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DOSSIER ANTON PARKS : Entrevue Questions / Réponses 5

par panthère58, jeudi 17 décembre 2015, 07:30 (il y a 3045 jours) @ panthère58

:-) Date de cette entrevue Janvier 2011

Pour ceux à qui ça intéresse, évidemment.
Ça complète ses livres.
Ça vous permet de vous faire une idée du bonhomme.
Panthère(3)58 propose ; vous disposez selon votre jugement, votre discernement, VOS FILTRES !


Lien : http://www.antonparks.com/interview_anton_parks_web2010.pdf

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Extrait #5 :

2. Climats et astronomie dans les Chroniques :

35. Peter (via le forum) : Le premier déluge est notamment confirmé par l'évolution des températures au cours des derniers millénaires (étude sur la carotte de glace). Le graphique ci-dessous présentant cette évolution, nous montre très clairement une hausse des températures à partir d'environ 10.000 ans avant J.-C. (hausse provoquée par le passage de Vénus à proximité de la Terre et due à la fonte des glaces). Concernant le second déluge, il est plus difficile de percevoir la hausse des températures liée au dernier passage rapproché de Vénus (vers 3.000 av. J.-C. selon vous ?). Comment expliquer les hautes températures survenues il y a 130.000 ans et les importantes variations survenues par la suite jusque 10.000 ans avant J.-C. ? Est-ce une conséquence d'une manipulation du climat ? Faut-il y voir la conséquence également de la précession des équinoxes et de l'activité solaire (principales explications des scientifiques pour tenter de comprendre les cycles de température à l'échelle de millénaires) ? Cette hausse de température à 130.000 ans av J.-C. semble avoir été similaire à l'effet du passage de Vénus qui a provoqué le premier grand déluge ? Comment interpréter ces courbes et dans quelle mesure Vénus et la manipulation du climat ont-t-elles influencé les cycles de température ?

Anton Parks : De mon point de vue, il n'y a effectivement aucun rapport entre ce qui est survenu il y a 130.000 ans et le déluge de près de 10.000 ans av. J.-C. Je ne suis pas scientifique, donc je ne peux prétendre commenter cette courbe. Je ne suis pas certain non plus que la science l'ait même déjà fait de façon claire et définitive. Je peux toutefois vous rappeler que la Terre a subi plusieurs inondations sur la très longue période qui couvre le T2. Dans sa dernière entrée du T2, EnkiOsiris en fait allusion. Il faut aussi se rappeler que le clan Anunnaki a joué avec le climat afin d'obtenir plus de chaleur. Il est possible que cette manipulation du climat se situe vers 130.000 ans, cela me semble tout à fait possible.

En ce qui concerne les passages de Vénus, les approches de l'astre étaient différentes à chaque fois, donc les effets visibles ou mesurables sur Terre devaient être inégaux. Pour ce qui concerne la date approximative de 3.000 av. J.-C., cela ne concerne pas une hausse des températures, mais une montée des eaux partielle de la planète (dont on a retrouvé les traces). C'est d'ailleurs vers cette date que les plus grandes civilisations du monde se réveillent, celles qui se trouvent dans nos livres d'histoire.


36. Osirisnotdead et d'autres intervenants (via le forum) : Quand et comment Seth, An et consorts ont-ils fait sauter Mulge, et quel en était le but principal, s'agissait-il uniquement de se débarrasser de Nammu et des Abgal ou bel et bien de briser le pouvoir des Planificateurs au sein du système solaire ? Au sujet de la destruction de Mulge : Sachant que la chute de l'astéroïde qui aurait causé par une suite d'évènements la fin du Crétacé (65.000.000 BP) n'a causé qu'un cratère de 180 km de diamètre (Chicxulub) malgré une force destructrice de "plusieurs milliards de fois "Hiroshima" selon les scientifiques, comment Seth s'y est pris pour détruire une planète aussi gigantesque que Mulge ? Je n'ose même pas imaginer la taille de l'astéroïde qu'il faudrait réussir à détourner pour qu'une telle explosion se produise. Et si ce n'est pas le fait d'un déplacement d'un corps céleste, de quelle type d'arme a disposé Seth pour produire une telle force destructrice ?

Anton Parks : Quand Mulge a sauté ? : approximativement entre 12.000 et 10.000 av. J.-C., c'est indiqué plusieurs fois dans mes ouvrages. Comment Mulge a explosé ? : Personne ne le sait. Dans le Réveil il a été évoqué que l'appareil de Sé'et transportait peut-être une bombe, ce qui l'a empêché d'atteindre Mulge-Tab. Pour la mort de Nammu et la destruction de Mulge, on peut éventuellement imaginer que son vaisseau transportait à son tour une très lourde charge et qu'il ait éventuellement atteint le monde creux de Mulge, ce qui l'a fait exploser. Faire exploser une charge dans la cavité intérieure ne doit pas donner le même effet qu'à l'extérieur. Lorsque je parle de charge explosive, je ne pense pas qu'il puisse s'agir du même type d'explosif que nous connaissons sur Terre. Je pense que ce genre d'arme était usiné sur Mars par An et ses Anunna. C'est un peu le sentiment que j'ai aujourd'hui sur ce sujet, mais nous sommes dans des suppositions, car je n'ai pas plus d'informations à ce propos. En tout cas, le fait de faire disparaître la fille et ensuite la mère dans des conditions similaires est typiquement Usumgal-Anunna. Comme vous l'avez noté dans votre question, je pense que l'objectif de ce complot avait bien pour visée de briser le pouvoir planificateur au sein du système solaire.

37. Prométhéen (via le forum) : Les nombreux satellites de Jupiter et Saturne, comparables à notre Lune, sont-ils aussi des bases Kingu ? Ces deux planètes sont censées être gazeuses, quel serait alors l'intérêt pour eux de cette présence, s'il est possible de le savoir ? Plus généralement, pourrait-on avoir une idée de la répartition des forces dans notre système solaire...?

Anton Parks : Difficile à dire. C'est comme si vous me demandiez de vous dresser la carte des forces armées américaines sur notre globe. Les Kingu ont toujours été secrets, comme toute force militaire terrestre. Par contre, j'ai un gros doute concernant leur présence sur des satellites de Jupiter.

38. Apademak : Problème des constellations : Il est souvent dit que tel ou tel groupe d'individus provient d'une constellation en particulier. Je n'arrive pas à comprendre cette vision purement géocentrique car si je prends au hasard 3 étoiles de la constellation d'Orion cela nous donne: - Rigel (Beta Orionis), environ 774 années lumières de distance de la Terre. - Saiph (Kappa Orionis), environ 700 années lumières de distance de la Terre. - Bételgeuse (Orionis), environ 427 années lumières de distance de la Terre. Ainsi, venir de la constellation d'Orion par exemple ne veut rien dire, car si l'on vivait sur une planète d'une de ces étoiles, les deux autres nous paraîtraient alors appartenir à d'autres constellations. Je veux dire que les étoiles de pratiquement n'importe quelle constellation sont aussi éloignées entre elles qu'elles le sont elles-mêmes de nous.

Anton Parks : Une constellation n'est pas seulement un groupement d'étoiles proches, malgré les énormes distances qui peuvent les séparer, mais aussi un groupement d'étoiles brillantes dans le ciel. Que cela soit sur Terre ou ailleurs dans notre univers, j'imagine que le constat reste le même. Vous avez raison de préciser qu'une constellation n'aura jamais la même figure géométrique dans notre ciel terrestre comparativement à un autre endroit dans l'univers. Cela implique donc que le même nombre d'étoiles brillantes ne sera peut-être pas regroupé de façon identique dans un ciel extraterrestre qu'ici-bas. Jusqu'ici, nous sommes d'accord. Cependant, lorsque j'évoque des étoiles dans les Chroniques, comme par exemple la constellation d'Orion, je parle de zones géographiques célestes. Lorsque je pointe une étoile appartenant à une constellation, il s'agit d'un lieu distinct qui porte un nom que les "dieux" sumériens lui ont donné et qui lui est propre. Votre remarque aurait été pertinente si le terme sumérien Mulmul ("la constellation des constellations") aurait été la traduction du grec Pléiades ("les navigatrices"), or ce n'est pas le cas. Idem pour Sirius qui provient du grec Seirios ("ardent") qui n'est pas la traduction du nom sumérien GAG-SI-SÁ ("flèche céleste"), on pourrait continuer ainsi à l'infini. Le constat reste le même : les Hopis font descendre leurs Kachinas des Pléiades et les Dogons d'Afrique font provenir leurs dieux amphibiens de Sirius… Pour résumer : dans les Chroniques, il n'est question que de zones célestes. Par exemple, aux yeux des Gina'abul, Mulmul (les Pléiades) n'est pas nécessairement constitué du même nombre d'étoiles que sur Terre, idem pour les autres constellations.

39. Apademak : Autre interrogation d'ordre astrologique. Toutes les étoiles et constellations présentes dans Les Chroniques (La Lyre, Le Dragon, La Grande Ourse, Orion, Sirius...) se situent dans notre Galaxie, c'est-à-dire la Voie Lactée (qui contient déjà à elle seule entre 200 et 400 milliards d'étoiles). Est-ce que l'auteur sait si les Gina'abul sont aussi présents sur d'autres galaxies que la nôtre ?

Anton Parks : C'est une bonne question. Je suppose que les Gina'abul forment une espèce spécifique à notre univers, ce qui est déjà pas mal. Ceci dit, il n'est pas exclu d'imaginer des familles cousines aux Gina'abul dans d'autres univers.

3. Questions concernant la rédaction des Chroniques :

40. Peter, Rictus et Tony (via le forum et par mail) : Comment Anton a-t-il pu retranscrire avec tant de minuties les textes des dialogues que l'on retrouve dans les Chroniques ? Est-ce retranscrit de mémoire ou avez-vous pris des notes depuis que votre expérience "paranormale" a commencé au cours de votre adolescence ? Si Anton a reçu tant de visions pendant de nombreuses années, il ne comprenait pas encore la langue. J'admets la possibilité de retenir avec grande précision une vision, mais il est beaucoup moins évident de retenir une conversation surtout dans une langue qu'on ne comprend pas. Admettons qu'au cours du temps Anton ait pu retenir certains fragments, comment a-t-il pu retranscrire avec tant de précisions des dialogues si compliqués ? A-t-il peut-être au bout d'un certain temps réussi à noter ce qu'il comprenait ? Est-ce que les retranscriptions des dialogues des toutes premières visions sont-elles perdues ? Quelle a été sa démarche pour retranscrire les dialogues ?

Anton Parks : Comme je l’ai déjà expliqué plusieurs fois, j’ai reçu des visions sous forme de flashs lumineux pendant près dix ans, entre 14 et 24 ans, de 1981 à 1991. J'en ai eu de nouveaux après, en 2007, lors de mon premier voyage en Egypte. Ce furent les plus douloureux d'entre tous. Sûrement en raison du fait que Sa'am et ensuite Heru ont bien connu la terre d'Egypte et les lieux que j'ai visités. Ensuite, cela s'est estompé à partir de 2008 ; je ne reçois à nouveau plus rien du tout à l'heure actuelle. J'espère bien ne plus rien recevoir ! Ce que j'ai reçu, il y a quelques années, représente bien peu par rapport au reste. Je connais bien la suite et la fin de toute cette histoire. J'y ai déjà consacré de nombreuses heures pour tenter de comprendre et d'assembler son contenu.

Mes flashs ont toujours été spontanés (en relation avec la lumière ambiante du moment présent, équivalente à la scène reçue), sans être contrôlé, ce n'est pas moi qui décide de "voir" contrairement à un channel. Quand cela survient, c'est de façon subite et je ne peux pas arrêter le processus, de toute façon, c'est très rapide, de 2 à 5 secondes tout au plus. Je reste cependant conscient de ce qui se passe autour de moi, mais les visions ont plus d'importance et accaparent toute mon attention. En quelques secondes, je reçois plusieurs minutes, voir même des heures. C'est dans ce dernier cas que cela est le plus éprouvant. Ce n'est pas simple, car je revis émotionnellement tout ce que le personnage vivait. L'intensité et le vécu émotionnel est d'ailleurs un facteur important dans la mémorisation. Lorsque l'on vit des choses aussi intenses et concentrées, il n'est pas possible de les oublier. C'est comme si vous aviez été brûlé à vif.

Ma mère a pris des notes et a retranscrit mes premières visions lorsque j’étais à la fin de mon adolescence et au début de l'âge adulte. J’ai aussi pris des notes manuelles, que je consulte quelques fois lorsque je rédige mes ouvrages, mais l'ensemble est resté gravé dans ma tête.

Merci pour la précision concernant les faits, mais certains m’ont déjà reproché de ne pas donner suffisamment de détails sur les décors, au détriment de détails "moins importants". Il faut comprendre que je ne fais que retranscrire ce que Sa’am vivait, voyait et ressentait, dans les scènes qui me sont apparues. Je n’ai jamais reçu deux fois la même scène. Comme Nora l’explique bien dans son dossier qui se trouve à la fin du Réveil, la totalité des connaissances du personnage n’est pas appréciable dans son ensemble lors des visions, en raison du fait de revivre uniquement ce que les deux personnages pensaient, ressentaient et voyaient à ce moment précis et qui sont restitués à l’identique lors des visions. Le langage que j'entendais m'était parfaitement étranger, mais je le comprenais sur l'instant. Il a été enregistré (gravé comme sur un disque dur) avec l'ensemble des images quelque part dans ma tête. Comme je l'ai mentionné à d'autres occasions, il m'a fallu du temps pour comprendre qu'il s'agit d'une forme ancienne de sumérien. Ce n'est qu'en feuilletant par hasard un manuel sumérien vers l'an 2000 que j'ai enfin compris. Cela a été un des facteurs qui m'a décidé à écrire.


41. Idem : Aussi y a t-il eu une part d'interprétation lors de la translittération finale ? Est-ce le temps qui a permis à Anton de comprendre progressivement la langue sumérienne (et akkadienne) ? Est-ce que le ressenti d'Anton à la place de Sa'am est-il suffisant pour retrouver le sens de ses paroles ?

Anton Parks : Je ne fais que retranscrire ce que j’ai vu, il n’y a pas de partie romancée ou ajoutée. Lorsque j'écris un ouvrage des Chroniques, j'y passe beaucoup de temps, car cela me demande un effort considérable de retrouver l'information au fin fond de ma mémoire, de la retranscrire et de la placer dans le bon ordre de la narration. Le journaliste Alain Gossens comparait cela à une tête de lecture qui va chercher l'information sur le disque dur. Au début, lorsque j'ai commencé à recevoir ces flashs et qu'il était question du personnage du T1 et du T2, j'entendais le nom Sam ou Am, et quelques fois (plus rares), Sam'il ou Sam'el. Je l'ai alors associé au Samaël de la littérature juive. Par exemple, lors de la scène où An annonce à son clone (début du T1) : "Tu te nommeras plutôt Sa'am - le bon seigneur, le bien façonné", je ne savais pas qu'il s'agissait de SA'AM, pour moi c'était SAM ou AM. D'ailleurs au début de mon manuscrit du T1, ne sachant trancher, Sa'am s'est nommé tour à tour AM, ensuite 'AM ou encore E'AM dans les premières pages. C'est le Sumérien qui m'a mis sur la voie, car SA’-AM veut effectivement dire "bon seigneur". J'avais la bonne information, mais il me fallait le sumérien pour comprendre. D'ailleurs SA-AM-IL veut dire "bon seigneur élevé (ou grand)". J'ai piétiné sur beaucoup de détails comme cela au début. Je vais vous donner un autre exemple qui me vient à l'esprit. Il ne concerne pas la linguistique, mais la chronologie de l'histoire. Après le Testament, lorsque j'ai repris la rédaction du T3, je me suis rendu compte que la scène où Horus se trouve à Abydos pour y être initié par les prêtres ne se situait pas du tout à sa bonne place, elle intervenait beaucoup trop tôt dans l'histoire. Pourquoi ? Parce que je n'avais pas encore fait le lien entre cette scène partiellement rédigée et celle où Horus se révèle à la foule comme étant le Mesi d'Asar (l'engendré à l'image d'Osiris), donc le successeur légitime d'Osiris.

Comme vous le voyez, écrire ce genre d'ouvrages demande beaucoup de temps et une énorme concentration. Je suis perfectionniste, chaque mot est important, chaque souffle, chaque virgule. C'est pénible. C'est aussi pénible de devoir rédiger une histoire figée où l'on ne peut rien changer, c'est très frustrant. J'aimerais souvent qu'un personnage dise autre chose ou qu'il fasse carrément le contraire, mais ce n'est pas possible. De surcroît, pour les raisons que vous connaissez, tout se déroule avec les yeux de Sa'am et Heru : on ne sait jamais ce qui se passe ailleurs. Imaginez devoir rédiger des ouvrages avec cette contrainte… c'est du suicide littéraire ! Difficile de captiver un lecteur de cette façon, un livre d'accord, mais pas toute une série. Alors, vous voyez, lorsque j'entends dire que je serais un romancier, cela relève pour moi plus de l'exploit que d'une critique…

Pour finir, une fois un ouvrage écrit, il m'est impossible de le réouvrir et de me relire. Je ne me relis jamais, je le fais uniquement lorsque je dois retrouver une note ou quelques chose de ce genre. Cela a demandé tellement d'énergie… lorsque j'écris, je me vide comme une pile. J'ai beaucoup plus de plaisir à écrire les notes, les dossiers et maintenant des ouvrages de recherche, donc des essais. Dans ce genre de rédaction, j'écris beaucoup plus vite et je me sens plus à l'aise.


42. Mireille (via mail) : Pourriez-vous juste me dire si vous avez plus d’informations sur "l’état" de votre personnage principal lors du combat (perceptions du temps et de l’espace, état énergétique, état émotionnel…) même le détail le plus insignifiant peut m’être fort utile.

Anton Parks : Je pense que votre question concerne Horus. Ce dernier ne pensait à rien de particulier lorsqu'il était au combat. Il faisait son possible pour ne pas se laisser gagner par des émotions qui auraient dérangé sa concentration. Il lui arrivait de se poser des questions, mais c'était plutôt d'ordre tactique.

43. François (via mail) : Aussi, est-ce que dans les récits avenirs, vous allez aller plus vers l'histoire racontée ou l'élaboration de preuves ?

Anton Parks : Je vais poursuivre la démarche éditoriale dans laquelle je suis, récit et recherches parallèles. Mes diverses démonstrations sont pour moi des preuves. On m'a dit qu'elles agacent parfois. Je suis un personnage public de la littérature qui irrite parce que j’incite le lecteur à sortir de son attachement à des dogmes historiques et religieux qui forment la culture humaine officielle. Je compare ce "savoir autorisé" à un dogme parce qu'il est pré-mâché et surtout bancal ; il n'incite donc pas à la réflexion et à la libre pensée.

Au contraire, ce que j'écris incite à la réflexion, à l'intelligence et au voyage. A ce propos, la véritable intelligence est l’honnêteté ! Mais, à l'heure actuelle, je ne suis pas certain que l'honnêteté serait très "actuelle et branchée".

Mes écrits sont destinés à électriser la pensée unique, celle qui a, en quelque sorte, sédentarisé notre cerveau. J’ouvre des voies et des portes, à chacun de s’y engouffrer et de partir pour un voyage dont il ne pourra ressortir indemne s'il a bien compris le sens de ce voyage et son objectif. Mais cet objectif, j'en conviens, peut faire peur, car il ébranlera beaucoup de nos convictions établies par l’ordre mondial occidental de la pensée unique.

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
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P(3)58

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