CENSURE & 2023

par panthère58, samedi 17 octobre 2020, 09:04 (il y a 1281 jours)

Bon, pour toutes sortes de raisons évidentes, on ne vivra pas tous le Rendez-Vous de 2023 de la même façon, le cas échéant.

Il semble que plusieurs catégories d'entités extrahumaines aient interféré dans la vie de Kiwan pour Richard Glenn depuis son tout jeune âge. Et il a toujours gardé un flou sur ces entités en lien avec 2023.

Mais à partir des éléments fournis sur COP15, sur le maintien de l'Humanité dans une forme ou une autre d'esclavagisme depuis le Jardin d'Eden, que la Terre est considéré comme un zoo dans lequel les humains jouent le rôle de chimpanzés, j'ai émis à plusieurs reprises des doutes sur l'intégrité, la spiritualité des entités extrahumaines derrière le "Surrender" de 2023. Parce qu'il y a trop d'accointances avec ce Nouveau "normal", ce "Nouveau Monde" qui nous est servi par notre "élite", nos milliardaires, la papauté, les différentes monarchies, les Banques, la pharmaceutiques, les médias, l'ONU, l'OMS, les Démocrates, l'État profond (CIA).

S'ajoute maintenant la notion de censure à laquelle nous sommes confrontés présentement. Et je l'associe à 2023. Parce que les entités derrière Kiwan pour Richard Glenn l'ont traité comme nous subissons présentement le même traitement. C'est-à-dire, qu'on lui a interdit ou fortement recommandé de ne pas lire des livres pour ne pas "polluer" son esprit. Ils ne font pas confiance à son jugement pour faire la part des choses. Qu'est-ce qu'ils redoutent ?

Comme pour nous. On ne fait pas confiance à notre jugement. On ne peut pas mettre en doute la version officielle du Gouvernement, de l'OMS, de l'ONU, de la Santé publique malgré toutes les incohérences et les conflits d'intérêts manifestes et omniprésents. On n'a pas le droit de douter et de lire des infos qui pourraient polluer notre esprit sous peine, si on les partage et exprime, d'être traités de conspirationnistes, complotistes, d'extrême droite, de xénophobes et tout la litanie d'étiquettes connues. Mais aucun argumentaire. Sans compter la censure imposée par les Ordres professionnels. Pas de débats sur des sujets qui nous impactent de façon singulière et vont déterminer, orienter notre FUTUR.

Et les mesures sanitaires sont là pour nous isoler les uns des autres.
Les réseaux sociaux sont là pour contrôler ce qui peut ou pas être dit.
Quand on suit la politique américaine, on voit qu'ils censurent Trump mais laissent s'exprimer les Démocrates, les fausses nouvelles, la véhémence des propos de BLM, des Antifas, et protègent les corrompus en effaçant les faits les concernant comme pour les Biden. C'est Cambridge Analytica à son paroxysme.

Quant à la liberté d'expression, quand elle rejoint trop de personnes comme Alexis Cossette-Trudel, on le bannit, on l'exécute sur la place publique pour servir d'exemple. Et après on a un Emmanuel Macron qui vient nous parler de liberté d'expression avec une hypocrisie machiavélique sur le cas du professeur décapité. Quel paradoxe. Il parle mais on sent que ça ne vient pas du coeur. C'est une opération de PR (relations publiques). Et après, on a une Sophie Durocher qui fait une folle d'elle en réaction aux propos d'AK7T suite à son entrevue à Sud Radio. Celui-ci parle de l'absence de débat au Québec et elle lui rétorque que les médias font bien leur travail. Complètement déconnectée.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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