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Cazelais VS Parks : Round 3 Le sumérien Partie 2

par panthère58, lundi 09 novembre 2015, 22:12 (il y a 3061 jours) @ panthère58

ANTON PARKS

Site : http://www.antonparks.com/main.php?page=secret_etoile

Extraits du site d’Anton Parks :

[image]

En 2009, Alain Gossens et James Rooms ont interviewé David Icke sur l’île de Wight pour le magazine Dossiers Secrets d'Etats. Alain avait en main la traduction complète en anglais du Secret des Etoiles Sombres qu’il a transmise à Icke. De cet échange résulte cette appéciation dans l’ouvrage "Human Race get off your Knees" de David Icke :

Les tablettes décrivent les Anunnaki comme une race reptilienne extraterrestre qui s’est croisée avec des êtres humains pour créer des lignées hybrides ou des lignées de dieux, puisqu’ils ont été perçus ainsi. L'écrivain et chercheur français, Anton Parks, a fait un excellent travail dans ce domaine ces dernières années, surtout avec ses traductions de termes sumériens. Il dit que le nom sumérien pour la race reptilienne était Gina'abul : Décomposé en syllabes sumériennes, nous obtenons GINA (réel, vrai), AB contraction d’ABBA ancêtre, père) et UL (magnificence, abondance, splendeur), c’est-à-dire "les vrais ancêtres de la magnificence (ou splendeur). Beaucoup plus tard à Sumer, ce terme est devenu un synonyme pour Lézard… La langue sumérienne était unique, elle n’appartient à aucune famille linguistique connue et semblerait être originairement une langue apportée par les dieux reptiliens.

Le chercheur, Anton Parks, qui a fait une étude détaillée de la langue sumérienne et ses significations, fait référence à celle-ci comme Gina'abul-Sumérien / Reptilien-Sumérien. Il y avait autrefois une société très avancée globale avec une langue. Anton Parks dit avoir découvert un système syllabique unique Sumérien-Assyrien-Babylonien duquel proviennent des mots clés dans une longue liste de langues anciennes, y compris l’égyptien, le chinois, l’arabe, l’hébreu, grec ancien, Hopi, latin, hindi et les langues nous appelons germaniques.

David Icke, "Human Race get off your Knees", 2010

[image]

Phénomène Anton Parks : [...] L’auteur du Secret des Etoiles Sombres passionne des milliers de lecteurs à travers le monde avec ses récits épiques sur l’origine de la civilisation humaine. Mais ne nous y trompons pas : sous cette forme romanesque, Parks nous restitue peut-être notre véritable genèse, celle qui figure dans les textes sumériens qu’en tant que clairvoyant, Parks décrypte sans complexe. [...] Accrochez-vous, c’est du Parks !

Nexus France, N°43-44 (printemps 2006)


Extraits du livre Le Secret des Étoiles Sombres :
(se retrouvent aussi sur http://www.antonparks.com/main.php?page=secret_etoile )

Endos du livre :

L’auteur nous dévoile également le code linguistique des «dieux», astucieusement dissimulé dans la grande majorité des anciens langages de la Terre. Le syllabaire suméro-assyro-babylonien est la clé d’une codification inventive, la langue sumérienne est l’idiome empreinte des «dieux» qui servit à fabriquer tous les mots principaux et usuels de nombreux idiomes et langage ancestraux comme : le chinois, le dogon du Mali, les langues germaniques, l’ancien grec, l’hébreu, le hopi de l’Arizona, le latin… et bien d’autres encore. La démonstration de l’auteur est stupéfiante !

Note de l’Éditeur p.5 :

L’auteur se veut un précurseur du décodage linguistique du langage présumérien qu’il nous dévoile après de longues recherches.

Note de l’Auteur p.7 : Certaines notes sont parfois assez longues, mais je vous conseille de les lire attentivement, car rien n’y est annoté au hasard. De même, les travaux de transcription et de traduction effectués très fréquemment grâce au syllabaire suméro-assyro-babylonien pourront quelquefois vous sembler rébarbatifs, mais il m’a semblé important d’être précis étant donné que le code linguistique des «dieux» vous est dévoilé pour la toute première fois.

Introduction :

p.15 : Au cours de votre lecture, et notamment grâce aux notes en bas de page, vous constaterez, au contraire, que les multiples parallélismes entre l’Ancien Testament et les tablettes, ne sont pas le seul résultat d’une influence cananéenne, mais plutôt des restes dispersés d’une histoire commune. Les cultures de tous les anciens peuples possèdent la même racine de base, pratiquement toutes les traditions de la planète décrivent les mêmes événements. La preuve manifeste de ce phénomène se trouve dans une codification linguistique astucieusement dissimulée et qui transparaît dans de nombreux langages anciens. Cette information marquante est, à ce jour, totalement inédite aux yeux des spécialistes et savants de la planète.

p.64 : Cependant, un élément original va soutenir et renforcer mes propos tout au long de notre cheminement à travers le passé lointain de l’histoire des Gina’abul et de l’humanité. Cette information ignorée à ce jour vous permettra de comprendre bien des aspects cachés de l’histoire du monde. Vous allez voir qu’une partie du Gílimanna (litt. le Bestiaire Céleste) utilisait un code qui servit à communiquer avec l’ensemble des peuples de la Terre, vos lointains ancêtres. Ce code se retrouve dans les différents langages des grandes civilisations du passé et témoigne d’une antique source commune, celle des Gina’abul. Grâce à ce code, bon nombre de thèmes universels vont subitement s’éclairer d’un jour nouveau.

Pratiquement tous les anciens langages de la Terre sont codifiés et se traduisent grâce aux valeurs phonétiques des syllabes Gina’abul que l’on retrouve à la fois dans le sumérien, l’akkadien et l’assyro-babylonien. Cette information est totalement nouvelle à vos yeux.

p.65 : L’opinion scientifique a tendance à admettre l’existence de près de 300 familles linguistiques qui dateraient du début de l’ère chrétienne. Un peu plus loin dans le temps, l’hypothèse d’une cinquantaine de groupes aux environs de -5 000 ans fait son chemin, mais n’est pas partagée par toute la communauté scientifique. Au-delà, certains parlent de «super-familles linguistiques» et les estiment à une quinzaine vers -10 000 ans, mais là encore, cette théorie occasionne bien des débats. Toujours est-il que plus nous reculons dans le temps, plus nous sommes systématiquement renvoyés vers une langue universelle, un langage originel.

À ma connaissance, les enquêtes menées à ce jour concernant la recherche d’un probable ancien langage universel, ou proto-langage, se sont souvent concentrées sur la ressemblance entre les mots de différents langages et pratiquement jamais sur leur formation à partir d’un syllabaire ou lexique originel qui aurait servi à construire les langues des anciennes civilisations. La raison de cette omission s’explique par le fait qu’il est totalement impensable pour la communauté scientifique d’imaginer qu’une civilisation mère aurait été responsable, entre autres, de l’élaboration et du développement des grandes familles de langues parlées dans le monde. Si les linguistes s’étaient mieux concentrés sur la méthode de comparaison lexicale multilatérale, ils auraient sans doute remarqué la singularité du syllabaire suméro-assyro-babylonien et le fait qu’il constitue la base même des différents mots principaux de nombreux langages anciens comme l’arabe, le chinois, le dogon, l’égyptien, le grec ancien, l’hébreu, l’hindou, le hopi, le japonais, le latin, les langues germaniques et bien d’autres encore.

La probabilité de pouvoir traduire deux ou trois mots de plusieurs langues antiques grâce aux valeurs phonétiques des syllabes suméro-assyro-babyloniennes est envisageable, mais non de pouvoir traduire la quasi-totalité des mots clés de nombreux langages anciens, et ceci, en apportant à chaque fois des définitions similaires au sens du mot originel, voire une définition complémentaire. Vous serez à même d’apprécier et de juger par vous-mêmes l’exactitude de toutes ces informations au fur et à mesure de votre lecture.

p.66 : La langue sumérienne est un véritable mystère pour les linguistes pour deux raisons essentielles : elle englobe un système qui fut totalement formé dès son apparition et qui n’a subi que quelques rares aménagements au fil du temps et, second point, elle n’appartient à aucun groupe linguistique connu. Cependant, l’akkadien – langue parlée dans le nord de la Mésopotamie et structurée à partir du syllabaire sumérien – est l’ancêtre de l’assyrien et du babylonien, appartenant eux-mêmes aux groupes sémitiques comme l’hébreu et l’arabe.

L’écriture cunéiforme mésopotamienne combine des signes en forme de clous triangulaires (ou Santak en sumérien) gravés il y a plusieurs millénaires sur des tablettes d’argile au moyen d’un roseau taillé en biseau. Ce langage est difficile à traduire et interpréter à partir de ces signes, car il est principalement idéographique, c’est-à-dire que chaque signe représente une image qui possède une signification concrète ou abstraite. Le sumérien est un langage dit agglutinant qui assemble entre elles des particules pré ou postposées (particules placées avant ou après) à des racines nominales ou verbales généralement invariables.

Extrait entrevue
http://www.karmapolis.be/pipeline/anton_parks.htm

Karmaone : Vous travaillez énormément sur le langage, la décomposition des mots sumériens, pour y analyser les significations profondes et le lien avec certains mots de nos langues modernes. Vous êtes vous basés sur un travail d’intuition et de documentation ou bien certains éléments de cette langue sont «imprimés» en vous ?

Anton Parks : Comme je l'ai dit précédemment, lorsque j'ai reçu ces informations, j'ai bien perçu que le langage utilisé n'avait rien à voir avec le français, même si sur l'instant je le comprenais comme s'il s'agissait de ma langue natale. Cette histoire de codification du langage était très présente et est due à l'existence de castes chez les Gina'abul (lézard(s) en sumérien). J'ai cru pendant plusieurs années qu'il s'agissait de l'hébreu, mais mes quelques incursions "héroïques" dans cette langue ne m'ont absolument pas mis sur la voie d'une codification grâce à son syllabaire (NDR : un syllabaire est un ensemble de signes ou de symboles qui représentent des sons. Système d'écriture, voire un manuel de lecture, qui résente les mots d'une langue découpés en syllabes. Le découpage de « mots » en « syllabes » permet de travailler sur le sens en investiguant sur la combinaison de plusieurs termes qui combinés ensemble forment un mot et un concept plus ou moins complexe). Ce n'est que bien tardivement, vers la fin des années 90, que la piste Sumer s'est définitivement présentée à moi. J'étais au bout de tout. J'avais réussi à mettre un début et une fin à ces "archives" que j'avais reçues pendant toutes ces années dans le désordre, mais le langage mère me manquait et du coup certaine compréhensions aussi. Lorsque j'ai eu en main mon premier syllabaire sumérien, j'ai aussitôt décomposé certains termes bibliques et cela a fonctionné. Pour réussir la décomposition d'un mot, il faut connaître le contexte qui a conduit vers l'assemblage de tel ou tel terme.
Prenons par exemple, le vocable sumérien Gina'abul (lézard(s)). Une fois décomposé, cela donne GINA-AB-UL, soit "véritable(s) ancêtre(s) de la splendeur". Lorsque l'on connaît la vanité maladive des êtres dont je décris en partie l'histoire, on ne s'étonnera pas d'une telle appellation! Prenons un autre exemple simple : le nom « Adam » n'est absolument pas, comme on souhaite nous le faire croire, de l'hébreu en relation avec les termes "adama" (glèbe) ou encore adôm (rouge)… Je m'étonne encore aujourd'hui qu'aucun auteur n’ait relevé que ce terme existe en sumérien en tant que Á-DAM et veut dire : "bêtes, animaux, troupeaux" ou encore "prélèvement, établissement, installation ou colonisation" et sous forme verbale : "infliger" ! Si Á-DAM était utilisé pour désigner des personnes, cela donnerait : "les bêtes, les animaux, les prélevés, les établis, les installés ou encore les colonisés, les infligés"… L'idée d'un être esclave totalement soumis aux "dieux" est renforcé dans l'équivalence du terme Á-DAM en akkadien qui est Nammaššû et qui se traduit phonétiquement en sumérien en nam-maš-šû, soit littéralement : "la demi-portion à charge"… Je pense que l'on ne peut être plus précis !

Toujours dans la partie intro du Tome I des Chroniques du Girku, Parks donne quelques exemples de décodage linguistique.

P(3)58 : Curieux que Serge Cazelais se contente de ridiculiser Anton Parks avec son ba-na-ne = OVNI et qu’il ne relève pas dans l’un de ses deux livres des exemples de décodage linguistique et la correction appropriée. Encore une autre allégation gratuite. On dirait qu’il mise sur sa crédibilité au lieu de d’identifier, de documenter et d’amener une argumentation sérieuse. Une opinion personnelle, tout le monde y a droit. Mais une opinion professionnelle, et sauf avis contraire c’est le cas ici, ça ne passe pas.

De plus, il n’est pas un spécialiste du sumérien, encore moins du proto-sumérien et il se permet de critiquer Anton Parks sur son approche innovatrice. Je ne suis pas un spécialiste des langues anciennes mais j’ai assez de jugement et de discernement pour voir si le contenu est cohérent, vraisemblable. Et ça l’est ! Ça donne un éclairage nouveau sur nos origines et les textes dits sacrés. Et Parks le fait objectivement tandis que Cazelais se cantonne dans le décodage de messages spirituels, un domaine où la subjectivité alimente la perception et l’interprétation.

Malgré tout, et j'en ferai un Round, Cazelais et Parks ont beaucoup en commun !

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L'ALERTE LAMBERT à Panthère
http://www.orandia.com/forum/index.php?id=206908

P(3)58

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