Monty Python - Le Sens de la vie : La scène du seau
https://www.youtube.com/watch?v=e7Qg0o-o73Q
Voici ce qui arrive lorsque l'on s'empiffre trop...
c'est pas mal ça qui va se passer avec la CAQ... s'Auto-Détruire eux-mêmes...
« Avant, on cuisinait environ 150 repas par jour, maintenant, on [en] sert environ 240 [...], c’est vraiment immense comme augmentation », lance Sébastien Britton, le chef de la soupe populaire du Resto Dépôt.
Je ne sais pas si cela est tout les jours 100 000 repas, mais je le croirais le dimanche.
Voir le lien wikipédia çi dessous
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Langar
Montréal et le Québec doivent aussi trouver une autre façon de nourrir les gens que qu'en leurs procurant des sacs d'épicerie.
Mais je ne pense pas que le gouvernement accepte les bonnes solutions efficace.
Car nourrir les gens gratuitement pour eux, c'est pas payant.
Et pourtant, c'est le contraire.
Nourrir les gens gratuitement, c'est payant sur toute la ligne.
Les Cantines mobile et Cuisines mobile gratuite sont pour moi la meilleur solution.
Pensez y.
De que je comprends c'est que le gouvernement semble délibérément faire tout pour appauvrir les pauvres et rendre les riches plus riches...
C'est pas nouveau, mais là ça atteint des niveaux quelques peu exagérés... j'ignore combien de temps ça va pouvoir tenir?
ils y vont un peu trop fort à mon avis ....
C'est pas dans leur intérêt non plus de voir le climat social s'aggraver au niveau du tiers monde....
bon il y en a qui font du fric avec l'insécurité, mais ça c'est un autre dossier...
je me tiens tranquille dans mon coin, mais le mois d'octobre risque d'être imprévisible?
il y a beaucoup beaucoup de colère dans l'air...
je me demande si nous nous enlignons pas vers une crise d'Octobre encore?
En 1995, lors du référendum, les esprits s'étaient échaudé à la vitesse de la lumière... ça commencé timidement... et pour devenir très intense...
pour le reste, faut pas trop compter sur le gouvernement c'est clair qu'il a abandonné les plus pauvres
La seule solution demeure politique, les remplacer aux prochaines élections...
y a ont plus beaucoup d'amis... ils se mis à dos, les profs, les syndicats, les anglophones, les immigrants les policiers, les étudiants, etc... ça commence à faire beaucoup de monde....
https://www.journaldemontreal.com/2023/08/09/honteuse-decision-du-gouvernement-legault-...
Honteuse décision du gouvernement Legault sur le dos des aînés invalides
Discrimination financière envers les 28 000 personnes âgées invalides dont la rente de retraite du RRQ a été réduite
Près de 30 000 aînés pénalisés - Entrevue avec Michel Girard
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Michel
Girard
Michel Girard
Jeudi, 31 août 2023 00:00
MISE À JOUR Jeudi, 31 août 2023 00:00
Le gouvernement de François Legault a décidé de porter en appel le récent jugement du Tribunal administratif du Québec (TAQ) qui mettait fin à la discrimination financière envers les 28 000 personnes âgées en situation d'invalidité.
]]>« Avant, on cuisinait environ 150 repas par jour, maintenant, on [en] sert environ 240 [...], c’est vraiment immense comme augmentation », lance Sébastien Britton, le chef de la soupe populaire du Resto Dépôt.
![[image]](images/uploaded/20231002092706651ac52a05e05.png)
Je ne sais pas si cela est tout les jours 100 000 repas, mais je le croirais le dimanche.
Voir le lien wikipédia çi dessous
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Langar
![[image]](images/uploaded/20231002092530651ac4ca1a3f1.png)
Montréal et le Québec doivent aussi trouver une autre façon de nourrir les gens que qu'en leurs procurant des sacs d'épicerie.
Mais je ne pense pas que le gouvernement accepte les bonnes solutions efficace.
Car nourrir les gens gratuitement pour eux, c'est pas payant.
Et pourtant, c'est le contraire.
Nourrir les gens gratuitement, c'est payant sur toute la ligne.
Les Cantines mobile et Cuisines mobile gratuite sont pour moi la meilleur solution.
Pensez y.
]]>J'ai hâte de lire les historiens quand ils vont analyse le sombre passage de la CAQ au pouvoir qui a bannit la vente des livres mais autorisé le pot, l'alcool, et la cigarette(!)
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2013346/techniciens-education-specialisee-quittent...
Formés comme techniciens en éducation spécialisée, ils préfèrent travailler à l’usine
Ils quittent à regret le réseau québécois de l'éducation, mais n'en peuvent plus de leurs conditions de travail.
Quelque 60 % des techniciens en éducation spécialisée (TES) du réseau québécois de l'éducation n’ont pas de poste permanent et ne travaillent pas à temps plein.
Jean-Philippe Robillard (Consulter le profil)
Jean-Philippe Robillard
Publié le 28 septembre à 4 h 00 HAE
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Alors qu’il manque déjà des centaines de techniciens en éducation spécialisée (TES) dans les écoles du Québec, certains délaissent cette profession pour aller travailler dans des usines. Ils y obtiennent de meilleures conditions de travail et des salaires plus élevés que dans le réseau de l’éducation.
Il y a un an, Josiane Guy a quitté le réseau de l’éducation. Après 15 ans comme TES dans des écoles primaires, elle a décidé d’aller travailler à l'usine de la compagnie Rio Tinto du secteur Laterrière, à Saguenay.
Ce qui m’a fait partir, c’est vraiment l'instabilité de l’emploi, la précarité, [le fait] de ne pas savoir, chaque année, où j'allais me retrouver, combien d’heures j’allais travailler, combien de plans d’intervention j’allais avoir, explique-t-elle. J'étais épuisée psychologiquement du manque de services qu’on avait dans les écoles. J'étais épuisée du manque de reconnaissance qu’on avait [et] du trop grand nombre de plans d’intervention qui permettent d'encadrer les élèves ayant des besoins particuliers.
Cette femme de 35 ans affirme qu’elle avait toujours l'impression de mal faire son travail et d’être incapable d’aider tous ceux qui avaient besoin d’elle. Je ne faisais qu’éteindre des feux tout le temps [...]. Il y avait tellement d’élèves en même temps que c’était impossible de mener à terme des interventions pour faire avancer le jeune à sa pleine capacité.
Josiane déplore également que les TES ne soient pas rémunérés pendant les vacances estivales et pendant les congés des Fêtes et qu'ils doivent recourir à l'assurance-emploi lors de ces périodes.
Mme Guy sourit devant l'enseigne de Rio Tinto.
Josiane Guy profite aujourd'hui de meilleures conditions de travail et d'un meilleur salaire.
Les données du ministère de l’Éducation du Québec indiquent que sur les 25 000 techniciens en éducation spécialisée du réseau scolaire, environ 60 % n’ont pas de poste permanent et ne travaillent pas à temps plein. Selon leur syndicat, leur salaire annuel moyen est de 34 000 $.
Depuis que Josiane Guy travaille comme opératrice à l'aluminerie de Laterrière, elle a moins de soucis.
J'arrive au travail, je punche in, je punche out, j’arrive chez nous… et j’ai la tête tranquille, souligne-t-elle. Je n’avais plus le goût de partir de mon travail et d’avoir la tête pleine, d’être inquiète pour les élèves, pour leur santé physique et psychologique. Ça devenait lourd.
En plus d’avoir de meilleures conditions de travail, elle gagne un bien meilleur salaire : plus de 100 000 $ par année.
J’ai pratiquement triplé mon salaire annuel depuis que j’ai changé.
Une citation deJosiane Guy, ex-technicienne en éducation spécialisée
Un autre ancien TES travaille à l’aluminerie de Laterrière avec elle, soutient Josiane, qui dit aussi en connaître quatre autres qui ont quitté le monde scolaire seulement depuis l’an dernier.
Et ce ne sont pas les seuls.
2:16
Téléjournal Montréal
Délaisser l'éducation spécialisée pour gagner trois fois plus
Le reportage de Jean-Philippe Robillard
Abandonné, dévalorisé
Après sept ans comme TES dans des écoles du Centre-du-Québec, Gabriel a laissé tomber cet emploi pour travailler lui aussi dans une aluminerie, à Bécancour.
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Ça a été une grosse décision, raconte-t-il. Je me sentais de plus en plus abandonné par le système, dévalorisé dans mon travail.
Il dénonce lui aussi les conditions de travail des TES. Tant [sur le plan] financier que pour ma santé mentale, c'était rendu mieux pour moi de partir.
Gabriel n’en pouvait plus de la lenteur et de la lourdeur du réseau scolaire alors que les besoins des élèves en difficulté ne cessent d’augmenter, dit-il. Il déplore le peu de services offerts aux élèves qui ont besoin d’aide. Nos centres de services scolaires essaient tellement d’en faire avec des pinottes! Je trouve ça triste.
Il affirme lui aussi que ses conditions de travail se sont grandement améliorées. J'ai une sécurité, une stabilité qu’après sept ans, je n’avais même pas encore dans la bureaucratie de notre système d’éducation. [...] Je n'ai plus à dealer avec le chômage tous les étés, je n'ai plus à me trouver un deuxième emploi pour être capable d’arriver.
Son salaire a doublé, soutient-il, et la charge mentale liée à son travail n’a rien à voir avec celle qu'il a connue auparavant. C'est surtout que je ne ramène pas de job à la maison. Quand je punche in, punche out, je n’ai pas à m’inquiéter le soir pour un élève. Pas de culpabilité.
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Gabriel soutient que deux autres techniciens en éducation spécialisée ont quitté le réseau scolaire pour travailler dans la même usine que lui.
Quitter le monde scolaire et les élèves qu’il aidait a été une décision crève-cœur, admet-il.
Il y avait des enfants que je côtoyais depuis qu’ils étaient à la maternelle quand j’ai décidé de partir. Il a eu le sentiment de les abandonner.
Je trouve juste dommage qu’on en soit venus là [...] Je trouve que ça nous envoie un gros signe que dans notre société, on ne met pas les priorités à la bonne place.
Une citation deGabriel, ex-technicien en éducation spécialisée
La décision a été difficile pour Josiane aussi, elle qui adorait ce métier pour lequel elle avait choisi d'être formée.
J'étais très émotive parce que je laissais derrière moi des petits cocos qui avaient besoin d’aide, confie-t-elle. Même après un an, je pense encore à mes élèves.
Des conditions peu attrayantes malgré la pénurie
Nicolas Prévost.
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Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement. (Photo d'archives)
PHOTO : RADIO-CANADA
Le ministère de l’Éducation estime qu'il manque plus de 550 techniciens en éducation spécialisée dans les écoles du Québec. Toutefois, d'après Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement, il en manque au moins 1000.
Le gouvernement doit améliorer les conditions de travail des TES, réclame M. Prévost.
C’est un peu la problématique d’attirer des gens quand on a des postes à temps partiel.
Une citation deNicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement
C'est pour des raisons budgétaires que les centres de services scolaires craignent de donner des postes permanents, qui seraient beaucoup plus attrayants, affirme M. Prévost.
Si les budgets ne sont pas là l’année d’après et qu’on se retrouve avec trop de permanents, on ne sera pas capables de les payer. Cependant, si on avait des budgets annoncés sur plusieurs années, ça nous permettrait de créer, comme centre de services, beaucoup d’emplois à temps plein, fait-il valoir.
Président de la Fédération du personnel de soutien, Éric Pronovost déplore lui aussi les conditions de travail des TES, dont la très grande majorité vit dans la précarité, dit-il. D'année en année, ils ne savent jamais le nombre d’heures qu’ils vont avoir. Ils ne savent jamais s’ils vont rester dans la même école.
On a des gens qui ont des 15, des 20 et des 25 ans d’expérience qui quittent pour aller faire autre chose.
Une citation deÉric Pronovost, président de la Fédération du personnel de soutien
Même que, parfois, le réseau de la santé leur offre des postes beaucoup plus alléchants, laisse-t-il tomber.
Éric Pronovost en conférence de presse.
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Éric Pronovost, président de la Fédération du personnel de soutien. (Photo d'archives)
L'enseignante Marisa Thibault insiste : les techniciens en éducation spécialisée jouent un rôle majeur dans le réseau scolaire.
Un poste de TES n'a été pourvu que tout récemment dans son école et le personnel enseignant tout comme les élèves en ont subi les contrecoups, relate-t-elle.
On se réfère souvent à l’éducateur ou à l’éducatrice spécialisée pour venir nous aider en classe, dit Mme Thibault. C'est autant de la gestion de crise que de l’aide à un élève pour s’organiser dans la classe.
Nous sommes bien au fait de cette situation, assure le cabinet du ministre de l'Éducation, Bernard Drainville. Savoir qu’une proportion aussi significative de TES n’ont pas de permanence soulève beaucoup de questions, surtout dans le contexte de pénurie que nous vivons. Le ministre en est très conscient et y est sensible.
Ce sont des [questions] qui font d'ailleurs l'objet de discussions aux tables de négociation, ajoute le cabinet.
]]>https://mobile.guideautoweb.com/articles/69920/ford-s-attend-a-perdre-4-milliards-avec-...
FORD S’ATTEND À PERDRE 4 MILLIARDS $ AVEC SES MODÈLES ÉLECTRIQUES EN 2023
Ford avait convoqué jeudi matin des investisseurs et des analystes de marché à la Bourse de New York pour discuter de ses résultats financiers actuels et à venir, qui seront présentés non plus en fonction des régions géographiques mais plutôt de ses trois grandes divisions d’affaires.
On parle ici de Ford Blue (véhicules à essence et hybrides), de Ford Model e (véhicules électriques) et de Ford Pro (véhicules et services commerciaux).
Du même coup, on apprend que la division Ford Model e anticipe pour l’ensemble de l’année 2023 une perte de 3 milliards $ américains, soit l’équivalent de 4,1 milliards $ canadiens avec le taux de change en vigueur aujourd’hui. Ça représenterait une hausse de près de 50% par rapport aux 2,1 milliards $ américains (2,9 milliards $ canadiens) qui ont été perdus avec les véhicules électriques en 2022.
Photo: Ford
Le tout s’explique par les investissements majeurs que choisit de déployer Ford en vue d’augmenter considérablement la production des Mustang Mach-E, F-150 Lightning et E-Transit en 2023 (l’objectif est de 600 000 unités en tout). N’oublions pas le développement de nouveaux produits, de nouvelles batteries et d’une méga usine qui verra le jour au Tennessee vers 2026, année à partir de laquelle Ford prévoit d’être capable d’assembler 2 millions de véhicules électriques.
À titre de comparaison, les divisions Ford Blue et Ford Pro s’attendent respectivement à engranger 7 milliards $ et 6 milliards $ américains (environ 9,5 milliards $ et 8,2 milliards $ canadiens) cette année. C’est en très bonne partie grâce à elles que le constructeur américain peut financer ses efforts dans l’électrique.
« Nous ne faisons pas que changer notre manière de présenter nos résultats financiers. Nous transformons aussi notre façon de penser, de prendre des décisions et de gérer la compagnie afin de diriger nos ressources pour obtenir les meilleurs rendements possibles », a déclaré le chef des finances de Ford, John Lawler.
Ailleurs dans l’industrie, General Motors perd aussi de l’argent avec ses véhicules électriques pour le moment. On peut en dire autant de compagnies naissantes telles que Rivian et Lucid. Le volume de production n’est tout simplement pas encore suffisant pour réaliser des économies d’échelle et compenser les dépenses colossales de développement et d’expansion.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2002428/voiture-electrique-chargement-ford-lightning
Un homme abandonne son véhicule électrique à cause de problèmes de recharge
Publié le 10 août à 10 h 55 HAE
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Le propriétaire d’un véhicule électrique (VE) a dû abandonner son véhicule lors d’une escapade routière, à cause de problèmes de recharge. Dalbir Bala, qui a un Ford F-150 Lightning Lariat 2023, partait de Winnipeg pour se rendre dans l'État du Wisconsin et à Chicago, aux États-Unis. Il a dû finir ce voyage à bord d’une voiture à essence de location.
L'homme a commencé ce voyage à bord de son véhicule électrique le 27 juillet dernier, en compagnie de sa femme et de ses trois enfants. Son véhicule était complètement chargé en partant.
Il avait planifié de s'arrêter en cours de route pour charger son véhicule aux bornes de recharge pour VE de niveau 3.
Il a cependant dû laisser son camion au Minnesota le mois dernier, car il n’a pas pu charger son véhicule à deux différentes bornes de recharge sur la route.
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C’était franchement un cauchemar pour nous, dit-il.
Dalbir Bala a acheté sa Ford Lighting en janvier dernier pour la somme de 115 000 $. Il a dépensé 16 000 $ de plus pour installer des bornes de recharge chez lui et à son lieu de travail.
L’autonomie du véhicule est de 515 km, selon l'Environmental Protection Agency
Dalbir Bal s'est d'abord arrêté à Fargo, à 350 km au sud de Winnipeg, où il a chargé son véhicule à 90 % pour la somme de 56 $.
À son deuxième arrêt à Albertville, à 30 km de Minneapolis, il raconte que la seule borne de recharge signalait une erreur de connexion. Personne n’avait répondu, quand il a essayé d'appeler le numéro d’aide.
L'homme s’est alors rendu à une autre borne de recharge à proximité, mais la borne ne fonctionnait pas non plus. Il lui restait seulement 15 km d’autonomie à ce stade, et sans aucun accès à une borne de recharge électrique rapide, il a dû abandonner son véhicule.
Dalbir Bal a donc dû faire remorquer son véhicule à un concessionnaire d’automobiles, et il a loué une Toyota pour se rendre à Chicago.
Un véhicule moins polluant
Dalbir Bala avait acheté ce véhicule pour utiliser de l’énergie verte et pour économiser entre 1000 et 1500 $ par mois.
Un Ford F-150 Lightning Lariat 2023 en plan centrale devant un garage, une journée ensoleillée.
Ouvrir en mode plein écran
Dalbir Bala avait acheté ce véhicule pour utiliser de l’énergie verte et pour économiser entre 1000 et 1500 $ par mois.
Un véhicule électrique, la nouvelle technologie… ça m’a impressionné, dit-il. C’est pour ça que je l’ai acheté.
Je ne m’attendais pas à acheter une voiture à plus de 100 000 $ seulement pour la conduire en ville.
Une citation deDalbir Laba
Il a récupéré son véhicule au retour de son voyage.
Il l’utilise maintenant seulement pour ses trajets quotidiens pour aller au travail, ce qui représente 50 km dans chaque direction.
Le président de l'Association des véhicules électriques du Manitoba, James Hart, indique qu’il faut mettre en place plus de mesures autour de l'entretien et l’assistance technique des bornes de recharge.
J’ai entendu des histoires de personnes qui ont dû carrément appeler la compagnie de la borne de recharge seulement pour réinitialiser la machine, affirme-t-il.
Il aimerait aussi que plus de bornes de recharge soient ajoutées à celles déjà présentes, dans le cas où une borne ne serait pas fonctionnelle.
Avec les informations de Josh Crabb
]]>Quels sont les problèmes avec les bornes de recharge pour véhicules électriques?
27/9/2023Commentaires
Une nouvelle étude met en lumière une préoccupation majeure pour les conducteurs de véhicules électriques: quels sont les problèmes avec les bornes de recharge publiques défectueuses?
Alors que les ventes de véhicules électriques continuent d’augmenter en Amérique du Nord, la fiabilité des réseaux de recharge publics est devenue un enjeu crucial et un facteur de différenciation entre Tesla et tous les autres constructeurs automobiles qui vendent des véhicules électriques.
Tesla a sans aucun doute vendu de nombreux véhicules électriques en raison de la fiabilité quasi à toute épreuve et de la facilité d’utilisation de son réseau de Superchargeurs. Les acheteurs de la plupart des autres véhicules électriques vivent parfois des expériences moins que transparentes avec leurs voitures chez plusieurs réseaux, nécessitant diverses formes d’authentification, avec des prix variables et des interfaces différentes à chaque station.
Les véhicules électriques vont bien; Le problème, c’est souvent la recharge
« Les consommateurs vivent souvent des anxiétés de recharge », a déclaré Jim Farley, PDG de Ford. « Ils ont de moins en moins d’anxiété liée à l’autonomie; Ils vivent une anxiété de recharge». Il suffit d’un ou deux amis, collègues ou voisins qui arrivent à une station de recharge publique avec une batterie de véhicule électrique faible pour constater que la station ne fonctionne pas, ou ne se connecte pas à leur voiture, pour que les acheteurs potentiels de voitures neuves décident que les véhicules électriques sont trop risqués.
Généralement, les bornes de recharge publiques fonctionnent la plupart du temps, mais pour qu'on les adopte, la recharge des véhicules électriques doit être aussi fiable et agréable que les stations-service. La barre n'est pas très haute, n'est-ce pas? Aujourd’hui, les véhicules électriques sont de plus en plus attrayants; Ce sont les réseaux de recharge qui en feront une réussite ou les détruiront.
Un rapport de J.D. Power publié en mai dernier a quantifié le problème : « À la fin du 1er trimestre 2023, 20,8 % des conducteurs de véhicules électriques utilisant des bornes de recharge publiques ont connu des pannes de recharge ou des dysfonctionnements de l’équipement qui les ont empêchés de recharger leur véhicule. » Les chiffres étaient pires dans une étude sur les bornes de recharge de véhicules électriques dans la région de la baie de San Francisco l’année dernière, qui a révélé que près d’un quart d’entre elles ne fonctionnaient pas en raison « d’écrans qui ne répondent pas ou ne sont pas disponibles, de défaillances du système de paiement, d’échecs d’initiation de charge, de défaillances de réseau ou de connecteurs défectueux ».
Maintenant, une nouvelle étude offre des données nationales identifiant les raisons spécifiques des pannes de bornes de recharge publiques. Cela fait partie d’un livre blanc baptisé, Électrification 2030, qui évalue les problèmes cruciaux affectant à la fois l’adoption des véhicules électriques et l’électrification des maisons d’ici 2030. L’étude a été produite par l’Institut de l’Électrification, récemment créé par Qmerit, une entreprise qui installe des bornes de recharge pour véhicules électriques, des panneaux solaires, des pompes à chaleur et des batteries de stockage pour les consommateurs.
Sur la base des données de réseaux évalués à travers les États-Unis cette année, les raisons les plus courantes de l’échec des sessions de recharge de véhicules électriques sont des problèmes avec:
Connectivité des stations : 55%
Défaillances ou erreurs internes de la station : 38%
Connecteur ou câble de charge: 4%
Lecteur de carte de crédit: 1%
Écran d’affichage: 1%
CONNECTIVITÉ: Les données suggèrent que plus de la moitié de toutes les pannes de recharge proviennent d’une borne qui ne peut pas se connecter à son réseau pour l’authentification. Parce que la plupart des réseaux de recharge de véhicules électriques utilisent des liaisons cellulaires dans leurs stations, ils sont soumis aux aléas du service cellulaire que nous avons tous subis.
Il existe deux correctifs possibles. Tout d’abord, la meilleure pratique consiste pour toute station publique à utiliser par défaut la recharge gratuite si elle perd la connectivité et ne peut pas valider un client ou un mode de paiement. Electrify America dit que ses bornes font cela. Deuxièmement, les stations peuvent être connectées à l’aide de câbles de communication câblés, qui sont considérablement plus coûteux à installer, c’est pourquoi ils ne les installent pas.
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DÉFAILLANCES INTERNES DE LA STATION : La catégorie de défaillance suivante, « pannes ou erreurs internes », couvre les défaillances logicielles et peut-être certaines défaillances matérielles. De nombreux conducteurs de véhicules électriques ont publié des photos de stations de recharge non fonctionnelles qui ont apparemment gelé lors du redémarrage, y compris ce qui ressemble étrangement à des codes internet sur leurs écrans. Il s’agit de problèmes différents, dont chacun doit être traité séparément, pour différentes bornes de recharge . C’est compliqué.
LE RESTE: Toutes les autres causes sont mineures, y compris les lecteurs de cartes de crédit cloués au pilori par Elon Musk. Le PDG de Tesla a refusé le financement public pour étendre le réseau de Superchargeurs en raison des exigences étatiques et fédérales selon lesquelles les bornes de recharge offrent des méthodes de paiement autres que les applications téléphoniques.
Quelles sont les données?
Cependant, certains réseaux de bornes de recharge de véhicules électriques refusent de fournir des détails sur leur fiabilité, revendiquant parfois une disponibilité du réseau de 97% ou plus. Si l'utilisation est confirmée à partir d’un ordinateur central, cette réponse, cependant, ne confirme pas si cette station peut percevoir le paiement et fournir le tarif à quel taux.
Image
Comme c’est souvent le cas avec les véhicules électriques, la solution pourrait venir de la règlementation californienne. L’année dernière, les législateurs californiens ont adopté un projet de loi, le[AB 2061 de 2022] qui oblige tous les opérateurs qui reçoivent de l’argent de l’État à se conformer à de nouvelles normes plus détaillées en matière de tenue de registres et de rapports. Les détails sont attendus l’année prochaine de la California Energy Commission et les États qui ont adopté initialement ces règles d’émissions sont susceptibles de les adopter également.
Le niveau de frustration et de colère parmi les constructeurs automobiles était suffisamment élevé pour que Ford annonce en mai dernier que ses clients seront en mesure de se recharger dans les stations de Tesla et qu’elle adoptera la norme NACS de Tesla. GM a suivi avec une annonce identique quelques semaines plus tard, et beaucoup d’autres ont pris cette décision, voir la liste complète ICI. Puis, en juillet dernier, sept constructeurs automobiles ont annoncé qu’ils formeraient une coentreprise pour mettre en place un nouveau réseau de plus de 30 000 bornes de recharge rapide, avec des équipements pour rendre la recharge plus agréable.
Cependant, le fait de connaître les raisons pour lesquelles une station de recharge peut ne pas fonctionner n’aide pas les conducteurs de véhicules électriques inquiets. Seuls les réseaux peuvent le faire, en priorisant la maintenance, la surveillance et les temps de réponse, tout comme Tesla le fait pour son réseau de Superchargeurs.
https://www.theblaze.com/news/electric-vehicle-battery-factory-coal-plant-kansas
A new electric vehicle battery factory in Kansas will require so much energy that a coal plant slated for closure will now remain open, plus it will be expanded.
''Une nouvelle usine de batteries pour véhicules électriques au Kansas nécessitera tellement d’énergie qu’une centrale au charbon dont la fermeture est prévue restera désormais ouverte et sera agrandie.''
Panasonic is building a $4 billion EV battery factory in De Soto, Kansas. The upcoming lithium-ion battery manufacturing facility is expected to start mass production of EV batteries by the end of March 2025.
]]>https://www.journaldemontreal.com/2023/12/28/des-demandes-daide-refusees-pour-la-premie...
demandes d'aide alimentaire refusées pour la première fois en 37 ans
Les banques alimentaires débordées
Explosion aide alimentaire
PHOTO MARIANNE LANGLOIS
PARTAGE
MARIANNE LANGLOIS
Lundi, 2 octobre 2023 00:00
MISE À JOUR Lundi, 2 octobre 2023 00:00
L’explosion des demandes d’aide alimentaire force des organismes à refuser des familles pour la première fois en plus de 35 ans. Pendant ce temps, d’autres citoyens se tournent vers les réseaux sociaux afin d’obtenir des denrées pour passer à travers leur fin de mois.
• À lire aussi: Un ex-itinérant qui a connu l’enfer de l’héroïne aide aujourd’hui des milliers de personnes
« C’est vraiment un désastre! Le mois dernier, six familles n’ont pas pu obtenir de panier d’aide alimentaire [...], c’est la première fois en 37 ans qu’on doit limiter nos ressources », déplore Tasha Lackman, directrice générale du Dépôt centre communautaire d’alimentation.
L’organisme installé dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce depuis 1986 offre de l’aide alimentaire sous toutes sortes de formes à la population, allant des paniers mensuels au service de soupe populaire en passant par les cours de cuisine. En 2021, l’organisme a offert 7200 paniers de denrées. En 2022, ce nombre a bondi à 10 000 paniers. Cette année, l’organisme prévoit déjà distribuer 19 000 paniers d’ici le 31 décembre. La demande est si forte que depuis un an, la quantité de denrées offerte est réduite du tiers, et depuis juin, les gens inscrits reçoivent un panier plutôt que deux mensuellement.
Explosion aide alimentaire
PHOTO MARIANNE LANGLOIS
« Avant, on cuisinait environ 150 repas par jour, maintenant, on [en] sert environ 240 [...], c’est vraiment immense comme augmentation », lance Sébastien Britton, le chef de la soupe populaire du Resto Dépôt.
Explosion aide alimentaire
Le chef du Resto Dépôt pose dans la cuisine après un service de soupe populaire très occupé. PHOTO MARIANNE LANGLOIS
En mars dernier, Le Journal a discuté avec l'organisme Racine Croisée qui offre de l'aide alimentaire d'urgence à Montréal. Il y a quelques mois, l'équipe craignait d'atteindre un point de rupture qui les forcerait à refuser des gens. Aujourd'hui, il s'agit de leur nouveau quotidien.
« Nos frigos sont vides [...] Toutes les semaines, des gens se présentent à l'organisme et on n'a plus de nourriture [...] Présentement, on va jusqu'à 350 paniers, mais on a 500 familles à couvrir », explique Agnès Mbome, la fondatrice de Racine Croisée, qui planifie déjà une levée de fonds pour pouvoir continuer d'aider les gens dans le besoin.
Écoutez l'édito d’Alexandre Dubé diffusé chaque jour en direct 6 h 30 via QUB radio :
À travers la province
À Québec, les organismes d’aide alimentaire débordent. Certains, comme La Bouchée généreuse, qui offre 1000 paniers d’aide alimentaire chaque semaine, ont d’immenses files d’attente devant leur organisme lors des jours de distribution.
Explosion aide alimentaire
L'équipe du Resto Dépôt en pleine préparation des repas du midi servis gratuitement aux gens de l'arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce. PHOTO MARIANNE LANGLOIS
« C’est notre nouvelle réalité [...] On n’ose pas imaginer les prochains mois, on y va une semaine à la fois, on a peur du moment où on devra refuser des gens, c’est épeurant », évoque Marie-Pier Gravel, directrice adjointe de La Bouchée généreuse depuis 2020.
La situation est critique un peu partout au point où les demandes d’aide alimentaire d’urgence explosent même sur les réseaux sociaux. En effet, de plus en plus de familles font appel à leur communauté pour les aider à passer à travers la fin de semaine ou la fin du mois. À Longueuil, les pages Spotted et Le P’tit creux servent de lieu d’échange entre les gens qui veulent donner et ceux qui ont besoin d’un coup de pouce.
« Le nombre de demandes est cinq fois plus élevé qu’à pareille date l’année passée [...] Il y a déjà 40 familles sur une liste d’attente », explique Steve Tessier, fondateur du P’tit creux, une initiative qui vient en aide aux gens dans le besoin.
On anticipe les Fêtes
Chez Moisson Kamouraska et Moisson Estrie, on s’inquiète déjà de la période des Fêtes qui approche à grands pas et qui s’annonce particulièrement « pénible » cette année. Actuellement, les organismes doivent déjà faire l’achat de denrées pour répondre à la demande.
« J’anticipe énormément la hausse des demandes pour les paniers de Noël, on se demande comment on va faire rendu au temps des Fêtes [...] avec l’inflation, tout le monde à de la misère à arriver. On pense avoir moins de dons, ça va être très intense », explique Louise Chrétien, coordonnatrice des services chez Moisson Kamouraska depuis 10 ans.
Plusieurs endroits ont déjà commencé la planification des paniers de Noël, alors que d'autres continuent d'inviter la population en mesure de le faire à mettre la main à la pâte.
« Chaque personne peut faire une différence [...] Un dollar reçu, c’est un dollar pour lequel on n’a pas besoin de courir pour l'obtenir », a conclu la directrice adjointe de La Bouchée généreuse.
]]>La bulle de la batterie: a-t-on perdu la boule?
Quand c’en est rendu que les gouvernements financent une très grande portion du coût des projets d’usines de batteries, il y a de quoi s’inquiéter.
Girard
Michel Girard
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Samedi, 30 septembre 2023 00:00
MISE À JOUR Samedi, 30 septembre 2023 00:00
Grâce à nos milliards d’impôts et de taxes qu’on va y investir au fil des prochaines années, nous voilà bien ancrés dans la folle ruée mondiale de la batterie pour véhicules électriques.
A-t-on perdu la tête avec cette nouvelle euphorie financière pour les usines de batteries qui frappe les États-Unis, nombre de pays européens, le Canada, dont l’Ontario et maintenant le Québec ?
Quand c’en est rendu que les gouvernements financent une très grande portion du coût des projets d’usines de batteries, il y a de quoi s’inquiéter. C’est d’ailleurs le cas avec les 7,3 milliards $ injectés dans la méga-usine Northvolt qui va s’implanter sur les anciens terrains de la C.I.L. à McMasterville et Saint-Basile-Le-Grand. Québec va injecter 2,9 milliards et le fédéral 4,4 milliards. Qui plus est, on nous a avertis que des investissements gouvernementaux de plusieurs autres milliards seront requis plus tard.
CELA DIT...
Permettez-moi de reprendre une citation d’Albert Einstein que l’ex-économiste en chef de Desjardins, François Dupuis, avait utilisée dans un dossier spécial sur les crises financières : « Deux choses sont infinies : l’univers et la bêtise humaine. Pour l’univers, je n’en ai pas acquis la certitude absolue. »
À maintes reprises dans l’histoire, nous avons traversé des périodes d’euphorie et de formation de bulles spéculatives. Elles se sont toutes dégonflées, tout en entraînant évidemment d’énormes pertes financières, comme ce fut notamment le cas lors des grandes crises financières suivantes :
Le krach boursier de 1929
Le dégonflement en 1980 de la bulle spéculative sur l’or et l’argent
Le krach boursier de 1987
Le krach boursier japonais de 1990
Le dégonflement en 2001 de la bulle internet et des télécoms
La crise financière du papier commercial et des « subprimes » en 2008
Comprenez-moi bien. J’espère de tout cœur que les dizaines de milliards que le gouvernement de Justin Trudeau et les gouvernements de François Legault et de Doug Ford vont investir en notre nom dans les méga-usines de batteries fassent de nous des joueurs majeurs dans la filière mondiale de la batterie pour véhicules électriques.
LE POTENTIEL DE NORTHVOLT
Il est certes intéressant de voir que l’investissement du gouvernement Legault de 2,9 milliards dans le projet de l’usine de batteries renferme une portion de 567 millions $ en équité dans la société mère Northvolt AB.
Le hic ? Le bureau du ministre Pierre Fitzgibbon refuse de dévoiler quel pourcentage du capital-actions de Northvolt AB représente ce demi-milliard de dollars. Mais bon...
Écoutez le segment économie avec Michel Girard via QUB radio :
Créée en 2017, cette start-up suédoise de la batterie a multiplié les levées de fonds depuis sa création. Northvolt AB a obtenu jusqu’à présent quelque 8 milliards de dollars en capitaux propres et en dettes pour mettre en œuvre son programme de développement.
L’entreprise souhaite faire bientôt son entrée en Bourse. Plusieurs grandes caisses de retraite canadiennes ont participé à ces levées de fonds de Northvolt AB, sauf la Caisse de dépôt et placement du Québec.
Question : si le potentiel de Northvolt AB est si prometteur aux yeux de François Legault et de Pierre Fitzgibbon, voulez-vous me dire pourquoi Charles Emond et ses grands gestionnaires de la Caisse ont raté cette grande opportunité d’investir dans le capital de Northvolt AB ?
DES BÉMOLS
Construire une usine qui va créer 3000 emplois, c’est fabuleux sur papier. Cela laisse présager l’arrivée d’autant ou même plus de nouveaux résidents dans les municipalités longeant la route 116, comme Mont-Saint-Hilaire, Beloeil, McMasterville, Saint-Bruno.
Où allons-nous loger tous ces nouveaux travailleurs et leurs familles ? Et surtout à quel prix ? Attendons-nous à une vague de surenchère résidentielle dans ce coin de la Montérégie.
PIERRE-PAUL POULIN / LE JOURNAL DE MONTRÉAL / AGENCE QMI
Que dire maintenant des problèmes de circulation que l’augmentation de la population va provoquer sur la route 116, laquelle voie en a déjà plein son casque du trafic lors des heures de pointe ?
Pour faciliter l’accessibilité environnementale du mégaprojet de la nouvelle usine de batteries de Northvolt et ainsi éviter le déclenchement d’un examen du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), le gouvernement Legault a cru bon de modifier le règlement qui portait sur la fabrication de cathodes.
Comment ? Il a tout simplement relevé le seuil de fabrication de cathodes de 50 000 à 60 000 tonnes. Le hasard faisant bien les choses, il s’adonne que la future usine de Northvolt produira 56 000 tonnes de cathodes.
Par ricochet, Northvolt évitera ainsi de se retrouver sous la loupe du BAPE. À mes yeux, ce n’est guère rassurant, ce genre de modification de dernière minute !
À l’instar de la rapide évolution de la technologie, la batterie va elle aussi évoluer à vitesse grand V.
À nos risques et périls !
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