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Chronologique

Bourses-Solutions présenté à Danièle Henkel

par Jeromec, samedi 25 février 2017, 01:20 (il y a 2615 jours)

Saison des REER... MAIS... avez-vous remarqué qu'il y a BEAUCOUP moins de pub de REER DAns les journaux cette année?

Ou sont passé les grandes réclament publicitaires vantant les rendements des Fond$ de placement$

Pourquoi le Journal de Montréal/Québec a-t-il retiré les graphiques des bourses?

Est-ce que l'on tenterait de nous cacher un Krach boursier qui est en cours....?;-)

LA bourse fracasse les records... mais ''Tout ce qui monte doit redescendre''

Je parle de tout cela, et bien plus.. avec mon amie ''Twitter'' Danièle Henkel...

Bourses-Solutions présenté à Danièle Henkel

Oyé, Oyé... Le Jérô-Show Présente Bourses-Solutions à Danièle Henkel!

A la Caméra : Jim Lego

Avertissement : Rien dans cette vidéo n'est un conseil d'investissement. Les bourses sont risquées. Les résultats du passé ne sont pas garants du futurs. Les résultats simulés ne seraient pas nécessairement survenus dans la réalité.


https://www.youtube.com/watch?v=PqqR9L5YQMY

Sabia prédit beaucoup de turbulences

par Jeromec, samedi 25 février 2017, 08:53 (il y a 2614 jours) @ Jeromec

Espérons qu'ils ont tiré des leçons de 40 milliards... parce que ça serait franchement décevant si la Caisse de dépôts devait perdre encore un autre 40 milliards de dollars comme en 2008... ;-)

http://www.journaldemontreal.com/2017/02/24/un-rendement-de-76--pour-la-caisse-de-depot...

Sabia prédit beaucoup de turbulences

Après un rendement de 7,6 % en 2016, la Caisse prévoit des chocs importants en 2017 aux États-Unis et en Europe
(Sans Blague???;-) )

 Devant la complaisance des marchés, la prudence est de mise »
–Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse

La Caisse de dépôt et placement du Québec était fière d’annoncer vendredi un rendement de 7,6 % pour 2016. Toutefois, son PDG nous prévient qu’il faut se préparer à une année mouvementée en 2017.

En conférence de presse, Michael Sabia a indiqué qu’il fallait être prudent pour l’année à venir, estimant que le risque géopolitique était actuellement sans précédent dans le monde, faisant référence notamment à la montée de l’idéologie protectionniste aux États-Unis et en Europe. «Devant la complaisance des marchés, la prudence est de mise», a-t-il insisté.

Dans ce contexte, il a dit qu’il était très important pour la Caisse d’avoir un portefeuille

«tout-terrain» robuste, capable de résister à des chocs importants.

Il a dit que la Caisse souhaitait surtout obtenir un rendement supérieur advenant une baisse importante des marchés.

«Sur le plan économique, l’enjeu fondamental demeure inchangé: une croissance mondiale au ralenti, plombée par le faible niveau d’investissement des entreprises. En toile de fond, il y a aussi des risques géopolitiques importants.»

Rendement de 7,6 % pour 2016

L’année 2016 a été une moins bonne performance qu’en 2015, alors que le rendement s’était établi à 9,1 %. L’année précédente, en 2014, il s’était élevé à 12 %.

Le bas de laine des Québécois obtient quand même une performance supérieure à son portefeuille de référence qui s’est établi à 5,8 %.

L’actif net de la Caisse atteint maintenant 270,7 milliards $. (On est plus riche qu'on essaie de vous faire a croire... ;0) )

«Notre stratégie qui met l’accent sur la sélection rigoureuse d’actifs continue de livrer des résultats solides», a affirmé Michael Sabia, grand patron de la Caisse, en conférence de presse.

Le portefeuille d’actifs réels a généré un rendement de 10,6 %.

La Caisse a vanté la grande stabilité du rendement de ce portefeuille (constitué en partie de centres commerciaux de qualité supérieure et d’immobilier résidentiel un peu partout dans le monde), qui représente maintenant 28 % de tout l’actif de la Caisse.

Le portefeuille d’actions (+10,4 %) a de son côté été dynamisé par la forte performance des actions canadiennes (+22,7 %), en particulier les banques et les matériaux de base.

Le portefeuille revenu fixe a affiché un rendement de 2,9 %, une performance en baisse par rapport à la moyenne de cinq ans.

Michael Sabia a révélé son intention de restructurer ce portefeuille dans l’avenir pour l’orienter davantage vers les obligations corporatives pour stimuler le rendement.

Centres d'achats à risque

La Caisse réduit peu à peu son exposition aux centres commerciaux pour augmenter ses investissements dans les centres de logistique. Ces centres servent à entreposer les produits vendus sur internet. Daniel Fournier, patron d’Ivanhoé Cambridge, a dit que la Caisse n’était plus intéressée que par les centres commerciaux «super dominants». «Ça peut être payant pour nous d’avoir un client comme Amazon», a-t-il dit. En 2014, la Caisse a vendu pour 1,5 milliard $ d’immeubles commerciaux à Cominar, dont 11 centres d’achats au Québec.
Un fonds ontarien bat la caisse

Les actions canadiennes ont été les grandes gagnantes des marchés boursiers mondiaux en 2016 et la Caisse en a pâti. Elles ne représentent qu’un tiers de son portefeuille d’actions. Par comparaison, le fonds de retraite ontarien OMERS, très concentré au Canada, a dégagé un rendement de 10,3 %. Michael Sabia a rétorqué que l’an passé, la situation était l’inverse.
Trois dossiers chauds pour Michael Sabia

CIMENTS MCINNIS: Il a fallu poser une question pour obtenir une mention en conférence de presse du mégaprojet de cimenterie de Port-Daniel en Gaspésie. Christian Dubé a dit que le projet allait bien et que les premières livraisons de ciment auraient lieu au printemps 2017. La Caisse a dû réinvestir 125 millions $ cet été dans le projet.

RÉSEAU ÉLECTRIQUE MÉTROPOLITAIN (REM): Le Réseau électrique métropolitain continue de soulever bien des questions sur son rendement réel et ses coûts. L’achalandage à prévoir et le partage de la captation foncière sont aussi une source de préoccupations. Sabia a dit ne pas «avoir de boule de cristal» au sujet de certains aspects du REM.

TRUMP ET... LE PEN?: Michael Sabia n’a pas caché son inquiétude devant la montée du protectionnisme. Il s’est dit surpris de la bonne tenue de la Bourse depuis l’élection de Donald Trump.
5 ANS DE RENDEMENT

2016 : +7,6 %

2015 : +9,1 %

2014 : +12 %

2013 : +13,1 %

2012 : +9,6 %

ACTIF NET EN 2016

♦ 270,7 G$

♦ + 110 milliards $ sur 5 ans
La caisse gère l’argent de qui ?

Elle gère les cotisations de retraite de plusieurs millions de travailleurs regroupés dans 40 organismes déposants, dont le Régie des rentes du Québec, la Sûreté du Québec, les employés de l'État, les travailleurs de la construction, etc.

♦ 5,2 M de cotisants

♦ + de 2 millions reçoivent des prestations des déposants

Radio-Canada : La caisse de dépôt....

par Jeromec, samedi 25 février 2017, 09:02 (il y a 2614 jours) @ Jeromec

Pour reprendre la fameuse ''Question qui tue'' de la Grande Messe du dimanche soir de Radio-Canada?

Avez-vous vendus vos actions pour sécuriser les profits... si oui, combien...?

En passant, si on misait un peu moins sur les actions et davantage sur les obligations d'épargne du Québec (afin de devenir proprio de notre dette), il me semble que ça pourrait être une décision Sage.. non? ;-)


http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1018801/un-rendement-de-7-6-pour-la-caisse-de-depot...

Un rendement de 7,6 % pour la Caisse de dépôt et placement en 2016 (on s'en reparlera après le krach....;-)


Les avoirs des régimes de retraite et d'assurance des Québécois ont augmenté de 7,6 % l'an dernier pour s'établir à 270,7 milliards de dollars, révèlent les résultats financiers de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) rendus publics vendredi. « Nous avons encore une fois livré la marchandise », estime son président et chef de la direction, Michael Sabia.

Un texte de François Messier

Le rendement de 7,6 % surpasse l’indice de référence de la Caisse de 1,8 point de pourcentage, mais n’en constitue pas moins une quatrième baisse de rendement consécutive pour le « bas de laine des Québécois ».

En 2015, la CDPQ avait déclaré un rendement de 9,1 % contre 12 % en 2014 et 13,1 % en 2013. Les résultats de 2016 sont aussi les plus faibles depuis 2011.

Ces résultats placent la Caisse dans la moyenne canadienne. La Banque Royale du Canada a par exemple fait état d'un rendement moyen de 6,8 % pour les caisses de retraite au pays en 2016, selon ses évaluations.

Grâce à des dépôts nets de 4,3 milliards de dollars et des revenus de placement de 18,4 milliards, les actifs de la Caisse ont augmenté de près de 23 milliards en 2016 pour s’établir à 270,7 milliards de dollars.

Les deux tiers des revenus de placement de la Caisse proviennent de ses investissements sur les marchés boursiers, et plus particulièrement de son portefeuille d'actions canadiennes, qui a bondi de 22,7 %, grâce au rebond des titres pétroliers et financiers.

Une stratégie qui fonctionne, selon Sabia

En conférence de presse, Michael Sabia, s'est félicité des « rendements solides » de son institution. Il ne se formalise guère de la baisse du rendement des dernières années, une situation qu'il impute essentiellement aux fluctuations des marchés mondiaux, dans un contexte d'incertitudes.

« En 2013, les marchés mondiaux ont livré un niveau de rendement […] d’à peu près 31 %. En 2016, c’est 4 %. Donc, la caisse n’est pas immunisée des marchés », a-t-il noté avec philosophie, en disant croire que la stratégie de la caisse a permis de minimiser les effets négatifs que cela entraîne.

Le patron de la Caisse met essentiellement l'accent sur le rendement de 10,2 % obtenu au cours des cinq dernières années, battant son indice de référence de 0,9 %.

« Notre orientation n’est jamais sur le court terme. Notre orientation est toujours sur une période de 5 ans, même 10 ans, parce que nous sommes une caisse de retraite », rappelle-t-il. « Dans ce contexte, notre objectif est d’agir de façon prudente, de saisir les meilleures occasions pour générer le rendement nécessaire pour répondre aux besoins des Québécois et des Québécoises. »

Notre objectif est d’éviter les montagnes russes. Notre objectif, notre stratégie, vise la stabilité. C’est notre orientation fondamentale pendant cette période où le monde est franchement plein d’incertitudes.
Michael Sabia

« Dans les circonstances actuelles dans le monde, robustesse, résilience, c’est les deux mots qui comptent », a poursuivi M. Sabia. « Ça fait partie fondamentalement de notre stratégie d’investissement pour continuer à générer de bons rendements, des rendements solides, stables, et éviter les montagnes russes qui sont déjà, sont toujours, un élément de la performance à plus long terme des marchés. »

Michael Sabia se félicite par ailleurs que la CDPQ ait augmenté de 3,4 milliards de dollars ses investissements dans le secteur privé au Québec.

« On cherche des occasions de contribuer au développement de la nouvelle économie québécoise, d’encourager les sociétés québécoises à s’installer à l’international », a-t-il plaidé. « C’est la meilleure façon pour nous d’encourager la mondialisation de l’économie québécoise. Nous avons faits des progrès importants à cet égard en 2016. »

Le développement économique du Québec et le rendement vont de pair. Je pense qu’en 2016 nous avons confirmé l’importance de ce partenariat.
Michael Sabia

Une incertitude attribuable à Donald Trump et à la montée du populisme

Pour l'année en cours, la Caisse de dépôt et placement gardera un oeil sur les risques géopolitiques qui sont multiples, qu'il s'agisse de la situation qui prévaut en Chine, en Russie et en Turquie, du Brexit ou de l'élection présidentielle française à venir.

L'arrivée au pouvoir de Donald Trump et les risques que cela fait courir à l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) arrivent toutefois en tête de liste à ce chapitre.

« Pour nous, franchement, la chose la plus importante est de surveiller de façon intense les développements aux États-Unis, parce que le niveau d'incertitude est très très très élevé », a expliqué Michael Sabia.

L’administration de M. Trump a dit beaucoup de choses jusqu’à [présent], mais c’est trop tôt pour développer une bonne lecture de ses orientations fondamentales sur le plan économique. Donc, notre orientation pour l’instant, c’est : surveiller, surveiller, surveiller.
Michael Sabia

Le premier vice-président et chef des placements de la CDPQ, Roland Lescure, évoque pour sa part une montée générale du populisme à l'échelle mondiale.

« C’est 2,8 milliards de gens qui soutiennent, qui votent ou qui ont mis au pouvoir des leaders populistes. Le populisme, c’est des solutions simples à des problèmes complexes, et ça, on sait bien que ça ne fonctionne pas. Donc, le risque que ces solutions simples fassent déraper quelque chose, que ce soit la croissance, éventuellement des conflits, les marchés, c’est énorme », a-t-il noté.

« Quand on regarde les marchés aujourd’hui, ils sont au plus haut, les taux sont au plus bas, la confiance des investisseurs est à peu près au plus haut, et la volatilité est au plus bas. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas derrière ça. Donc, il faut évidemment qu’on garde les yeux sur la balle, qu’on reste très conscient de ces risques, et surtout qu’on reste ancré dans l’économie réelle, parce que l’économie virtuelle va être pas mal touchée par tout ça. »

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