Il ne peut en être autrement, ici il s'agit de l'évolution des consciences spirituelle !
L'humanité faisant face à sa propre eschatologie rhétorique sur le plan esthétique idéologique (même, société de fourmis conditionneur de force liant) et matérialiste (impact par le retour du réel), et pour transcender tout ça, il faut se transcender soi-même !!! De l'individualisme au collectif, de la haine à l'amour et l'entraide, et de la compétition (vers le chaos) à outrance ou vers la coopération (vers l'harmonie). Une résonance évolutive en passant de l'un vers le collectif, de la goutte à l'océan....
En effet. Ce n'est qu'en redécouvrant le caractère sacré qui unit le Tout que l'Humanité cessera de massacrer ce qu'elle perçoit faussement comme séparé d'elle. Il y a beaucoup de travail qui a été fait en ce sens, et beaucoup reste encore à faire...
]]>De rien.
Si l'Homme mérite de survivre, il finira par changer de mode de vie sous la pression des conditions environnantes et du manque croissant de certaines ressources.
Et il est probable que pour mériter de survivre, il lui faudra changer de point de vue sur la vie, sortir du matérialisme, écouter sa Conscience...
En d'autres termes, il lui faut tenir compte non seulement de la Matière, mais aussi de la Conscience et de l'Esprit.
Tout à fait. Et ainsi, l'Humanité pourra cesser de survivre et enfin (re)commencer à Vivre.
]]>L'humanité faisant face à sa propre eschatologie rhétorique sur le plan esthétique idéologique (même, société de fourmis conditionneur de force liant) et matérialiste (impact par le retour du réel), et pour transcender tout ça, il faut se transcender soi-même !!! De l'individualisme au collectif, de la haine à l'amour et l'entraide, et de la compétition (vers le chaos) à outrance ou vers la coopération (vers l'harmonie). Une résonance évolutive en passant de l'un vers le collectif, de la goutte à l'océan....
]]>La question n'est pas de savoir si l'histoire du dérèglement climatique est instrumentalisé ou pas, car il l'est sans aucun doute instrumentalisé par les idiots utiles et cupide du profit capitalistique pervertis à la soldes des bourses, des taxes et des partie politiciennes verts (non vertueux !). Cela ne fait aucun doute, l'homme de pouvoir étant un con non responsable à la base et de par nature. Il s'agit d'une tautologie qui ne sert qu'à formater l'aspect émotionnelle et démagogique non rationnelle de l'ignorance plus approfondit du problème. Les cycles astronomiques de longue durée ont une impactes glacières majeur dans le cas et une situation du coinçage d'un continent stabilisé polaire, soit au sud ou au nord !!!!
Et vous oubliez de la science, car tous les scientifiques ne sont pas vertueux. Et la pression des pairs est très forte dans ce milieu pour que tous se conforment et suivent la ligne de parti, si je puis dire, sous peine de s'exposer au ridicule ou carrément de voir leur carrière compromise.
La question est juste de savoir que fessons-nous si cette histoire du dérèglement climatique était vrai !!!!
Que faisons-nous ? Tout d'abord, relativiser le tout, car comme toute autre discipline, la science est perfectible et ne détient aucune certitude absolue. Il ne sert à rien d'adopter une attitude alarmiste, car cela ne donnera jamais les résultats escomptés; cela peut même antagoniser les gens. Comme le dit le météorologue Gilles Brien dans son livre "Ce qu'on ne vous dit pas sur le changement climatique", le changement climatique est devenu une religion, ce n'est plus approché comme une science. Toujours selon lui, bien que le phénomène soit sérieux, il est faux de dire que c'est le plus grave problème qui nous guette. C'est la pollution qui l'est notamment. Selon l'OMS, la pollution tue davantage de personnes chaque année que les ouragans, tornades ou inondations réunis.
C'est une situation de bris d'équilibre qui vient (sans liens directe) se superposé a bien d'autre situation de bris d'équilibre, comme la pollution des sols, la perte de biodiversité, situation de crise économique systémique avec l'augmentation de l'endettement publique du au QE (perte de contrôle sur le financement des intérêt de la dette qui augmentera vers le blocage des population, comme la situation en France actuellement), démographique et ect…
Exactement. Tout comme la multiplication de la population, la déforestation, la présence accrue de mégalopoles qui créent des îlots de chaleur, la désertification, etc. C'est un ensemble de causes qu'il faut regarder, et non pas se concentrer uniquement sur l'un des éléments. Sinon, cela devient une fixation, voire une obsession dangereuse, qui est pire que le problème. Ça devient l'arbre qui empêche de voir la forêt. Il faut prendre une décision éclairée en tant que société, car le changement envisagé entraîne un énorme bouleversement de notre façon de vivre. Voilà pourquoi il est important de tenir compte de tous les points de vue, y compris les points de vue qui s'éloignent de la pensée dominante. Un consensus ne suffit pas; il faut qu'il y ait unanimité, sinon tout changement est voué à l'échec, ne serait-ce que par la résistance (active ou passive) qu'il ne manquera certainement pas de rencontrer. Il faut que les scientifiques redonnent à la science ses lettres de noblesse et descendent un peu de leur piédestal.
Lu et approuvé, comme on dit parfois !![]()
Merci à vous également d'apporter de l'eau au moulin en présentant les choses sous un éclairage différent de celui du courant de pensée dominant.
De rien.
Si l'Homme mérite de survivre, il finira par changer de mode de vie sous la pression des conditions environnantes et du manque croissant de certaines ressources.
Et il est probable que pour mériter de survivre, il lui faudra changer de point de vue sur la vie, sortir du matérialisme, écouter sa Conscience...
En d'autres termes, il lui faut tenir compte non seulement de la Matière, mais aussi de la Conscience et de l'Esprit.
Les cycles astronomiques de longue durée ont une impactes glacières majeur dans le cas et une situation du coinçage d'un continent stabilisé polaire, soit au sud ou au nord !!!!
Corrigé :
Les cycles astronomiques de longue durée ont un impacte glacière majeur dans le cas et une situation du coinçage d'un continent stabilisé en zone polaire, soit au sud ou au nord !!!!
]]>La question n'est pas de savoir si l'histoire du dérèglement climatique est instrumentalisé ou pas, car il l'est sans aucun doute instrumentalisé par les idiots utiles et cupide du profit capitalistique pervertis à la soldes des bourses, des taxes et des partie politiciennes verts (non vertueux !). Cela ne fait aucun doute, l'homme de pouvoir étant un con non responsable à la base et de par nature. Il s'agit d'une tautologie qui ne sert qu'à formater l'aspect émotionnelle et démagogique non rationnelle de l'ignorance plus approfondit du problème. Les cycles astronomiques de longue durée ont une impactes glacières majeur dans le cas et une situation du coinçage d'un continent stabilisé polaire, soit au sud ou au nord !!!!
Et vous oubliez de la science, car tous les scientifiques ne sont pas vertueux. Et la pression des pairs est très forte dans ce milieu pour que tous se conforment et suivent la ligne de parti, si je puis dire, sous peine de s'exposer au ridicule ou carrément de voir leur carrière compromise.
La question est juste de savoir que fessons-nous si cette histoire du dérèglement climatique était vrai !!!!
Que faisons-nous ? Tout d'abord, relativiser le tout, car comme toute autre discipline, la science est perfectible et ne détient aucune certitude absolue. Il ne sert à rien d'adopter une attitude alarmiste, car cela ne donnera jamais les résultats escomptés; cela peut même antagoniser les gens. Comme le dit le météorologue Gilles Brien dans son livre "Ce qu'on ne vous dit pas sur le changement climatique", le changement climatique est devenu une religion, ce n'est plus approché comme une science. Toujours selon lui, bien que le phénomène soit sérieux, il est faux de dire que c'est le plus grave problème qui nous guette. C'est la pollution qui l'est notamment. Selon l'OMS, la pollution tue davantage de personnes chaque année que les ouragans, tornades ou inondations réunis.
C'est une situation de bris d'équilibre qui vient (sans liens directe) se superposé a bien d'autre situation de bris d'équilibre, comme la pollution des sols, la perte de biodiversité, situation de crise économique systémique avec l'augmentation de l'endettement publique du au QE (perte de contrôle sur le financement des intérêt de la dette qui augmentera vers le blocage des population, comme la situation en France actuellement), démographique et ect…
Exactement. Tout comme la multiplication de la population, la déforestation, la présence accrue de mégalopoles qui créent des îlots de chaleur, la désertification, etc. C'est un ensemble de causes qu'il faut regarder, et non pas se concentrer uniquement sur l'un des éléments. Sinon, cela devient une fixation, voire une obsession dangereuse, qui est pire que le problème. Ça devient l'arbre qui empêche de voir la forêt. Il faut prendre une décision éclairée en tant que société, car le changement envisagé entraîne un énorme bouleversement de notre façon de vivre. Voilà pourquoi il est important de tenir compte de tous les points de vue, y compris les points de vue qui s'éloignent de la pensée dominante. Un consensus ne suffit pas; il faut qu'il y ait unanimité, sinon tout changement est voué à l'échec, ne serait-ce que par la résistance (active ou passive) qu'il ne manquera certainement pas de rencontrer. Il faut que les scientifiques redonnent à la science ses lettres de noblesse et descendent un peu de leur piédestal.
Lu et approuvé, comme on dit parfois !![]()
Merci à vous également d'apporter de l'eau au moulin en présentant les choses sous un éclairage différent de celui du courant de pensée dominant.
]]>Je suis d'accord !
Merci de vos arguments essentiels et d'avoir contribué à une discussion intelligente et constructive.
]]>Tab...? Tab quoi ? TabÉdith?
La question n'est pas de savoir si l'histoire du dérèglement climatique est instrumentalisé ou pas, car il l'est sans aucun doute instrumentalisé par les idiots utiles et cupide du profit capitalistique pervertis à la soldes des bourses, des taxes et des partie politiciennes verts (non vertueux !). Cela ne fait aucun doute, l'homme de pouvoir étant un con non responsable à la base et de par nature. Il s'agit d'une tautologie qui ne sert qu'à formater l'aspect émotionnelle et démagogique non rationnelle de l'ignorance plus approfondit du problème. Les cycles astronomiques de longue durée ont une impactes glacières majeur dans le cas et une situation du coinçage d'un continent stabilisé polaire, soit au sud ou au nord !!!!
Et vous oubliez de la science, car tous les scientifiques ne sont pas vertueux. Et la pression des pairs est très forte dans ce milieu pour que tous se conforment et suivent la ligne de parti, si je puis dire, sous peine de s'exposer au ridicule ou carrément de voir leur carrière compromise.
La question est juste de savoir que fessons-nous si cette histoire du dérèglement climatique était vrai !!!!
Que faisons-nous ? Tout d'abord, relativiser le tout, car comme toute autre discipline, la science est perfectible et ne détient aucune certitude absolue. Il ne sert à rien d'adopter une attitude alarmiste, car cela ne donnera jamais les résultats escomptés; cela peut même antagoniser les gens. Comme le dit le météorologue Gilles Brien dans son livre "Ce qu'on ne vous dit pas sur le changement climatique", le changement climatique est devenu une religion, ce n'est plus approché comme une science. Toujours selon lui, bien que le phénomène soit sérieux, il est faux de dire que c'est le plus grave problème qui nous guette. C'est la pollution qui l'est notamment. Selon l'OMS, la pollution tue davantage de personnes chaque année que les ouragans, tornades ou inondations réunis.
C'est une situation de bris d'équilibre qui vient (sans liens directe) se superposé a bien d'autre situation de bris d'équilibre, comme la pollution des sols, la perte de biodiversité, situation de crise économique systémique avec l'augmentation de l'endettement publique du au QE (perte de contrôle sur le financement des intérêt de la dette qui augmentera vers le blocage des population, comme la situation en France actuellement), démographique et ect…
Exactement. Tout comme la multiplication de la population, la déforestation, la présence accrue de mégalopoles qui créent des îlots de chaleur, la désertification, etc. C'est un ensemble de causes qu'il faut regarder, et non pas se concentrer uniquement sur l'un des éléments. Sinon, cela devient une fixation, voire une obsession dangereuse, qui est pire que le problème. Ça devient l'arbre qui empêche de voir la forêt. Il faut prendre une décision éclairée en tant que société, car le changement envisagé entraîne un énorme bouleversement de notre façon de vivre. Voilà pourquoi il est important de tenir compte de tous les points de vue, y compris les points de vue qui s'éloignent de la pensée dominante. Un consensus ne suffit pas; il faut qu'il y ait unanimité, sinon tout changement est voué à l'échec, ne serait-ce que par la résistance (active ou passive) qu'il ne manquera certainement pas de rencontrer. Il faut que les scientifiques redonnent à la science ses lettres de noblesse et descendent un peu de leur piédestal.
Lu et approuvé, comme on dit parfois !
La question n'est pas de savoir si l'histoire du dérèglement climatique est instrumentalisé ou pas, car il l'est sans aucun doute instrumentalisé par les idiots utiles et cupide du profit capitalistique pervertis à la soldes des bourses, des taxes et des partie politiciennes verts (non vertueux !). Cela ne fait aucun doute, l'homme de pouvoir étant un con non responsable à la base et de par nature. Il s'agit d'une tautologie qui ne sert qu'à formater l'aspect émotionnelle et démagogique non rationnelle de l'ignorance plus approfondit du problème. Les cycles astronomiques de longue durée ont une impactes glacières majeur dans le cas et une situation du coinçage d'un continent stabilisé polaire, soit au sud ou au nord !!!!
Et vous oubliez de la science, car tous les scientifiques ne sont pas vertueux. Et la pression des pairs est très forte dans ce milieu pour que tous se conforment et suivent la ligne de parti, si je puis dire, sous peine de s'exposer au ridicule ou carrément de voir leur carrière compromise.
La question est juste de savoir que fessons-nous si cette histoire du dérèglement climatique était vrai !!!!
Que faisons-nous ? Tout d'abord, relativiser le tout, car comme toute autre discipline, la science est perfectible et ne détient aucune certitude absolue. Il ne sert à rien d'adopter une attitude alarmiste, car cela ne donnera jamais les résultats escomptés; cela peut même antagoniser les gens. Comme le dit le météorologue Gilles Brien dans son livre "Ce qu'on ne vous dit pas sur le changement climatique", le changement climatique est devenu une religion, ce n'est plus approché comme une science. Toujours selon lui, bien que le phénomène soit sérieux, il est faux de dire que c'est le plus grave problème qui nous guette. C'est la pollution qui l'est notamment. Selon l'OMS, la pollution tue davantage de personnes chaque année que les ouragans, tornades ou inondations réunis.
C'est une situation de bris d'équilibre qui vient (sans liens directe) se superposé a bien d'autre situation de bris d'équilibre, comme la pollution des sols, la perte de biodiversité, situation de crise économique systémique avec l'augmentation de l'endettement publique du au QE (perte de contrôle sur le financement des intérêt de la dette qui augmentera vers le blocage des population, comme la situation en France actuellement), démographique et ect…
Exactement. Tout comme la multiplication de la population, la déforestation, la présence accrue de mégalopoles qui créent des îlots de chaleur, la désertification, etc. C'est un ensemble de causes qu'il faut regarder, et non pas se concentrer uniquement sur l'un des éléments. Sinon, cela devient une fixation, voire une obsession dangereuse, qui est pire que le problème. Ça devient l'arbre qui empêche de voir la forêt. Il faut prendre une décision éclairée en tant que société, car le changement envisagé entraîne un énorme bouleversement de notre façon de vivre. Voilà pourquoi il est important de tenir compte de tous les points de vue, y compris les points de vue qui s'éloignent de la pensée dominante. Un consensus ne suffit pas; il faut qu'il y ait unanimité, sinon tout changement est voué à l'échec, ne serait-ce que par la résistance (active ou passive) qu'il ne manquera certainement pas de rencontrer. Il faut que les scientifiques redonnent à la science ses lettres de noblesse et descendent un peu de leur piédestal.
]]>La question est juste de savoir que fessons-nous si cette histoire du dérèglement climatique était vrai !!!!
C'est une situation de bris d'équilibre qui vient (sans liens directe) se superposé a bien d'autre situation de bris d'équilibre, comme la pollution des sols, la perte de biodiversité, situation de crise économique systémique avec l'augmentation de l'endettement publique du au QE (perte de contrôle sur le financement des intérêt de la dette qui augmentera vers le blocage des population, comme la situation en France actuellement), démographique et ect...
]]>Voici les déclarations, lors du "climategate" survenu en 2009, de Mike Hulme (que l'on ne peut certainement pas accuser d'être un climatosceptique ou d'être à a solde des pétrolières) :
De son côté, Mike Hulme, ancien directeur-fondateur du Centre de Recherche Tyndall du Royaume-Uni, et au moment des faits professeur de changement climatique à l'Université d'East Anglia, estime que l'incident révèle une fracture entre le monde scientifique et le grand public :
« Cet événement pourrait être le signal d'une fracture qui permet d'amorcer une restructuration de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Il est possible que certains domaines de la climatologie se soient sclérosés. Il est possible que la climatologie soit devenue trop partisane, trop centralisée. L'aspect tribal de quelques-uns des courriels résultant de la fuite, montre quelque chose qui est plus habituellement associé avec une organisation sociale au sein de cultures primitives. Il n'est pas plaisant de découvrir que ces pratiques ont cours au sein même de la science. »
[/i]
Mike Hulme évoque également une possible fin du GIEC, porteur d'une politisation de la climatologie et favorisant les dérives autoritaires au sein de la science.
« Il est aussi possible que l'innovation institutionnelle qu'a été le GIEC a fait son temps. Oui il y aura un AR5 mais dans quel but ? Le GIEC lui-même, à travers sa tendance structurelle à politiser la science du changement climatique, a peut-être aidé à faire naitre une forme plus autoritaire et intolérante de production de la connaissance – au moment même où la mondialisation et la culture cosmopolite télécommunicante demande à la science quelques chose de plus ouvert et inclusif. »En d'autres termes, le dogme ne souffre aucune contestation et ostracise ceux qui osent le remettre en question. C'est là où je décroche complètement et que je flaire l'arnaque.
Surtout quand l'affaire est grandement propulsée par l'ONU et son agenda 2030, la plupart des gouvernements et la très grande majorité des médias mainstream, avec une taxe carbone qui a largement favorisé financièrement un des ses ardants promoteurs initiaux, à savoir Al Gore.
La science est devenue corrompue par la politique et la finance, au point qu'il est de plus en plus difficile de trouver des scientifiques impartiaux ayant encore avant tout l'esprit scientifique. Dans le cas du climat, la vérité, qu'elle dérange ou pas, est probablement située quelque part entre, d'une part, les tricheurs du GIEC et des multinationales liées à l'industrie électrique ou nucléaire (déjà pris en flagrant délit, notamment avec la prétendue courbe en forme de crosse de hockey et l'Affaire des courriels fuités) et les promoteurs du réchauffement climatique anthropique et, d'autre part, les tricheurs affiliés à quelques multinationales pétrolières. Dans ces deux extrêmes, on peut considérer sans grand risque de se tromper que les recherches, études et publications sont biaisées. Vers le centre, se tiennent peut-être encore quelques scientifiques indépendants ou à la retraite diffusant des informations autrement plus fiables, mais peu ébruitées.
]]>Voici les déclarations, lors du "climategate" survenu en 2009, de Mike Hulme (que l'on ne peut certainement pas accuser d'être un climatosceptique ou d'être à la solde des pétrolières) :
De son côté, Mike Hulme, ancien directeur-fondateur du Centre de Recherche Tyndall du Royaume-Uni, et au moment des faits professeur de changement climatique à l'Université d'East Anglia, estime que l'incident révèle une fracture entre le monde scientifique et le grand public :
« Cet événement pourrait être le signal d'une fracture qui permet d'amorcer une restructuration de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Il est possible que certains domaines de la climatologie se soient sclérosés. Il est possible que la climatologie soit devenue trop partisane, trop centralisée. L'aspect tribal de quelques-uns des courriels résultant de la fuite, montre quelque chose qui est plus habituellement associé avec une organisation sociale au sein de cultures primitives. Il n'est pas plaisant de découvrir que ces pratiques ont cours au sein même de la science. »
Mike Hulme évoque également une possible fin du GIEC, porteur d'une politisation de la climatologie et favorisant les dérives autoritaires au sein de la science.
« Il est aussi possible que l'innovation institutionnelle qu'a été le GIEC a fait son temps. Oui il y aura un AR5 mais dans quel but ? Le GIEC lui-même, à travers sa tendance structurelle à politiser la science du changement climatique, a peut-être aidé à faire naitre une forme plus autoritaire et intolérante de production de la connaissance – au moment même où la mondialisation et la culture cosmopolite télécommunicante demande à la science quelques chose de plus ouvert et inclusif. »
En d'autres termes, le dogme ne souffre aucune contestation et ostracise ceux qui osent le remettre en question. C'est là où je décroche complètement et que je flaire l'arnaque.
Surtout quand l'affaire est grandement propulsée par l'ONU et son agenda 2030, la plupart des gouvernements et la très grande majorité des médias mainstream, avec une taxe carbone qui a largement favorisé financièrement un des ses ardants promoteurs initiaux, à savoir Al Gore.
La science est devenue corrompue par la politique et la finance, au point qu'il est de plus en plus difficile de trouver des scientifiques impartiaux ayant encore avant tout l'esprit scientifique. Dans le cas du climat, la vérité, qu'elle dérange ou pas, est probablement située quelque part entre, d'une part, les tricheurs du GIEC et des multinationales liées à l'industrie électrique ou nucléaire (déjà pris en flagrant délit, notamment avec la prétendue courbe en forme de crosse de hockey et l'Affaire des courriels fuités) et, d'autre part, les promoteurs du réchauffement climatique anthropique et les tricheurs affiliés à quelques multinationales pétrolières. Dans ces deux extrêmes, on peut considérer sans grand risque de se tromper que les recherches, études et publications sont biaisées. Vers le centre, se tiennent peut-être encore quelques scientifiques indépendants ou à la retraite diffusant des informations autrement plus fiables, mais peu ébruitées.
]]>De son côté, Mike Hulme, ancien directeur-fondateur du Centre de Recherche Tyndall du Royaume-Uni, et au moment des faits professeur de changement climatique à l'Université d'East Anglia, estime que l'incident révèle une fracture entre le monde scientifique et le grand public :
« Cet événement pourrait être le signal d'une fracture qui permet d'amorcer une restructuration de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Il est possible que certains domaines de la climatologie se soient sclérosés. Il est possible que la climatologie soit devenue trop partisane, trop centralisée. L'aspect tribal de quelques-uns des courriels résultant de la fuite, montre quelque chose qui est plus habituellement associé avec une organisation sociale au sein de cultures primitives. Il n'est pas plaisant de découvrir que ces pratiques ont cours au sein même de la science. »
Mike Hulme évoque également une possible fin du GIEC, porteur d'une politisation de la climatologie et favorisant les dérives autoritaires au sein de la science.
« Il est aussi possible que l'innovation institutionnelle qu'a été le GIEC a fait son temps. Oui il y aura un AR5 mais dans quel but ? Le GIEC lui-même, à travers sa tendance structurelle à politiser la science du changement climatique, a peut-être aidé à faire naitre une forme plus autoritaire et intolérante de production de la connaissance – au moment même où la mondialisation et la culture cosmopolite télécommunicante demande à la science quelques chose de plus ouvert et inclusif. »
En d'autres termes, le dogme ne souffre aucune contestation et ostracise ceux qui osent le remettre en question. C'est là où je décroche complètement et que je flaire l'arnaque.
]]>Pour avoir des nuages qui refroidissent l'atmosphère il faut avoir plus de particules cosmique créant des zones de condensation, n'est-ce-pas ? Mais depuis 1997 nous traversons des cycles solaire extrêmement bas, projetant moins de particule (vent solaire = une grande partie du rayonnement cosmique + rayonnement interstellaire et galactique). Une période de maximum est supposé nous protéger du rayonnement cosmique, le cocon du champs magnétique solaire enveloppent et protégeant la terre en déviant les particule chargées, mais depuis 1997 les cycles sont très bas et les températures très haute.
L'hypothèse de Swensmark est invalidé depuis 2003 à cause de la poursuite de la hausse des anomalies de température avec le passage du pique relié au maximum du cycle 23, qui était supposé amorcer le début des baisses de températures, mais hélas elles sont continué leur courbes vers le haut.
Jette un coût d’œil sur le graphique de mon site, tout ceci y est bien expliqué.
]]>Je serais d'accord avec toi si l'on me présentait le cycle solaire en question ! Le décrypter pour mieux le comprendre me ferais un très grand plaisir !
Voici un article de Wikipedia qui traite de la corrélation entre le nombre de taches solaires et la température : Minimum de Maunder
Je vous invite à examiner particulièrement les graphiques qui y figurent. À certaines époques, il y a eu des crêtes, à d'autres, des creux. Et ce fut assez abrupt comme chute et comme remontée lors du minimum de Maunder, qui a eu lieu entre 1645 et 1715. Croyez-vous que le facteur CO2 ait pu avoir une quelconque incidence dans ce phénomène à cette époque (voire même aux époques antérieures?)
À l'époque actuelle, nous sommes dans une période de maximum, d'où les températures plus élevées enregistrées. À vous de voir...
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