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L'ÉNIGME SACRÉE, CORPUS DEAE, MÉROVINGIENS / GRAAL 28

par panthère58, vendredi 21 janvier 2022, 20:50 (il y a 825 jours) @ panthère58

:-) L'ÉNIGME SACRÉE, CORPUS DEAE, MÉROVINGIENS, GRAAL 28

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L’ours d’Arcadie

363. Les Mérovingiens disaient venir de Noé, via la ville de Troie, la Grèce antique, l’Arcadie, le Danube et le Rhin
364. Arcadie provient « d’Arkades » qui signifie « peuple de l’ours »
365. Arkas (Petite Ours), fils de la nymphe Callisto / Artémis (Grande Ours)

« L’Énigme Sacrée », en page 236 : L’ours occupait donc chez les Francs Sicambres, ancêtres des Mérovingiens, une position semblable. Comme chez les anciens Arcadiens, on l’y adorait sous la forme d’Artémis ou, plus exactement, celle de sa sœur gauloise Arduina, divinité des Ardennes, dont le culte subsista fort avant dans le Moyen Âge. L’un des principaux centres des mystères d’Arduina était Lunéville, non loin de deux localités qui nous sont maintenant familières : Stenay et Orval où jusqu’en 1304, l’Église catholique promulgua des ordonnances interdisant le culte de la déesse païenne.

Mais plus surprenant est le fait qu’en gallois le mot « ours » se dise « arth », d’où vient « Arthur ».

Arrivée des Sicambres en Gaule

366. L’invasion des Huns en Europe provoque des migrations

« L’Énigme Sacrée », en page 236 : C’est à cette époque que les Sicambres traversèrent le Rhin, entrèrent en Gaule et s’établirent dans l’actuelle Belgique et dans le nord de la France, dans la région des Ardennes. Un siècle plus tard, cette contrée deviendrait le royaume d’Austrasie, au cœur de laquelle se situerait l’actuelle Lorraine.

367. En bons termes avec l’Empire romain qui s’écroule, ils le remplacent s’y étant intégrés pacifiquement

« L’Énigme Sacrée », en page 237 : Le régime des premier Mérovingiens se différencia donc à peine de l’ancien Empire romain, et l’administration de la Gaule, apparemment intacte, ne fit que changer de main.

Mérovée et ses descendants

368. Deux Mérovée sont reconnus historiquement : le père et son fils dont on ne sait lequel donne son nom à la dynastie et sa légende
369. Le petit-fils Childéric 1er, poète et orateur, leur succède et donne au royaume des airs de Byzance
370. À l’opposé des Vikings, Huns et Wisigoths, ils commercent plutôt ; ils ont beaucoup d’or

La lignée royale

« Énigme Sacrée », en page 238 : Les descendants mâles de race mérovingienne n’étaient pas « sacrés » rois, mais considérés comme tels dès leur douzième année : ni cérémonie publique, ni couronnement, ni onction ne marquaient cet anniversaire…

371. Le « maire du Palais » administre et le roi mérovingien règne [vizir / pharaon, Hilqiyyahu / Josias , Richelieu / Louis XIII]
372. Les rois mérovingiens sont polygames avec harem

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« Corpus Deae », Anton Parks, en page 65 : Selon les informations du Chapitre 11 du Premier Livre des Rois, Salomon appréciait les femmes et possédait un harem royal…

Le pacte de Clovis (481-511)

373. En 486, Clovis avait agrandi les possessions mérovingiennes et s’apprêtait à devenir un des monarques les plus puissants
374. L’Église romaine cherche à s’imposer parmi les nombreuses formes de christianisme, la papauté n’ayant peu d’aura et de pouvoir
375. Sous Clovis, en 496, la France devient la « fille aînée » de l’Église romaine par alliance
376. Rome va ainsi émerger de sa situation précaire pour s’imposer grâce à Clovis et son armée ; elle va pouvoir devenir l’égale de l’Église de Constantinople
377. Pour le peu qu’il en reste, « La Vie de saint Remi » relate la conversion et le baptême de Clovis
378. La race mérovingienne va pouvoir régner sur le « Saint-Empire romain »

« L’Énigme Sacrée », en page 242 : Pour certains historiens modernes, Clovis, bien avant son baptême, avait d’ailleurs entrevu la possibilité de faire de cet ancien Empire romain le futur héritage de la race mérovingienne.

379. Le traité est ratifié à Reims avec la cérémonie du baptême de Clovis en 496
380. Ce baptême ne fut pas un couronnement Clovis étant déjà roi
381. Le pacte liait les deux partis : l’Église à la lignée mérovingienne comme Dieu à David
382. Clovis amena les Wisigoths à se replier dans le Razès, à Rhedae, Rennes-le-Château

Dagobert II

383. À sa mort en 511, Clovis partage l’empire entre ses fils
384. Cette décentralisation affaiblit l’empire de bien des façons avec les « rois fainéants »
385. Les maires du Palais montent en pouvoir et contribuent à la chute de la monarchie

« L’Énigme Sacrée », en page 244 : Si en effet l’état anarchique du royaume mérovingien allait pousser vers le trône des princes trop jeunes [comme Toutankhamon et Josias] pour ne pas se laisser lamentablement manipuler par leur entourage, d’autres, plus âgés, se révélèrent de véritables souverains. Ce fut notamment le cas de Dagobert II…

386. Dagobert II naît en 651 mais est enlevé à la mort du roi par le maire du Palais Grimoald
387. Jeune enfant de 5 ans échappant de peu à la mort, il sera élevé en Irlande et en Angleterre
388. Il trouve en l’évêque Wilfrid le soutien pour réclamer son trône d’Austrasie

389. À son deuxième mariage, Dagobert se lie avec la lignée des Wisigoths (Rennes-le-Château)
390. De ce mariage en 671, émergera l’image embryonnaire de la France d’aujourd’hui
391. Ce mariage eut lieu à l’Église Sainte-Madeleine à Rhedae (Rennes-le-Château)
392. En 676 naît l’héritier Sigisbert IV, Dagobert II étant devenu roi d’Austrasie
393. Dagobert II rétablit l’ordre dans l’Empire mais ne se fait pas « défenseur » de l’Église

394. En mariant une princesse wisigothe, Dagobert II se voit influencé par l’arianisme
395. Sa régence lui crée des ennemis dont l’envieux maire du Palais Pépin d’Héristal
396. L’Église voyait aussi son expansion réfrénée
397. Stenay, à la frontière des Ardennes, est une des deux capitales du roi et est entourée d’une épaisse forêt
398. Le 23 décembre (jour sacré pour la tribu de Benjamin) 679, il y sera assassiné

399. Exhumer en 872 sur la volonté de Charles II, sa sépulture va se retrouver à une église nommée en son honneur
400. Il sera canonisé le 10 septembre de la même année à Douzy par un concile d’évêques
401. Les siècles suivants verront Stenay, l’église de Saint-Dagobert et ses reliques être vénérées
402. En 1069, le duc de Lorraine place l’église sous la protection de l’abbaye de Gorze
403. La Révolution française détruira l’église et dispersera les reliques

« L’Énigme Sacrée », en page 248 : Au milieu du XIXe siècle cependant, un très curieux document allait faire son apparition, sous forme de poème-litanie en vingt et un vers intitulé « De sancto Dagoberto martyre prose ». Et que disait-il ? Que Dagobert avait été martyrisé pour une raison « bien particulière »… Or, plus étrange encore, ce texte, remontant au Moyen Âge, ou même à des temps plus anciens, avait été découvert à l’abbaye d’Orval…

Usurpation du pouvoir par les Carolingiens

404. La mort de Dagobert met fin à la dynastie authentique mérovingienne
405. Par la suite, les quelques rois mérovingiens venaient de différentes branches et étaient trop jeunes
406. Ainsi la mort de Childéric III en 754 doit être relativisée

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Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=L9DEvLh2gps
Charlemagne, la naissance de l'empire carolingien - Histoire de France épisode 2
53 001 visionnements • 11 févr. 2017
Arcana les Mystères du Monde

Avec la bénédiction du pape, les maires du palais ont usurpé le trône aux derniers Mérovingiens, « les rois fainéants ». Pépin le Bref, devenu roi des Francs en 751, parvient à restaurer l'unité du royaume. Avec la reine Bertrade « Berthe au grand pied », la fille du comte de Laon, un puissant seigneur de l'époque, Pépin a deux fils : Charles et Carloman. Très vite l'aîné Charles s'impose et annonce son style, il se fera appeler « le Grand », et deviendra l'un des plus grands souverains de France qui marqua toute la période du Haut Moyen Âge.

Intro : Les luttes fratricides et les querelles d’héritage viennent à bout des Mérovingiens ainsi affaiblis et vulnérables après 200 ans de règne sur les Francs. Charles Martel, le Maire du Palais et grand-père de Charlemagne, va prendre les rênes, les commandes. Ce qui va commencer le règne des Carolingiens, incarnant une copie des Mérovingiens dans la conduite des choses.

À 0H10’48" du vidéo : Le servage et l’essor de la société carolingienne

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« Énigme Sacrée », en page 249 : Le pouvoir, aux mains des successifs maires du Palais depuis longtemps déjà, allait donc leur revenir, définitivement et officiellement. Après Pépin d’Héristal, assassin du dernier Mérovingien direct, c’est son fils, le célèbre Charles Martel, qui devait régner sur les Francs.

407. La victoire de Martel sur les musulmans à Poitiers en 732 protège la Chrétienté
408. Martel demeure maire du Palais même si le trône est à sa portée
409. Son fils Pépin le Bref s’empare du trône avec l’aval de l’Église (pape Zacharie 741-752)
410. En 751, il dépose et enferme Childéric III (ou IV selon) et coupe sa chevelure
411. En 750 arrive le document de Constantin, un faux, qui lègue droits et biens à l’Église

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« Les héritiers de l’impérialisme romain », François-J. Lessard, en pages 71-73 : La fausse donation de Constantin

Le personnage principal du drame entre en scène. Ou plutôt en coulisse, pour tirer les ficelles qui animent les acteurs visibles. Son nom : Christophore, un moine machiavélique, « primicier » (sorte de premier ministre de trois papes successifs).

Les trois moyens principaux de Christophore, prétendument pour soustraire la papauté à l’influence politico-militaire des chefs de diverses nations, sont les suivants.

Le troisième moyen, pour déclencher cette (première) guerre : la fabrication et l’usage d’un (premier) faux document : « la fausse donation de Constantin » à l’évêque de Rome, Sylvestre, quatre cents ans auparavant.

De rappeler aussi que Constantin se fichait de l’évêque Sylvestre comme de sa première chemise. Mais qui, en 750, savait cela ? Pépin le Bref ?

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« L’Énigme Sacrée », en page 250 : Désormais pape et empereur à la fois, le chef de l’Église catholique pouvait donc, à ce titre, disposer à son gré de la couronne impériale et déléguer ses pouvoirs, en partie ou en totalité, à qui bon lui semblait. En d’autres termes, il possédait, au nom du Christ, le droit irréfutable de faire et de défaire les rois.

412. Ainsi naît le « sacre » des rois en 754 à Ponthion qui modifie le rituel de l’onction
413. Pépin le Bref inaugure la dynastie carolingienne (dont le nom venait de Charles Martel)

« L’Énigme Sacrée », en page 251 : L’Église on l’a vu s’était pourtant liée à jamais à la race mérovingienne en 496. En sanctionnant l’assassinat de Dagobert, en instaurant la cérémonie du sacre et en plaçant Pépin sur le trône franc, elle trahissait en fait secrètement le pacte. Plus encore, avec le couronnement de Charlemagne, elle confirmait définitivement et publiquement sa trahison. On peut donc à juste titre, à la suite d’un historien moderne, s’interroger sur la véritable signification de l’onction.

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Anton Parks, Éd. Nouvelle Terre, 2009

En page 155 : L’onction qui se pratiquait à Abydos (Abdju), la ville sainte d’Osiris, relevait plus d’une forme de baptême pour l’initié, qui devait se plonger dans l’eau du Temple de l’Osireion avant de rencontrer l’effigie du dieu, elle-même dénommée « Mesi » par les prêtres.

En pages 155-156 : À plusieurs reprises, nous avons relevé dans cette enquête que le vocable « Mesi » trouve une valeur toute particulière dans le langage égyptien et que ce mot est en rapport avec le fait de "naître", "d’enfanter" et d’avoir été "fait à la ressemblance de". À la ressemblance de qui, nous n’en savons rien, mais sans doute du père, si ce n’est celle du dieu Osiris dont chaque Égyptien voulait se rapprocher. Nous avons également relevé que l’épithète « Mesi-temu-em-uhem » était un titre donné à Osiris en tant que "celui qui naissance aux mortels une seconde fois".

En page 156 : La mère, comme l’image du père et comme son propre fils, pouvait porter le titre de « Mesi ». La mère, l’enfant, et la divine statue du dieu mort, sont indissociables, car ces trois acteurs symbolisent la divine triade : la mère, le fils et le père, précisément "recyclée" en Sainte Trinité par les judéo-chrétiens.

En page 157 : De son côté, le langage sumérien ne nous épargne pas son lot de surprises, puisque le terme MEŠ veut dire "fils", "jeune homme" ou "prince". Si nous lui ajoutons le « i » manquant, nous obtenons MEŠ-I, "le fils qui émerge" ou le "prince vainqueur" ou encore MEŠ-Ì, "le fils de l’huile ou du Chrême", c’est-à-dire l’"oint" que l’on retrouve dans les termes « Messias » et « Christos » cités plus haut !

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414. Les carolingiens épousent des princesses mérovingiennes pour légitimer leur régence

« L’Énigme Sacrée », en page 251 : Si l’on ignore donc la nature exacte du symbole qui, aux yeux de Rome, reposait sous le geste de l’onction, il s’avéra en tout cas insuffisant à donner entièrement bonne conscience aux usurpateurs carolingiens ; tous en effet tinrent à confirmer leur légitimité en s’alliant ostensiblement à des princesses mérovingiennes, Charlemagne ne faisant pas exception à la règle.

À l’image des Carolingiens, n’est-ce pas ce qu’aurait fait Jésus (Juda) avec Marie-Madeleine (Benjamin) ?

On peut donc dire que si officiellement on ne reconnaît pas là la continuité de la lignée mérovingienne, dans les faits, le sang mérovingien coulait aussi dans celui des princesses. On peut donc dire que la lignée mérovingienne s’est poursuivie avec les Carolingiens et ainsi de suite. En plus, c’était tous des Francs.

415. Charlemagne fut placé devant le fait accompli pour son « sacre »

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Lien : https://infovf.com/video/lourde-histoire-charles-martel-petite-histoire-tvl--9747.html


Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=5jKcYBxWdos
La lourde histoire de Charles Martel - La Petite Histoire - TVL
11 287 visionnements29 juin 2021

Chaîne officielle TVLibertés

Charles Martel est très souvent cité et reconnu pour la fameuse bataille de Poitiers, qui livre aux Sarrasins le 25 octobre 732. Par cette bataille décisive, déjà abordée lors d'un précédent épisode, bien que certains souhaitent la minimiser, il stoppe l'invasion arabe et sécurise le sud-ouest du territoire. Mais Charles Martel n'aura pas été que ce chef de guerre emblématique. Il a combattu sur d'autres fronts et fut également un grand chef d'État, administrateur de talent qui a structuré l'État franc et unifié les territoires de la Gaule sous son autorité. En tant qu'aïeul glorieux de la dynastie carolingienne, le grand-père de Charlemagne a eu un rôle si déterminant qu'il est considéré aujourd'hui comme la figure fondatrice du Moyen Âge européen.

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L’histoire de France et Dagobert II

416. À la mort de Childéric III (ou IV selon) en 754, la dynastie mérovingienne s’éclipse définitivement
417. Le fils de Dagobert II, Sigisbert IV, aurait survécu à l’attentat contre sa famille

« L’Énigme Sacrée », en page 253 : Mais doit-on s’étonner de la carence de l’Histoire à l’égard du sort de Sigisbert lorsqu’on constate qu’aucun document officiel à son père Dagobert II ne fut accessible avant le XVIIe siècle ?

418. Cet état de fait soulève des questions qui laissent poindre une conspiration

Le prince Guillem de Gellone, comte du Razès

419. Sigisbert IV fut emmené dans le domaine de sa mère à Rhedae en Languedoc en 681
420. Il adopte le surnom de « Plant-Ard » i.e. « rejeton ardent » de la vigne mérovingienne
421. Cette région devient un royaume indépendant reconnu par Charlemagne, l’Église et le calife de Bagdad
422. Un descendant de Sigisbert IV, Guillem de Gellone, associé au roman du Graal, Dante
423. La sœur de Guillem épouse un fils de Charlemagne ce qui consolide les relations

« L’Énigme Sacrée », en page 256 : Ses origines [à Guillem de Gellone] restant donc enveloppées de mystère, contentons-nous de noter dans sa descendance le nom de Bernard Plantevelu, futur fondateur du duché d’Aquitaine, qui figure lui aussi, nous l’avons vu, dans les « documents du Prieuré » en tant que descendant de Sigisbert IV.

Le prince Ursus

424. Sigisbert VI, dénommé « Prince Ursus », devient « Roi Ursus »
425. En 877-881, il va tenter sans succès de reprendre le trône des mains de Louis II

« L’Énigme Sacrée », en page 257 : Or, si l’histoire confirme bien qu’une insurrection eut bien lieu à cette date [en l’an 886], et fait allusion aux deux seigneurs alliés en question, en revanche elle n’avance pas pour instigateur de la rébellion le nom de Sigisbert VI, se contentant de mentionner, à plusieurs reprises un « Prince Ursus », impliqué dans une curieuse cérémonie à Nîmes au cours de laquelle cinq cents ecclésiastiques avaient chanté un Te Deum. (Il s’agit probablement en l’occurrence d’un couronnement, auquel font peut-être allusion les « documents du Prieuré » lorsqu’il évoquent la proclamation officielle du roi Ursus entre 877 et 879.) Là encore ces « documents » semblent en tous cas bénéficier d’une information secrète qui complète l’histoire officielle et comble ses lacunes.

426. Avec le temps, l’arbre généalogique étend ses ramifications
427. Une partie de la famille se réfugie en Angleterre et y développe la franc-maçonnerie

La famille du Graal

428. Les romans du Graal mélangent fiction et réalité
429. Lohengrin, figure populaire des légendes médiévales, surnommé « Chevalier au cygne », parfois nommé Helias (Soleil), descendant de la mystérieuse « famille du Graal »
430. Dans le poème de Wolfram von Eschenbach, il est le fils de Parzival, le « chevalier du Graal »
431. Il aurait eu un fils qui serait l’ascendant de Godefroi de Bouillon, duc de Lorraine
432. Godefroi représentait à son époque le chevalier suprême, le héros par excellence

« L’Énigme Sacrée », en page 260 : On comprend dès lors pourquoi Godefroi de Bouillon devint l’objet d’un culte qui subsista bien longtemps après sa mort.

433. On voyait en lui un descendant de la famille mystérieuse du Graal
434. La dynastie capétienne trop bien en selle sur le trône pour Godefroi de Bouillon

« L’Énigme Sacrée », en page 261 : Que devait donc faire un roi sans terre, sinon trouver, ou créer, un royaume ?

435. Il saisit sa chance en Palestine, la Terre sainte, Jérusalem

LA TRIBU EXILÉE

436. L’enquête sur les Mérovingiens mènent à la tribu de Benjamin de l’Ancien Testament
437. Le 23 décembre, un jour sacré pour les benjamites, aussi pour fêter Dagobert II
438. Avant David et Salomon, Jérusalem appartenait à la tribu de Benjamin (Saül)
439. Explication du conflit entre Benjamin et les onze autres tribus d’Israël

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« L’Énigme Sacrée », en pages 264-265 : Venons-en maintenant au troisième passage de la Bible, aux chapitres XX et XXI du livre des Juges, qui se rapporte à une succession complexe d’événements : un lévite, traversant le territoire de Benjamin, est attaqué, et sa concubine violentée[false flag ?], par les adorateurs de Bélial, variante de la déesse mère sumérienne Ishtar des Babyloniens et Astarté des Phéniciens. Le lévite réunit aussitôt les chefs d’Israël et réclame vengeance : les malfaiteurs de la tribu de Benjamin doivent être livrés à la justice. Mais les benjamites refusent, choisissant de protéger les « fils de Bélial », et un combat sanglant s’ensuit entre la tribu coupable et les onze autres clans d’Israël…

Ištar, soit Nephtys, soit Marie-Madeleine, soit Notre-Dame… qui revient constamment dans l’entourage des Templiers, du Prieuré de Sion, de Rennes-le-Château. Mais l’attaque contre le lévite n’est pas gratuite.

Rappelons que dans les textes bibliques, Rachel meurt à la naissance de Benjamin (qui devient ainsi, veut, veut pas, le bouc-émissaire de service pour cette mort malencontreuse) et que Joseph, le préféré de Jacob, est jalousé par les autres au point qu’ils veulent mettre fin à ses jours. Famille dysfonctionnelle ou pas, sachant que Jacob, le patriarche, a usurpé l’héritage de son frère Esaü ?

Ça expliquerait que la même dysfonction se soit répétée avec les Francs (Mérovingiens), quand Clovis a divisé son royaume pour le léguer à ses fils, ce qui a été le début de la fin pour eux. Et ça expliquerait aussi cette folie mondialiste que nous vivons présentement en 2021, et qui semblent, elle aussi, issue, tributaire de cette famille dysfonctionnelle de génération en génération, si on regarde de plus près l’histoire du royaume du Nord d’Israël qui l’opposait au royaume de Juda, bien expliquée dans « La Bible dévoilée » des auteurs Finkelstein et Silberman. Ça reflète aussi l’antagonisme originel d’Enki / Enlil. Et le Grand Monarque émergerait de cette « mélasse » ?! Il va falloir que son sang, sa génétique, soit suffisamment mêlé pour ne pas en être atteint lui-même.

Et que dire de la misogynie qui transpire dans la lignée royale française. Une fois qu’on pensait les Mérovingiens écartés définitivement du trône, les Carolingiens ont épousé des femmes de cette même lignée. Rappelons-le, ils sont tous des Francs, des rescapés de la tribu de Benjamin qui ont dû marier des femmes étrangères aux tribus d’Israël pour éviter l’extinction, suite au conflit qui les a opposés à ces autres tribus. Alors, pourquoi la lignée mérovingienne est dite éteinte sur la seule base qu’il n’y a plus de prétendants mâles ? Pourquoi un mâle a plus de valeur qu’une femelle pour valider une lignée royale ? Ça n’a pas de valeur scientifique ; seulement une valeur morale patriarcale.

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Lien : https://illuminati-et-conspiration.blogspot.com/2012/07/la-lignee-merovingienne-est-la-...

Extrait : JEUDI 19 JUILLET 2012

La lignée mérovingienne est la lignée qui dirige le monde

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En 679 AD, l'Église catholique romaine a collaboré avec les Carolingiens pour assassiner le roi mérovingien Dagobert II. Neveu de Dagobert, Childéric III, a été déposé en 751 par Pépin III, le premier de la dynastie carolingienne. En 800, fils de Pépin, Charlemagne, a été couronné empereur romain germanique, bien que son royaume était réellement l'Empire franc. Charlemagne et les Carolingiens épousé Juifs mérovingiens.

"En fait, pour consolider sa demande sur le trône des Francs, Charlemagne avait lui-même épousé une princesse mérovingienne." - 936

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« La Bible dévoilée », en page 156 : Parfois, de sérieux problèmes déchiraient la famille israélite. Dans les Juges, on voit les tribus d’Israël se coaliser contre la tribu de Benjamin, après avoir juré qu’elles ne contracteraient aucun mariage avec cette dernière.

Presqu’un holocauste avant son temps…

« Corpus Deae », Anton Parks, en pages 68 : En dépit de la mise en garde des lévites et de leur violente campagne contre la Reine du Ciel [Ashtoreth, et Asherah], beaucoup d’Hébreux trouvèrent un attrait particulier pour la Déesse. Pour un grand nombre d’entre eux, cette dernière leur remémorait sans doute la religion de leurs ancêtres provenant d’Égypte où l’on vénérait Isis et Nephtys, respectivement la vierge et la prostituée, sous les traits de la déesse-vache Hathor ou Bat. Toutes deux étaient à la fois mères et maîtresses du fils solaire Horus. Ce détail n’aura sans doute pas échappé aux Templiers, nous y reviendrons.

De toute évidence, Ashera[h] forme un mélange des déesses égyptiennes Hathor et Bat, d’Inanna chez les Sumériens, d’Ištar chez les Babyloniens, d’Ashratum des textes paléo-babyloniens ou encore d’Astarté que l’on retrouve dans tout le Proche-Orient.

440. La tribu de Benjamin est presque exterminée et doit s’ajuster pour sa survie
441. La tribu de Benjamin a offert à Israël leur premier roi, Saül
442. En prenant la défense des fils de Bélial, la grande partie de la tribu a dû s’exiler

« L’Énigme Sacrée », en page 267 : Ils avaient pris les armes pour défendre les fidèles de Bélial, en quelque sorte déesse mère souvent associée à un veau [Horus] ou à un taureau [Osiris], et qu’eux aussi probablement vénéraient, l’adoration du Veau d’or mentionnée dans l’Exode, et l’une des plus célèbres peintures de Poussin, reflétant peut-être les réminiscences d’un rituel spécifiquement benjamite.

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Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=_NZlWUIChs8
Les secrets de la Bible interview Roger Sabbah 2004
69 055 visionnements • 1 avr. 2013
DSP56K

À 1H03’51" du video : Moïse, Sargon, Gilgamesh, Horus

À partir de 2H39'24" du vidéo : Veau d'or

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« Les Secrets de l’Exode », Messod et Roger Sabbah, en page 441 : Le veau d'or symbolise la naissance d'un nouveau pharaon (Horemheb), ainsi que l'espoir d'un retour au paradis perdu.

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ÉCOLE DJEDI : Résumé de la RENCONTRE-JARDIN pour le COURS 359 donné le samedi 6 juillet 2002 par Richard Glenn, ésotériste, écrit par Aleph.

Lien :
https://esoterisme-exp.com/EcoleDjedi/Resumes/Session09/Cours359_6juillet2002.php

Extraits : Ensuite, il faut savoir que la civilisation atlantéenne est en quelque sorte l'écho de notre civilisation actuelle. De la même manière que les fils de Un et les fils de Bélial se sont opposés jadis, aujourd'hui nous vivons une dichotomie entre science et spiritualité.

La conscience Jupitérienne est ce que Bernard de Montréal appel le supramental.
C'est la conscience vers laquelle nous évoluons présentement.
C'est une conscience dépourvue d'émotion.
Avec cette conscience les fils de Bélial vont crever de faim !

Je pense plutôt qu’avec le supramental de BdM, les gens sont devenus boulimiques et sont sur la voie pour devenir « sans cœur »…

Les fils de Bélial : Qui percevaient la matière comme étant une réalité plus concrète que le monde du rêve. Eux préféraient vivre le jour au soleil plutôt que dans le monde du rêve.

Pour les fils de Bélial la source de toute vie est devenue le Soleil. Ce qui est une fausse perception matérialiste.

Ainsi, le piège des fils de Bélial fut de prendre pour dieu le Soleil. De là découle l'origine de toutes les religions solaires et toute la confusion que nous connaissons depuis.

Confondre la vraie nature de la source isola lentement les fils de Bélial, les plongeants de plus en plus dans le monde de la matière. Privé de la source ils devaient maintenant se nourrir autrement. Par leur nature astral la principale nourriture dont ils avaient besoin pour survivre et entretenir leur pouvoir psi (télépathie et Cie) était les émotions.

Comment se procurer des émotions ?
En élevant des troupeaux d'humains, source importante d'émotions !!

Les fils de Bélial, parce qu'ils ont tombé dans le piège de la matière, ont dû avoir recours à des rituels pour obtenir non plus des pouvoirs psioniques mais des pouvoirs magiques. Pouvoirs qui demandent du temps pour obtenir des charges émotives suffisantes et qui sont sujets à l'épuisement.

Les Fils de Bélial sont donc les fondateurs des religions. Ils s'en sont servie pour piéger le mental, isoler les êtres de leur spiritualité et récolter les émotions.

Comme dans tout élevage de masse, les fils de Bélial ont exagéré, mettant sérieusement en péril la survie des troupeaux d'humains.

Toujours le même combat des fils de Un contre les fils de Bélial.

Les Fils de Bélial contactent seulement des êtres des ténèbres ; attirés par l'argent, le pouvoir et la gloire.

Lien Complément Surprenant récent sur le même sujet :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=195958

Je pense qu’on se méprend sur l’Atlantide, les Atlantes, les fils de Bélial, comme sur bien d’autres choses. Pour moi, Edgar Cayce n’est pas une source fiable. Maurice Poulin, dans sa version la plus récente sur le Grand Monarque, fait aussi l’erreur de s’appuyer sur lui.

S’il y a parfois du « over-coaching / sur-coaching » dans les sports, je pense que parfois on fait de même en ésotérisme, ésotérisme qui stagne et résiste à se mettre à jour, aimant plutôt se complaire dans le fantastique embelli. Ainsi, c’est beaucoup plus facile de continuer à ronronner le même « ésotérisme », la même « tradition » que d’évoluer avec les révélations faites, par exemple, depuis le tournant du nouveau millénaire et qui invite à une révision qui serait astreignante, je le consens, mais incontournable.

Et si ça se trouve, on est beaucoup plus près, et de loin, du spirituel, du « nouménal », de la source que du matérialisme avec l’adoration du Soleil.

Lien : https://www.active.com/soccer/articles/over-coaching?page=1

Extrait : Qu’est-ce que le sur-coaching ?

L’apport excessif de l’entraîneur pendant que les joueurs jouent de telle sorte que l’apport de l’entraîneur devient débilitant pour la capacité du joueur à performer au mieux de ses capacités et étouffe son développement. En bref, l’entraîneur joue à la place du joueur, prenant toutes ses décisions pour lui.

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Comme on associe Bélial à Ištar et Astarté, finalement, Bélial ferait référence à Osiris (Père du Nouveau Testament à qui se réfère Jésus /Horus), Isis (Vierge Marie), Nephtys (Marie Madeleine), Thot (l’ange Gabriel) qui dirigeaient et l’Atlantide, et l’Égypte.

« Corpus Deae », Anton Parks, en page 50 : Tout au long de leur conquête, les Hébreux firent face à un problème récurrent : la présence de Baal et d’Asherah, "deux divinités idolâtres", doubles cananéens de Bel-Marduk et d’Ištar de la culture babylonienne.

« Corpus Deae », Anton Parks, en page 51 : Dans les chroniques bibliques, le nom de Baal désigne régulièrement un collectif pour nommer toute forme d’idolâtrie.

Une étude remarquable de Dany Nocquet sur Baal contre YHWH, explique certains passages bibliques font de Jérusalem un lieu de culte dédié à Baal.

« Corpus Deae », Anton Parks, en pages 51-52 : À Dany Nocquet de poursuivre qu’il s’agit là [association faite par Jérémie entre Baal et les sacrifices à Molek (Molok)] vraisemblablement d’une confusion populaires des deux cultes qui sont par ailleurs tout à fait distingués.

« Corpus Deae », Anton Parks, en pages 53 : Certains chercheurs, comme Klaas A.D. Smelik (théologien, linguiste et professeur d’études hébraïques dans différentes universités), établissent un lien entre Molok et YHWH. Selon Smelik, Molok serait une invention de la période perse pour dissimuler les sacrifices d’enfants pour le compte de YHWH dans le royaume de Juda ! Ces propos vont d’ailleurs dans le même sens que les précédentes études de George Heider (1985) et John Day (1989). Pour l’exégète Thomas Römer, derrière Molok se dissimule clairement le vocable Melek, "le roi" en hébreu, lequel désigne YHWH dans de nombreux passages bibliques comme…

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Extrait :

En pages 75-76 : L’ordre concernant le don des premiers-nés avait pour but leur utilisation lors de sacrifices : Yahvé se les faisait amener lorsqu’ils étaient âgés de huit jours – exactement comme pour ceux des animaux (Exode 22:28-29) – et il voulait qu’ils soient brûlés pour lui, comme il l’affirme lui-même dans Ézéchiel 20:25 et suivants.

« Quand ils faisaient passer par le feu tous leurs premiers-nés » : des mots crus, tellement dévastateurs et inacceptables pour la doctrine que, souvent, dans les bibles traditionnelles, ils ont été habilement occultés et remplacés par le terme « consacrer », qui n’a rien à voir avec la littéralité du texte hébreu et, surtout, avec les fins de l’acte.

En page 78 : Nous savons bien que la pratique que la pratique des sacrifices humains était répandue parmi les peuples de la terre entière. Tous nous parlent de « divinités » qui réclamaient expressément ce type d’offrandes cruelles et inhumaines. La culture judéo-chrétienne adopte une attitude ambivalente face à ce comportement : elle considère comme absolument réels, bien que barbares et païens, les rites accomplis par les multiples peuples, et tend en revanche à lire et à interpréter de manière allégorique ou métaphorique les sacrifices humains dont on dit clairement dans la Bible qu’ils étaient expressément demandés par Yahvé.

On a même tenté au fil des siècles, et on tente encore, d’en nier l’évidente réalité historique. On a essayé de répandre l’idée que cette pratique barbare était l’apanage des peuples « païens ». Qu’il s’agisse d’une barbarie, personne n’en doute. Mais elle était pratiquée aussi par le peuple de Yahvé, et la requête d’origine provenait directement de lui : il n’était pas possible de s’y soustraire, comme nous le savons bien.

Là je comprends d’où vient cette mentalité au Québec d’offrir les premiers-nés comme prêtres, comme sœurs, comme frères ou moines. Ça vient de loin… Et le sens premier de « consacrer » ces enfants à Dieu est un beau terme, un bel enrobage pour occulter le détournement du sens premier des sacrifices humains. Alors, on n’est pas surpris des scandales de l’Église catholique romaine. C’est là depuis les débuts.

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« Corpus Deae », Anton Parks, en pages 56 : Ce n’est finalement qu’un peu plus tard que Josias, petit-fils de Manassé, entreprend d’importantes modifications culturelles à Jérusalem et à Juda. Il révoque alors tous les prêtres des divinités Baal et Asherah et supprime leurs objets de culte (2R 23:4-5).

« Corpus Deae », Anton Parks, en pages 67 : La déesse Asherah semble présente, non seulement auprès de Baal, mais particulièrement aux côtés de YHWH, dès le 9e siècle avant J.-C., comme en témoigne le site de Kuntillet Ajrud, situé au nord-est de la péninsule du Sinaï.

« Corpus Deae », Anton Parks, textes de deux gravures en pages 227 :

53. Baal (Bel-Marduk) émerge, sous la forme d’Horus, d’une fleur de lotus bleu avec les cornes hathoriques et son Œil Solaire sur le haut du crâne. Gravure sur os provenant d’Hazor (8e siècle av. J.-C.).

54. Baal (Bel-Marduk) émerge, sous la forme d’Horus, sur la feuille d’un nénuphar bleu stylisé avec les deux serpents royaux et l’Œil Solaire sur la tête. À ses côtés, deux formes royales d’Horus naissent de fleur de lotus. Gravure sur os provenant d’Hazor (8e siècle av. J.-C.).

« Corpus Deae », Anton Parks, en page 232 : On retrouve Bel-Marduk sous la forme du guerrier Baal dans la littérature ougaritique de l’actuelle Syrie, à l’extrême nord de la sphère d’influence égyptienne du second millénaire av. J.-C. Dans cette région, Baal fait partie d’un cycle mythologique important mettant en scène sa propre mort et sa résurrection grâce à l’énergie déployée de sa sœur et maîtresse, la vierge Anat, double de Nephtys-Ištar [Marie Madeleine]. Telle une furie soutenue par la « Torche des dieux », Anat se bat avec la Mort. Les descriptions de son combat pour faire revivre Baal et le soutirer du trépas, ressemblent fort à une opération alchimique comme relevé plus haut.

« Corpus Deae », Anton Parks, en page 233 : C’est une fois encore Anat (Nephtys-Ištar), Porteuse de la coupe divine qui apportera de quoi soigner et relever le dieu. La Lumière fera le reste…

Malheureusement, la suite du récit est brisée sur 40 lignes, ce qui nous prive de la description du retour de Baal [Bel-Marduk, Horus, Jésus-Christ, Arthur-Merlin] à la vie.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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