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SMALLVILLE point de vue de JMtRoseCroix

par panthère58, vendredi 12 mai 2017, 10:56 (il y a 2512 jours) @ panthère58

:-) Je me permets de ramener les billets de JMtRoseCroix sur Smallville / Superman, qui alimentent la réflexion sur cette télésérie.

Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=59061

Smallville Finale
par JMtRoseCroix, dimanche 02 septembre 2012, 23:34 (il y a 1712 jours) @ panthère58

Voir que Smallville aurait été inventé par des Juifs..... non, mais franchement on veut rire de moi là ! Ca fait un bout maintenant que je n'écoutes plus les vidéorandia parce que même si Kiwan est super intelligent, il faut en prendre et en laisser. On a bien dit que le Nazaréen était juifs alors que pas du tout. Dit moi ce qui peut rapprocher tout ça des Juifs ? Quoi parce qu'il n'est pas blond ou ben parce qu'il a été créer au USA ? Et puis c'est quoi le mal si ca aurait été créer par des JUIFS si c'est le cas.... car je vois la série BEAUCOUP comme étant Catholique Chrétien Chaldéen Egyptien etc !! C'est beaucoup plus des enseignements qui remonterait à l'égypte au Atlantes ou sinon plus.... Les juifs seraient des anciens prisonniers...venues des autres planètes alors peut que c'est peut être de seul lien que je peux voir mais sinon....

Source : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=59073

Smallville Finale
par JMtRoseCroix, lundi 03 septembre 2012, 10:40 (il y a 1712 jours) @ panthère58
édité par JMtRoseCroix, lundi 03 septembre 2012, 11:09

Au moins dire des références pour dire que c'est JUIFS même si les références ne sont pas tous véridique ! Parce que quand tu créer une histoire il y a toujours un lien avec ta religion ta façon de pensée etc etc..... c'est pourquoi j'ai dit avez vous vu quoi que ce soit dans ces histoires qui ont un lien avec la PENSÉE juive qui n'ont pas la même que celui d'une autre culture... POURQUOI ON FAIT RÉFÉRENCE TOUJOURS à CA ÉTÉ CRÉER par des juifs , mais pourquoi avoir mentionner juste ça ? Il avait pas autres choses à dire de plus ? Il n'y a pas de mal, mais la façon comment cela a été dit ! Quand c'est un blanc ben normal ON NE DIT pas hein cela a été créer par un blanc ! Voilà. Et si mon commentaire est bizarre alors je suis surement à la bonne place !
Et en plus, je te pris de le mentionner que pas parce que c'est l'Ancien Testamen que c'est Juifs et la mention EL n'est pas juifs du tout ! Mais d'Origine Chaldéo-Egyptien. Les Dieux qui sont nommés les EL n'ont rien de juifs du tout. Tout ceci est écrit dans bien d'autres ouvrages que la BIBLE car il y en a plein d'autres LIVRE sacrés... c'est une référence rien de plus qui peut être autant juifs, chrétiens ou islamique.
Alors désolé, si j'ai du mal comprendre MAIS JE N'AI pas dit que c'était vous qui aviez dit ça ! Quand c'est le temps de sauver et protéger l'intégrité des Gris au dépend des ELS qui représentent des EXTRATERRESTRES beaucoup plus évolués à des niveaux très près de l'énergie Christique en faite ilS travaillaiENt avec cette force pour aider à remettre l'humanité sur ces rails... ! Souvent les EL sont réelles, mais pas connus des humains.. Ils sont venus des mondes éthériques pour intervenir dans les Guerres des mondes pour maintenir une non ignorance sur la terre... Voilà pourquoi JE TROUVE QUE DIRE QUE SUPERMAN ou kal-el est juif parce qu'il a combattu les Nazis a rien avoir là-dedans car ces extraterrestre existent belle et bien.... Ils sont fait d'éther NEL et nous (juifs chrétiens, musulman, BOUDDHIQUE) nous sommes de chaire mortel.
Voilà un texte
Superman, un héros juif
Personne ne pourra plus l'ignorer après avoir visité l'exposition que le Musée d'art et d'histoire du judaïsme, à Paris, consacre à la bande dessinée : Superman est juif. Ne pas le savoir ne change rien au plaisir pris à la lecture des aventures du super-héros. Mais en prendre connaissance permet de mieux saisir comment, et pourquoi, la minorité juive aux Etats-Unis a utilisé la bande dessinée pour, dans une première phase, raconter sa propre histoire, puis modifier, de manière aussi inattendue qu'imprévisible, la culture populaire de son pays d'accueil.
Conçue de manière chronologique, l'exposition permet de saisir facilement ce phénomène. Les premiers dessins datent du début du XXe siècle, quand industrialisation et immigration étaient à l'origine des grands mouvements de populations. De 1910 à 1921, les immigrés arrivés à Ellis Island, et parmi eux une forte population de juifs d'Europe centrale, racontent dans la presse leurs premiers pas en Amérique, leur vie quotidienne et le choc des cultures dans les quartiers new yorkais du Lower East Side, du Bronx ou de Brooklyn. La presse écrite, alors média de masse, publie des comic strips (bandes dessinées en quelques cases). Les quotidiens en yiddish Die Varhayt ou Der Forverts, dont les tirages sont énormes, publient les cartoons de Samuel Zagat ou de Zuni Maud.
En exposant aussi des dessins de Milt Gross, de Rube Goldberg et d'Harry Hershfield (Abie the Agent ou Homeless Hector), l'exposition montre que aux Etats-Unis, dans la période qui sépare la Grande Dépression de la guerre froide, l'industrie de la bande dessinée devient en grande partie juive, et dépasse de loin le simple cadre de la presse yiddish, pour toucher l'imaginaire populaire.
Les illustrateurs et scénaristes juifs privilégient l'industrie du "comic book", conscients que les portes d'accès de la publicité et de l'édition leur sont souvent fermées. Ce qui a implications esthétiques indéniables, théorisées par le dessinateur Will Eisner. Celui-ci voit dans l'apparition du super-héros, à partir du succès de Superman, en 1938, l'expression d'un particularisme juif. "Le golem, une créature d'argile façonnée par un rabbin pour protéger les juifs de Prague, selon une légende juive du XVIe siècle, est le précurseur de la mythologie du super-héros. Les juifs, persécutés depuis des siècles en Europe, avaient besoin d'un héros capable de les protéger des forces obscures. Siegel et Shuster, les créateurs de Superman, l'ont inventé."
De fait, presque tous les créateurs de super-héros sont juifs, originaires d'Europe centrale : Bob Kane (Batman) ; Will Eisner (Le Spirit) ; Jack Kirby (Les Quatre Fantastiques, Hulk, les X-Men) ; Joe Simon (Captain America) et Stan Lee (Spiderman).
ROMANS GRAPHIQUES
Logiquement, Superman croise le fer avec les nazis, suivi plus tard par Captain America et Les Quatre Fantastiques. Ce qui apparaît, dans un premier temps, comme un désir de voir les Etats-Unis s'investir dans le second conflit mondial et, plus tard, comme la réparation fantasmatique d'une catastrophe - la destruction des juifs d'Europe - qu'aucune armée alliée n'a pu éviter.
Quand "l'homme d'acier" détruit le mur de l'Atlantique et la ligne Siegfried bien avant le jour J, le ministre nazi de la propagande, Joseph Goebbels, s'écrie lors d'une réunion : "Superman est juif !" Ce qui était une insulte doit être pris aujourd'hui pour une évidence.
Le parcours de l'exposition fait aussi la part des évolutions de la BD et de ses "avatars mémoriels", selon l'expression de Laurence Sigal, directrice du Musée, qui donnent différentes visions du passé juif.
Bien après la célèbre couverture de la BD de 1944, La bête est morte ! d'Edmond-François Calvo - dont l'original est présent dans l'exposition -, on retrouve ces traces de la mémoire et notamment de la Shoah dans le graphic novel. Ce terme forgé par Will Eisner en 1978 pour désigner son livre Un pacte avec Dieu désigne une BD qui veut faire oeuvre littéraire. Le "roman graphique" est ainsi devenu un genre à part et reconnu dans la BD, attirant des auteurs en prise avec la littérature de la mémoire.
Outre Art Spiegelman et son Maus (oeuvre récompensée par un prix Pulitzer), outre encore Ben Katchor, Robert Crumb, Jules Feiffer, etc., on (re)découvre dans cette exposition de jeunes auteurs comme Bernice Eisenstein ou Miriam Katin, dont les autobiographies dessinées renvoient à des événements historiques rarement décrits par la BD (le procès d'Eichmann, par exemple).
Cette exposition intitulée "De Superman au Chat du rabbin" fait aussi des incursions dans la BD d'humour et les pastiches de Gotlib, dans les légendes et les contes traditionnels revus aujourd'hui par Joann Sfar ou dans les tribulations des anti-héros underground d'Aline Kominsky. L'exposition montre enfin la façon dont un auteur comme Hugo Pratt, passionné par la kabbale, utilise les signes hébraïques dans son oeuvre. Autant de facettes singulières du mariage entre BD contemporaine et judaïsme.
"De Superman au Chat du rabbin, bande dessinée et mémoires juives". Musée d'art et d'histoire du judaïsme, Hôtel de Saint-Aignan, 71, rue du Temple, Paris-3e. Tél. : 01-53-01-86-48. Mo Hôtel-de-Ville. Du lundi au vendredi de 11 heures à 18 heures, le dimanche de 10 heures à 18 heures.
Jusqu'au 27 janvier 2008. 5,50 €. Sur Internet : www.mahj.org.
Samuel Blumenfeld et Yves-Marie Labé
Le Monde, daté du 24 octobre 2007
Cinq ans de travail, des recherches multiples
Cinq ans : c'est le temps qu'il a fallu pour préparer l'exposition, recenser et trier dessins et crayonnés rares, originaux et rééditions de planches BD dans des archives privées ou publiques, en Europe et en Amérique du Nord surtout. "J'avais au départ l'intention de montrer le travail de deux auteurs, Ben Katchor et Will Eisner, explique Anne Hélène Hoog, la commissaire de l'exposition. J'ai eu le feu vert pour monter une exposition historiographique sur BD et judaïsme." Soit quelque 230 oeuvres retenues sur les 370 sélectionnées a priori. Anne Hélène Hoog s'est ingéniée à retrouver les supports originaux, souvent abîmés : "Ce qui m'intéresse, en plus des thèmes traités dans ces différents strips, c'est la matière de ce papier, de cette mémoire éphémère."

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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