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Rentrée sans autobus jaunes: les parents invités à prévoir

par Jeromec, mercredi 17 août 2022, 18:57 (il y a 610 jours) @ Jeromec

C'est peut-être une bonne nouvelle d'éviter les camps de concentration gouverne Mentale....?

de toute façon la plupart des entreprises ne demandent même plus de cv pour embaucher....

faites vous en pas, le ministre de l'éducation regarde dans l'autre direction tout le temps des élections....:-|

heureusement que ma grand môman est décédée, elle capoterait du monde de marde dans lequel on est....:-|

J'ai honte du Kébek...! En espoir que nos politiciens finissent par vomir dans leurs miroirs de temps en temps....:-| Quand t'aggrave les problèmes pis que tu es fiers en plus de l'avoir fait....:-| lâche les réseaux sociaux....:-|


heureusement il y a les bibliothèque publiques, ça aide pour l'édukation... en espérant que le gouvernement provincial s'en mêle pas, ça va l'aggraver....

tous les élus provinciaux sont à sacrer dehors... congédié!!!! Vous êtes non seulement incompétent, mais arrogant en plus....!!

ça serait bien... une pause de politiciens pendant 2 mois... arrêtez d'aggraver les problèmes, on s'En occupe....:-| on n'est jamais si bien déservie que par soi-même...

J'ai pas assez d'un estomac pour vomir tout le mépris que j'ai envers la classe politique... bon, au moins moi je m'exprime avec des mots et pas autre chose....
:-| en espérant que ça reste calme d'ici la fin des élections...:-| restons pacifiques quand même.... :-| on garde le sourire les amis:-D
y sont encore plus fous que moi et toi multiplié ensemble...

https://www.tvanouvelles.ca/2022/08/17/rentree-sans-autobus-jaunes-les-parents-invites-...

Rentrée sans autobus jaunes: les parents invités à prévoir un plan B pour le retour en classe

Rentrée sans autobus jaunes: les parents invités à prévoir un plan B pour le retour en classe
Daphnée Dion-Viens| Publié le 17 août 2022 à 11:32

Devant l’impasse qui persiste entre Québec et les transporteurs, le réseau scolaire passe à l’action en se préparant activement à vivre une rentrée sans autobus jaunes. Tous les centres de services scolaires concernés demandent maintenant aux parents de prévoir un plan B pour le retour en classe.

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«Ça va nécessiter la collaboration de tous, parce que c’est clair que ça va changer le quotidien de plusieurs», affirme Dominique Robert, président-directeur général adjoint de la Fédération des centres de services scolaires du Québec (FCSSQ).

Le 30 juin, 60% des contrats avec les transporteurs sont arrivés à échéance dans le réseau scolaire. Jusqu’à maintenant, seulement 15% des contrats échus ont pu être renouvelés, selon des données compilées la semaine dernière par la FCSSQ.

L’impasse persiste donc dans plusieurs centres de services scolaires, qui se préparent maintenant à mettre en place des «mesures de contingence» qui varieront d’une région à l’autre, afin d’atténuer l’impact des bris de services.

Un accès élargi aux services de garde, une bonification du transport en commun dans les grands centres et un meilleur encadrement des élèves marcheurs font partie des mesures qui seront mises en place. L’enseignement virtuel n’est pas envisagé.

Écoutez le segment LCN de Yasmine Abdefadel sur QUB radio :

Les parents à la rescousse
Mais peu importe les endroits, les solutions reposeront en bonne partie sur les épaules des parents, reconnaît M. Robert.

Au cours des prochaines heures, des communications seront envoyées aux milliers de familles concernées, les invitant à prévoir dès maintenant un plan B pour la rentrée, ajoute-t-il.

«Le mot d’ordre sera la souplesse. On ne sera pas dans une situation normale», affirme M. Robert, qui se dit tout de même confiant d’en arriver à des ententes d’ici le premier jour de classe.


«Service essentiel»
À la Fédération des comités de parents du Québec, son président Kévin Roy rappelle que le transport scolaire est un «service essentiel». «Il faut que ça se règle», lance-t-il.

«C’est important d’aviser les parents le plus rapidement possible pour qu’ils s’organisent, mais il faut aussi penser aux familles monoparentales ou avec des horaires atypiques pour qui ça ne sera pas possible de trouver un plan B», ajoute-t-il.

De son côté, la Fédération des transporteurs par autobus réclame une hausse de financement de 20 à 25% pour combler l’augmentation des coûts du carburant, de la main-d’œuvre et de l’entretien des véhicules.

Son président-directeur général, Luc Lafrance, indique que les négociations ont «progressé un peu» la semaine dernière avec le ministre de l’Éducation, mais aucune discussion n’a eu lieu depuis.

«Il y a encore un écart important qui reste à combler», laisse-t-il tomber.

DES CHAUFFEURS D’AUTOBUS SCOLAIRES RÉCLAMENT DES HAUSSES SALARIALES DE 35%
Les chauffeurs d’autobus scolaires affiliés à la CSN réclament des augmentations de salaire de 35%, ce qui explique en partie l’impasse entre Québec et les transporteurs qui pourrait forcer des milliers de parents à se trouver un plan B pour la rentrée.

«Pour une fois, les chauffeurs sont vraiment mobilisés à avoir un changement et c’est en bonne partie pour ça que les transporteurs n’acceptent pas l’argent du ministère. Ils savent que cette fois-ci, nous sommes très motivés à ne pas prendre des miettes», affirme Josée Dubé, présidente du secteur transport scolaire de la Fédération des employées et employés de services publics affiliée à la CSN, qui représente environ 3000 conducteurs d’autobus et de berlines.


La centrale syndicale réclame une augmentation de 7000$ par circuit par chauffeur, alors que leur rémunération est en moyenne de 20 000$ par année, soit une hausse de 35%.

Pour Mme Dubé, il s’agit d’une demande tout à fait justifiée dans le contexte de pénurie. «À la base, 20 000$ par année pour conduire un véhicule avec en moyenne 100 enfants par jour, ce n’est vraiment pas beaucoup. L’an passé, il y a eu beaucoup de bris de services parce que les chauffeurs n’étaient pas là», dit-elle.

Selon la Fédération des transporteurs scolaires, il manquait environ 1500 chauffeurs en juin, à la fin de l’année scolaire.

«Avec la pandémie, on s’est rendu compte que ceux qui étaient à leur retraite et qui venaient travailler, ils ne sont pas revenus parce que c’est plus difficile qu’avant», affirme Mme Dubé.

La gestion des enfants turbulents dans les autobus est de plus en plus exigeante, ajoute-t-elle. «Les enfants à défi, ils ont des accompagnateurs dans les classes pour ne pas déranger le professeur. Nous, on a ces enfants-là dans les autobus et nous devons les gérer nous-mêmes», laisse-t-elle tomber.

Les chauffeurs d’autobus affiliés à la CSN, dont la moyenne d’âge est de 55 ans, travaillent en moyenne 25 heures par semaine. Leurs journées commencent tôt et se terminent parfois tard, mais elles sont entrecoupées d’une longue période de pause en mi-journée.

CENTRES DE SERVICES SCOLAIRES QUI N’ONT PAS DE CONTRAT DE TRANSPORT POUR LA RENTRÉE: QUELQUES EXEMPLES
Outaouais

Haut-Bois-de-l’Outaouais
Portage-de-l’Outaouais
Région de Québec

Premières-Seigneuries
Découvreurs
Navigateurs
Région de Montréal

Montréal
Laval
Pointe-de-l’Île
Ailleurs dans la province

Grandes-Seigneuries (Montérégie)
Samares (Lanaudière)

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