TOUCH : LES LIENS INVISIBLES / S1E7

par panthère58, mardi 14 avril 2020, 21:07 (il y a 1465 jours) @ panthère58

TOUCH : Les Liens invisibles
[Nassim Haramein et l’Univers connecté !]

La narration est faite par Jake (Jacob Bohm), l’enfant autiste surdoué, dans l’intro et à la fin de chaque épisode.

Lien sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=LubVhU8MMRg

Saison 1 Épisode 7
Bienvenue dans la noosphère (Noosphere Rising)

Intro :

Les nombres sont constants jusqu’à ce qu’ils ne le soient plus. C’est notre incapacité à influer sur les résultats qui nous rend tous égaux face au hasard. Les ordinateurs génèrent des nombres aléatoires dans l’espoir de donner un sens à ce qui n’est que probabilités, des séquences numériques infinies dépourvues de signification. Mais à l’occasion d’un cataclysme planétaire, tsunami, tremblement de terre, attentat du 11 septembre, ces nombres aléatoires cessent de relever du hasard.

Tout comme notre conscience collective, les nombres se synchronisent. La science est incapable d’expliquer ce phénomène, mais la religion le peut. Ça s’appelle la prière. Une demande collective envoyée à l’unisson, un espoir partagé. Les nombres sont constants jusqu’à ce qu’ils ne le soient plus.

Pendant l’épisode : On retrouve la séquence d’Amélia qui s’enrichit des chiffres « 1188 ». Ces chiffres mènent le père de Jake (Jacob) chez un professeur de mathématique, Logan Coteweiler, avec qui le professeur Arthur Teller (maintenant décédé) collaborait pour expérimenter cette séquence au poker.

Prof. Logan Coteweiler à Martin Bohm : Au début, je l’ai pris pour un fou (Teller) mais je n’avais jamais rien vu de pareil. On dirait la pensée de Dieu ou de je ne sais quoi. C’est un algorithme déterministe. Il bouleverse complètement l’équation de Schrödinger. C’est le passé, c’est le présent, l’avenir. [Il explique le lien avec le poker.] Les probabilités, le hasard sont réduits à leur essence même. C’est la formule magique pour gagner au Texas Hold’em.

Finalement, la combinaison "1188" mène Martin Bohm, le père de Jake (Jacob), chez des Juifs qui étudient la KABBALE.

Conclusion :

À l’occasion de cataclysme planétaire, notre conscience collective se synchronise tout comme les séquences numériques issues de générateurs de nombres aléatoires. La science est incapable d’expliquer le phénomène mais la religion le peut : ça s’appelle la prière. Une demande collective envoyée à l’unisson, un espoir partagé, une peur soulagée, une vie épargnée. Les nombres sont constants jusqu’à ce qu’ils ne le soient plus. Lors de grandes tragédies ou à l’occasion de liesses collectives, dans ces moments fugitifs, c’est uniquement le fait de partager l’émotion qui fait paraître le monde moins aléatoire. C’est peut-être une coïncidence ou c’est peut-être une réponse à nos prières.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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