Debout!
Je ne suis pas trop au fait des questions de génération. Tout ce que je peux dire est que l'une des trois personnes est dans la cinquantaine et les deux autres sont ses filles qui sont en première ou deuxième année d'Université. Ce qui joue le plus dans leur cas est peut-être leur condition sociale relativement aisée, appartenant à la classe moyenne et peut-être dans la partie haute de celle-ci, en plus de leur passage par le formatage universitaire auquel il n'est pas facile d'échapper si l'on n'a pas déjà au départ une nature rebelle ou plus ou moins réfractaire à l'intégration socioculturelle. J'ai plus que l'impression que plus une personne fait d'années d'études et plus il lui est difficile de remettre en question le Système et de l'observer de manière externe ou détachée.
Ce qui joue le plus dans leur cas est peut-être leur condition sociale relativement aisée, appartenant à la classe moyenne et peut-être dans la partie haute de celle-ciJe ne suis pas d'accord avec cet énoncé, c'est probablement par ceux-ci qu'on sait ce qu'on ne doit pas savoir
La majorité des « éduqués » est conformiste, bien formatée. C’est par les « rebelles » que les informations passent. Et plus on est éduqué-formaté, plus en général (ou au moins en majorité) on défend le système. J’aurais même tendance à aller ici plus loin et à soulever la forte présomption d’une grande corrélation entre conscience et rébellion face aux systèmes coercitifs, dominateurs, esclavagistes, globalisants ou uniformisateurs, même s’il peut toujours y avoir quelques exceptions de part et d’autre.
---
François
https://nouveau-monde.ca/
Fil complet: