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L'ÉNIGME SACRÉE / CORPUS DEAE / INTRO / RENNES-LE-CHÂTEAU 1

par panthère58, mercredi 11 août 2021, 18:34 (il y a 983 jours) @ panthère58

:-) L’ÉNIGME SACRÉE / CORPUS DEAE / INTRO / RENNES-LE-CHÂTEAU 1

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L’édition que j’avais au début des années 1990, suite à une conférence d’Ésotérisme-Expérimental. Je n’ai plus cette édition depuis plusieurs années.

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La plus récente édition que j’ai acquise l’an passé et qui me sert présentement.
The Holy Blood and the Holy Grail
© 1982
L’ÉNIGME SACRÉE
© 1983
© 2016
Éditions Pygmalion
Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln

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Éd. Pahana Books (Nouvelle Terre), 2017, Anton Parks

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INTRODUCTION

De mémoire, ce livre nous avait été présenté par Claude Latour, entre 1992-1994, à une conférence mensuelle d’Ésotérisme-Expérimental, à l’UQAM. Et c’est à cette période que je me le suis procuré et que j’en ai fait une première lecture. J’étais alors un profane en la matière. Il y avait trop d’informations à gérer pour ma personne.

Ce livre est tombé dans l’oubli jusqu’au « Da Vinci Code » de Dan Brown. Mais comme j’avais donné ce livre à un de mes frères, qui s’en était départi par la suite dans un marché aux puces, je ne pouvais le réactualiser et je n’étais pas assez intéressé pour l’acheter à nouveau.

Et récemment, l’envie, le besoin, la nécessité s’est fait sentir en moi de relire cet ouvrage. Je me le suis donc procuré en début d’année 2021. Il « dormait » dans ma bibliothèque, bien en vue, en attente de l’étincelle pour l’entamer, ce qui s’est manifesté en juin 2021. Et là, on peut dire que je suis beaucoup plus en mesure d’apprécier à sa juste valeur son contenu. Surtout qu’avec l’internet, on peut facilement s’assurer d’une meilleure compréhension de certains passages, personnages, lieux, contextes historiques.

Sans compter que depuis les années 1980, chacun à leur façon, il y a eu les Roger Sabbah, Anton Parks, Mauro Biglino et le livre d’archéologie « La Bible dévoilée » qui sont venus jeter un éclairage complémentaire sur cette enquête faite dans les années 1970. Et même l’actualité d’aujourd’hui trouve écho dans ce livre des Baigent, Leigh et Lincoln.

Wikipédia n’accorde pas beaucoup de valeur à « L’Énigme Sacrée » :
https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9renger_Sauni%C3%A8re

Extrait : En 1982, après avoir réalisé plusieurs films sur le mystère de Rennes-le-Château, trois journalistes britanniques, Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh, publient un essai encore plus controversé, dénommé L'Énigme sacrée, qui relie, pêle-mêle (et toujours sans sources historiques vérifiées), la prétendue ancienneté médiévale du Prieuré de Sion, l'histoire des Templiers, celles des Cathares, de la dynastie des Mérovingiens, du Saint-Graal et des origines du christianisme, affirmant que Marie-Madeleine serait venue en France avec un enfant de Jésus, voire avec Jésus lui-même. Ce livre donne, cette fois-ci, un retentissement international à l'affaire de Rennes-le-Château.

Bon, ça vaut ce que ça vaut, Wikipédia, mais c’est un point de vue qu’on ne peut éluder même si c’est très discutable. Car effectivement, ce « pêle-mêle » est exactement comme les pièces éparses d’un casse-tête à rassembler. Et je trouve que « L’Énigme Sacrée » a réussi son casse-tête. De plus, il y a plusieurs notes et références tout au long de l’ouvrage contrairement à ce que laisse sous-entendre la critique. Et on a l’internet pour valider ou pas certaines choses douteuses ou pour avoir d'autres points de comparaison.

Résumé

En 1969, lors d’un séjour en France, Henry Lincoln, qui travaille comme écrivain pour la télévision, notamment la BBC, tombe par « hasard » sur un petit ouvrage, une brochure, qui parle d’un mystérieux trésor à Rennes-le-Château au tournant du XXe siècle, et de quatre parchemins qui comportent des messages énigmatiques, encryptés. Il voit là un potentiel à exploiter pour la BBC. Il en sortira trois documentaires dans les années 1970 et ce livre au début des années 1980. Lincoln va aussi s’adjoindre en cours de route, deux précieux collaborateurs en Baigent et Leigh, pour l’aider à reconstituer l’immense puzzle qui se cache derrière le mystère de Rennes-le-Château.

Tout débute avec les onéreuses dépenses de l’abbé Bérenger Saunière pour restaurer Rennes-le-Château à partir de 1890. Trésor ? Commandite ? Les auteurs de « L’Énigme Sacrée » trouvent des informations qui les mettent sur la piste de diverses sociétés secrètes qui tentent toutes de préserver et protéger un secret mystérieux, énigmatique, voire celui d’un « Saint Graal ». Ils identifient des ramifications qui se recoupent à plusieurs reprises depuis presqu’un millénaire, soit depuis les Croisades, à travers plusieurs généalogies, lieux, événements, personnages célèbres et la monarchie française. Et cette enquête remontera bien avant l’avènement du Christianisme.

ÉTAPES PAR ÉTAPES

En +/- 491 points significatifs avec aussi plusieurs extraits qui résument « L’Énigme Sacrée ».

« L’Énigme Sacrée » pose les jalons, les questions.
« Corpus Deae », y répond et ajoute des précisions.

D’autres sources viennent s’ajouter pour compléter, préciser, valider, témoigner ou parfois, remettre en question.

CHRONOLOGIE GÉNÉRALE DE l’ENQUÊTE

001. Découverte fortuite en 1969 d’une brochure sur le « trésor » de Rennes-le-Château
002. Rencontre en 1970, à Paris, avec l’auteur français de ladite brochure
003. En 1971, cet auteur évoque un message codé qui parle d’une toile de Nicolas Poussin

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Et in Arcadia Ego, par Guercino, 1618 environ.
C’est la première peinture connue où on remarque cette phrase.
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Et in Arcadia Ego, par Poussin, 1630 environ.
C’est la première œuvre du peintre traitant ce thème.
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Les Bergers d’Arcadie, par Poussin, 1640-1642

Lien : http://templarii3m.free.fr/tab_poussin_hercule.htm
Extrait : "De dimension 74,5 X 99 cm, il se présentait alors dans un cadre doré du début du XIXe siècle, sur lequel était porté, gravé sur une plaque de cuivre, le nom de Nicolas Poussin.
Lors d’une nouvelle restauration à Paris, dans les ateliers de Bernard Depretz, le 22 décembre 1975, on aperçut au travers d’une signature restaurée, dans le rocher du premier plan, quelques restes des lettres N et P....
Grâce à la complaisance du Vatican, le laboratoire a efffectué entre le 22 et le 25 février 1978 une série de radiographies qui a permis d’authentifier ce restant de signature.
L’essentiel du décor est constitué par trois éléments: les rochers, les bois, les collines." M. Tiers découvrira le fameux paysage que Poussin a reproduit, juste au-dessus d'Espéraza ! (Hespérides - Esperaza)

Mais ce tableau renfermerait 80 symboles de l'histoire universelle.
"A droite, une femme appuyée contre un rocher et drapée dans une étoffe blanc et bleu, montre le chemin à un homme qui tient apparemment un simple bâton pour contenir sa marche. Lorsqu‘on regarde de plus près le haut de ce bâton, il y a sur la droite un crâne. Le haut du pommeau se termine sous la forme d’un soleil! L’illustre voyageur a une démarche majestueuse. Sa cheville droite est transpercée par une vouivre. Sa tête est posée sur les orteils du pied gauche. Le genou semble avoir la forme d’une tête. La main gauche, est tout simplement une patte d’ours. Au creux du thorax à droite, se dessine une forme bizarre qui ressemble bien à une coquille Saint-Jacques. Sur le haut de la tête, on distingue un tau. La tunique de couleur rouge flotte par un vent venant du Nord. La position des doigts du voyageur et de la jeune femme est identique. Le pouce et l’index sont tendus vers la même direction des bâtisses, entourés d’un rempart." (M. Tiers)

Une branche sans feuilles de l'arbre de droite est taillée comme un bois de rennes (RLC) ou de cerf (Serres).

Par rotation de 90°, apparaît un rocher évoquant un crâne au faciès humain, une grotte accessible par voie d'eau ("la voie humide").
Un nageur semble d'aileurs en chercher l'entrée.


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Hercule au jardin des Hespérides
(le onzième des travaux d'Hercule)
Nicolas POUSSIN

Complément Surprenant :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=159224

Extrait : Nicolas Poussin qui avait pour devise « je détiens le secret », a peint un magnifique tableau, « Les Bergers d'Arcadie ». Sur ce tableau il y a un tombeau sur lequel est inscrit, ET IN ARCADIA EGO... Et oui, ceci est un message codé, digne des romans de Jules Verne, c'est une anagramme, où il faut lire I TEGO ARCANA DIE, je détiens les secrets de Dieu. Et si on rajoute un verbe à cette phrase latine non terminée comme l'indique les trois points de suspension, on prendra le verbe Être, ce qui devient ET IN ARCADIA EGO SUM ou « Et en Arcadie, je suis ». Une nouvelle anagramme apparaît, TANGO ARCAM DIE IESU, je touche le tombeau de dieu Jésus.

« L’Énigme Sacrée » évoque ce message codé un peu plus loin à partir du point [031].

004. En France, 1970, découverte d’une tombe identique à « Les Bergers de l’Arcadie »
005. En 1972, premier documentaire de la BBC intitulé « Le Trésor perdu de Jérusalem ? »
006. En 1974, autre documentaire « Le Prêtre, le Peintre et le Démon »
007. 1975, devant l’ampleur de la tâche, Lincoln s’adjoint les chercheurs Baigent et Leigh
008. Les Templiers occupent une place importante dans l’histoire de Rennes-le-Château
009. En 1979, troisième film sur Rennes-le-Château : « L’Ordre des Templiers »
010. Sortie du livre en 1982, la traduction française en 1983 : « L’Énigme Sacrée »

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LE MYSTÈRE RENNES-LE-CHÂTEAU


Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=eHYFM3G7SP4
VOR141018 Louise Dionne, Linda Dubé, Christian Comtesse, Richard Glenn et Jean-François Poulin
1 784 visionnements Diffusé en direct le 18 oct. 2014
OrandiaTV

À partir de 1H00’14" du vidéo : Rennes-le-Château

. Saint-Antoine de Padoue, le saint des objets perdus, du « trésor perdu »…
. Le cimetière est fermé au public
. Il y a Jésus et Marie-Madeleine qui tiennent chacun un de leurs jumeaux
. La Tour de l’Horloge (où l’or loge…)

Lien Complément Surprenant :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=112650

Extrait : LES STATUES DES SAINTS DE RENNES LE CHÂTEAU = GRAAL
''En fait, Saunière nous ouvre un livre de Pierre où il laisse son testament sous une forme imagée et codée bien dans l'esprit du 19e siècle - il avait participé à une aventure, il avait trouvé quelque chose hors du commun et, ne pouvant en parler, il le fit découvrir à ceux qui savaient lire les images.''

SOURCE

L'un des nombreux mystères et énigmes de Rennes-le-Château est directement lié au GRAAL puisque, comme par hasard, la première lettre du nom des statuts des saints présents dans l'Église de Rennes-le-Château donnent la combinaison suivante :

G Ste-Germaine ( avec un calice et une tête de mort dans les mains... )
R St-Roch ( une montagne près de RLC se nomme Rocho-Negro...)
A St-Antoine de Padoue ( patron des objets perdus... )
A St-Antoine l'ermite (...la grotte...)
L Ste-Madeleine ( dite "L"a Magdaleenne. C'est le nom que porte la tour du château : La tour Magdalla.) si on relie ces statues, nous nous trouvons en présence d'un gigantesque M sous la statue de Marie Madeleine.

SOURCE

ASMODÉE-RENNES LE CHÂTEAU
[image]
La présence d'un diable dans cette église intrigue énormément. Certains pensent qu'il s'agit d'Asmodée, le gardien des trésors. Asmodée, en latin, Ashmadaéva, en hébreu. Et si on traduit l'hébreu, (l'hébreu étant une langue qui se traduit lettre par lettre, chaque lettre ayant une signification particulière). Nous obtenons littéralement 'gardien de trésor'. Si on consulte la Bible, on apprend que Ashmadaéva était, en effet, le gardien du trésor du temple de Salomon.

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« Énigme Sacrée », en page 46 : Immédiatement à l’entrée s’élève une statue hideuse, grossière représentation d’Asmodée, gardien des secrets et des trésors cachés, et bâtisseur, au dire d’une légende judaïque, du Temple de Salomon.

LES ENFANTS JUMEAUX A RENNES LE CHÂTEAU
Ces deux statues se trouvent respectivement à gauche et à droite de l'autel. Ils ont la particularité étonnante de porter chacun dans leurs bras un enfant Jésus ! Ces deux enfants pourraient être des jumeaux.

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Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=kFbzVjINvn8
VOR141025 Louise Dionne, Linda Dubé et Richard Glenn
1 699 visionnements Diffusé en direct le 25 oct. 2014
OrandiaTV

À partir de 0H52’16" du vidéo : Rennes-le-Château

. Un des jumeaux serait parti en Angleterre, l’autre au Québec (Samuel de Champlain)
. Dévoiler son genou droit signifie que « je suis initié, je sais, je connais le secret, j’ai la connaissance du sacré »
. Le bénitier d’Asmodée ou vase du Graal…
. Par ce signe, tu « le » vaincras…

Lien Complément Surprenant :
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=112982

Extrait : LE GENOU DÉCOUVERT SYMBOLE DE L'INITIÉ, DE L'ENTRÉE DU TEMPLE ET DE LA CONNAISSANCE

Se connaître nous fait plier le genou, posture indispensable à l'amour. Car la connaissance de Dieu engendre l'amour, et la connaissance de soi engendre l'humilité. » -de Mère Teresa.

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Le mot grec"gonu", genou, appartient à la racine GEN (cabalistiquement parlant la "connaissance" _ G _ de l'Unité Ennéad e _N_ ) qui donne à la foi "gignomai"= "naître" et "gignosko"=connaître. La con-naissance est en effet cette deuxième naissance "avec" quelque chose en plus ... le genou découvert symbolise l'Initié, celui qui a uni le Je et le nous. Le GENOU est une articulation entre le JE et le NOUS, disait Lacan !

Quel est l'origine du genou découvert, symbole de l'Initié, qu'on retrouve dans certains rites maçonniques, certaines iconographies et statues chrétiennes, certaines peintures. À propos de ce genou, on pourrait dire aussi qu'il est le lieu où la base, le fondement, s'articule.

Le genou est une pièce essentielle permettant la marche. Sans marche, point de mouvement, point de parcours initiatique.

Celui qui a le genou libre peut aller de l'avant. Car avoir les deux pieds libres ne suffit pas. Le genou permet d'en soulever un pour le mettre devant l'autre.

Avoir les deux pieds bien campés au sol, c'est la stabilité, la solidité. Grâce à la mobilité du genou, une instabilité s'installe. Cette déstabilisation est perturbante, évidemment. Elle est génératrice d'un risque évident (la chute). Mais elle est nécessaire pour qu'intervienne un déplacement. L'analogie est évocatrice. Le genou découvert est une invitation à "se mettre en chemin". L'initiable, selon les rituels doit être ni nu, ni habillé, il doit être dévêtu décemment. Le genou est lié à l'humilité, le vaincu tombe à genoux, le vassal met un genou en terre et le croyant s'agenouille. Pythagore, celui qui donne naissance, qui engendre à la connaissance, était appelé "le maître au genou d'or" (genou est au singulier car il n'y en a qu'un de dévoilé).

Le mot : genou lui-même en français est de même racine que : générer, engendrer. Du reste, certains rites initiatiques (franc-maçonnerie....) dans les perspectives des engendrements intérieurs, invitent celui qui vient vivre une nouvelle naissance à se présenter un genou découvert.

Peut-être est-ce un rappel de ce que Pythagore, celui qui donne naissance, qui engendre à la connaissance était appelé : le maître au genou d’or ? Dans sa valeur arithmologique, le genou contient déjà les énergies du Fils, dont nous savons que s’il les accomplit, l’Homme entre alors dans la dimension "d’épouse couronnée". Pour cela, dès sa naissance, il reçoit la bénédiction.

La connaissance passe par le genou
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De nombreuses traditions font du genou le siège principal de la force du corps, de la puissance... de là le sens des expressions : faire plier les genoux, mais aussi : s’agenouiller devant..., plier le genou..., toucher les genoux...Le genou est une articulation fondamentale, il soutient l’être complet, il est le moteur de la marche en avant. Le genou articule jambe et cuisse combinant ainsi verticalité et horizontalité, le genou est double, il noue la rotule et la tête des os, croisant ainsi le masculin vertical et le féminin horizontal. Genou contre genou donne la transmission du mouvement, ainsi « Accolés » les deux maîtres sont d’une totale égalité entre eux. Par sa résurrection le nouveau maître est revenu de l’autre monde. Par le genou, symbole de verticalisation, l’initié, par la jambe toute entière devient colonne du temple, on ne peut s’empêcher de penser que la femme ouvre les genoux pour accueillir l’amant ou donner la vie, que l’enfant dans sa position fœtale a la tête entre les genoux dans une relation de concentration et de pérégrination vers le centre. L’enfant Jésus est assis sur les genoux de sa mère « siège »de vitalité, d’énergie et de force. Le genou droit que l’on met au sol en signe, d’humilité, d’hommage et de requête, requête de la connaissance certes, mais aussi de cette humilité que l’homme doit avoir en permanence en lui, car si l’exaltation a communiqué au récipiendaire des forces nouvelles, spirituelles, voire une impression de puissance, il doit rapporter tout cela au service de son cœur, de ses pensées, de l’humanité, et ce, pour servir l’ordre maçonnique.

Le genou gauche est signe d’initiation, de maîtrise, Saint Jean Baptiste est représenté le genou gauche dénudé, Pythagore, grand initié, l’un des maîtres à penser de l’occident qui montrait exceptionnellement son genou gauche en OR ! Enfin lors de notre initiation, nous avons franchis la porte basse, pied droit et genou droit dénudés, nous sommes passés du profane au sacré, depuis ce jour nous voilà devenus les ouvriers du grand architecte.

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Lien sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=dGkq6LTIs_k
« Rennes Le Château : La Fin du Mystère » avec Rudy Jacquier - NURÉA TV
86 361 visionnements Diffusé en direct le 6 oct. 2016
NURÉA TV - Au coeur de l'inexpliqué

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Rennes-le-Château " les Sources" se veut être un concept totalement inédit, tant sur la forme que sur le fond. Entre BD et livre véritable, l'auteur apporte sa solution à l'énigme par trois moyens différents grâce au décodage des trois seules sources authentiques de l'affaire que sont les constructions de Rennes-le-Château (1891-1905), la pierre tombale de la marquise [d'Hautpoul-Blanchefort] (1906) et la vraie langue celtique de l'Abbé Boudet (1886). Sans jamais se prendre au sérieux et toujours de manière amusante et étayée, l'auteur rassemble une à une les pièces de ce grand puzzle pour nous amener jusqu'au lieu tant recherché... Les preuves sont irréfutables et laisserons le lecteur devant le choix du doute ou de l’acceptation ! Mais une chose est certaine, il ne pourra plus dire " Je ne savais pas " L'énigme aux 600 ouvrages vit ses dernières heures tant les preuves apportées sont convaincantes. Et si ce livre était le dernier sur cette histoire ? Sans oublier la préface de Charly SAMSON, auteur de nombreux ouvrages sur les mystères et le Paranormal et témoin privilégié de l'histoire de Rennes-le-Château depuis plus de 40 ans. L'auteur s'amuse même à vous mettre au défi en codant lui-même son livre par le biais de la méthode BOUDET, pour peut-être une dernière révélation ! Avis aux amateurs ! L'éditeur WARCADIA

Présentation prétentieuse parce que l'ouvrage ne résout aucune énigme. Par du décodage, il arrive juste à trouver sur le terrain un site qui contiendrait un tombeau. Mais ça s'arrête là.

Rudy Jacquier est sur les traces de l’abbé Saunière et de sa servante qui, comme lui, cherchent quelque chose, des liens sur le terrain.

« Énigme Sacrée », en page 45 : Dès lors [suite à la découverte d’inscriptions cryptées sur la pierre tombale de Marie de Hautpoul de Blanchefort], accompagné de sa fidèle servante, il arpente à pied la campagne environnante, à la recherche de pierres qui semblent présenter aussi peu de valeur que d’intérêt.

Et on sait que les trois ouvrages de Rudy Jacquier reposent sur la découverte de pierres, de rochers, suite à son décodage de ladite pierre tombale de Marie, marquise d’Hautpoul de Blanchefort, de l’église de Rennes-le-Château et du domaine, et du livre de l’abbé Henri Boudet sur la langue celtique.

À 0H12’33" du vidéo : L’histoire de Rennes-le-Château naît avec l’ouvrage de Gérard de Sède en 1967, "L'Or de Rennes"

. Il y aurait des éléments valables, mais ça serait essentiellement un roman selon Jacquier

« Énigme Sacrée », en page 100 : Ainsi Gérard de Sède a-t-il produit toute une série d’études sur des sujets apparemment aussi divers que les Cathares, les Templiers, la dynastie mérovingienne, les Rose-Croix, Saunière et Rennes-le-Château. Tout à tour évasif, espiègle, insinuant, modeste ou mystificateur, il ne cesse d’insinuer qu’il en sait plus qu’il n’en veut dire, à moins que ce ne soit là une élégante façon chez lui de dissimuler le fait qu’il en sait moins que ce qu’il veut bien prétendre… Ses ouvrages avancent cependant un certain nombre de détails facilement vérifiables qui sont autant de liens entre leurs thèmes respectifs, l’auteur affirmant d’ailleurs que les divers sujets traités se recouvrent les uns les autres.

Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9renger_Sauni%C3%A8re
Extrait : L'action de Pierre Plantard

Cette légende d'abord locale attire le dessinateur Pierre Plantard qui effectue des fouilles à Rennes-le-Château dans les années 1960, et finit par rencontrer Noël Corbu. Plantard publie dans des conditions assez rocambolesques en 1965 le 2e document des Dossiers secrets d'Henri Lobineau (« Les descendants mérovingiens ou l’énigme du Razès Wisigoth ») qui suggère que la monarchie française descend de rois mérovingiens liés aux mystères du pays de Razès qu'il situe dans la région de Rennes-les-Bains et de Rennes-le-Château. Plantard, lui-même associé à Philippe de Chérisey, contacte Gérard de Sède, leur rencontre aboutissant à la rédaction en 1967 de L'or de Rennes, ouvrage qui crée notamment la légende des parchemins (fabriqués par Philippe de Chérisey) et popularise les mythes du trésor de Rennes-le-Château. Ce livre au succès national sera un jalon important dans la littérature pléthorique autour de « RLC » (Rennes-le-Château dans le jargon ésotérique) et servira de base à d'autres ouvrages publiés en France mais aussi dans des pays étrangers, notamment anglo-saxons.

À noter qu’Anton Parks dans « Corpus Deae » et Maurice Poulin dans « Le Grand Monarque – à l’ère du Verseau » se réfèrent chacun à Gérard de Sède à quelques occasions.

Rudy Jacquier dit se limiter aux seules sources authentiques et non altérées par le temps :

1. Le livre sur la langue celtique de l’abbé Henri Boudet en 1886
Lien : http://templarii3m.free.fr/doc_boudet_vlc.htm

2. L’église de Rennes-le-Château et le domaine de l’abbé Saunière

3. La brochure de 8 pages « Excursion à Rennes-le-Château » de 1906 (pour la photo de la pierre tombale de Marie de Hautpoul de Blanchefort)
Lien : https://www.renneslechateau.info/wp-content/uploads/pdf/Bulletin_de_la_Societe_etudes_s...

Des travaux de restauration ont été faits sur l’église de RLC (Rennes-le-Château) et le domaine de l’abbé Saunière. Mais il subsisterait des cartes postales encore révélatrices de l’époque.

Il ne dénigre pas tous les 600 quelques livres écrits sur le sujet mais…

« Énigme Sacrée », en page 101 : Mais ce n’est pas là, dans la presse, les études savantes ou les ouvrages à gros tirages, qu’il faut chercher les informations les plus intéressantes. C’est au contraire dans les documents, les brochures ou opuscules, à tirage limité, édités par des particuliers et déposés à la Bibliothèque nationale à Paris, la plupart éditions sans aucune valeur, simples duplicata de pages dactylographiées, ou photocopies des plus ordinaires. Plus encore que les ouvrages vendus en librairie dont nous avons parlé précédemment, ces dernières brochures semblent avoir une seule et même source.

À 0H18’45" du vidéo : On parle toujours de l’abbé Saunière, mais l’histoire commence avec l’abbé Henri Boudet à Rennes-les-Bains, et peut-être même probablement avant. Le mystère est à Rennes-les-Bains.

« Énigme Sacrée », en page 42 : Il [l’abbé Saunière] a une servante, jeune paysanne de dix-huit ans du nom de Marie Denarnaud, qui restera jusqu’à la fin sa compagne et sa confidente. Il se rend aussi fréquemment chez son ami l’abbé Henri Boudet, curé du village voisin de Rennes-les-Bains…

À 0H19’39" du vidéo : Razès est la région de Rennes-le-Château. Et le mot « Razès » apparaît une dizaine de fois dans les prophéties de Nostradamus. Et on nous montre un de ces quatrains qui parle aussi du Lac Leman d’où est originaire Rudy Jacquier.

Jacquier trouve ça étonnant, mais pas moi puisque « L’Énigme Sacrée » parle du lien de Nostradamus avec le Prieuré de Sion, de son initiation et de ses prophéties en lien avec l’alliance entre Clovis, roi mérovingien, et l’Église romaine, alliance que celle-ci a trahi au profit des Carolingiens. Jacquier se dit expert puisqu’il s’intéresse à Rennes-le-Château depuis 25 ans, i.e. depuis l'âge de 12 ans, et aurait lu quelques 300 ouvrages sur les 600 qu’il dénombre. Il trouve intéressante cette prophétie puisqu’il est du Lac Leman.

« Énigme Sacrée », en page 49 : Dans les temps reculés, le site de Rennes-le-Château a été considéré sacré par les Celtes, et le village lui-même, alors appelé Rhedae, tient son nom d’une de leurs tribus. Puis, à l’époque romaine, une florissante communauté s’y est installée, le lieu étant devenu célèbre pour ses mines et ses sources chaudes ; là aussi, il a été considéré comme sacré, et certains vestiges de temples païens en subsisteront. […] Au cours des cinq siècles suivants, la ville est le siège de l’important comté de Razès.

À 0H23’37" du vidéo : Il parle du « fauteuil du Christ » qu’il a découvert à Rennes-les-Bains en août 2015 et qui serait le point de départ. Déjà qu’il y avait le « fauteuil du diable ». Et les deux évoquent ceux de l’Église de Rennes-le-Château qui se font face.

. Il relie son « fauteuil du Christ » encavé dans une pierre sur le terrain à la toile du « Christ-lièvre », dénommé ainsi par Gérard de Sède, et qui se trouverait dans l’église de Rennes-les-Bains
. Le « fauteuil du diable » étant connu, on a maintenant sur le terrain de Rennes-les-Bains, le même face à face entre le diable et le Christ que dans l’église de Rennes-le-Château

Fauteuil pour fauteuil, faut-il y voir un lien à décoder :

« Énigme Sacrée », en pages 47-48 : Le 22 janvier [1917], Saunière meurt donc sans avoir reçu l’absolution. Le matin suivant son corps est assis dans un fauteuil sur la terrasse de la villa Bethania… Jamais aucune explication ne sera fournie de cette étrange cérémonie dont s’étonnent encore aujourd’hui les habitants du village.

À 0H40’35" du vidéo : Derrière Gérard de Sède, il y a Pierre Plantard qu’il qualifie d’opportuniste puisque selon lui il se serait servi de Gisors et de Rennes-le-Château à ses propres fins.

Mais à quelles fins ? On le dénigre et réhabilite du même souffle.

« Énigme Sacrée », en page 100 : De qui Gérard de Sède tient-il ses informations ?

Lorsque, en 1971, nous commençons pour la BBC notre premier film su Rennes-le-Château, nous demandons à son éditeur parisien certains documents photographiques qu’il nous envoie aussitôt. Or, au dos de chacun d’entre eux figure la mention « Plantard ». […] Et en effet, il va devenir l’un des personnages principaux de notre investigation.

À 0H42’53" du vidéo : Tout part avec l’abbé Boudet qui aurait écrit un ouvrage celtique daté de « 1886 », une date incertaine, peut-être plus ancienne, car elle pourrait faire partie du codage. Saunière arrive en 1885. Le codage de Rennes-le-Château est inspiré de la langue celtique. Ça ne peut pas être techniquement l’œuvre de l’abbé Saunière.

Lien : http://templarii3m.free.fr/doc_boudet_vlc.htm
Extrait : LA VRAIE LANGUE CELTIQUE ET Le Cromleck de Rennes-les-Bains
PAR l’Abbé H. BOUDET, CURÉ DE RENNES-LES-BAINS (AUDE)

« Énigme Sacrée », en page 51 : Si explication il y a, elle est capitale et dépasse de beaucoup le cadre d’un petit curé de campagne de la fin du XIXe siècle.

« Énigme Sacrée », en pages 195-197 : Ainsi, d’après un récit en théorie « bien documenté », le prêtre n’avait pas découvert « par hasard » les parchemins cachés dans son église ; ceux-ci, au contraire, lui avaient été remis par des émissaires du Prieuré de Sion venus lui rendre visite à Rennes-le-Château, et ils allaient le traiter visiblement en factotum [Personne qui s'occupe un peu de tout, et, en particulier, des travaux mineurs : Le gardien sert de factotum.] jusqu’à la fin de 1916 du moins, date à laquelle Saunière s’était violemment querellé avec eux, précisant encore l’auteur.

Or un « document du Prieuré » plus récent, et apparemment plus circonstancié, semble confirmer cette version. D’après lui, Saunière n’était qu’un pion, et son rôle dans le mystère de Rennes-le-Château avait été considérablement amplifié. Le véritable responsable des événements survenus dans le petit village aurait été son ami l’abbé Henri Boudet, curé de la commune voisine de Rennes-les-Bains. […] C’est lui enfin qui aurait supervisé la restauration de l’église de Rennes-le-Château et serait le véritable auteur de l’étrange chemin de croix, version illustrée ou expression visuelle d’un ouvrage obscur de sa composition. […] Quant à l’abbé Boudet lui-même, plusieurs questions dans cette perspective se posent à son sujet. Pour qui travaillait-il ? Quels intérêts servait-il ?

Selon ce dernier, les nombreux membres ecclésiastiques impliqués dans le mystère de Rennes-le-Château – Saunière, Boudet, Hoffet, son oncle de Saint-Sulpice, l’évêque de Carcassonne et d’autres probablement – étaient tous affiliés à une franc-maçonnerie de « Rite écossais ».

Rudy Jacquier, lui-même franc-maçon, reconnait l’œuvre maçonnique derrière Rennes-le-Château. De plus, il se pose la question à savoir qui était derrière l’encodage celtique de la restauration qui conduit au lieu qu’il qualifie de « tombeau ».

À 0H45’53" du vidéo : Les abbés recevaient des « personnalités » régulièrement, dont la cantatrice Emma Calvé, et dont l’authenticité resterait à être prouvée selon Jacquier. Mais l’Église de Rennes-le-Château, dans sa structure, serait un temple maçonnique. Ce qui impliquerait une « société » derrière tout ça.

À 0H49’07" du vidéo : Qui parle de « trésor » ? L’abbé Saunière, pour expliquer ses rénovations, aurait trouvé un magot laissé derrière par des nobles qui auraient fui en Espagne lors de la Révolution française, et non un trésor, même si l’abbé Boudet en fait allusion dans son ouvrage. Noël Corbu, qui a acheté finalement le domaine à la mort de la servante de Saunière en 1953, a fait construire un hôtel et aurait publicisé cette idée de « trésor » pour attirer les touristes. Mais aucun lien entre, par exemple, le trésor des Wisigoths, qui s’avère plausible dans la région du Razès selon des sources fiables, et Saunière.

Le Razès est rempli de mystères. Mais le décodage de Rennes-le-Château et Rennes-les-Bains ne l’est plus. Pour la suite, au lieu où ça mène, là c’est du ressort des autorités.

À 1H01’17" du vidéo : L’énigme de l’échiquier

On remarquera que la « Sainte Vierge » a une « tour » sur la tête comme décrit par Anton Parks avec la Porteuse du Graal, Marie de la Tour, Nephtys (Marie-Madeleine, la « prostituée » de Babylone). Bien sûr, Rudy Jacquier n’est pas au fait.

. On retrouverait, grâce à (feu) Alain Féral, l’échiquier sur le domaine de Rennes-le-Château
. On retrouve l’échiquier codé dans le livre de l’abbé Henri Boudet

À 1H08’38" du vidéo : Le 16 degré codé un peu partout et le lieu à découvrir

. À partir du « ECCE » qui se retrouve sur le bâton de Jean le Baptiste
. Dans le livre de l’abbé Henri Boudet, sur la pierre tombale de la marquise d’Hautpoul
. Il pense qu’il y a une symbolique autour du « 16 » mais il laisse ça aux experts

Pour l’anecdote, ma journée de fête est un 16 (1 + 6 = 7 marches, et 9 marches pour septembre / Vierge, et 7 + 9 = 16)

À 1H16’16" du vidéo : Photos d’époque pour comparer avec aujourd’hui

. Analyse de la fresque en fonction des anges et de « par ce signe tu le vaincras »
. Détails de la fresque agrandie qui se retrouvent sur le terrain de Rennes-les-Bains

« Énigme Sacrée », en page 46 : Sur les murs de l’église un chemin de croix, vulgaire et agressif, chaque station se caractérisant par un détail choquant, rajouté et erroné, mais toujours plus ou moins éloigné des récits des écritures reconnus par l’Église.

. Il y a une figure de crocodile de pierre sur ce terrain
. Ça serait un lieu très énergétique, chargé d’énergie (géobiologie)
. Ce n’est pas un lieu anodin et le décodage y mène

À 1H33’47" du vidéo : Prophétie de Nostradamus en lien avec la découverte du lieu

. Pour lui, ce n’est pas un trésor mais plutôt un tombeau
. Une image du chemin de croix de l’Église de Rennes-les-Bains où le Christ est enterré à l’égyptienne !
. À partir du crocodile de pierre, on peut faire des corrélations avec le dieu égyptien Sobek [l’onction, le saint chrême, qui comporterait un onguent à base de crocodile] et le rite maçonnique de type égyptien (Templiers)

À 1H40’13" du vidéo : Le chiffre 22 revient souvent dans le domaine

. La Tour Magdala pourrait bien représenter l’arcane 16
. Il a beaucoup discuter sur la valeur du chiffre 16 avec Charly Samson 88 ans (qui a travaillé avec Jimmy Gieu)

À 1H54’19" du vidéo : « Les Bergers d’Arcadie » de Nicolas Poussin

. Pour Rudy Jacquier, « CETTE TOILE N’AURAIT AUCUN LIEN AVEC RENNES-LE-CHÂTEAU »

Et dans son deuxième ouvrage, il vire son capot de bord ! Comme quoi ses critiques envers De Sède et Plantard, ça vaut ce que ça vaut.

Son approche est intéressante. Il amène de l’information complémentaire mais qui se limite à la découverte d’un lieu énigmatique. Par contre, il dit tout et son contraire quand il critique les autres et ce, sur la base de l’approche que lui adopte. Et dans ce sens, je le trouve présomptueux.

À SUIVRE...

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