Legault est le pire premier ministre dans l’histoire du QC
LE PM provincial maintenant le plus détesté au pays, le nombre de faillites c'Est au Québec, la plus longue grève des écoles de tous les temps, etc, etc...
LE PM du Québec est devenu un des plus détesté et méprisé de l'histoire de la Poubelle Province... mais soyons confiant que ça peut être encore pire....
Legault est le pire premier ministre dans l’histoire du Québec! lance Luc Lavoie
https://www.youtube.com/watch?v=I5kvqznp78U
Et il va s'assurer que l'élite de Mc Gill sacre son camp de la province pour fuir la CAQ et éviter d'apprendre le français...
est-il encore apte à gérer la province, plusieurs en doute.... peu sont nombreux pour le défendre....
https://ameqenligne.com/article/education/niveau/universitaire/1/1057647/l-universite-m...
UNIVERSITÉ MCGILL
L'Université McGill demande au premier ministre François Legault de revenir sur sa décision, invoquant les effets dévastateurs des mesures annoncées sur le Québec et sur l'Université
18 décembre 2023
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L'Université McGill presse le premier ministre François Legault d'annuler immédiatement les mesures gouvernementales annoncées le 14 décembre et de revenir à la case départ.
« Ces mesures sont inacceptables. Elles sont incohérentes, ne reposent sur aucune donnée et ne permettront pas d'atteindre les objectifs du gouvernement. Plus important encore, elles auront un effet profondément dévastateur sur l'économie et les universités du Québec. En résumé, elles nuisent à la population québécoise », soutient Deep Saini, recteur et vice-chancelier de l'Université McGill.
La nouvelle politique des droits de scolarité et la cible inatteignable fixée en matière de francisation entraîneront une chute marquée et sans précédent des inscriptions, chute qui pourrait compromettre l'avenir même de l'Université McGill. Elles nuiront à la réputation mondiale de Montréal en tant que ville universitaire et mettront à mal le bassin de talents hautement qualifiés, en plus d'avoir des répercussions immédiates et durables sur l'économie québécoise.
« La ministre et, au bout du compte, le gouvernement doivent veiller à ce que tout le secteur universitaire se porte bien. Il est presque inconcevable qu'ils mettent en place des mesures qui vont faire un tort immense à certaines universités, tout comme au Québec. »
« Et ces mesures ne sont absolument pas nécessaires. Il y a moyen de revitaliser l'ensemble des universités pour stimuler l'innovation et la croissance économique, et accueillir le talent à bras ouverts dans toutes les régions du Québec, tout en protégeant et en promouvant le français, affirme Deep Saini. Nous pouvons travailler ensemble pour épauler les universités qui éprouvent des difficultés sans pour autant affaiblir les autres. »
« Nous exhortons le gouvernement à collaborer avec les universités et à prendre le temps qu'il faut pour recueillir des données, les analyser et consulter les parties prenantes. La ministre a contourné le processus de consultation auquel son ministère avait lui-même convié toutes les universités, et elle n'a fait connaître aucune des données factuelles à l'appui de ses décisions. »
Francisation
Selon la cible annoncée par le gouvernement, 80 % des étudiantes et étudiants au premier cycle provenant de l'extérieur du Québec devront avoir atteint un niveau intermédiaire de compétence en français au moment de l'obtention de leur diplôme. Cette mesure s'appliquera à la cohorte étudiante qui entreprendra sa formation en 2025.
« L'Université McGill appuie activement le gouvernement dans son désir de protéger et de promouvoir le français. Toutefois, cette cible est inatteignable tant sur le plan académique que technique et ne fera que dissuader les étudiantes et étudiants de venir au Québec », ajoute Deep Saini.
Une étudiante ou un étudiant qui n'a aucune connaissance du français aura besoin de l'équivalent d'une session complète de cours pour acquérir une maîtrise intermédiaire de la langue. Se voyant dans l'obligation de prolonger leur formation d'une session pour obtenir leur diplôme, les étudiantes et étudiants choisiront en majorité de faire leur formation ailleurs.
La nouvelle cible en matière de francisation est utopique et aura une double incidence sur le recrutement : les étudiantes et étudiants des autres provinces canadiennes ne choisiront pas le Québec, parce que les droits de scolarité pour la plupart des programmes y seront plus élevés que partout ailleurs au pays, et parce qu'ils devront investir davantage en temps et en argent pour obtenir leur diplôme.
Droits de scolarité des étudiantes et étudiants internationaux
Le 13 octobre dernier, la ministre a annoncé sa décision de modifier le modèle de droits de scolarité s'appliquant à la population étudiante internationale, ce qui, dans les faits, se traduit par une taxe d'environ 5 000 $ par personne venue de l'étranger, taxe qui retournera dans les coffres du gouvernement. Aujourd'hui, le gouvernement a confirmé le maintien de cette politique.
« En imposant une cible malavisée en matière de francisation, le gouvernement fait sérieusement obstacle au recrutement d'étudiantes et d'étudiants internationaux, à tel point qu'il ne parviendra tout simplement pas à amasser la majeure partie des sommes escomptées », souligne Deep Saini.
« Le Québec est une destination universitaire prisée dans le monde; nous devrions plutôt travailler ensemble pour tirer parti de cet atout afin d'attirer davantage d'étudiantes et d'étudiants internationaux dans toutes les universités du Québec. Ces nouveaux talents et ces nouvelles ressources financières viendraient enrichir notre société, renforcer notre économie et pallier la grave pénurie de main-d'œuvre avec laquelle doivent composer les employeurs. »
Droits de scolarité des étudiantes et étudiants canadiens de l'extérieur du Québec
Parallèlement, les étudiantes et étudiants canadiens de l'extérieur du Québec devront verser 12 000 $ en droits de scolarité pour suivre une formation dans une université québécoise, un montant plus élevé pour la plupart des programmes que dans n'importe quelle autre université canadienne. Plusieurs n'auront simplement pas les moyens de venir au Québec. À titre d'exemple, une personne inscrite en arts, en sciences, en musique ou en sciences de l'éducation dans une université du Québec paiera sa formation environ deux fois plus cher que si elle avait opté pour l'Université de Toronto ou l'Université de la Colombie Britannique.
Répercussions
Avant même l'annonce d'aujourd'hui, l'Université McGill avait observé une baisse de 20 %, par rapport à la même période l'an dernier, des demandes d'admission provenant d'étudiantes et d'étudiants canadiens de l'extérieur du Québec. Comme la population étudiante hors Québec a jusqu'en janvier pour soumettre sa demande d'admission, ces mesures ne feront qu'accentuer le déclin.
Étant donné que la nouvelle cible gouvernementale en matière de francisation est impossible à atteindre, la population étudiante internationale va assurément diminuer. L'Université McGill s'attend à ce que les répercussions financières dépassent les 94 millions de dollars initialement estimés.
En outre, les mesures annoncées priveront le Québec d'un vaste bassin de travailleuses et travailleurs qualifiés pendant des années, au moment même où la province est aux prises avec une importante pénurie de main-d'œuvre; c'est d'ailleurs un argument qu'ont récemment fait valoir de nombreux ténors du milieu des affaires, en désaccord avec ces mesures.
Comme les étudiantes et étudiants de l'extérieur du Québec seront moins nombreux à fréquenter nos universités, l'économie montréalaise ne tardera pas à s'en ressentir, que ce soit sur le plan de la restauration, du divertissement ou de l'achat dans des commerces locaux. Rappelons qu'une étude réalisée par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain indique qu'en 2019-2020, ces étudiantes et étudiants ont injecté 427 millions de dollars dans le PIB du Québec, et cette somme ne comprend pas les droits de scolarité.
Une solution réaliste
Les trois universités de langue anglaise ont soumis plusieurs propositions au gouvernement, lesquelles comprennent des mesures concrètes et réalistes pour aider la population étudiante non francophone au premier cycle à apprendre le français et à s'intégrer à la société québécoise. La plus récente proposition a été rendue publique le 9 décembre dernier.
« J'exhorte le premier ministre Legault à examiner sérieusement les propositions soumises par les universités de langue anglaise. Il faut trouver une solution qui permettra au Québec de protéger et de promouvoir la langue française, sans nuire à l'économie et aux universités.»
« Nous sommes disposés à collaborer avec le gouvernement et avec les autres universités pour en arriver à des modalités avantageuses pour tous les établissements universitaires, comme pour la société québécoise et l'économie du Québec », conclut Deep Saini.
Legault confiant quant à un retour Lundi (grève)
Nous sommes LUNDI et les écoles sont toujours en grève... la plus longue grève des écoles de toute l'histoire du Kébec, bravo.. .le chauchemar c'est de se réveiller en sâchant quelles folies il va faire de plus pour aggraver les problèmes...
https://www.journaldequebec.com/2023/12/13/greve-generale-illimitee--legault-confiant-d...
Grève générale illimitée: Legault confiant quant à un retour en classe lundi
Quebec
PATRICK BELLEROSE
Mercredi, 13 décembre 2023 09:58
MISE À JOUR Mercredi, 13 décembre 2023 09:58
Le premier ministre, François Legault, estime qu’une entente est toute proche avec les enseignants en grève générale illimitée pour une 15e journée. Un espoir toutefois rapidement refroidi par leur syndicat.
«Ça va bien, très bien, les négociations avec les enseignants. On se parle de la lourdeur de la tâche, de comment on peut ajouter des gens dans les classes. Ça va très bien. Puis moi, j'ai bon espoir que tous les enfants vont retourner à l'école dès le lundi qui vient», a déclaré François Legault, mercredi, tout juste avant d’entrer au Conseil des ministres.
Quelque 65 000 enseignants de la Fédération autonome de l’enseignement sont présentement en grève générale illimitée, un conflit qui force la fermeture d’environ 40% des écoles du Québec depuis trois semaines.
La FAE a d'ailleurs rapidement rejeté les prétentions du premier ministre. «Contrairement à ce que dit François Legault, les nouvelles à la table ne sont pas encourageantes. Le gouvernement souffle le chaud et le froid. Il nous promet de l'ouverture, pour ensuite refermer la porte aussitôt. La stratégie du gouvernement est clairement de diviser le mouvement et d'épuiser les profs», a commenté le syndicat peu après sur Instagram.
«Ne montez pas dans les montagnes russes de François Legault. Restez debout, droits, fiers et solidaires», a ajouté la FAE.
Réaliste, mais...
La présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, a également démontré un optimisme plus modéré que M. Legault.
Une entente avec la FAE d’ici la fin de la semaine est «réaliste», mais beaucoup de travail reste à faire, souligne celle qui est chargée de mener les négociations pour la partie patronale.
«Donc je pense que la remarque du premier ministre était dans l'espoir qu'on puisse y arriver, parce que la possibilité réelle qu'on y arrive existe», a commenté Mme LeBel.
Quant au Front commun, toujours en grève jusqu’à jeudi, Sonia LeBel estime qu’un accord serait plutôt possible d’ici Noël.
La FAE ne semble pas tout à fait sur la même longueur d'onde que papa Legault... Écoutez le résumé d' Alexandre Dubé, disponible en balado ou en audiovisuel via la plateforme audio de QUB radio:
La FAE corrige Legault : peu de chances d’être de retour en classe lundi
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Plus difficile en santé
Dans le secteur de la santé, toutefois, les négociations sont plus compliquées, déplore le gouvernement Legault.
«Il n’y a à peu près aucune ouverture à nous donner la flexibilité qui est absolument nécessaire pour améliorer les services en santé. Donc, de ce côté-là, je pense que ça va aller plutôt en janvier», a déclaré le premier ministre.
Sonia LeBel reconnaît que les travaux sont plus ardus avec la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), dont elle juge que les demandes sont «irréalistes».
Les revendications de la FIQ font en sorte que Québec devrait ajouter «des milliers et des milliers d'employés dans le domaine de la santé», dénonce-t-elle.
Si la grève devait se poursuivre dans le domaine de la santé, chaque journée viendra allonger les listes d’attente pour les chirurgies, a rappelé le ministre Christian Dubé.
«On retarde d’à peu près 500 chirurgies par jour», dit le ministre de la Santé, en rappelant le retard déjà causé par la pandémie.
Son collègue aux Finances, Eric Girard, rappelle également que l’État québécois est «actuellement en déficit». «Tout ce qui serait mis sur la table qui excéderait ce qui était dans le cadre financier, ça devra être emprunté, puis ultimement payé par l'ensemble des contribuables», a-t-il rappelé.
Malgré ces pressions, la FIQ refuse de signer une «entente à rabais». «Si on souhaite une entente avant la fin de l’année, il serait important que le premier ministre cesse de jeter de l’huile sur le feu», a déclaré son porte-parole.
La FSSS-CSN accuse pour sa part François Legault de déformer la réalité. «Ceux qui sont inflexibles à la table, c’est le gouvernement. Ça fait des mois qu’ils ne veulent pas bouger d’un iota sur leurs priorités», affirme le syndicat membre du Front commun syndical.
« On est en train de gaspiller une cohorte d'enfants
Radio-Canada :
« On est en train de gaspiller une cohorte d'enfants » au Québec, s'inquiète le Dr Julien
Pas de mouvement tangible sur le front des négociations entre Québec et les 66 000 enseignants de la FAE en grève depuis trois semaines.
Même s'ils sont nombreux à soutenir les syndiqués de la fonction publique québécoise, des parents s'inquiètent des conséquences du conflit de travail qui s'éternise sur la réussite scolaire de leurs enfants. Une inquiétude que partage le pédiatre Gilles Julien, dont la Fondation vient de lancer sa guignolée.
Le reportage de Gabrielle Proulx