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COMPLÉMENT SURPRENANT #52 -PARTIE 2-COMPLET-

par gilles surprenant ⌂, jeudi 30 décembre 2021, 17:42 (il y a 846 jours) @ gilles surprenant

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LISTE DES ÉCRITS APOCRYPHES
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En 1945, le jeune berger Mohammed edh-Dhib Hassan cherchait l'une de ses chèvres égarée dans les falaises calcaires qui surplombent Qumrân, près de la rive nord-ouest de la mer Morte. En se reposant assis à l'ombre des rochers, il jeta en guise de jeu une pierre dans un trou de rocher visible en face de lui.
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Il fut surpris d'entendre un bruit d'objet cassé, provenant du lieu où il avait jeté la pierre. Intrigué, il revint le lendemain en compagnie de son cousin, muni de lampes et de cordes. Les jeunes gens pénétrèrent dans la grotte, quasiment inaccessible au flanc de la falaise.Ils y trouvèrent de nombreux tessons de poterie, et huit grandes jarres fermées par des couvercles. Elles étaient intactes à l'exception de l'une d'elles qui était brisée, et d'où ils tirèrent de vieux rouleaux de parchemin.
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Ces rouleaux enveloppés dans du lin étaient couverts d'une écriture qui leur était inconnue. Par la suite, ils dégagèrent d'autres rouleaux assez dégradés ainsi que quelques fragments. L'étude minutieuse et approfondie des rouleaux révéla qu'il s'agissait essentiellement de textes concernant le judaïsme. Rédigés en hébreu, ils contenaient entre autres la quasi-totalité de l'Ancien Testament, à l'exception du Livre d'Esther. Ces documents constituent désormais les plus anciens exemplaires connus de la Bible hébraïque. Le manuscrit le plus fameux est le rouleau d'Isaïe, le plus ancien livre biblique complet, datant du IIème siècle av. J.-C.. Auparavant, les textes bibliques les plus anciens que l’on connaissait dataient du IIème siècle de notre ère (extraits en grec) et du Xème siècle (Bible hébraïque dite Codex du Caire). Les manuscrits de la mer Morte contiennent aussi certains livres qui n'ont pas été intégrés dans toutes les versions de la Bible. Ce sont les livres de Tobie, de l'Ecclésiastique et la Lettre de Jérémie.
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-VIDÉOS SUR YOUTUBE:
https://www.youtube.com/results?search_query=nag+hammadi
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NAG HAMMADI -UNIVERSITÉ LAVAL A QUÉBEC-
SITE OFFICIEL - CLIQUEZ ICI-
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Lancée en 1974 à l’Université Laval (Québec, Canada), l’édition de la Bibliothèque copte de Nag Hammadi (BCNH) est la seule initiative francophone d’envergure consacrée à ces manuscrits; son but est de produire de ces textes des éditions critiques accompagnées de traductions françaises et de commentaires explicatifs. Conservés au Musée copte du Vieux Caire, les manuscrits sont accessibles par le truchement d’une édition photographique patronnée par l’UNESCO et le service des antiquités de la République Arabe d’Égypte. Cette publication photographique, qui reproduit les feuillets de papyrus tels quels, rend les textes accessibles aux spécialistes et sert de base ensuite aux éditions critiques, qui reconstruisent dans la mesure du possible les lacunes des manuscrits, pour ensuite donner lieu à des traductions, à des analyses philologiques et à des commentaires explicatifs.
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« On ne sait pas à quelle époque les communautés de Thérapeutes ont commencé à se constituer. » « Les origines des Thérapeutes demeurent obscures. » Reprenant tant les indications de Philon que la description qu'il en fait, certains experts estiment que les Thérapeutes étaient apparentés aux Esséniens.Une partie significative des experts y voit un « essénisme alexandrin. ».
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Selon ce qu'en dit le philosophe juif Philon d'Alexandrie (né vers 20 av. J.-C. mort en 50 ap. J.-C.), qui semble les avoir connus personnellement, il s'agit d'un groupe religieux, « répandu par toute l'Égypte » dont une importante communauté composée d'hommes et de femmes vivaient au bord du lac Maréotis, près d'Alexandrie et à partir de tous les lieux ceux où existaient des Thérapeutes, les meilleurs parmi eux « vont en pèlerinage à l'endroit qui leur convient le mieux, comme si c'était leur pays, qui est au-delà du Lac maéréotique. (Philon, Les ascètes III) ».Le site le plus connu est celui de Qumran, près de la mer Morte où a été retrouvé une véritable librairie des écrits du premier testament. Ce mouvement a débuté au deuxième ou au troisième siècle avant notre ère pour s’éteindre au premier siècle probablement avec la deuxième persécution des Juifs par les Romains. Cette tradition s’est probablement intégrée à d’autres cultures avec la diaspora juive.

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Le qualificatif « Nazareth » utilisé dans le Nouveau Testament révèle une information cruciale. En effet, des études menées par des historiens et des archéologues montrent que la ville de Nazareth ne pouvait exister, du moins telle qu’on la connaît aujourd’hui. Pourquoi alors les évangélistes insistent sur l’appartenance de Jésus à Nazareth ?

C’était tout simplement pour indiquer à ceux qui peuvent lire entre les lignes que Jésus était un Nazaréen.En effet, si Nazareth comme ville n’existait pas à cette période de l’histoire, les Nazaréens étaient bel et bien présents à l’époque de Jésus. Il s’agissait d’une très ancienne fraternité issue des écoles des mystères égyptiens, chaldéens, atlantidéens et des enseignements secrets de Moïse.

« Nazaréens », dont l’étymologie (Nazir‑ha‑Brit, forme antérieure à Nazrie‑ha‑Brit, que l’on trouve couramment) signifie « gardiens de l’Alliance », ceux qui protègent le caché et qui prennent soin du mystère de Dieu en toutes choses à travers les âges. Ainsi, lorsqu’il est fait référence à Nazareth dans le Nouveau Testament, il s’agit de parler de la communauté d’hommes et de femmes gardiens de l’alliance divine à laquelle appartenait Jésus, dans laquelle il avait vécu. Les Nazaréens, « ceux qui connaissent le caché », est une autre appellation pour désigner les Esséniens.C’était là le cercle intérieur des Nazaréens, ceux qui ont été consacrés à Dieu avant la naissance par le vœu de leurs parents initiés, et qui viennent sur la terre pour accomplir une mission divine. Ce fut le cas par exemple de saint Jean le Baptiste ou encore de Jésus lui-même.
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Élie fit construire des temples en Palestine, sur les pentes des monts Horeb et Carmel. Sur ces montagnes, se trouvaient des grottes dans lesquelles Élie et d’autres sages passèrent les plus hautes initiations qui jadis avaient lieu dans les temples d’Égypte. Ainsi, il put restaurer dans ces temples du mont Carmel, l’initiation féminine des filles d’Isis afin qu’une lignée de femmes pures soient formées dans l’apprentissage des vertus de la Mère telles que la douceur, la tendresse, la bonté, la pureté, la délicatesse, le prendre soin de l’autre. Par Mère, il faut entendre ici le principe complémentaire du Père, l’intelligence cachée derrière toutes les manifestations de la vie.La Vierge était née essénienne, elle avait grandi dans la communauté essénienne et avait même exercé le rôle de colombe du temple. Elle était aimée et reconnue dans cette fraternité. Un certain nombre avait prophétisé qu’elle devait enfanter un Fils de Dieu, un grand maître.
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Joseph, lui, était un érudit, un kabbaliste, un maître de la Fraternité égyptienne-essénienne, officiant dans les temples d’Héliopolis, et pas du tout le charpentier un peu simplet qu’on nous a présenté. C’était un grand prêtre du Soleil à Héliopolis, un grand sage qui connaissait tous les enseignements de Krishna, de Zoroastre, des anciens prophètes d’Israël, et même les enseignements du Bouddha. Ainsi, il était un gardien du vrai savoir, celui qui nous dit que le corps physique est un résumé de la structure invisible de l’univers et qu’il révèle tous les secrets de Dieu.Quand Marie et Joseph conçurent le maître Jésus, ils le firent selon les concepts de la sagesse essénienne. Mettre un enfant au monde n’était pas simplement un acte, un enfant que l’on faisait venir en soi.
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Cela consistait réellement à appeler un Fils de Dieu, un serviteur de la Lumière, de la Tradition. L’enfant était alors consacré et offert au Père et à la Mère avant même la conception. La Tradition nous apprend que pour préparer la conception d’un enfant, les Esséniens, qui connaissaient le chemin de vie ou l’essentiel de la destinée de leur enfant, appelaient en premier lieu l’Ange de la pureté. Marie et Joseph accomplirent ce rite et, de cette manière, le maître Jésus s’incarna à travers la Lumière qui descendit jusque dans le corps par le biais du rayon de la pureté. Marie et Joseph avaient dédié leur vie à la pureté et voulaient enfanter la Lumière sur la terre à travers cette vertu. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’on a parlé d’« immaculée conception ».

Joseph se convertit par la suite à l’essénisme et partit en Égypte avec toute la famille afin d’y rechercher les origines de cette tradition. Ainsi, lorsqu’on parle, dans la Bible, de l’épisode de la fuite en Égypte (qui vient de egy : maison et Ptah : Dieu, le cosmos et qui signifie la maison du savoir divin ), il s’agit d’ un langage caché qui veut nous dire que Joseph, Marie et Jésus sont une famille essénienne qui prend refuge dans la sagesse des envoyés de la Lumière dont la source est l’Égypte.

Jésus a associé l’âme à l’oiseau et le corps au serpent, suivant en cela la sagesse des Esséniens de l’Égypte antique.

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-VIDÉO-Jésus et ses apôtres étaient-ils Esséniens ?:
https://www.youtube.com/watch?v=Pj9lMdpmBrw
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-SOURCE:
https://esseniens.org/enseignement/jesus-et-les-esseniens-sa-veritable-histoire/

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https://orandia.ca/
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