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BETHLÉEM et L'IDENTITIÉ VRAISEMBLABLE DES ROIS MAGES

par panthère58, lundi 08 janvier 2018, 12:15 (il y a 2292 jours) @ panthère58

:-) [image]
Anton Parks
Ed. Nouvelle Terre, 2009

BETHLÉEM et L’IDENTITÉ DES ROIS MAGES

Et si la tradition ésotérique était fondée sur de fausses prémisses ou des prémisses incomplètes ?

Extrait p.242

Cependant, la question se pose : le Christ biblique serait-il né, voici plus de 2000 ans, à Bethléem, près de Jérusalem ? C’est possible ; Jésus le Christ a peut-être vu le jour dans la ville palestinienne de Bethléem. Cependant, il est intéressant de constater que l’assemblage de différentes particules égyptiennes élémentaires peut apporter une tout autre réponse qui est en parfaite concordance avec nos différentes découvertes : Bit ou Bet (qualificatif de Hathor : "merveille"), "prodige" ; Râ ou Rê ("soleil", "lumière") ; Hem ("le roi" [Heru], "majesté"). Vous le savez maintenant, le L n’existe pas en ancien égyptien, et il est généralement remplacé phonétiquement par R, cela nous donnera :

Bit-Râ-Hem, ou Bet-Rê-Hem, ou encore Bet-Lê-Hem (Bethléem), "Hathor, lumière du roi Heru"

Cette découverte capitale nous confirme une fois encore qu’Isis-Hathor symbolisait bien la Grande Pyramide de Gizeh.

Extrait p.251

Les trois mages, sœurs d’Hathor

L’histoire de la naissance du Christ Jésus, consignée en langue grecque dans l’Évangile de Matthieu, nous parle d’un astre, ou d’une étoile, qui aurait annoncé la naissance du Messie. Cette étoile – (Aster) en grec, ou Ashter en égyptien – rappelle l’œil du firmament qui a témoigné de la naissance d’Horus en tant que Phénix. Ne s’agit-il pas d’Ištar, la planète Vénus sous son nom akkadien ? La chute de Vénus-Lucifer est énoncée en Isaïe 14:12…

Dans la mythologie égyptienne, Horus est bien le fils de l’aurore. L’aurore étant incarnée en Isis et le crépuscule en Nephtys.

Extrait p.252

La naissance de Jésus est rattachée à la présence des rois mages. Le mot "mage" provient du grec Magoi (Magos au pluriel), lui-même étant tiré du persan Magi (Magus au pluriel) qui désigne une personne savante, experte dans l’observation des astres. C’est de ce terme que dérive le mot "magique". Nous ne manquerons pas de décomposer Magi en sumérien, à savoir MA-GI6, "attaché à la nuit", et MA-GI7, "noble qui place ou attache". Vous allez constater d’ici peu que ces deux décompositions nous apporteront la réponse quant à l’identité de ces rois mages.

Le terme hébreu utilisé dans la Bible judaïque pour évoquer les mages est généralement Chakam, qui signifie "intelligent", "sage" et "habile". Ce même mot se retrouve comme par hasard en égyptien sous la forme Sakam, qu’on traduit par "enfant" ou "fils de la déesse égyptienne Satkamt". Le nom Satkamt se décompose littéralement en Sat, "vache noire", et Kamt, "sombre-brillant". Dans ces conditions, ne faut-il pas plutôt voir ces Sakam comme des personnes qui n’observaient pas des astres, mais qui étaient plutôt assimilées à ces astres, ou étoiles ? En tant que représentant(e)s de la Déesse-Mère (Hathor, la Vache céleste), les Sakam égyptiens étaient bien "les enfants de la Vache noire, à la fois sombre et brillante". Un homophone égyptien, Kam, exprime également un "parachèvement" ou un "accomplissement", ce qui nous laisse à penser que les Satkam égyptiennes étaient initialement des "Vaches noires du parachèvement" du Yuef (corps) d’Osiris.

Extrait p.253

La tradition orale prétend que les mages qui sont venus à la rencontre du Christ étaient au nombre de trois. Les accoucheuses qui ont accompagné Isis lors de l’enfantement de Heru (Jésus ?) étaient également trois. La pensée judaïque affirme que ces trois Chakam, "habile(s)" ou Satkam, auraient apporté richesses et parfums, à savoir l’or (la royauté), l’encens (la divinité) et la myrrhe (la passion), à l’enfant Jésus. Les trois déesses pleureuses qui accompagnaient Isis lors du rituel de "la lumière de l’horizon", [lequel] avait pour objectif de ranimer l’âme de Sa’am, dit ("l’assassiné"), dans le corps d’Heru (Horus) sont assurément ces trois personnages qui se retrouvent aujourd’hui dans le Nouveau Testament sous la forme des rois mages. Dans la Bible, elles ne sont plus là pour assister Marie (Isis) lors de son accouchement, mais pour témoigner de la royauté du Christ Messie (Horus).

Dans la mythologie égyptienne, Isis-Hathor régit le Meskhenet, "la chambre des naissances". Elles et ses trois sœurs : Nephtys (Inanna-Ištar), Serkit (Ninmah) et Neith (Dim’mege ou Lilith), forment les quatre Meskhenut, les déesses de la naissance. On trouve symboliquement Isis et ses trois sœurs sur les quatre faces des colonnes des sanctuaires dédiés à Hathor. Cet ensemble de déesses forme les quatre faces cachés d’Hathor, à savoir : la mère des origines (Serkit-Ninmah), la mère et femme d’Horus (Isis-Sé’et ou Hathor elle-même), la mère initiatrice (Nephtys-Inanna) et la mère du monde abyssal (Neith-Dim’mege). Nous pouvons aussi ajouter que les trois déesses représentent, avec Isis, les quatre piliers osiriens qui entourent le tombeau d’Osiris – selon la tradition.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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