
Pourquoi s'enflamer autant.
Pour ce qui n'est qu'une élection dont on sent bien au fond de soi qu'elle ne changera pas le cours du monde. Les puissances d'argent, sûres de remporter le gros lot, misent sur tous les chevaux.
Et nous, dans ce théâtre de dupes, applaudissons nos maitres pour les quelques miettes qu'ils nous jettent du haut de leur suffisance.
Pourtant nous voyons bien depuis un certain temps, que le président soit de gauche ou de droite, blanc ou noir, riche ou moins riche, notre sort demeure sous le joug de leurs intérêts.
Ce n'est donc pas que de la politique que viendra notre "libération". Mais les conditions politiques peuvent favoriser, ou pas, ces conditions.
Si Trump a donné un coup de pied dans la fourmilière politique par son langage débridé et quelques mesures qui ont largement bénéficié aux plus riches et un peu aux classes moyennes, il a induit une rupture dans son propre camp et dans la société. Les deux camps qu'il a exacerbé, alors que le rôle d'un président est de présider à la nation entière et pas seulement sa caste, vont avoir du mal à se réconcilier. Car, à mon avis, ce n'est pas seulement le camp des villes et de la campagne qui s'opposent, ni le camp des "petits blancs" qui se paupérisent contre la mondialisation, ni d'autres blancs contre les noirs, ou des suprémacistes qui deviennent minoritaires et redoublent de peur. Non, il s'agit de deux mondes qui ne partagent plus la même réalité. Et c'est le plus grand désastre qu'a provoqué Trump. Il a déformé la réalité, l'a habillé de tromperie, a inversé les valeurs, a instillé une vision tronquée des choses.
Le vrai devient faux et le faux vrai, les faits sont congédiés par simple décret, le désir, si puéril soit-il, devient la réalité...
Au gamin capricieux succède la démesure du "tyran" qui dicte sa réalité.
Et des millions de gens entrent en pâmoison devant ce qu'ils considèrent comme un prodige alors que ce n'est que le "délire" d'un type parmi d'autre.
C'est cela qui est dangereux, l'irruption d'une réalité virtuelle qui échappe à toute rationalité. Un imaginaire débridé que chacun habille à sa façon et qui devient, par simple artifice, vrai.
C'est l'ère de la post-vérité qui s’immisce dans nos vies, le vrai le beau et le bon sont congédiés par le simulacre le faux-semblant et la falsification.
C'est peut-être le moment, lorsque tout s'effondre et semble perdu qu'une opportunité, toute intérieure, laisse entrevoir le fil qui sauve...

BIEN DIT !
Pour ce qui n'est qu'une élection dont on sent bien au fond de soi qu'elle ne changera pas le cours du monde. Les puissances d'argent, sûres de remporter le gros lot, misent sur tous les chevaux.
Et nous, dans ce théâtre de dupes, applaudissons nos maitres pour les quelques miettes qu'ils nous jettent du haut de leur suffisance.
Pourtant nous voyons bien depuis un certain temps, que le président soit de gauche ou de droite, blanc ou noir, riche ou moins riche, notre sort demeure sous le joug de leurs intérêts.
Ce n'est donc pas que de la politique que viendra notre "libération". Mais les conditions politiques peuvent favoriser, ou pas, ces conditions.Si Trump a donné un coup de pied dans la fourmilière politique par son langage débridé et quelques mesures qui ont largement bénéficié aux plus riches et un peu aux classes moyennes, il a induit une rupture dans son propre camp et dans la société. Les deux camps qu'il a exacerbé, alors que le rôle d'un président est de présider à la nation entière et pas seulement sa caste, vont avoir du mal à se réconcilier. Car, à mon avis, ce n'est pas seulement le camp des villes et de la campagne qui s'opposent, ni le camp des "petits blancs" qui se paupérisent contre la mondialisation, ni d'autres blancs contre les noirs, ou des suprémacistes qui deviennent minoritaires et redoublent de peur. Non, il s'agit de deux mondes qui ne partagent plus la même réalité. Et c'est le plus grand désastre qu'a provoqué Trump. Il a déformé la réalité, l'a habillé de tromperie, a inversé les valeurs, a instillé une vision tronquée des choses.
Le vrai devient faux et le faux vrai, les faits sont congédiés par simple décret, le désir, si puéril soit-il, devient la réalité...
Au gamin capricieux succède la démesure du "tyran" qui dicte sa réalité.
Et des millions de gens entrent en pâmoison devant ce qu'ils considèrent comme un prodige alors que ce n'est que le "délire" d'un type parmi d'autre.
C'est cela qui est dangereux, l'irruption d'une réalité virtuelle qui échappe à toute rationalité. Un imaginaire débridé que chacun habille à sa façon et qui devient, par simple artifice, vrai.
C'est l'ère de la post-vérité qui s’immisce dans nos vies, le vrai le beau et le bon sont congédiés par le simulacre le faux-semblant et la falsification.
C'est peut-être le moment, lorsque tout s'effondre et semble perdu qu'une opportunité, toute intérieure, laisse entrevoir le fil qui sauve...
Bravo! Bien parlé!
Ma visite de ton site web, quel apaisement!

BIEN DIT !
Bravo! Bien parlé!
Ma visite de ton site web, quel apaisement!
Merci à vous. Je n'aurais pas pensé que mon blog apporte de l’apaisement, aussi je le prends comme une sorte d’hommage à une voix dont je suis le porte parole.

BIEN DIT !

Bon retour !
Bon retour, cher ami ! Vous qu'on ne lisait plus depuis des lunes.
Il semblerait bien que l'ami Donald n'a pas que des défauts. En effet, en plus d'être un catalyseur, il faut également lui reconnaître un petit côté thaumaturge, car il aura réussi à vous faire revenir d'une longue absence ! Grâce lui soit rendue.

Bon retour !
Bon retour, cher ami ! Vous qu'on ne lisait plus depuis des lunes.
Il semblerait bien que l'ami Donald n'a pas que des défauts. En effet, en plus d'être un catalyseur, il faut également lui reconnaître un petit côté thaumaturge, car il aura réussi à vous faire revenir d'une longue absence ! Grâce lui soit rendue.
![]()
Bonjour cher Baryton,
Vous avez raison toute médaille a son revers et cela concerne aussi Trump.
Ce n'est pas le coté "thaumaturge" qui m'a interpellé, mais l'aspect tribun. Curieusement ses invectives résonnaient comme des bruits de bottes avant coureur à mes oreilles. Là j'admets un parti-pris.
Mais le voilà sur le départ c'était ma façon de le saluer. Aussi je repars à mes occupations car je ne voudrais pas froisser ceux qui ici plaident avec constance sa gloire.
Bien à vous.
Cordialement.

Bon retour !
Bon retour, cher ami ! Vous qu'on ne lisait plus depuis des lunes.
Il semblerait bien que l'ami Donald n'a pas que des défauts. En effet, en plus d'être un catalyseur, il faut également lui reconnaître un petit côté thaumaturge, car il aura réussi à vous faire revenir d'une longue absence ! Grâce lui soit rendue.
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Bonjour cher Baryton,
Vous avez raison toute médaille a son revers et cela concerne aussi Trump.
Ce n'est pas le coté "thaumaturge" qui m'a interpellé, mais l'aspect tribun. Curieusement ses invectives résonnaient comme des bruits de bottes avant coureur à mes oreilles. Là j'admets un parti-pris.
Mais le voilà sur le départ c'était ma façon de le saluer. Aussi je repars à mes occupations car je ne voudrais pas froisser ceux qui ici plaident avec constance sa gloire.
Bien à vous.
Cordialement.
Cher konrad,
Sachez que ce sera toujours un plaisir d'échanger avec vous, que nous soyons d'accord ou non.
Si la censure sévit à bien des endroits malheureusement en ces sombres heures, j'ose croire que ce n'est pas le cas en ce lieu. Bien sûr, certains sujets soulèvent davantage les passions que d'autres et sont propices aux foires d'empoigne. De toute façon, il y a tellement d'autres sujets que ceux-là.
Mais je respecte votre décision, quelle qu'elle soit, et vous souhaite une bonne continuation.
Cordialement.

Bon retour !
Cher konrad,
Sachez que ce sera toujours un plaisir d'échanger avec vous, que nous soyons d'accord ou non.
Si la censure sévit à bien des endroits malheureusement en ces sombres heures, j'ose croire que ce n'est pas le cas en ce lieu. Bien sûr, certains sujets soulèvent davantage les passions que d'autres et sont propices aux foires d'empoigne. De toute façon, il y a tellement d'autres sujets que ceux-là.
Mais je respecte votre décision, quelle qu'elle soit, et vous souhaite une bonne continuation.
Cordialement.
Cher Baryton,
Je vous dois quelques explications.
Vous n'êtes nullement en cause, pas plus que quiconque ici. Simplement les choses et les gens changent, le courant de la vie nous porte sur des rives à explorer qui réclament notre attention. J'ai passé du bon temps sur ce forum et je ne le regrette pas, mais voici que mes intérêts actuels ne coïncident plus avec ce qui est débattu ici, c'est ainsi, c'est la vie.
Sur ce je vous souhaite le meilleur.
Cordialement.
Konrad.

Bon retour !
Cher konrad,
Sachez que ce sera toujours un plaisir d'échanger avec vous, que nous soyons d'accord ou non.
Si la censure sévit à bien des endroits malheureusement en ces sombres heures, j'ose croire que ce n'est pas le cas en ce lieu. Bien sûr, certains sujets soulèvent davantage les passions que d'autres et sont propices aux foires d'empoigne. De toute façon, il y a tellement d'autres sujets que ceux-là.
Mais je respecte votre décision, quelle qu'elle soit, et vous souhaite une bonne continuation.
Cordialement.
Cher Baryton,
Je vous dois quelques explications.
Vous n'êtes nullement en cause, pas plus que quiconque ici. Simplement les choses et les gens changent, le courant de la vie nous porte sur des rives à explorer qui réclament notre attention. J'ai passé du bon temps sur ce forum et je ne le regrette pas, mais voici que mes intérêts actuels ne coïncident plus avec ce qui est débattu ici, c'est ainsi, c'est la vie.![]()
Sur ce je vous souhaite le meilleur.
Cordialement.
Konrad.
Cher Konrad,
Je me suis permis de mettre en caractères gras ce qui, à mon sens, prend tout son sens et se passe d'explication supplémentaire. Je vous ai très bien compris. Ce fut un plaisir pour moi d'échanger avec vous. Je vous souhaite également tout ce que votre âme souhaite. Et qui sait, nous nous reverrons peut-être. S'il est vrai que l'Univers est vaste, il n'en demeure pas moins que le Monde est petit. Sur ce, bonne continuation.
Cordialement,
Baryton