus continu d'amélioration des relations de travail.

Les gens ont confiance que ça rencontre les attentes des membres, tellement que le travail va reprendre demain matin à sept heures

Une citation deDaniel Cloutier, directeur d'Unifor pour le Québec
Pour sa part, la CGVMSL a indiqué qu'elle entreprendra rapidement la mise en œuvre de son programme de réouverture pour permettre le passage progressif des navires dans la voie maritime dès lundi matin.

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L'entente survient après deux jours de médiation, entamée vendredi à Toronto. Les parties étaient réunies en compagnie du service fédéral de médiation dans l'espoir de trouver un règlement au conflit qui a paralysé la Voie maritime du Saint-Laurent de Montréal à Niagara en passant par les écluses pendant une semaine.

Plusieurs acteurs économiques et politiques s'étaient prononcés dans ce dossier depuis dimanche dernier : les premiers ministres du Québec et de l'Ontario, François Legault et Doug Ford, le syndicat des Producteurs de grains du Québec ainsi que des associations du milieu des affaires.

Reconnaissant que cette grève n'a été facile pour personne, nous apprécions grandement la patience et la coopération de nos partenaires binationaux de l'industrie maritime; les transporteurs, les expéditeurs, les ports, les communautés locales et tous ceux qui dépendent de ce corridor de transport vital des deux côtés de la frontière canado-américaine, a indiqué M. Aubry-Morin dans un courriel.

https://www.tvanouvelles.ca/2023/10/29/manifestation-de-la-communaute-juive-a-montreal-...

Manifestation de la communauté juive à Montréal pour réclamer la libération des otages du Hamas

De nombreux membres de la communauté juive ont convergé vers le centre-ville de Montréal dimanche pour exiger la libération immédiate de centaines d’otages du Hamas.

«C’est la seule façon que nos voix peuvent être entendues de manière pacifique, dans un élan de solidarité», résume Patricia Bengualid, rencontrée à travers la vaste foule en compagnie de son conjoint Nadav Krasner.

La Fédération CJA implore que quelque 220 prisonniers du Hamas, dont plus de 30 enfants, retrouvent leur liberté. Des Canadiens font partie du lot, indique l’organisateur du rassemblement.

«Ramenez-les à la maison», ont scandé les manifestants, drapeaux israéliens à la main. Ceux-ci se sont déplacés par milliers au Square Victoria, selon la fédération. L’émotion était d’ailleurs palpable dans la foule.

L’émotion était palpable au Square Victoria, qui était couvert d'une marée de drapeaux israéliens.Photo Laurent Lavoie
L’émotion était palpable au Square Victoria, qui était couvert d'une marée de drapeaux israéliens.

INTOLÉRABLE
Les atrocités commises par le Hamas ont été dénoncées à travers une série de discours prononcés entre autres par des personnalités politiques, dont l’ancien maire de Montréal, Denis Coderre.

Rappelons que le 7 octobre dernier, de virulentes attaques ont été perpétrées en Israël, faisant de nombreuses victimes de tous âges.

«Il y a un bébé de 9 mois, des enfants de 3 ans qui sont seuls, qui ont vu leurs parents être massacrés et qui se trouvent maintenant dans les mains d’un groupe terroriste. C’est urgent», a souligné au Journal Eta Yudin, vice-présidente de la section québécoise du Centre consultatif des relations juives et israéliennes.

«En tant que Canadiens, on ne peut pas soutenir cela. C’est intolérable», tranche Nadav Krasner, dont les parents ont survécu à l’Holocauste.

Patricia Bengualid et son conjoint Nadav Krasner étaient présents lors d'un rassemblement pour la libération des otages du Hamas, à Montréal le dimanche 29 octobre.Photo Laurent Lavoie
Patricia Bengualid et son conjoint Nadav Krasner étaient présents lors d'un rassemblement pour la libération des otages du Hamas, à Montréal le dimanche 29 octobre.

PAS DE GUERRE
Des participants du rassemblement ont assuré en avoir contre le Hamas, et non contre le peuple palestinien.

«On n’a rien contre les citoyens de Gaza. On n’a rien contre les personnes innocentes de Gaza. On ne veut pas de guerre avec eux. C’est le Hamas qui est rentré en Israël», fait pour sa part valoir le Montréalais Abraham Shtevi.

Laurent Kalmen et Abraham Shtevi étaient présents lors d'un rassemblement pour la libération des otages du Hamas, à Montréal le dimanche 29 octobre.Photo Laurent Lavoie
Laurent Kalmen et Abraham Shtevi étaient présents lors d'un rassemblement pour la libération des otages du Hamas, à Montréal le dimanche 29 octobre.

«Ça n’a rien à voir avec le territoire. C’est lié à une idéologie pour détruire l’État d’Israël», ajoute Laurent Kalmen, aux côtés de M. Shtevi.

Alors que les forces armées israéliennes intensifient leurs attaques, Eta Yudin estime qu’un cessez-le-feu n’est pas une bonne option actuellement.

«Ça veut dire que le Hamas [...] aura le temps de se recueillir pour préparer une autre attaque sur la population», s’inquiète-t-elle.

Et des policiers de plus en plus épuisés, notamment à cause des manif pour la Palestine.... le sous effectif...

Et.... donc ça devient risqué qu'il y ait des accidents...

Je déconseille

Et si les policiers reçoivent comme mandat de ''Casser'' la manif.. et ben...

c'est du jamais vu au Québec autant de monde qui déteste autant le gouvernement du Québec...

Mieux vaut rester à carreau...

Un geste symbolique que le gouvernement pourrait faire c'est reculer sur les hausses salariales de 30% mais ça m'étonnerait que ça arrive...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2021828/infirmiere-greve-vote-mauricie-sante

Un mandat de grève fort pour les infirmières de la région malgré une faible participation

Radio-Canada
Publié le 27 octobre à 13 h 28 HAE
Le Syndicat des professionnelles en soins de la Mauricie et du Centre-du-Québec (MCQ) s’est doté d’un mandat de grève régional de deux jours, en plus des deux journées votées par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) sur le plan national.

Les membres du Syndicat des professionnelles en soins MCQ ont voté à 90 % en faveur d’un mandat de grève de 2 jours. Ce sont toutefois seulement 10 % des membres qui se sont déplacés pour voter lors de l’assemblée générale tenue jeudi.

La présidente par intérim du Syndicat, Patricia Mailhot, s'est dite satisfaite du taux de participation dans le contexte actuel.

Ce qu'il faut comprendre, c'est que ces infirmières-là sont déjà surmenées depuis le début qu'on mène une lutte. Depuis le 6 février, parfois c'est difficile d'assister à une assemblée parce que conciliation travail-famille le soir, a affirmé Mme Mailhot.

Les membres devaient se déplacer à l’assemblée générale pour être en mesure de voter, contrairement au vote de grève national, pour lequel les membres pouvaient voter en ligne. Patricia Mailhot spécifie qu’il ne faut donc pas comparer les deux taux de participation.

Au niveau national, 74 % des membres ont voté à 95 % en faveur d’un débrayage. Les journées de grèves nationales se dérouleront le 8 et 9 novembre prochain.

À lire aussi :
Les membres de la FIQ se prononcent massivement en faveur d’une grève
Les infirmières de tous les secteurs devront travailler les fins de semaine en Mauricie et au Centre-du-Québec
Les dates pour la Mauricie et le Centre-du-Québec ne sont toujours pas planifiées, pour des raisons techniques, mentionne Patricia Mailhot.

On espère sincèrement que ce cri du cœur là, avec ce mandat de grève locale là, va faire réagir la haute direction pour qu'on puisse enfin s'asseoir [et] qu'il y [ait] une ouverture à mettre de côté les fusions pour qu'on puisse trouver des solutions.

Une citation dePatricia Mailhot, présidente par intérim du Syndicat des professionnelles en soins MCQ
En février dernier, les autorités régionales de santé avaient exigé que les infirmières de tous les secteurs travaillent désormais minimalement une fin de semaine sur trois pour faire face à la pénurie de main-d'œuvre dans les hôpitaux et dans les centres d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD). Ce à quoi les infirmières se sont vivement opposées au cours des derniers mois.

Samedi, 28 octobre 2023 00:00

MISE À JOUR Samedi, 28 octobre 2023 00:00

Je regarde aller François Legault depuis quelques semaines, et il semble être le pilote d’un gouvernement désorienté et désincarné de plus en plus du Québec.

Il vaut la peine de revenir en arrière.

Dans son premier mandat, le PM et son gouvernement marchaient sur l’eau.

Les caquistes saisissaient quelque chose de l’âme québécoise à ce moment précis de notre histoire.

«On prend les Québécois où et comme ils sont», pour reprendre ce qu’un caquiste m’a déjà dit.

Ça ressemblait à ceci: des réformes pas trop dérangeantes, une affirmation identitaire rassurante, des petites colères furtives envers le Canada, un PM avec une authenticité attachante...

Chacun y trouvait son compte: un jour, on le comparait à Duplessis – les conservateurs étaient contents –, le lendemain, à un péquiste de placard – les nationalistes étaient satisfaits –, le surlendemain, à Robert Bourassa – les milieux économiques célébraient.

Le PM connectait avec les Québécois, et les sondages le prouvaient.

En début de mandat, il dépassait 44% des intentions de vote avec la loi 21.

À la fin du mandat, il frôlait les 45% avec sa gestion de la pandémie.

Myopie caquiste
En ce début de sixième année au pouvoir, le gouvernement Legault est en train de perdre ce qui faisait sa force: sa capacité de lire l’opinion publique.

Le deuxième mandat d’un gouvernement est toujours difficile pour cette raison.

On lit mal ce qu’il se passe devant nous.

Les caquistes étaient, par exemple, certains de gagner la partielle de Jean-Talon.

La ville de Québec, c’est nous, disait-il.

Fallait entendre Geneviève Guilbault à la télévision, avant les résultats de la partielle, dire à quel point ils avaient écouté, et compris les gens de Jean-Talon pendant la campagne.

Ils ont perdu par 22 points.

Ne pas s’être aperçu qu’une telle dégelée se dessinait incarne assez bien cette désincarnation caquiste.

Ramener le troisième lien le lendemain même sous l’excuse de la «consultation» confirmait exactement leur myopie. Et pendant ce temps, de nouvelles hésitations arrivent sur le tramway de Québec.

Contradictions
Ça s’est continué dans la dernière semaine.

Au lendemain de la sortie du PQ parlant d’une monnaie et d’une armée d’un Québec souverain, le PM Legault reprenait la rhétorique du fédéralisme de 1995 avec les mots «référendum», «péréquation» et «pertes d’emplois».

Le fédéraliste résigné se transformait en fédéraliste enthousiaste.

Que la semaine d’après, il lance «Y’a rien de plus insultant que de me faire comparer à Jean Charest» est d’autant plus ridicule, en plus d’être un peu bas.

Surtout quand le PM saluait le courage de M. Charest, deux semaines auparavant, au complexe hydroélectrique de la Romaine.

Les milliards sélectifs
Et quoi qu’on pense de la filière batterie développée par le boys club économique de la CAQ, il reste tout de même une impression que pendant qu’on investit grassement pour faire des «gros deals» et attirer des multinationales, 600 000 employés de la fonction publique quémandent, et n’obtiennent rien d’autre que la rigidité du gouvernement.

Tout à coup, la «capacité de payer» apparaît, tout comme le «on est en déficit».

Ça donne cette image: les batteries électriques passent avant le monde.

À force de contradictions, quelque chose sonne faux en haut lieu à la CAQ.

Je suis persuadé que la montée de Paul St-Pierre Plamondon trouve racine aussi dans le contraste que le chef péquiste offre par rapport au PM.

https://www.journaldequebec.com/2023/10/28/legault-et-la-caq-ont-perdu-le-nord

Legault et la CAQ ont perdu le nord

Samedi, 28 octobre 2023 00:00

MISE À JOUR Samedi, 28 octobre 2023 00:00

Il n’y a plus de cohésion à la CAQ. Pour une énième fois, François Legault et Pierre Fitzgibbon ont fait la démonstration qu’ils ne sont pas sur la même longueur d’onde sur les tarifs d’Hydro-Québec. Depuis la défaite dans Jean-Talon, le chef caquiste semble désarçonné et impose à son équipe une gestion émotive, sur des coups de tête.

Lors du premier mandat, même si les caquistes provenaient de différentes familles politiques, ils ont avancé avec un bel esprit de corps.

Laïcité, remise d’argent dans les poches des contribuables, transformation des commissions scolaires, tous marchaient dans la même direction.

La période de COVID a concentré toute l’attention sur François Legault, qui menait l’opération avec une équipe restreinte.

Les choses ont changé avec le deuxième mandat.

Cette semaine, après la publication de propos de Michael Sabia tenus à l’interne, à l’effet qu’une hausse de tarifs d’hydro-électricité était inévitable, le super ministre de l’Énergie a offert une réponse somme toute logique.

Il a rappelé que la loi actuelle empêche une hausse annuelle supérieure à 3% jusqu’en mars 2025, et qu’il était hasardeux de se prononcer immédiatement sur la suite.

«On me demande s’il va y avoir une hausse en 2025, qu’est-ce que vous voulez que je vous réponde [...] on verra», a-t-il répondu, étonné de l’insistance des journalistes.

Pourtant, quelques minutes plus tard au Salon bleu, François Legault, lui, a juré qu’il n’y aurait jamais de hausse supérieure à 3%. Ad vitam æternam.

Réaliste?
C’est un engagement audacieux.

Il faut rappeler que les tarifs d’Hydro ont été gelés pendant un an et que depuis, la hausse limitée à 3%, bien en deçà de l’inflation, laisse croire à un incontournable choc dans le futur.

Quoi qu’il en soit, à sa sortie du Salon bleu, Fitz a choisi de se ranger.

«M. Legault a annoncé son intention politique. Au niveau législatif, il faut donc faire quelque chose», a-t-il dit.

Cela signifie que le chef caquiste a pris la décision lui-même en répondant du tac au tac à une question de GND, ou qu’il n’avait jamais fait part de son intention à son ministre responsable.

Nous avions fait état dans cette page, le 23 septembre, des avis contraires émis par les deux hommes, tant sur la tarification dynamique que sur une éventuelle consultation sur l’énergie.

Des violons à accorder
François Legault a recadré un autre ténor de son gouvernement sur la question de l’aide à apporter aux Québécois pour continuer de lutter contre l’inflation.

«Il n’y a pas la nécessité pour un chèque», insistait l’argentier Eric Girard le 16 août, au retour des vacances.

Le 6 septembre, François Legault ouvrait pourtant la porte à une aide pour certaines clientèles, qui serait annoncée... à la mise à jour économique du ministre des Finances.

«On est en train de regarder [...] s’il y a des personnes, des groupes de personnes, qui ont besoin d’une aide spéciale.»

C’est sans compter la décision prise par le premier ministre de remettre sur la table le défunt projet de 3e lien routier qu’il avait pourtant enterré, au lendemain de la dégelée subie dans Jean-Talon.

Il a créé la surprise au sein même de ses troupes, qui ne l’avaient pas vu venir.

Sa déclaration malheureuse à l’effet qu’être comparé à Jean Charest était la pire insulte, mardi, semblait aussi avoir été formulée sous le coup de l’émotion.

Au moins, cette semaine, il était en phase avec Christian Dubé sur la façon de réagir à la sortie des anciens premiers ministres contre la réforme de la santé.

Mais on dirait qu’il braque fréquemment le gouvernail sans prévenir son équipe, qui tangue sur le navire.

«C'est inquiétant», dit François Legault à propos de la fusillade dans le Maine
L'ÉPIPHANIE, Qc — La tuerie qui a coûté la vie à au moins 18 personnes à Lewiston, dans le Maine, cette semaine, a mis en lumière de nombreux problèmes de société auxquels il est difficile de rester insensible, a avoué le premier ministre François Legault vendredi.

«C'est inquiétant», a reconnu le premier ministre lorsque des journalistes lui ont demandé comment il a réagi lorsqu'il a appris la nouvelle, en marge d'un événement portant sur un autre sujet à L'Épiphanie, dans Lanaudière.''

Je le dis dans l'esprit le plus pacifique du monde...mais... la CAQ fait tout pour mettre de l'huile sur le feu pour tenter de l'éteindre.... prendre les gens pour idiiots, les mépriser, leur mentir, détourner des fonds publiques, masquer toute une population incluant les enfants pendant que môsieur ne le porte pas, les menaces, le chantage...

ça finit par alimenter une grogne populaire qui est en train d'éclater comme du pop corn dans la poele...

Et.... les partis d'oppositions sont pas tellement mieux en ayant empocher 30% d'augmentation sans broncher... ce qui alimente un climat de grève généralisée...

Ma recommendation, c'est lèver un peu le pied sur le peuple, arrêté de les écraser et prenez plus soins des plus démunis ça va aller juste mieux pour tout le monde
la ligne dure... à ses conséquences... que je ne peux pas contrôler...
L'extrémisme est en forte montée... avec des conséquences incertaines...

Donc arrête de mentir, de prendre les gens pour des caves... assume toi comme chef d'état responsable... c''est des temps critiques actuellement... arrête de prendre le monde pour des caves... et se tromper c'est pas grave en autant que tu l'admets, les québécois vont te pardonner, mais de prendre le monde pour des valises, ça les mets encore davantage en kâlisse...

Fake là, tu bonifies l'aide alimentaire, tu annules les hausses indécentes aux universitaires anglphones... parce que là la tension est à son comble
Pis t'annule aussi le tunnel de transport en commun Québec Lévis, et le Tramway... tu finances adéquatement le transport en commun...

Lève le pied un peu, mets de l'eau dans ton vin...

Pîs Go HABS GO!

https://www.iheartradio.ca/energie/energie-montreal/nouvelles/duranceau-demission-une-a...

«Duranceau démission»: une allocution de la ministre de l'Habitation interrompue par des manifestants

ULIEN DENISDate de publication: 8 h 46
Date de modification: 9 h 57
(Étienne Fortin-Gauthier | Noovo Info | X)
(Étienne Fortin-Gauthier | Noovo Info | X)
La ministre de l’Habitation France-Élaine Duranceau a été interrompue par des manifestants, vendredi, lors d’une allocution qu’elle prononçait au congrès de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) à Montréal.

Les quelques manifestants qui ont fait irruption dans une salle du Centre Sheraton ont scandé le slogan «Duranceau démission» à l’aide d’un porte-voix.

«La CAQ au service des proprios», pouvait-on aussi lire sur une banderole tenue par les contestataires.

Lorsque la situation s'est calmée, la ministre a souligné qu’il «n’était pas toujours facile de faire de la politique» et a évoqué les amendements qu’elle avait apportés au projet de loi 31 sur le logement.

Mme Duranceau a affirmé qu'il «lui restait 3 années pour accomplir ce qu'elle avait à faire».

Le Front de Lutte pour un Immobilier Populaire (FLIP) a revendiqué le coup d'éclat.

Le regroupement craint que l'adoption du projet de loi 31 «limiterait la pratique de la cession de bail» que l'on considère comme l'un «des seuls droits qui permet actuellement aux locataires de se prémunir contre les augmentations de loyer abusives et illégales».

Le boulevard René-Lévesque bloqué en matinée
Un peu plus tôt vendredi, une dizaine de personnes ont bloqué le boulevard René-Lévesque au centre-ville de Montréal afin de manifester contre ce même projet de loi.
Lors du passage de Noovo Info sur les lieux du rassemblement en matinée, les manifestants se tenaient au milieu de la rue avec des pancartes sur lesquelles ont pouvait notamment lire: «Évinçons la CAQ; Non au PL 31».

Des agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont été déployés afin de gérer la circulation automobile.

Le projet de loi 31, piloté par la ministre Duranceau, s'est attiré des critiques au cours des derniers jours. Tant les oppositions à Québec que les organismes communautaires dénoncent la gestion du dossier par Mme Duranceau.

Jeudi, les oppositions ont dénoncé le «chantage» et l'«arrogance» de la ministre de l'Habitation lors de l'étude détaillée du PL 31 .

Le projet de loi 31 a provoqué de vives réactions notamment en raison de la volonté de la ministre de permettre au propriétaire de refuser une cession de bail pour un «motif autre qu'un motif sérieux». La cession de bail est utilisée par certains locataires pour limiter les hausses de loyer.

La ministre avait d'ailleurs été rabrouée pour des propos qu'elle avait tenus à ce sujet. En bref, elle avait dit que les locataires qui voulaient céder leur bail n'avaient qu'à investir en immobilier. Mme Duranceau s'était ensuite dite désolée d'avoir pu paraître insensible.

Avec des informations d'Étienne Fortin-Gauthier et de la Presse canadienne

Maintenant j'espère que les gens vont s'Unir pour demander en bloc à la CAQ de démissionner, je vous passe la liste des raisons... En restant pacifiques évidemment, respectueux autant que possible, mais avec fermeté. J'ai hâte à lundi prochain.

https://www.noovo.info/nouvelle/logement-une-poignee-de-manifestants-rassemblee-pour-de...

«Duranceau démission»: une allocution de la ministre de l'Habitation interrompue par des manifestants

Publié le 27 octobre 2023 à 08:44
Mis à jour le 27 octobre 2023 à 09:56
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La ministre de l’Habitation France-Élaine Duranceau a été interrompue par des manifestants, vendredi, lors d’une allocution qu’elle prononçait au congrès de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) à Montréal.
Les quelques manifestants qui ont fait irruption dans une salle du Centre Sheraton ont scandé le slogan «Duranceau démission» à l’aide d’un porte-voix.

«La CAQ au service des proprios», pouvait-on aussi lire sur une banderole tenue par les contestataires.

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