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Les ''Bleus'' en péril...

par Jeromec, vendredi 20 mai 2022, 15:27 (il y a 704 jours) @ corbeau

Pendant ce temps, les ''bleus'' en périls...

A date, les policiers n'ont pas trop de problèmes avec les extraterrestres, heureusement car il y a bien des dossiers à s'occuper...

Je me demande bien pourCOUAC ce genre d'incidents arrivent....:-|

Échauffourée entre élèves et autopatrouilles à Horizon Jeunesse

https://courrierlaval.com/echauffouree-entre-eleves-et-autopatrouilles-a-horizon-jeunes...

Patrouilles à Horizon Jeunesse

À l’occasion d’une semaine consacrée à des fêtes de saveur internationale, l’école Horizon Jeunesse a été le théâtre d’une troublante confrontation entre un attroupement d’élèves et des policiers demeurés à bord de leur véhicule, le jeudi 19 mai.

Ayant entendu des rumeurs de grabuge potentiel, ce qui se serait avéré faux, l’administration de l’école avait réclamé une surveillance policière pour cette fête prenant place à l’extérieur.



Le Service de police de Laval (SPL) a collaboré en dépêchant une autopatrouille sur place.

Début d’escarmouche
C’est vers 13h05, soit quelque 30 minutes après que la cloche eut sonné, que l’’incident a débuté.

À ce moment, la foule comprenait de 150 à 200 jeunes. De ce rassemblement, un groupe d’élèves se serait éloigné à l’écart et lancé des bombes fumigènes dans les airs.



Par la suite, des jeunes se seraient rapprochés de l’autopatrouille et commencer à lancer des objets, principalement des branches, en sa direction.

Dès lors, les policiers ont réclamé des renforts sur les lieux.

La tension monte
Rapidement, l’endroit a été occupé notamment par une trentaine d’agents répartis en solo et duo dans 20 autopatrouilles.

En plus de continuer de lancer des objets et bâtons vers les véhicules, certains élèves se sont mis à frapper les carrosseries de leurs pieds.



«Le mot d’ordre pour nos policiers était de rester absolument dans leur véhicule afin d’éviter que la situation s’envenime davantage, explique la sergente Geneviève Major, porte-parole du SPL. Un appel au calme a été lancé, mais n’a pas été écouté.»

Dans un geste défensif et préventif, un policier a sorti le bras par la vitre de son autopatrouille et tirer un jet de poivre de Cayenne dans les airs.

«Ce geste a porté fruit, car le calme s’est alors installé, de souligner la sergente Major. Une jeune fille a été incommodée, puis rencontrée par nos policiers en compagnie de sa mère, entre autres, pour lui expliquer la portée des gestes commis et leurs répercussions.»



La jeune élève se serait excusée au terme de cette rencontre.

Ordre rétabli
Environ 45 minutes après le début de cette fête ayant viré au vinaigre, l’école et ses intervenants se seraient mêlé de l’affaire alors que la cloche sonnait le retour en classe.

Par la suite, deux autopatrouilles ont été postées autour de l’école afin d’assurer une présence et éviter tout risque de récidive à la récréation d’après-midi et sortie des cours.

Aucun autre incident n’a été à déplorer. N’empêche qu’un dossier de méfait sur véhicule a été rédigé, une autopatrouille ayant subi des dommages.

Cependant, aucune arrestation n’est encore rapportée, pendant que les enquêteurs du SPL sont à identifier tout le monde et faire la lumière sur ce dossier de violence inusitée.''


Je me demande bien pour COUAC ça aussi...

https://www.journaldequebec.com/2022/05/19/le-manque-de-policier-inquiete-a-montreal

Le manque de policiers inquiète à Montréal
Le syndicat dénonce le temps supplémentaire obligatoire
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AUTRES
FD-EVACUATION-VIEUX-PORT
PHOTO D'ARCHIVES, AGENCE QMI
Le manque de policiers à Montréal a fait exploser le TSO. L’été dernier, plusieurs agents ont été mobilisés pour les manifestations dans le Vieux-Montréal.
Valérie Gonthier_021.jpg
VALÉRIE GONTHIER
Jeudi, 19 mai 2022 21:42
MISE À JOUR Jeudi, 19 mai 2022 21:42
L’explosion du temps supplémentaire obligatoire causée par le manque d’effectif préoccupe la Fraternité des policiers et policières de Montréal qui demande à la Ville d’agir.

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« On est inquiets pour la santé de nos membres. Il y a de graves répercussions à être en fatigue extrême et à devoir prendre des décisions en quelques fractions de seconde pour protéger leur vie ou celle de citoyens », a dénoncé le président du syndicat policier, Yves Francoeur.


Selon lui, certains quartiers de l’île de Montréal sont davantage touchés que d’autres par le manque d’effectif. Il préfère ne pas dévoiler ces secteurs plus à découvert, par mesure de sécurité. Il donne malgré tout en exemple un policier qui a dû, deux journées d’affilée, travailler 17 heures par jour en enchaînant un quart de travail de soir et un de nuit.

24 heures sans dormir

« Si on compte le déplacement, il a été presque 24 h sans dormir. C’est problématique », a illustré M. Francoeur.

Selon ce dernier, si auparavant le temps supplémentaire obligatoire (TSO) était « occasionnel », il est devenu « systématique », tant le manque de policiers est criant.

Depuis janvier, 34 policiers ont démissionné, s’est-il inquiété. Et les embauches n’ont permis de remplacer que les départs à la retraite, a ajouté M. Francoeur, qui estime à environ 160 nouveaux le nombre de départs à la retraite à venir cette année.

Ainsi, préoccupée par ce manque d’effectif « généralisé » à l’approche des vacances estivales, la Fraternité s’est adressée à la direction et a proposé de faire appel à des policiers en congé, lorsque le manque d’effectif est prévisible.

« Compte tenu du manque d’effectif partout, on sait déjà que dans tel poste, sur telle équipe, il y a tant de policiers en congé de maternité ou parental, tant en congé de maladie », a expliqué M. Francoeur.


Très coûteux

Selon lui, si on diminue les heures supplémentaires obligatoires, « les policiers seront plus alertes et moins sujets à des blessures ».

« Il s’agit non seulement d’une question de qualité de vie et de respect (conciliation travail-famille), mais également de santé et sécurité au travail », peut-on lire dans une note interne de la Fraternité, et dont Le Journal a obtenu copie.

Très coûteuse, la solution proposée par la Fraternité n’est généralement pas privilégiée par la direction : un policier rappelé alors qu’il est en congé ou en vacances est en effet payé à temps double.''

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