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L'ABDUCTION DRAMATIQUE DE CREDO MUTWA

par corbeau, lundi 10 mai 2021, 00:17 (il y a 1075 jours) @ corbeau

Credo Mutwa : Monsieur, c’était un jour ordinaire, comme n’importe quel autre jour. C’était une très belle journée dans les montagnes de l’est du Zimbabwe, qui sont appelées Inyangani. Ce sont des montagnes à l’est du Zimbabwe.

J’avais alors été chargé par mon professeur d’aller chercher une herbe spéciale que nous devions utiliser pour la guérison d’un certain initié qui était gravement malade. Et mon professeur, une femme appelée Mme Moyo, était Ndebele, du Zimbabwe, autrefois connu sous le nom de Rhodésie.

J’étais en train de chercher cette herbe, et je ne pensais à rien d’autre, et je n’avais aucune croyance que ce soit dans ces créatures. Je ne les avais jamais rencontrées auparavant, et bien que nous, les Africains nous croyions en de nombreuses choses, j’étais vachement sceptique, même au sujet de certaines entités auxquelles nous croyions à ce moment-là, parce que je n’avais jamais rencontré quelque chose comme ça avant.

Et tout à coup, monsieur, j’ai remarqué que la température autour de moi avait chuté, bien que ce soit une journée africaine vraiment chaude. J’ai soudain remarqué que maintenant il faisait froid et qu’il y avait ce qui semblait être une brume lumineuse bleue qui tourbillonnait tout autour de moi, qui se mettait entre moi et l’est du paysage. Je me souviens de m’être demandé, stupidement, ce que signifiait cette chose, parce que je venais juste de commencer d’arracher l’une des herbes que j’avais trouvées.

Soudain, je me suis trouvé dans un endroit très étrange, un endroit qui ressemblait à un tunnel recouvert de métal. J’avais travaillé dans des mines auparavant, et l’endroit où je me trouvais semblait être une galerie de mine qui était recouverte de métal grisâtre argenté.

J’étais allongé sur ce qui semblait être une paillasse très lourde et très grande ou une table de travail, monsieur. Mais néanmoins, je n’étais pas enchaîné à la table. J’étais juste allongé là et mes pantalons avaient disparu, ainsi que les grandes bottes que je portais toujours quand je sortais dans la brousse. Et soudain, dans cette étrange salle semblable à un tunnel, j’ai vu ce qui semblait être des créatures lentes, troublantes, grises et ternes qui se déplaçaient vers moi.

Il y avait des lumières dans cet endroit, mais pas des lumières comme nous les connaissons. Elles avaient l’air d’être des taches de matière incandescente. Et il y avait quelque chose au-dessus de l’entrée la plus éloignée qui ressemblait à de l’écriture, cette écriture-là sur la surface gris argenté, et ces créatures arrivaient sur moi mais j’étais hypnotisé, juste comme si on m’avait jeté un sort.

Mais je regardais les créatures alors qu’elles venaient vers moi. Je ne savais pas ce qu’elles étaient. J’étais effrayé, mais je ne pouvais bouger ni mes bras ni mes jambes. J’étais juste allongé là comme une chèvre sur l’autel du sacrifice. Et quand les créatures sont venues vers moi, j’ai ressenti de la peur à l’intérieur de moi. C’était de petites créatures, environ la taille d’un Pygmée africain. Elles avaient de très grosses têtes, de très minces bras, et de très minces jambes.

Je remarquais, monsieur, car je suis un artiste, un peintre, que ces créatures étaient bâties de travers du point de vue d’un artiste. Leurs membres étaient trop longs pour leur corps, et leurs cous étaient très minces, et leurs têtes étaient presque aussi grosses que des melons d’eau arrivés à maturité. Ils avaient des yeux étranges, qui ressemblaient à une sorte de lunettes de protection. Ils n’avaient pas de nez, comme nous en avons, seulement des petits trous de chaque côté de la zone surélevée entre leurs yeux. Leur bouche n’avait pas de lèvres, seulement de fines entailles comme si elles avaient été faites par un rasoir.

Et tandis que je regardais ces créatures, monsieur, stupéfait de fascination, j’ai senti quelque chose près de ma tête, autour de ma tête. Et quand j’ai levé les yeux, il y avait une autre créature, une qui était légèrement plus grande que les autres, et elle se tenait debout au-dessus de ma tête et me regardait.

J’ai levé mes yeux droit dans les siens et j’ai été complètement hypnotisé, et vous savez, j’étais envoûté. Je regardais la chose droit dans les yeux et je me suis aperçu que la créature voulait que je continue de la regarder droit dans les yeux. J’ai regardé et j’ai vu que, à travers ces couvercles sur ses yeux, je pouvais voir les véritables yeux de la créature derrière ce couvercle noir, semblable à des lunettes de protection. Ses yeux étaient ronds, avec des pupilles droites, comme celles d’un chat. Et la chose ne bougeait pas sa tête. Elle respirait ; je pouvais le voir. Je pouvais voir bouger des petites narines, qui se rapprochaient et se fermaient, mais monsieur, si quelqu’un me disait que je pue comme cette créature-là, vraiment, je lui en collerais un sur la gueule.

La créature empestait comme ce n’est pas possible. Elle avait une odeur étrange, une odeur chimique qui serrait à la gorge, qui puait comme des œufs pourris, et aussi comme du cuivre chaud [soufre], une odeur très forte.

Et la créature m’a vu la regarder, et elle me regardait avec mépris et, tout à coup, j’ai senti une douleur atroce et terrifiante sur ma cuisse gauche, comme si une épée avait été enfoncée dans ma cuisse gauche. J’ai hurlé de douleur, d’une manière horrible, en appelant ma mère, et la créature a posé sa main sur ma bouche. Vous savez, monsieur, c’était comme - si vous voulez connaître l’impression que ça donnait, je vous prie monsieur, de prendre la patte d’un poulet, un poulet vivant, et de le poser contre vos lèvres. C’était l’impression que donnait la main de la créature sur ma bouche.

Elle avait des doigts longs et maigres, qui avaient plus d’articulations que mes doigts humains n’en ont. Et le pouce n’était pas à la bonne place. Chacun des doigts se terminait par une griffe noire, presque comme certains oiseaux africains. La chose m’ordonnait de me taire. Et combien de temps la douleur a continué, monsieur, je ne le sais pas. J’ai hurlé et hurlé et hurlé, à nouveau.

Et ensuite, tout à coup, quelque chose a été retiré de ma chair, et j’ai baissé les yeux et j’ai vu ma cuisse couverte de sang, et j’ai vu que l’une des créatures - il y en avait quatre, à part celle qui se tenait debout au-dessus de ma tête - elles portaient des combinaisons collantes, qui étaient de couleur gris argenté, et leur chair ressemblait à la chair de certains types de poisson qu’on trouve dans la mer au large de l’Afrique du Sud. Et la créature qui se tenait debout au-dessus de ma tête avait l’air d’être une femme ; Elle était d’une certaine manière différente des autres. Elle était plus grande, plus grosse, quoiqu’elle n’ait pas de poitrine comme une femme, elle semblait être féminine. Et les autres avaient l’air d’avoir peur d’elle, je ne sais pas comment je peux décrire ceci.

Et alors, au même moment que cette terrible chose, une autre de ces créatures est venue vers moi - elle marchait en crabe, d’une manière légèrement saccadée, comme si elle était ivre - elle s’est approchée le long de la table, vers mon côté droit, et elle s’est tenue debout à côté de celle qui se tenait au-dessus de ma tête. Et avant que je puisse savoir ce qui m’arrivait, cette créature m’a enfoncé quelque chose qui était comme un petit stylobille argenté avec un câble à un bout, elle a poussé cette chose, froidement, dans ma narine droite.

Monsieur, la douleur était inimaginable. Du sang giclait partout. Je m’étouffais et essayais de crier, mais le sang pénétrait dans ma gorge. C’était un cauchemar. Ensuite, elle a retiré la chose et j’ai essayé de lutter et de me redresser.

La douleur était atroce, mais l’autre chose au-dessus de ma tête a posé sa main sur mon front et me retenait avec très peu de force. J’étais en train d’étouffer et d’essayer de cracher le sang, et alors je suis arrivé à tourner la tête vers la droite pour cracher le sang, ce que j’ai fait, et alors ce que les créatures m’ont fait, monsieur, je ne le sais pas.

Tout ce que je sais vraiment, c’est que la douleur a disparu, et à la place de la douleur, d’étranges visions ont submergé ma tête, des visions de villes, parmi lesquelles j’en reconnaissais à partir de mes voyages - mais, des villes qui étaient à moitié détruites, les bâtiments ayant leurs sommets emportés, avec des fenêtres comme des orbites vides dans un crâne humain. J’ai eu ces visions à plusieurs reprises. Tous les bâtiments que j’ai vus étaient à moitié inondés par une eau rougeâtre et boueuse.

C’était comme s’il y avait eu une inondation et les bâtiments émergeaient de cette grande inondation, en partie détruits par une sorte de catastrophe, et c’était un spectacle effroyable.

Et ensuite, avant que je m’en sois aperçu, l’une des créatures, celle qui se tenait à côté de mon pied, a enfoncé quelque chose dans mon membre viril, mais cette fois il n’y avait pas de douleur, juste une violente irritation, comme si je faisais l’amour à quelque chose ou à quelqu’un.

Et ensuite, quand la créature a retiré la chose, qui était comme un petit tube noir qu’elle avait forcé dans mon membre viril, j’ai fait quelque chose qui a produit un résultat étrange, et je ne l’ai pas fait intentionnellement. Je pense qu’elle était - ma vessie - ouverte, et j’ai uriné tout droit dans la poitrine de la créature qui avait retiré la chose de mon organe.

Et quand bien même j’aurais tiré sur la créature, elle n’aurait jamais réagi comme elle l’a fait. Elle s’est brusquement écartée de moi et a failli tomber, et ensuite elle s’est redressée et s’est éloignée en titubant comme un insecte ivre, et a quitté la salle. Je ne sais pas si mon urine a fait ça ; je ne le sais pas. Mais c’est ce qui s’est passé.

Ensuite, au bout de quelque temps, les autres créatures sont parties, en me laissant avec une douleur sourde dans ma narine, avec du sang sur ma cuisse, et la table humide d’urine. Et la chose qui se tenait au-dessus de ma tête n’avait pas bougé. Elle se tenait juste debout là avec sa main droite qui touchait son épaule gauche, d’une manière étrangement belle et féminine. Elle restait là à me regarder. Il n’y avait aucune expression sur son visage. Je n’ai jamais vu aucune de ces créatures parler ou émettre le moindre son que ce soit. Tout ce que je sais vraiment, c’est qu’elles semblaient être muettes.

Et ensuite, sorties de quelque part, il est arrivé deux autres créatures, dont l’une était faite entièrement avec du métal. Même dans mes pires cauchemars, je vois encore cette créature. Elle était grande. Elle était grosse. Et la zone dans laquelle nous étions était trop petite pour elle. Elle avançait avec le dos légèrement voûté, et ce n’était certainement pas quelque chose de vivant. C’était une créature de métal, une sorte de robot. Et elle est venue se tenir debout près de mon pied, tout son corps maladroitement courbé, baissant les yeux vers moi. Il n’y avait pas de bouche. Il n’y avait pas de nez. Il y avait juste deux yeux brillants, qui avaient l’air de changer de couleur, et qui semblaient bouger d’une certaine manière, comme le crépitement d’un appareil électrique.

Et ensuite, derrière cette énorme créature courbée, est venue une créature qui m’a surpris. Elle était très, très, très, très bouffie, monsieur, en apparence. Elle avait la peau rose. Elle avait un corps très humain au poil blond. Elle avait des yeux bleus bridés très brillants. Elle avait des cheveux qui ressemblaient à une sorte de fibre de nylon. Elle avait des pommettes hautes et une bouche presque humaine, avec des lèvres charnues et un petit menton pointu. La créature, monsieur, était indéniablement une femme mais en tant qu’artiste et que peintre, ce que je suis, et aussi en tant que sculpteur, j’ai remarqué que la créature était complètement mal proportionnée. Elle était fausse.

D’abord, ses seins étaient minces et pointus, et placés trop haut sur sa poitrine, pas là où les seins d’une femme normale seraient. Son corps était puissant, presque gras, mais ses jambes étaient trop courtes et ses bras étaient trop courts en proportion du reste de son corps. Et elle est venue vers moi, a baissé les yeux vers moi, et avant que j’aie saisi ce qu’elle faisait, d’une certaine manière elle s’est accouplée avec moi. C’était une expérience horrible, monsieur, même pire que ce qui m’avait été fait auparavant. Mais même maintenant, le traumatisme de ce jour-là a un effet sur ma vie même maintenant, exactement 40 ans plus tard.

Et après ça, quand les créatures ont été parties, laissant seulement celle des créatures qui était restée près de ma tête, la créature debout près de ma tête m’a secoué par les cheveux, elle m’a saisi par la tête et m’a forcé à me lever de la table et à descendre de la table. Je l’ai fait, j’étais dans un tel état que je suis tombé sur mes genoux et sur mes mains, sur le sol.

Et j’ai remarqué que ce sol-là était étrange. Il possédait des motifs animés, qui n’arrêtaient pas de changer et de se relayer - des motifs violets, rouges et verdâtres, sur un fond gris métallisé. Et la créature m’a tiré par les cheveux, à nouveau, me forçant à me relever, et elle m’a poussé brutalement et m’a obligé à la suivre.

Monsieur, cela me prendrait trop de temps pour décrire ce que j’ai vu dans cet endroit étrange, alors que la créature me poussait, brutalement, de salle en salle. Même maintenant mon esprit ne peut pas comprendre ce qu’était ce que j’ai vu. Parmi les nombreuses choses que j’ai vues il y avait des objets cylindriques énormes, faits de ce qui semblait être une sorte de verre. Et dans ces objets, des cylindres, qui s’étendaient du plafond jusqu’au sol de l’endroit que nous étions en train de traverser, il y avait ce qui avait l’air d’une sorte de liquide rose grisâtre. Et dans ce liquide j’ai vu des petites éditions des créatures extra-terrestres qui flottaient en tournant en rond, comme des petites grenouilles dégoûtantes, à l’intérieur de ce liquide.

Je ne pouvais pas comprendre ce qu’était ce qu’on me montrait. Mais ensuite, dans la dernière salle qu’on m’a fait traverser, j’ai vu des gens, et d’autres étranges créatures, auxquelles, même maintenant, mon esprit ne comprend absolument rien, couchées sur la table.

Et j’ai dépassé un Blanc, un véritable Blanc, qui sentait comme un être humain, qui sentait la sueur, l’urine, les excréments, et la peur. Ce Blanc était allongé sur une table comme celle sur laquelle j’avais été allongé, et j’ai regardé dans ses yeux et il a regardé dans les miens alors que je passais.

Et ensuite je me suis retrouvé dans la brousse. J’ai constaté que mes pantalons avaient disparu. J’avais une douleur atroce à ma cuisse gauche. J’avais une douleur dans mon pénis qui commençait à gonfler, et quand j’ai essayé d’y passer de l’eau, la douleur a été horrible. J’ai enlevé ma chemise et je m’en suis servi pour me couvrir les reins et j’ai marché à travers la brousse.

J’ai d’abord rencontré un groupe de jeunes Noirs rhodésiens qui m’ont guidé vers le village de mon professeur. Et quand je suis arrivé à l’extérieur de ce village, je sentais si horriblement mauvais que tous les chiens du village sont venus japper et montrer les dents pour me mettre en pièces. Et c’est seulement mon professeur et ses autres étudiants et les villageois qui m’ont sauvé ce jour-là. Mon professeur et les villageois n’étaient pas du tout surpris par ce que j’avais à leur dire. Ils l’admettaient, monsieur. Ils me disaient que ce qui m’était arrivé était arrivé à beaucoup d’autres personnes auparavant, et que j’avais de la chance de revenir en vie, car beaucoup de gens ont disparu dans cette partie du pays, sans jamais être revus - des Blancs, des Noirs, et ainsi de suite.

Monsieur, soyons bref. Au cours de l’année suivante, 1960, je livrais des colis dans la ville de Johannesburg. Vous voyez, je travaillais dans une boutique de curiosités, lorsqu’un Blanc m’a crié de m’arrêter.

J’ai supposé que le Blanc était un agent de la police secrète qui voulait examiner mes papiers. Et quand j’ai essayé de présenter les papiers, il m’a dit, avec colère, qu’il ne voulait pas voir mes papiers puants.

Monsieur, il m’a posé cette question : “Écoute, où diable t’ai-je vu auparavant ? Qui es-tu ?”

J’ai dit, “je ne suis personne, monsieur ; je suis juste un ouvrier.”

Il a dit, “Ne me dis pas de conneries, l’homme ; qui diable es-tu ? Où t’ai-je vu auparavant ?”

Et alors je l’ai regardé. Je le reconnaissais - ses longs cheveux épars châtain doré, sa moustache ridicule et sa barbe. Je me souvenais de lui - ses yeux bleus injectés de sang et la terreur visible qui luisait sur ses yeux, et sa peau aussi pâle que celle d’une chèvre.

J’ai dit, “Meneer”, comme on dit en afrikaans… “Meneer - je vous ai vu en Rhodésie dans un certain endroit sous terre.” Et même si j’avais frappé ce Blanc-là avec mon poing, il n’aurait pas réagi de cette manière-là, monsieur. Il s’est écarté, il s’est mis à marcher avec une expression terrible et il a disparu de l’autre côté de la rue.

Maintenant, en gros, c’est ce qui m’est arrivé, monsieur, mais ce n’est pas du tout une expérience unique.

Depuis cette époque j’ai rencontré vraiment beaucoup de gens qui ont eu la même expérience que celle que j’ai racontée, et la plupart d’entre eux étaient des Noirs et des Noires traditionnels qui ne savent ni lire ni écrire. Ils venaient me demander de l’aide en tant que chaman, mais j’étais, moi-même, en train de chercher quelqu’un de plus avancé que moi pour me dire exactement ce qui m’était arrivé. Parce que, monsieur, quand vous vous faites prendre par les Mantindane, vous devenez si traumatisé, votre vie devient si changée, vous devenez si gêné et honteux de vous-même, vous développez une haine de soi que vous ne pouvez pas comprendre, et il y a des changements subtils dans votre vie qui n’ont pas de sens pour vous.

Un : Vous développez un étrange amour pour l’humanité. Vous voulez secouer tout le monde par les épaules et dire, “Hé, réveillez-vous les gars ; nous ne sommes pas seuls. Je sais que nous ne sommes pas seuls!”

Et, vous développez le sentiment que votre vie ne vous appartient plus ; et en outre, vous devenez contraints par une étrange incitation de vous déplacer de lieu en lieu, de voyager. Vous devenez inquiets au sujet de l’avenir ; vous devenez inquiets au sujet des gens.

Et une autre chose, monsieur, pour laquelle j’espérais qu’un jour vous m’enverriez des gens pour le voir par eux-mêmes : vous développez une connaissance qui ne vous appartient pas. Vous développez une compréhension de l’espace, une compréhension du temps et de la création qui n’a aucun sens pour vous en tant qu’être humain - c’est un état tel, qu’après votre terrible torture, qu’après que des substances aient été retirées de vous, une certaine sorte d’échange a lieu dans lequel vous connaissez soudain des choses que le Mantindane doit connaître et que les êtres humains ordinaires ne connaissent pas.

In Enlèvements par les Extra¬Terrestres et les Reptiliens selon Credo MUTWA, par Rick Martin du 30 sept. 1999 et traduit par Daniel Maury.

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