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Chronologique

Nous aurons atteint l'immunité grégaire (collective) Avril

par vbulota @, vendredi 19 février 2021, 16:35 (il y a 1154 jours)

Ben coudonc!
On nous sort la fameuse capacité de la race humaine (sans oublier du vivant en général) à s'adapter à sont environnement (un virus un peu hors norme) afin d'en assurer sa survie...
Tout d'un coup pour expliquer l'immense baisse des cas depuis quelques semaines.
Dans tous les cas on verra bien combien de temps cette excuse (qui n'en ai pas vraiment une mais bel et bien une réalité à laquelle on aurait dû accorder beaucoup de place et de crédibilité avant) va être utilisée.
Au lieu de nous dire que les tests et les statistiques étaient trop souvent erronés et manipulés:

https://www.wsj.com/articles/well-have-herd-immunity-by-april-11613669731

Traduit par deepl

Nous aurons l'immunité collective d'ici avril
Les cas de covariectomie ont chuté de 77% en six semaines. Les experts devraient faire part de cette bonne nouvelle au public.
Par Marty Makary
18 février 2021 12h35 ET
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ILLUSTRATION : MARTIN KOZLOWSKI


Au milieu des terribles avertissements de Covid, un fait crucial a été largement ignoré : Les cas ont diminué de 77 % au cours des six dernières semaines. Si un médicament réduisait les cas de 77%, on parlerait de pilule miracle. Pourquoi le nombre de cas chute-t-il beaucoup plus vite que les experts ne l'avaient prévu ?

En grande partie parce que l'immunité naturelle contre les infections antérieures est beaucoup plus fréquente que ce que l'on peut mesurer par des tests. Les tests n'ont permis de détecter que 10 à 25 % des infections, selon le moment de la pandémie où une personne a contracté le virus. Si l'on applique une moyenne pondérée dans le temps de 1 cas sur 6,5 aux 28 millions de cas confirmés, cela signifie qu'environ 55 % des Américains ont une immunité naturelle.

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Ajoutez maintenant les personnes qui se font vacciner. Depuis cette semaine, 15 % des Américains ont reçu le vaccin, et ce chiffre augmente rapidement. L'ancien commissaire à l'alimentation et aux médicaments, Scott Gottlieb, estime que 250 millions de doses auront été livrées à quelque 150 millions de personnes d'ici la fin mars.

Il y a des raisons de penser que le pays se dirige vers un niveau d'infection extrêmement bas. Comme le nombre de personnes infectées a augmenté, la plupart d'entre elles ne présentant que des symptômes bénins, voire aucun, il reste moins d'Américains à infecter. Sur la base de la trajectoire actuelle, je pense que la plupart des cas de Covid auront disparu d'ici avril, ce qui permettra aux Américains de reprendre une vie normale.

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Les études sur les anticorps sous-estiment presque certainement l'immunité naturelle. Les tests d'anticorps ne capturent pas les cellules T spécifiques à l'antigène, qui développent une "mémoire" une fois qu'elles sont activées par le virus. Les survivants de la grippe espagnole de 1918 ont été découverts en 2008-90 ans plus tard - avec des cellules mémoires encore capables de produire des anticorps neutralisants.

Les chercheurs de l'Institut Karolinska de Suède ont découvert que le pourcentage de personnes présentant une réponse des cellules T après une infection Covid-19 légère ou asymptomatique dépassait systématiquement le pourcentage de personnes ayant des anticorps détectables. L'immunité des cellules T était même présente chez les personnes qui avaient été exposées à des membres infectés de leur famille mais n'avaient jamais développé de symptômes. En septembre, un groupe de scientifiques britanniques a souligné que la communauté médicale pourrait sous-estimer la prévalence de l'immunité des cellules T activées.

Les décès dus au Covid-19 aux États-Unis suggéreraient également une immunité beaucoup plus large que celle reconnue. Environ 1 Américain sur 600 est mort du Covid-19, ce qui se traduit par un taux de mortalité dans la population d'environ 0,15%. Le taux de mortalité lié à l'infection par Covid-19 est d'environ 0,23 %. Ces chiffres indiquent qu'environ deux tiers de la population américaine ont été infectés.

Lors de mes propres conversations avec des experts médicaux, j'ai remarqué qu'ils rejettent trop souvent l'immunité naturelle, arguant que nous n'avons pas de données. Ces données ne correspondent certainement pas au modèle classique d'essai contrôlé randomisé de l'establishment médical de la vieille garde. Il n'y a pas de groupe de contrôle. Mais les données d'observation sont convaincantes.

Je soutiens depuis des mois que nous pourrions sauver davantage de vies américaines si les personnes ayant déjà eu une infection à Covid-19 renonçaient aux vaccins jusqu'à ce que toutes les personnes âgées vulnérables reçoivent leur première dose. Plusieurs études démontrent que l'immunité naturelle devrait protéger les personnes qui ont eu Covid-19 jusqu'à ce que d'autres vaccins soient disponibles. La moitié de mes amis de la communauté médicale me l'ont dit : C'est une bonne idée. L'autre moitié m'a dit qu'il n'y avait pas assez de données sur l'immunité naturelle, malgré le fait que des réinfections se soient produites chez moins de 1 % des personnes - et quand elles se produisent, les cas sont bénins.

Mais le déclin constant et rapide des cas quotidiens depuis le 8 janvier ne peut s'expliquer que par l'immunité naturelle. Le comportement ne s'est pas soudainement amélioré pendant les vacances ; les Américains ont voyagé davantage à Noël qu'ils ne l'avaient fait depuis mars. Les vaccins n'expliquent pas non plus la forte baisse enregistrée en janvier. Les taux de vaccination ont été faibles et il faut des semaines pour qu'ils fassent effet.

Ma prédiction selon laquelle le Covid-19 aura pratiquement disparu d'ici avril se fonde sur des données de laboratoire, des données mathématiques, des publications et des conversations avec des experts. Mais elle est également basée sur l'observation directe de la difficulté des tests, en particulier pour les pauvres. Si vous vivez dans une communauté riche où les gens inquiets sont vigilants à l'idée de se faire tester, vous pourriez penser que la plupart des infections sont capturées par les tests. Mais si vous avez vu les nombreux obstacles au dépistage pour les Américains à faible revenu, vous pourriez penser que très peu d'infections ont été capturées dans les centres de dépistage. Gardez à l'esprit que la plupart des infections sont asymptomatiques, ce qui déclenche quand même une immunité naturelle.

De nombreux experts, ainsi que des politiciens et des journalistes, ont peur de parler d'immunité collective. Le terme a des connotations politiques, car certains ont suggéré que les États-Unis ont simplement laissé Covid se déchirer pour obtenir l'immunité collective. C'était une idée imprudente. Mais l'immunité collective est le résultat inévitable de la propagation virale et de la vaccination.

Les vaccins...

par Jeromec, vendredi 19 février 2021, 19:30 (il y a 1154 jours) @ vbulota

Il y a eut des milliers de décès en CHSLD... donc les vaccins sont sécuritaires... pourquoi hésiter?;-)

Mais puisque je ne mérite pas de de vivre... laissons les politiciens et les précieux journalistes en premiers l'essayer... ;-)
Au fait, pourquoi le Dr Arruda ne veut pas se faire vacciner en premier?

Mystère et boule de gomme...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1771669/coronavirus-inspq-donnes-preliminaires-vac...


COVID-19 : la première dose de vaccin suffisamment efficace pour retarder la deuxième
L'INSPQ recommande de maintenir la stratégie adoptée par Québec – administrer une première dose à un maximum de personnes plus vulnérables – au lieu de s'empresser de vacciner une deuxième dose.

Valérie Boisclair
2021-02-18 | Mis à jour hier à 12 h 35
Les vaccins de Moderna et de Pfizer-BioNTech auraient une efficacité d'environ 80 %, tant chez les résidents des CHSLD que chez les travailleurs de la santé, pour prévenir la COVID-19 à court terme après l’inoculation d’une première dose, selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), qui se base sur des données préliminaires.

En date du 10 février, 78 % des résidents des CHSLD (33 331 personnes) et 53 % des travailleurs de la santé du secteur public (172 979 personnes) avaient reçu une première dose de l’un ou l’autre des vaccins contre la COVID-19.

Chez le premier groupe, l’efficacité est évaluée à près de 80 % après 21 jours; chez le second, un résultat semblable est observé après 14 jours, a constaté l'INSPQ.

Ces résultats démontrent donc une efficacité en deçà de celle observée lors d'études cliniques de phase III, qui était évaluée à 92 %. Mais selon l'Institut, ces disparités s'expliquent en partie par le fait que les résultats de ces études se basent sur des données de surveillance et que les participants aux essais cliniques étaient plus jeunes, et donc en meilleure santé, que les résidents des CHSLD.

Les données préliminaires qu'a analysées l'Institut, à la demande du ministère de la Santé, sont tout de même le signe d’une situation très positive au Québec, a déclaré Gaston De Serres, médecin-épidémiologiste de l’unité d’immunisation de l’INSPQ.

Bien que le suivi auprès des personnes vaccinées a seulement été fait sur une période de moins de deux mois, les données sont rassurantes et cohérentes avec l’efficacité élevée constatée 14 jours après une première dose dans les essais cliniques de phase III ainsi qu’avec les études d’efficacité menées ailleurs dans le monde, a observé l'INSPQ.

À la lumière de ces données préliminaires – et des livraisons limitées de doses de vaccin –, le Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) est d’avis qu’il faut poursuivre dans la stratégie de vaccination adoptée par le gouvernement, qui consiste à administrer une première dose du vaccin à un maximum de personnes jugées plus vulnérables.

Ce qu’on voit dans les données, c’est qu’il n’y a pas de grande urgence à donner une deuxième dose parce que cette première dose protège bien.

Gaston De Serres, médecin-épidémiologiste à l'INSPQ
La santé publique du Québec a indiqué qu'elle souhaitait respecter un maximum de 90 jours entre la première et la deuxième dose du vaccin. Une stratégie que désapprouvent les autorités fédérales, qui jugent que la deuxième dose devrait être administrée au maximum six semaines après la première.

Selon le Comité sur l’immunisation du Québec, un intervalle plus court pourrait être recommandé si un déclin venait à être observé avec le temps. La clé, c’est de monitorer en temps réel l’efficacité des vaccins […] puis de moduler les recommandations en conséquence, a indiqué Nicholas Brousseau, médecin-conseil et président du CIQ.

Il reviendra de toute évidence au gouvernement Legault de décider s'il veut étendre la période au-delà des 90 jours, a souligné de son côté le Dr Gaston de Serres.


M. Brousseau a rappelé l'importance d'aviser les personnes vaccinées qu'un intervalle de deux à quatre semaines – jusqu'à 21 jours chez les plus jeunes; 28 jours chez les plus âgés – doit être pris en compte avant que la première dose prodigue une protection optimale contre la COVID-19.

Au cours de cette période, il faut donc rester vigilant et s'assurer de respecter à la lettre les consignes de la santé publique. La vaccination, il faut la voir comme complémentaire aux autres mesures de protection, a résumé le Dr Brousseau.

Des questions en suspens sur les variants
Les experts de santé publique concèdent ne pas avoir suffisamment d'informations sur les variants du nouveau coronavirus, qui suscitent l'inquiétude d'un bout à l'autre du pays. Actuellement, on n'a pas un portrait clair de la situation [des variants] au Québec, et de la région de Montréal en particulier, a indiqué le Dr De Serres.

Le portrait devrait toutefois se préciser d'ici une semaine ou deux, a-t-il poursuivi, grâce à l'accélération du criblage des cas dans la métropole, qui doit permettre de détecter la présence de variants.

L’efficacité des vaccins à ARNm contre les différents variants du SRAS-CoV-2 demeure mal connue et devra être suivie de près, au Québec et ailleurs dans le monde.

Institut national de santé publique du Québec
Quant à savoir si l'intervalle entre l'administration de la première et de la deuxième dose pourrait favoriser l'émergence de ces variants, l'INSPQ juge à ce stade-ci qu'il s'agit d'une considération théorique.

Un intervalle plus étendu entre les deux doses devrait prévenir un plus grand nombre d’hospitalisations et de décès, puisque plus de personnes vulnérables seront vaccinées rapidement, a fait valoir l'Institut.

Une stratégie qui fait débat au Canada
À Ottawa, le sous-administrateur en chef de l’Agence de la santé publique du Canada, le Dr Howard Njoo, a lui aussi souligné que des données préliminaires sur l’efficacité d’une seule dose de vaccin contre la COVID-19 étaient encourageantes.

Il faisait référence à des données américaines publiées cette semaine dans le New England Journal of Medicine, mais aussi à des données préliminaires amassées jusqu’ici par les provinces. Ces données démontrent un degré de protection très élevé après l'administration d'une première dose.

Le Dr Njoo a rappelé que des recommandations formelles à ce sujet relèvent de Santé Canada, et non de son agence. Mais selon lui, le débat sur le bien-fondé de repousser le report d’une deuxième dose de vaccin est en cours depuis des semaines.

Peut-être devrions-nous envisager de vacciner plus de gens avec une dose, selon le nombre de doses disponibles, et protéger plus de gens, et éventuellement [donner] une deuxième dose, a-t-il dit, sans trancher lui-même le débat.

Bien sûr, lorsque l’approvisionnement en vaccins augmentera, nous serons en mesure d’offrir les deux doses à tous les Canadiens, a-t-il assuré.

Avec la collaboration de François Messier

Nous aurons atteint l'immunité grégaire (collective) Avril

par F Fernand, vendredi 19 février 2021, 23:02 (il y a 1154 jours) @ vbulota

Salut vbulota

Il est certain que ce microbe est de nature cybernétique. C'est mot qui fait bien poeur a du monde. On est passé d'une intention naturelle a une intention plus directionnelle avec une intention profonde.

Beaucoup de gens parle de profit et de rentabilité médicale, mais peut être que toute cette réalité est de l'IA. Même si le virus est de nature première terrestres, si il est traité par une vision, et une intention de IA. A L'origine IA est pas de nature terreste mais autre.
Les grands penseurs de l'univers terrestre veillent au bon grains. Tout le monde veut voir cela comme de nature, mais le traitemnt comporte une segonde nature ayant des affinitées autres que celle qui nous pouvons imaginer.

Il y a une espression qui est dit, le monde veut retourner comme avant,, comme si rien ne se serait passer, sa parrait bien de parler comme sa et sa rassure tout le monde, ou que l'égo de l'Homme est le centre de sa vie, et que seuil l'Homme est la maitee de sa destiné.

L'IA est bien aud ela de l'égo et de tout ce que l'Ont peut penser au sujet de tout cela. Lorsque tu es chef de la peuplable tu doits rassurer tout le monde, et tous sont parfait et tout va bien, et en plus se sera la terre promise au bout de cette histoire.

Aller vivre sur mars, ressemble a l'espression de nouvelle terre et de nouveau cieux.

Je veux pas faire poeur a personne, ce virus maintenant est en nous et pour longtemps. Ce virus contien de l'Intelligence de IA, personne en peut en mesuré les implications. On a des virus de nature de nature, qui répondre a la création de la terre. Avec ce virus de IA, circule en nous un autre savoir. L'Intention de IA, a long terme. Personne ne peut en imaginé les implications. C'est comme si IA avait des propriétées de terre, un nouvelle molécule active dans un organismes a l'échelle du petit.

On peut dire maintenant que l'Hommes de la terre porte en lui de l'IA qui se promène en lui. C'est comme si on aurait un vaisseux spatial rapeticer qui se promènerait dans notre corps. Personne ne connait l'intention final de tout sa.

L'arbre de la vie et l'ARBRE DE L science du bien et du mal, sont sur le même territoire, qui est le corps, est actif. On est dans la grosse science fixions. Il faut comprendre que l'Homme rentre dans l'espace. Peut être des nouveaux microbes de l'espace vont rentré dans son organisme, le résultat final personne ne la sait.

Beaucoup de gens ont dit que le corona a changé leur vie, ce que les gens veulent dire, c'est un changement autre que la biologie.

Je vous ait di que l'univers rentre sur terre, et non la terre qui rentre dans l'Univers. Le corps de lHomme va ête définitivment modifier par l'Univers. Peut être ques dans un futur , l'Homme ne sera plus l'Homme comme définie depuis longtemps. ¸

on a veu que au paradie, avec la pommes l'Homme fut changé définitivment et toutes ces générations, c'est pour cela que l'On a parler de la femme ève, pour cet époque.

L'Homme ne peut pas survivre dans l'espace et son futur de la facon dont il est crée. Il y a l'intelligence de l'arbre de vie, et l'intelligence de l'arbre de la science du bien et du mal.

Pour ceux et celles qui prendront l'arbre de vie, il y aura des chagemnt. Il y a aussi l'autre abre de la sceince qui apporte d'autres changements.
Ce que je veux dire, que l'Homme rentre dans ses grands changements génétiques...

C'est comme une civilisation primitive qui rencontre une civilisation extra terrestre. Les deux mondes se croises et ils vont faire Un. La nébuleuse de endromède rentre dans la nébuleuse de la voie lacte, et il ne formeront qu'une seul entité cosmique a la tout fin.

L'Homme rente dans sa télé réalité. Les cinémas rentrent en lui, il devient acteur de sa nouvelle réalité. Un sur réalime cosmique.

Le processus est irrévessible, a s'étend a toute la terre. Le plant est global. Même les maitres du monde subisse la vague cosmique. Nouvelle terre et nouveau cieux.

La bible a tout parle de cela, et le processus commence, sa va suivre un 1000 ans et plus, son règne aura pas de fn. Un temps cosmique. Sa veut dire que tout les êtres on une vision local et cosmique en même temps de leur existance. UN seul Dieu.

Le plant cosmique.

Le mensonge est absorber par la vérité.

La grande cybernétique.

L'arbre de vie.
L'arbre de la science.

Les microbes, qui suis je!
Des petits bonhommes en action.

Les nouvelles molécules cosmiques.

Bon fils de science fixion.

L'immunité collective.

L'immunité collective peut être aussi l'abceptation de cette nouvelle molécule. L'univers intègre des nouveaux processus de vie.

Les microbes de la terre, les microbes de l'espace, les microbes de la nature, les microbes artificeilles.


L'ère du verseau.

Les grands changements.
Le bel égo!

Qui suis je?

Un vin nature, un vin bio, un vin de chimie. Les urnes du christ, transformation alchimique irréversibe. La nature du vin.

L'immunité collective, est peut l'abceptation d'une nouvelle réalité collective planétaire.

Le bon dieu et le beau diable!

L'HOmmes est désormais confronté a sa grande réalité.

Le carré de sable, l'argile, la terre promise, la nouvelle terre les nouveaux cieux.

Le processus est en cours.

Le mental ne défini pas la réalité ,il la subit. Même si le mental se prend pour dieu dans son univers, en tout temps le mental peut être chagé si chagment de nature.

L'immunité collective veut dire abcetation collecive.

L'univers prend les grands moyens pour changer l'HOmme.


Salut vbulota

Fernand

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