Northvolt l'histoire d'amour se poursuit...

par Jeromec, mardi 07 mai 2024, 11:21 (il y a 555 jours)

Malgré plusieurs incidents isolés, le PDG De Northvolt, la super transparente compagnie, nous assure que plus que jamais la population est derrière le projet... malgré les études environnementales absentes ainsi que les contrat$ généreusement bien CARVIARDé$, avec les généreuses subventions c'est un peu ''normal'' de bien CAVIARDer$ les études et les contrats

Blague à part, je déplore tout acte de vandalisme, mais la Force est de constaster que tous ne partagent pas cette philosophie ZEN...

Quel bonheur auront nous d'Avoir cette sympathique usine de piles électriques, et de refiler la facture au contribuables ainsi que pour l'ajout d'infrasctrutures autour et l'importation de milliers de travailleurs étrangers pendant que l'on n'arrive même pas à combler les postes vacants actuels...

Joyeux Noël à tous les gens de la Montérgéie... profitez bien du Mont St-Hilaire avant que la CAQ ne la vende à rabais à des promotteurs immobiliers dans des contrats aussi secret$ que subventionnés...;0)

https://www.journaldemontreal.com/2024/05/07/de-lecosabotage-qui-sapproche-de-lecoterro...

andalisme chez Northvolt: de l’«écosabotage» qui s’approche de l’«écoterrorisme»
Northvolt
Des engins incendiaires ont été trouvés sur le site où se déroulent les travaux pour construire la controversée usine de Northvolt, en Montérégie. Photo Le Journal de Montréal
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Clara Loiseau

Mardi, 7 mai 2024 00:00

MISE À JOUR Mardi, 7 mai 2024 00:00

Les objets incendiaires retrouvés sur le site de la future usine de batterie de Northvolt durant la fin de semaine pourraient s’apparenter à un acte d’«écoterrorisme» si le but était de détruire des biens, selon un expert.

• À lire aussi: Des objets incendiaires placés sur les pneus de certains équipements du site de Northvolt: «C'est une poignée d'irresponsables»

«L’écoterrorisme, c’est le plus souvent de la destruction de biens ou d’infrastructures dans le but de protéger l’environnement et d’empêcher sa dégradation et sa destruction. Les gens qui font cela veulent protéger l’environnement», explique John Gilmour, de l’Institut canadien des affaires mondiales.

Hier matin, des objets incendiaires ont été découverts sur les pneus de certaines machineries du site, a dénoncé le président-directeur général de Northvolt Amérique du Nord, Paolo Cerruti, en conférence de presse. Toutefois, les dispositifs de déclenchement n’ont pas fonctionné, ce qui laisse croire que l’objectif était de faire peur, ajoute M. Cerruti.
Une invention?

Pour Francis Dupuis-Déry, ces actes s’apparentent plus à du «sabotage» ou du «vandalisme».

«Le mot “terrorisme” a de graves implications, et le mot “ecoterrorisme” est une invention des services de police et de renseignement, pour disqualifier des actes plutôt simples de vandalisme ou de sabotage, très peu “violents” si on les compare à d’autres formes de violence politique», indique-t-il par courriel.

Les gestes commis contre le projet de Northvolt se définissent comme de l’ « écosabotage », vue l’absence de violence et de victimes humaines.

John Gilmour abonde dans le même sens et rappelle que le terme «terrorisme» permet de jeter une connotation négative. Toutefois, si les dispositifs de déclenchement avaient été fonctionnels, cela aurait alors pu être considéré comme de l’écoterrorisme, estime pour sa part M. Gilmour.

«Et s’ils avaient eu comme objectif de blesser ou de tuer des gens, ça aurait été un gros changement de cap très inhabituel, car dans 95 % des cas les groupes environnementaux ne s’attaquent qu’aux biens et infrastructures», poursuit-il, rappelant qu’il faudra attendre la conclusion de l’enquête pour connaître les réels motifs.
Quatrième fois

Ce n’est pas la première fois que le site, actuellement en construction, est ciblé par des citoyens ou groupes. Plusieurs actes d’«écosabotage» ont déjà eu lieu, notamment lorsque des opposants au projet ont inséré des barres d’aciers et des clous dans plusieurs centaines d’arbres, les rendant dangereux à couper sans mettre en danger la machinerie ou leurs opérateurs. Ils devaient avoir être découpés pour avoir une deuxième vie.

– Avec Chrystian Viens et Yves Lévesque
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