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DOSSIER ANTON PARKS : Coup d'oeil sur Le Livre de Nuréa

par panthère58, jeudi 05 janvier 2017, 22:21 (il y a 2664 jours) @ panthère58

:-) Coup d'œil sur Le Livre de Nuréa

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Éditions Pahana Books
2014

P.S. Anton Parks se réapproprie ses droits d'auteurs et en réorganisant ses livres, modifie leur présentation et contenu. Ainsi, on retrouve une bonne partie de l'intro du Tome 1 dans la première partie de ce Tome 0 des Chroniques. Elle est toutefois amputée d'une bonne partie des infos que probablement l'éditeur Nenki avait intégré au Tome 1 en 2005.

Infos :

Un peu comme Richard lors de sa période anniversaire, Anton Parks voit lui aussi les réceptions d’informations, les visions, se concentrer, se multiplier, se renforcer, s’intensifier à cette période.

Ce qu’il reçoit est en ancien sumérien.

Résumé :

Avant-propos de l’auteur

. Les visions qu’il a reçues de 1981 à 1991 vont jusqu’à la période celtique.
. De 1991 à 2007, il a réussi à endiguer ces visions. Mais son voyage en Égypte les a réactivées.
. Les visions du livre Nuréa ont été téléchargées en 2 heures le 12 mai 2013.

Extrait p.19 : Les multiples incarnations d’une lignée déchirée d’humanoïdes reptiliens et d’une famille d’âmes en quête d’absolu se succèdent dans un monde figé par le rêve d’éternité. La technologie Mušidim permet l’impensable : elle repousse la barrière de la lumière et donne accès au voyage temporel grâce à la déformation de l’espace-temps, ou plus exactement, grâce à son inflexion. […] Tout ce que je reçois n’est pas en français, mais en ancien sumérien. C’est au moment de rechercher l’information dans ma tête, lors de la rédaction, que la traduction s’effectue d’une façon inexplicable.

P(3)58 : Nous serions donc la résultante, dans l’arbre généalogique reptilien. Les Mušidim ont engendré les Gina’abul. Une partie de ceux-ci a engendré les Kingu Babbar qui, à leur tour, ont engendré les Ušumgal qui, à leur tour, ont engendré les Anunnaki et les Nungal. En se déplaçant dans notre système solaire, suite à un conflit, ils nous ont créé à partir des gènes humains déjà existants, qui étaient un mélange de planificateurs et de Gina'abul.

« Le Livre de Nuréa » nous ramène donc des millions d’années en arrière. Ce récit vient établir les origines de la famille galactique des Gina´abul venue s’établir dans notre système solaire, sur la Terre, et au creux de celle-ci ainsi que sur sa surface dont les pyramides en témoigneraient. La surprise est de taille : sans le savoir, c’est un retour à la source de leur origine. Et nous, êtres humains, serions, en partie, les derniers-nés de cette famille reptilienne.

Ça fait drôle d’en faire un résumé alors qu’en même temps j’avance mon dossier vidéorandia qui, vers les dernières semaines de l’année 2014, touche à la physique quantique, aux élus, au Grand Monarque, à la fête de Noël, au mythe de Jésus, du Père Noël, aux Grands Blonds, à la magie, aux pouvoirs psioniques, au film « Interstellaire ».

Extrait p.199 : Tu sais, leur implication dans notre histoire est plus complexe que tu ne le penses et je vais te révéler leur secret. Les Kingalàm sont des Mušidim provenant du futur. Ils sont les descendants de nos pilotes disparus entre la Vallée des Tempêtes et la zone ombrageuse de Sipazianna (Orion). Leurs voyages effectués à travers les distorsions temporelles irradiées de l’Ombre Ga’anzír détériorèrent gravement leur physionomie en leur infligeant des mutations irréversibles.

Extrait p.201 : Nous ne pouvons prétendre remonter le temps pour changer le destin des Faiseurs de Vie et de leurs descendants, puisque les Kingalàm n’y parviennent pas. J’ai moi-même rencontré un mur infranchissable : à chaque fois que je me risque à changer quoi que ce soit, comme t’éliminer par exemple, le chaos des formes entre en scène pour rééquilibrer le vide que je tente de créer. Notre action reste très limitée. […] Il existe un phénomène clé qui interfère sur notre passé et donc sur le futur. Il bloque toute lumière dans la Maison-Mère et semble alimenter ton fils du chaos. Tant que cette erreur ne sera pas rectifiée, les Kingú-Babbar, progéniture de Ía’aldabaut, tenteront de copier les structures abyssales d’un monde inversé, dénommé le chaos des formes, au lieu de construire un monde de lumière. […] Je sais où se trouve le Roi Éa’am et sa machine Zida.

D'où la raison que le titre du livre en page couverture est inversé aussi, en miroir.

Extrait p.230 : Je vais te révéler leur secret : les Kingalàm sont les ancêtres des Mušidim, nous sommes leurs enfants ! Ils mutèrent en voyageant dans les distorsions temporelles qu’ils créèrent par le passé…

Extrait p.231 : Pourquoi se sont-ils perdus au point d’oublier qu’ils venaient de Mulmuš, la Maison-Mère ?

P(3)58 : Mulmuš est notre système solaire.

Lien Complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=114075

Extrait :

INTERSTELLAIRE un FILM de CHRISTOPHER NOLAN


Interstellaire est le film le plus attendu de l’automne, en raison de sa démesure et de son réalisateur. Christopher Nolan a fait sa marque de cinéaste indépendant avant de poser sa griffe d’auteur sur sa trilogie de Batman. Cette fois, Nolan propose une sidérante odyssée sidérale, qui conjugue autant l’infiniment grand que l’infiniment petit de nos sentiments. Un film qui prend aux tripes autant qu’il fait réfléchir sur ce qu’est l’humanité.

Il n’est pas aisé de résumer un long métrage comme celui-ci sans gâcher le plaisir de la découverte du spectateur. Allons-y comme ça : dans un futur rapproché, la population terrestre est éprouvée par la famine et l’épuisement des ressources. Cooper (Matthew McConaughey), un ancien pilote émérite devenu veuf et père de deux enfants, se fait proposer de prendre la tête d’un quatuor à la recherche d’un nouveau monde.

Les explorateurs peuvent profiter d’une perturbation de l’espace-temps, proche de Saturne, pour se propulser dans une autre galaxie. Mais les voyages dans l’espace prennent beaucoup de temps. Cooper fait face à un dilemme cornélien : vieillir avec ses enfants ou assurer la survie de l’humanité. D’abord drame — devoir, courage, sens du sacrifice et instinct de survie sont constamment ramenés à l’avant-plan —, le film se met ensuite en mode science-fiction, teinté d’un certain mysticisme (de bon aloi).

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D’autant que, on s’en doute, tout ne se passe pas comme prévu. Les explorateurs font face à des défis titanesques, qui tiennent à la fois de l’inconnu et de la nature humaine.Interstellaire navigue dans le même espace (infini) que 2001, l’odyssée de l’espace, le chef-d’œuvre de Kubrick.Nolan se bat pour que les réalisateurs puissent continuer à utiliser la pellicule. Pour Interstellaire, il a utilisé la 70 mm (le format habituel est 35 mm) pour magnifier l’image. Il a aussi tourné plus du tiers du (très) long métrage avec des caméras IMAX — qui ont la plus grande résolution au monde. Le réalisateur a conçu ce film pour être vu sur le plus grand écran possible — et non pas à la maison, encore moins sur un téléphone!

Interstellaire est un véritable tour de force, un enchantement pur et une ode à la démesure.


Pour bien comprendre l’intrigue générale du film, ainsi que le dénouement final, je pense qu’il est tout d’abord indispensable d’avoir une parfaite vision chronologique des événements marquants de l’histoire. Cela peut sembler quelque peu superflu à première vue, mais étant donné que le temps fait partie intégrante du récit, et qu’il varie continuellement en fonction du lieu où les personnages se trouvent, cela me semble assez important de dresser, pour commencer, un bref résumé du voyage extraordinaire auquel on assiste pendant près de 3 heures.
LIGNE DU TEMPS DES GRANDS ÉVENEMENT DU FILM
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« Le Livre de Nuréa », un peu comme pour « Rogue One » versus la première trilogie de « Star Wars », est antérieur au trois premiers volets des Chroniques du Ǧírkù. C’est pour ça qu’il devient le numéro « 0 ». On tombe vraiment dans la physique quantique, la création par la pensée, et les voyages spatio-temporels.

À ma grande surprise, ce récit vient donner du sens à l’assertion qui veut que nous serions le centre de l’Univers. C’est dans notre système solaire que tout a commencé. Et il semblerait que les mêmes âmes /esprits se soient réincarnés à chaque étape de l’évolution de notre ascendance. Donc, il serait vraisemblable que le Grand Monarque soit une réincarnation d’un ancien roi de notre ascendance, et que la race humaine, à son tour, supplanterait celle de ses ascendants malgré les bâtons qu’on lui met dans les pattes. La notion de royauté est omniprésente dans les Chroniques.

Lien Complément Surprenant : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=115285

Extrait :

ÉLU LE GRAND MONARQUE
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La filiation est aussi importante dans l'histoire du Grand Monarque. Pour accomplir sa mission il doit absolument posséder cette génétique (sorte de programme biologique). Il est l'élu d'abord parce que c'est dans sa nature (innée). Probablement qu'il existe des centaines d'individus sur la Terre qui ont cette génétique (filiation) particulière. Alors lequel sera le Grand Monarque ?La réponse se trouve peut-être en partie dans le deuxième aspect de la théorie de Lorenz; le phénomène de l'empreinte. Peut-être que les êtres qui ont le potentiel (filiation) d'être des Grands Monarques sont mis en contact en très bas âge avec une culture particulière (par exemple extraterrestre) afin qu'ils s'y identifient et développent (ou activent) leurs capacités innées qui leur vient de leur nature. Pour milles raisons plusieurs ne parviennent pas à développer leur plein potentiel. Beaucoup d'appelés mais, un seul élu... Le Grand Monarque.

Un peu comme le film « La belle Histoire » de Claude Lelouch, les mêmes protagonistes, antagonistes, se retrouvent sur des millions d’années.

Ce récit trouve écho dans les récits des textes gnostiques.

Plus que jamais, il n’y a rien à ma connaissance qui soit plus vraisemblable et cohérent que les récits des Chroniques du Ǧírkù pour donner un sens à nos origines, à notre réalité humaine, à nos mythologies et nos croyances religieuses.

Extrait p.256 : Tout d’abord, les différentes planètes et le système solaire portaient un autre nom depuis l’époque lointaine des Mušidim. Dubkù devint Uraš (la Terre) et la Maison-Mère Mulmuš portait désormais le nom de ma mère. Je venais d’apprendre que nous provenions tous de Ti-ama-te (le système solaire) alors qu’aucun Gina´abul ne semblait le savoir à part les Kingú [les Grands Blonds] restés sur place, A´a, Wa et sans doute ma mère Tiamata. Je ressentis soudainement le poids de leur profonde solitude ainsi que la nécessité de préserver ce lourd secret qui ne devait à aucun prix être divulgué à la nouvelle dynastie conquérante Gina´abul. [les Ušumgal]

La création des femelles Ama´argi (Amašutum)

(Celles-ci sont évoquées dans le vidéorandia #1649/VOR161203 à 0H10:14)

Extrait p.237 : Les Ama´argi se présentèrent à Barbélú en se définissant comme filiation directe de Pištéš qui les mirent au monde grâce à la Triple Puissance (parthénogenèse) des Mušidim, peu avant que Šuhia ne l’intercepte et ne l’élimine.

Extrait p.238 : Les Gina´abul s’étaient largement multipliés sur le sol de Dubkù grâce au couple originel Muš´šagtar et Emesir.

Extrait p.239 : À cette époque, les Babbar d’Ía’aldabaut organisaient des rapts sauvages pour récolter un maximum de spécimens Gina´abul et d’Hušmuš (reptiles sauvages). […] Mère dut prendre la douloureuse décision d’évacuer en urgence ses enfants vers d’anciennes colonies Mušidim, bien au-delà de la Maison-Mère. […] La transaction se réalisa grâce à l’intervention inattendue d’êtres silencieux dissimulés derrière des cloisons Mara au métal dense. Ces individus rendirent possible le départ des Gina´abul à la condition non négociable que plusieurs groupes de Babbar de nature non belliqueuse accompagnent les fugitifs.

P(3)58 : Alors, contrairement aux prétentions des Grands Blonds (Babbar), les Ama´argi, toujours présentes sur Terre selon le Tome 2, les précèderaient et auraient préséance sur ceux-ci concernant les droits de propriété sur la planète Dubkù (la Terre).

Lien de merlin : http://www.orandia.com/forum/index.php?id=125954

À 2H21:08 du vidéo de Jean Michel Raoux : Le Livre de Nuréa

P(3)58 : Dans ma réflexion, méditation, prière créative quotidienne, entre autre chose, je visualise la Terre devenir comme un espèce de gros village Valcartier, un lieu de villégiature gigantesque où règne paix, harmonie, spiritualité et d’où nous pourrions partir vers les étoiles de différentes façons. La Terre serait notre port d’attache. Alors, à ce titre, il y a un passage du livre d’Anton Parks qui parle de la Terre (Dubkù) voilà quelques millions d’années, à la page 94, et qui m’interpelle drôlement :

Se situait ensuite Dubkù, la sainte planète où les Mušidim enseignaient à leurs enfants les arts universels. Cet astre se composait d’un continent unique, très volumineux, entouré d’un vaste océan parsemé de récifs et de hauts-fonds. Dubkù possédait quelques écoles fameuses où l’on inculquait le concept de la Source. Tout le monde pouvait prétendre entrer à l’École de la Source, sans distinction de sexe, à la seule condition d’être âgé d’au moins 10 Muanna de Hul et d’avoir suivi préalablement une formation réussie à l’École des Sciences. Aucune agglomération ne s’y trouvait, juste quelques regroupements de logis légers. Ce havre de paix, où chaque Faiseurs de Vie pouvait se ressourcer à l’abri de toute préoccupation matérielle, offrait à la Maison-Mère des individus d’un niveau de compétences exceptionnel et de haute élévation de conscience, capables de sillonner l’espace. Ce lieu idyllique perdit peu à peu de son calme à partir de l’époque lointaine de la Matriarche Šuhia après la décision d’introduire des millions d’espèces vivantes pour créer un vivier exceptionnel en Anriba. On y implanta également des êtres à la stature colossale chargés de superviser la réserve naturelle.

Comment interpréter ce passage qui correspond à mes pensées quotidiennes depuis des années ? Dans ma réflexion personnelle, j’y vois une possibilité d’avoir vécu à cette période parmi le peuple des Mušidim, les ancêtres d’une partie de notre patrimoine génétique d’aujourd’hui. Je crois que c’est le cas pour nombre d’humains aussi.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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