Retour à l'index du forum
Ouvrir dans le fil de discussion
Avatar

LIVRE DE LA RÉVÉLATION / APOCALYPSE Partie 2

par panthère58, samedi 25 juillet 2020, 09:44 (il y a 1368 jours) @ panthère58

2:14 Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité.

Lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Balaam
Extrait : Balaam et Balak

Aux chapitres 22 à 24 du Livre des Nombres, Balaam est mandé par Balak, roi de Moab, pour maudire les Israélites qui, après avoir traversé le désert, traversaient ses territoires vers le pays de Canaan.

Le devin, monté sur une ânesse, se rend chez Balak ; mais, en chemin, un ange, tenant une épée nue à la main, empêche l'ânesse d'avancer malgré les coups donnés par son maître. L'ânesse, douée tout à coup de la parole, reproche à son maître sa dureté. Dieu ouvre alors les yeux de Balaam ; devant Balak, il bénit, par trois fois, le peuple qu'il avait pour mission de maudire.

Il prophétise : « De Jacob monte une étoile, d'Israël surgit un sceptre ».

L'infidélité de Péor

À Péor, un grand nombre d'israélites se livrent à la débauche avec des filles de la région, et au culte de Baal (Baal Péor = Belphégor).

Balaam est tué par les hébreux, durant le massacre de la population du pays de Madian organisé en représailles.

Dans le Nouveau Testament

Balaam est cité comme occasion de chute du peuple de Dieu dans les épîtres de Jude et l'Apocalypse (Apocalypse 2. 14).

Dans la Deuxième épître de Pierre, ceux qui écoutent les faux docteurs, introducteurs d'hérésies, s'égarent en suivant la voix de Balaam.

Dans la littérature rabbinique

Balaam est souvent mentionné dans les sources rabbiniques. Il est le type même du méchant : idolâtre, séducteur d'Israël et sorcier (en tant que sorcier, il aurait eu le pouvoir de s'élever dans les airs). Il y est tantôt associé à Jésus, tantôt confondu avec lui. Selon l'historien Thierry Murcia, dans le Talmud, Jésus est « identique à Balaam : idolâtre, sorcier et séducteur ».

Tiens pour une deuxième fois on dénigre Jésus-Christ !
Ce texte a vraiment un double langage.

[image]

:-) [image]

Un passage biblique décodé par les frères Sabbah qui met en vedette le meurtre de l'Égyptien par Moïse. Je ne mets que les extraits parlant, et non la démonstration linguistique avec les racines hébraïques.

Balak : étant le Divin Père Aï
Balaam : Moïse
L'ânesse : Akhénaton
L'ange du Seigneur : Joseph i.e. le Divin Père Aï

Extraits :

En page 517 : L’änesse de Balaam

Intercalée dans l’histoire de Moïse après la mort d’Aaron (Nombres 22-23), deux personnages surgissent dans la légende biblique : Balak, fils de Tsipor, roi de Moab fait venir le prophète Balaam et lui demande de maudire Israël. Par trois fois, Balaam risquant sa vie prononce une bénédiction à la place de la malédiction attendue. Furieux, Balak se sépare de Balaam après que ce dernier lui a envoyé une mise en garde sur Moab. La légende de Balaam est un véritable message des scribes qui, sous une histoire insolite, révèlent à l’humanité l’essence même de l’enseignement biblique. […] Balak est le fils de Tsipor, nom se rapprochant de Tsiporah, femme de Moïse et fille de Jéthro.

Le second personnage, Balaam, « magicien » portant le bâton de prêtre accompagné de deux « princes », rappelle Moïse, son bâton, ses deux fils et ses dons de magicien. Balak et Balaam effectuent ensemble le sacrifice du taureau et du Bélier, comme Aï et Moïse dans le désert.

Nombres 22:28 L'Éternel ouvrit la bouche de l'ânesse, et elle dit à Balaam: Que t'ai je fait, pour que tu m'aies frappée déjà trois fois?

Nombres 22:30 L'ânesse dit à Balaam: Ne suis-je pas ton ânesse, que tu as de tout temps montée jusqu'à ce jour? Ai-je l'habitude de te faire ainsi? Et il répondit: Non.

Ânesse = Atone en hébreu

En page 518 : La Bible révèle dans la parole de l’ânesse (Atone) le nom divin « Anokhi Atone », véritable nom d’Akhénaton : Anokh Atone, inscrit dans « Anokhi Adon-Aï Elohékha » : je suis ton Dieu, premier commandement biblique.

En page 519 : Balaam reconnaît implicitement l’autorité d’Akhénaton (Atone), et les bienfaits qui lui ont été dispensés pendant la durée de son règne. […] L’expression « que je l’aurais laissé vivre » enseigne que l’ânesse est morte à la suite des coups infligés par Balaam.

En page 520 : La légende de Balaam, intermède à l’intérieur de la légende de Moïse et des enfants d’Israël dans le désert, est un reflet du meurtre de l’Égyptien.

En page 521 : Les officiers de Balak ne sont autres que les officiers de Aï. Pourquoi celui qui frappe Atone (l’ânesse) est-il en même temps celui qui bénit le peuple ? Balaam ne représente-t-il pas le personnage de Moïse, un chef qui châtie et récompense ?

---
L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

  3543 vues

Fil complet:

 Fil RSS du sujet

200443 messages dans 40799 fils de discussion, 1190 utilisateurs enregistrés, 88 utilisateurs en ligne (0 enregistrés, 88 invités)
Temps actuel sur le forum : 23/04/2024, 20:41
Fil RSS des messages  Fil RSS des discussions | Contact
powered by my little forum