TOUCH : LES LIENS INVISIBLES / S1E2

par panthère58, samedi 11 avril 2020, 15:55 (il y a 1475 jours) @ panthère58

TOUCH : Les Liens invisibles
[Nassim Haramein et l’Univers connecté !]

La narration est faite par Jake (Jacob Bohm), l’enfant autiste surdoué, dans l’intro et à la fin de chaque épisode.

Saison 1 Épisode 2
1 + 1 = 3

Intro :

Je m’appelle Jake. Je suis né il y a 4 165 jours, le 26 octobre 2000. Je vis sur cette planète avec 7 080 360 000 autres êtres humains. Voici l’histoire de certains d’entre eux.

Aujourd’hui, un individu lambda dira 2 250 mots à 7,4 autres personnes. Nous allons envoyer plus de 300 milliards de courriels, 19 milliards de textos, contribuant ainsi à la mosaïque gigantesque de structures et de rapports.

Les structures mathématiques dans leur conception sont cachées sous nos yeux. Il faut juste savoir où regarder. Seuls certains d’entre nous voient comment les parties s’assemblent. Tout a été prédéterminé par probabilités mathématiques. Et mon rôle est de garder une trace de ces nombres afin d’établir les liens entre ceux qui ont besoin de se trouver, ceux dont les vies ont besoin de se toucher.

Je suis né depuis le 26 octobre 2000. Je suis en vie depuis 11 ans, 4 mois, 25 jours et 13 heures. Et pendant tout ce temps, je n’ai jamais prononcé un seul mot. Mais ce n’est pas grave. Quelqu’un m’entend désormais.

Pendant l’épisode :

Professeur Arthur Teller au père Martin Bohm : Il peut arriver qu’une opération ne tourne pas juste parce qu’une douleur au plan cosmique doit impérativement être guérie, [une douleur] que votre fils perçoit, ressent. Une chose inachevée, un problème en souffrance. La douleur lui apparaît sous forme de nombres. Votre travail est de suivre cette piste de nombres. Faites confiance à votre fils, il vous le fera savoir.

Conclusion :

7 milliards d’êtres humains sur une planète minuscule, suspendue dans l’immensité de l’espace, seuls. Comment trouver un sens à cette aberration, demeure le grand mystère de notre frêle existence. C’est peut-être notre infinie solitude qui nous lie tous, qui nous oblige à avoir intimement besoin de l’autre, qui crée un imbroglio quantique entre vous, moi, nous. Et si cela est vrai, alors nous vivons dans un monde où tout est possible.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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