Religion et santé mentale
Dans La Presse et Le Nouvelliste de ce lundi on parle d'enquêtes sur le sujet.
Je vais me contenter de dire que le Dr. Turcotte venait d'une famille dite "très catholique"... C'est ce qui a été dit dans les média à propos de sa famille et des valeurs qu'il aurait reçues de celle-ci.
Alors, ces enquêtes, dans un sens ou dans l'autre, ça vaut ce que ça vaut : pas grand chose tellement c'est superficiel et incomplet !
Le Nouvelliste : vendredi 31/7/15
Section opinion
De Normand Leclers
Trois-Rivières
La religion: bonne pour la santé mentale?
Rien n'est plus inutile qu'un article d'opinion sur la religion. Les gens qui ne croient pas n'en croiront pas moins et les croyants continueront à croire; ils sont imperméables à la raison. Mais comme une seule personne peut être à la limite de la croyance et de l'incroyance, peut-être est-il utile, pour cette personne, de prendre quelques instants pour réfléchir à la question.
Un aspect que l'article La religion, c'est bon pour la santé mentale passe sous silence est celui-ci: quel est le premier critère de la santé mentale? Pour les spécialistes de cette discipline, la réponse est simple: être en contact avec la réalité. La religion met-elle en contact avec la réalité? Elle nie l'univers au profit du royaume de Dieu et le corps pour privilégier l'esprit.
Une suggestion. Aux prochains scientifiques qui feront une recherche pour déterminer si la religion est bonne pour la santé mentale, je suggère d'étudier le sujet en parallèle avec l'effet placebo. Alors, avons-nous le choix de croire ou pas? D'être des «homo crédulus» ou des «homo sapiens»? Qu'est-ce qui sera source de bonheur: la crédulité ou la connaissance?
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Les infos se recoupent entre le texte et le vidéo, c'est bon signe concernant leur pertinence et leur validité !
Oui, ça se recoupe en effet.
Ça confirme mes appréhension concernant la troïka économique du Gouvernement Couillard tel que présentée pendant la dernière campagne électorale : elle est issue des banques !
Souvenons-nous aussi que la grande hantise de Madame Marois, lorsqu'elle était au pouvoir, était que le Québec soit décoté par les agences de notation. Je pense que ça en dit long sur l'identité des véritables décideurs politiques et sur leurs priorités !
Ça rend la démarche de Rocco Galati encore plus névralgique et déterminante.
Oui, en voilà au moins un qui semble imperméable à toute corruption et qui se bat pour que justice soit rendue, dans ce qui est peut-être la plus grande arnaque des temps modernes, à savoir la création de fausse monnaie prêtée avec intérêt par des banques privées sans scrupules.
]]>Par exemple, même si les Français ont voté contre cette entente, ils doivent verser chaque année plus de 110 $ milliards aux banques privées.
Je trouve ce montant douteux... erreur de frappe ou mal exprimé ? Mais c'est tel quel dans le quotidien.
Je complète en écoutant le billet de Java sur le sujet.
Bonne réflexion !
Déjà en 2010, la Grèce était en difficulté de paiement. Pour sauver la situation, le gouvernement d'alors a accepté un nouveau prêt de centaines de milliards d'euros, augmentant ainsi de façon drastique la dette du pays. Plutôt que de laisser la Grèce en défaut de paiement, ce qui aurait été moins dommageable, les leaders européens connaissant très bien la situation ont choisi d'avancer un nouveau prêt, ce qui a eu pour effet d'accentuer encore plus la crise...
Malheureusement, ce nouveau prêt a servi principalement au remboursement des banques. En échange, les Grecs ont dû consentir à certains sacrifices : réduction des salaires, des pensions, des budgets en santé, en éducation et des services publics, augmentation des impôts (pas celui des riches évidemment) et élimination de milliers de postes de travail.
Ces politiques d'austérité ont provoqué une baisse du PIB de plus de 25 %, le chômage chez les jeunes dépasse 60 % entraînant des souffrances inacceptables pour la population, ce qui a entraîné de nombreux suicides chaque jour. Il est évident que l'application de cette politique rend encore plus improbable le remboursement de la dette. D'ailleurs, les Allemands devraient se souvenir que suite au dommage de guerre subi par la Grèce, celle-ci avait cancellé 50 % de leur dette pour permettre à l'Allemagne de rabâtir son économie.
Si on recule encore un peu jusqu'en 2004, on constate que le gouvernement d'Athènes a investi énormément dans les Jeux Olympiques, générant ainsi un endettement qui sera aggravé par la crise financière de 2008, crise qui provient encore une fois des banques comme ça été le cas pour les banques américaines qui savaient dès le départ que les prêts hypothécaires accordés aux familles étaient insolvables. Comment expliquer qu'un gouvernement puisse poser de tels gestes au détriment de sa population ?
On peut comprendre en lisant le rapport de Transparence Internationale de 2010 sur la Grèce qui nous révèle que 837 millions de dollars ont été versés en pot de vin, tandis qu'en 2009, la somme était de 1,09 milliard. Des chiffres semblables sont signalés pour les années 2011-2012. Cet organisme évalue à 167 milliards de dollars les pertes dues à la corruption et à l'évasion fiscale au cours de la première décennie de 2000.
En apprenant ces faits, il est facile de comprendre que la dette de la Grèce n'est pas légitime. Plusieurs pays d'ailleurs ayant vécu une situation similaire ont refusé de payer de pareilles dettes. La formule est bien connue : un gouvernement (stimulé par les pots de vin ou une idéologie de droite) s'endette puis fait appel au Fonds Monétaire International(FMI) qui avance les fonds pour rembourser les banques à condition de couper les services publics et de continuer les privatisations.
Le FMI, la Banque Mondiale et la Commission Européenne (la troïka) ont déjà exigé des sacrifices énormes du peuple grec, par exemple une taxe de 13 % sur les produits alimentaires qui est encore augmenté à 23 %, même approche pour les médicaments, les retraites ont été coupées de plus de 40 % et la troïka voudrait qu'elles soient encore diminuées !
Parallèlement, on mène une campagne de désinformation. On dira que les Grecs sont paresseux, que les gens prennent leur pension entre 53 et 57 ans en moyenne alors que c'est faux. En effet, un rapport statistique de l'Union européenne nous apprend que les Grecs prennent leur retraite un an plus tard que la moyenne européenne. Pour justifier la diminution des pensions, les médias affirmaient qu'elles étaient beaucoup trop généreuses alors qu'elles représentaient environ la moitié de celle de la France et de l'Autriche, et un quart comparé à l'Allemagne !
Bien sûr, on aura compris que les politiques du FMI ne proposent jamais de taxer les plus fortunés ; au contraire, il faut rembourser les banques et ajouter ainsi encore plus au patrimoine du 1 % des gens riches qui possèdent déjà plus de 50 % de toutes les richesses mondiales comme nous l'apprenait un récent rapport d'OXFAM.
On peut se demander pourquoi la troïka est aussi intransigeante, car il est évident que cette dette n'est pas remboursable et que le gouvernement grec a déjà cédé sur la plupart des demandes qui lui ont été faites lors des négociations. La réponse est simple : ce ne sont plus les gouvernements qui décident des lois les plus profitables pour leur population, aujourd'hui ce sont les individus qui font partie du 1 % les plus riches qui mènent le bal.
Aussi, comme il y aura des élections cet automne en Espagne et au Portugal, alors il faut que les électeurs comprennent ce qui attend ceux qui résisteront aux politiques d'austérité. Le message est clair : si les peuples choisissent un programme social combattant les inégalités favorisant ainsi 99 % des citoyens, ils subiront le même sort que la Grèce... Malheureusement, sous haute pression, le nouveau gouvernement grec a dû trahir le programme pour lequel il avait été élu.
Les infos se recoupent entre le texte et le vidéo, c'est bon signe concernant leur pertinence et leur validité !
Ça confirme mes appréhension concernant la troïka économique du Gouvernement Couillard tel que présentée pendant la dernière campagne électorale : elle est issue des banques !
Ça rend la démarche de Rocco Galati encore plus névralgique et déterminante.
]]>Il ne faut pas oblier que l'Homme est le maitre d'œuvre de tout cela. De très grand homme de l'ombre contrôle l'économie. Un jour tout ces grands personnages de l'histoire devront recevoir la vibration de l'ombre en réconpense de leurs actions.
C'est quand même extraordinaire de savoir comment sa marche et de voir autant de complice pour exploiter le peuple de tout les pays du monde. L'Homme a peu être dépasser le beau diable et veut prendre la place du beau diable, en terme de possession du monde. Ce sont les meilleurs.
Salut panthère58
Fernand
]]>Lettre d'opinion de Pierre Lavergne de Trois-Rivières.
Parfois, la lettre paraît le surlendemain dans le site virtuel du quotidien. Je vais donc taper que le début, environ 25% du contenu. Je complèterai demain d'une façon ou d'une autre. (avec le lien sur le net ou à mitaine)
L'information me semble pertinente mais je n'ai pas validé. Faites preuve de jugement et de discernement. Et si vous êtes en mesure de valider l'info de ce particulier, vous êtes le bienvenu !
Je pense que les agriculteurs du Québec/Kébek ont raison de manifester leurs inquiétudes devant Denis Lebel.
La situation de la Grèce est complexe, mais on peut tout de même tenter d'en comprendre certains éléments. Le traité de Maastricht de l'Union Européenne et l'article 104 est l'une des causes de la crise actuelle. Celui-ci stipule que les états ne peuvent plus emprunter sans intérêt de leur banque centrale suite à la signature du traité, comme c'était le cas auparavant. Ainsi les banques privées sont devenues les seules autorisées à effectuer les prêts avec cependant un intérêt à payer par les gouvernements.
Comme pour la plupart des traités, cet article a été décidé en coulisse... Facile à comprendre : auparavant les banques centrales nationales qui sont des institutions publiques dans chaque pays prêtaient à leur gouvernement sans intérêt et ces gouvernements contrôlaient leur monnaie. Maintenant, les banques centrales des pays membres de l'Union Européenne prêtent le plus souvent à un taux de 1 % aux banques privées et celles-ci prêtent aux gouvernements à des taux qui peuvent atteindre plus de 18 % lorsque la situation se détériore. Par exemple, même si les Français ont voté contre cette entente, ils doivent verser chaque année plus de 110 $ milliards aux banques privées.
En appliquant l'article 104 à l'ensemble des pays membres, les banques retirent des sommes colossales de l'économie réelle en les transférant le plus souvent dans les paradis fiscaux créant ainsi la crise pour l'Europe toute entière. La Grèce est sur la ligne de front de cette arnaque et le peuple grec a tenté de la refuser.
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Religion et santé mentale
Dans La Presse et Le Nouvelliste de ce lundi on parle d'enquêtes sur le sujet.
Je vais me contenter de dire que le Dr. Turcotte venait d'une famille dite "très catholique"... C'est ce qui a été dit dans les média à propos de sa famille et des valeurs qu'il aurait reçues de celle-ci.
Alors, ces enquêtes, dans un sens ou dans l'autre, ça vaut ce que ça vaut : pas grand chose tellement c'est superficiel et incomplet !
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