Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
Nos chers amis américains, épisode 1 : des origines à l’extermination des indiens
http://www.agenceinfolibre.fr/nos-chers-amis-americains-episode-1-des-origi…
Nos chers amis américains, épisode 2 : de la guerre d’indépendance aux crises financières de la fin du 19e siècle.
http://www.agenceinfolibre.fr/nos-chers-amis-americains-episode-2-de-la-gue…
Il est important que tous les gens comprennent que tous les malheurs de l'humanité proviennent de cette grande manipulation qui a volé la destinée des peuples et de leurs mises en esclavage par la privatisation des banques centrales octroyant des prêts avec intérêts. Nos impôts et taxes ne servent plus à financer le soutient de l'État, mais bien à rembourser des intérêt aux créanciers de la dette, les rentiers qui vivent du fruit du travail des autres sans partage, et à ceux qui font l'évasion fiscale et qui nous volent.
Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
Ce 26 janvier à Toronto (Canada), dans le silence médiatique le plus complet, des citoyens canadiens regroupés au sein du Comité sur la réforme économique et monétaire (COMER) ont gagné le procès qui les oppose à la banque centrale du Canada, qu’ils accusent d’être contrôlée inconstitutionnellement par des banques privées depuis 1974.
Pourquoi les Canadiens permettent-ils aux banques privées de profiter de la dette publique alors que juridiquement, la Banque du Canada se doit de garantir des prêts sans intérêt comme elle l’avait fait pendant la Grande Dépression, la Seconde Guerre mondiale et les Trente Glorieuses ? C’est la question que posent depuis plusieurs années Ann Emmett, William Krehm et le Comité sur la réforme économique et monétaire, le COMER, représentés par le célèbre avocat constitutionnaliste Rocco Galati.
Trois juges de la cour fédérale du Canada leur ont donné raison le 26 janvier, réaffirmant que la banque devait pouvoir émettre sans intérêt de l’argent pour les besoins du gouvernement. Ce procès, parce que révolutionnaire, n’a évidemment été couvert par aucun média de masse ni au Canada, ni à l’international : « Il est évident que le gouvernement a demandé aux médias officiels de se taire, mais je ne peux révéler mes sources », a déclaré Rocco Galati, qui a qualifié de « dictature calme », la crise perpétuelle de la dette entretenue par le monopole des banques privées sur le prêt d’argent au gouvernement.
Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
Bonjour glevesque,
Il est vrai que la banque centrale du Canada est contrôlée inconstitutionnellement par des banques privées depuis 1974. Ce qu’il faut savoir et qui a permis ce fais et comment et le pourquoi de ce fais?
Voici l'histoire réelle, du pourquoi de ce fait qui a débuté, en 1972 par la signature d’une entente du Premier ministre de cette époque Pearson en raison d’une adhésion au gouvernement Mondial. Le Canada et les États-Unis n’étaient pas les seuls. Il eut de la part du Canada une 2ème signature par le Premier ministre Pierre Eliot Trudeau le 7 janvier1981, sous la gouverne de Trudeau qui à sceller l'entente de l’instigation du Dr. Mac Greygan qui est un Illuminati notoire, une cheville ouvrière de ce plan d’ensemble. Ce qui important de comprendre est le sérieux de cette action et à plus forte raison dès le printemps le Canada était près d’abandonner ça Souveraineté et son autonomie en faveur du Gouvernement Mondial et de du Nouvel ordre Mondial
Ce qui a permis un ajustement, un alignement des Banques canadiennes sur le plan monétaire et social par l’Acte signé de cette adhésion comme il est mentionné dans le livre WHEN YOUR MONEY SYSTEM FAILS puisque grâce aux systèmes des cartes de débit et de crédit Mastercard et Visa el les autres qui circule dont le propriétaire étant les banques privées, les gens qui possèdent les cartes ont leurs propres identifications par le numéro, une forme d’Aden ainsi le NIP qui signifie et facilite l'intégration Universelle conduisant ainsi à une société sans argent réel, ce qui fait partie du plan et la mise en œuvre par les Illuminati. Ce plan permet un contrôle absolu d’un suivi à la minute près du comportement des gens de ce qu’ils font, leurs déplacements par les achats, leurs méthodes de vie grâce aux véhicules des cartes. Une personne qui ne possède pas la carte serrât non identifiable donc pas de crédit accessible, un solitaire qui sera une menace sociale pour le plan Illuminati et l’œil qui voit tous aime avoir sans avoir ce genre de grain de sable dans l’œil.
Il faut se souvenir que les années suivantes, ont eu comme effets de changer les billets de banque en effacent les termes « Ce billet est payable au porteur et ce billet est à cour légale ». La Banque du Canada à un gouverneur nomme par le gouvernement, mais qui lui a été fortement suggéré par le dirigeant des banques privées. Toutes les banques, ainsi les corporations et autres en Amérique du Nord appartiennent à une seule famille, les Rockefeller. Dans les années 80, cet empire récoltait 4.3 milliards par jour. Pour en connaître davantage, il suffit d’aller sur Google et rechercher la vidéo du Père Jean-Paul Regimbal 1983 (Illuminati vue par des Québécois).
Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
J'ai trouvé celle-là :
https://www.youtube.com/watch?v=wFpeDkwc9tM
Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
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Voici les courriels sur ce sujet que j'ai échangé avec Gérard Fillion, chroniqueur économique à Radio Canada:
M. Fillion de très mauvaises langues disent que vous n'avez pas parlé du procès '' Le Peuple vs Banque du Canada '' qui eut lieu la semaine dernière le 26 janvier 2015 par l'avocat constitutionnaliste Rocco Galati car, toujours selon ces très mauvaises langues, vous auriez été censuré par le gouvernement Fédéral. Pourtant on parle de ce procès partout. Qu'en est-il au juste s.v.p.?
Maintenant la réponse de M. Fillion :
Wow !
C'est comme ça que vous vous informez ? Avez-vous lu le jugement ?
On en parle partout ? Où au juste ? Dans quel média professionnel et crédible ?
J'ai lu le jugement. COMER a perdu en première instance et en appel. Le groupe a 60 jours pour faire des amendements et revenir en cour. Leur cause n'est pas morte, mais de là à crier victoire... et dans votre cas, à la censure ?
La prochaine fois que vous avez une question à poser, faites-le simplement.
Bien à vous,
Gérald Fillion
Voici ma réponse :
Merci pour votre réponse, c'est gentil de votre part.
De fait il semblerait bien qu'aucun média professionnel et crédible en ait parlé, dont le vôtre.
Il ne s'agit pas de crier victoire de quelques façons que ce soit, mais d'avoir accès à de l'information et j'espérais que vous nous en donneriez car ce procès est important.
Alors voici ma demande, ma question, simple : Pourriez-vous nous faire le suivi de ce procès et de nous en tenir informer?
Merci!
Maintenant et pour finir sa réponse :
Bonjour,
Certainement, comme pour les autres dossiers. Cela dit, ce dossier pourrait durer des années encore.
Au plaisir,
GF
Ma toute dernière réponse :
Merci à nouveau, nous vous suivrons, comme d'habitude, avec un grand intérêt.
Passez une belle soirée M. Fillion.

Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
Merci Contact.
Je vous sais gré d'avoir rappelé à M. Fillion son obligation première en tant que journaliste, soit la dissémination de l'information.
Ceci dit, et loin de moi l'idée de remettre sa crédibilité en cause, je m'étonne que M. Fillion ait déclaré que COMER ait perdu son pourvoi en appel, alors que sur le site de COMER, rien n'a encore été mis en ligne au sujet de la décision rendue suite à l'audition de la cause le 26 janvier dernier. Pourtant, les compte-rendus de toutes les autres instances judiciaires à ce sujet y figurent. D'autant plus que la prise en délibéré d'une cause aussi importante peut prendre plusieurs mois, et non pas une semaine ou deux, surtout quand on sait le volume de causes que ce tribunal a à sa charge.
Il eut été intéressant que M. Fillion vous fasse suivre une copie du fameux jugement en appel de la Cour fédérale qu'il dit avoir lu.
Il ne nous reste plus qu'à voir si M. Fillion respectera l'engagement qu'il a solennellement pris devant vous. À suivre...
Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
...''Il eut été intéressant que M. Fillion vous fasse suivre une copie du fameux jugement en appel de la Cour fédérale qu'il dit avoir lu.'' Baryton
Je viens de lui en faire la demande. Je vous communiquerez la suite.
Passez une belle nuit Baryton.

Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
...''Il eut été intéressant que M. Fillion vous fasse suivre une copie du fameux jugement en appel de la Cour fédérale qu'il dit avoir lu.'' Baryton
Je viens de lui en faire la demande. Je vous communiquerez la suite.
Passez une belle nuit Baryton.
Merci Contact.
Afin de s'assurer que tout le monde comprenne bien la chronologie de l'affaire :
La cause de première instance a été rejetée sans possibilité d'appel par un protonotaire de la Cour fédérale le 9 août 2013. (Un protonotaire peut siéger à la Cour fédérale en première instance seulement; ce n'est pas un juge à proprement parler. Par contre, seul un juge peut accueillir les pourvois en appel en Cour fédérale.)
Malgré cela, COMER a quand même interjeté appel de ce jugement le 10 décembre 2013 devant la Cour fédérale.
Le requête en appel de COMER a été en partie accueillie par le tribunal le 24 avril 2014.
Le pourvoi en appel a été présenté devant la Cour fédérale le 25 janvier 2015, soit près d'un an après que la requête eut été accueillie.
On ne connaît pas encore la décision du juge de deuxième instance. À mon avis, il semble prématuré de déclarer que COMER a perdu sa cause en appel. Et le cas échéant, COMER eut sans doute fait part qu'elle porterait ce jugement en appel devant la Cour Suprême, étant donné l'enjeu d'envergure nationale que représente cette affaire. Pourtant, rien n'a encore transpiré à ce sujet...
Au plaisir de lire la suite.
Nos chers amis américains, versus Banque Centrale
A suivre donc, et merci pour les informations !