VidéOrandia #39 Semaine du 5 octobre 2014

par Samädhi , mardi 07 octobre 2014, 22:58 (il y a 3487 jours) @ Spyrale

Salut Spyrale et JF

Ce que Gordon Nikolaï amène dans son discourt sur le harcèlement moral, nous concerne tous au plus haut point, car lorsque la mondialisation va être plus intensive ou « harcelante » pour faire taire certaines personnes qui ont l’intention de réveiller une certaines partie de la population sur des sujets très controversés, par exemple !

Sur le thème du corps policier :

Lorsque les policiers font des arrestations ils représentent les premiers juges potentiels, et c’est uniquement selon leurs jugements que la paperasse a la possibilité de se retrouver entachée par une discrimination, car être policier ne signifie pas d'être toujours apte à juger sur le tas sur n'importe quoi, et surtout lorsqu'il s'agit de choses inconnues qui font peur à la population et que le discrédit peut facilement s'installer avant un arrestation.

Pour répondre plus clairement je fais suivre ici une réflexion de base qu'il serait bon de la conserver dans vos archives, afin de démonter que c’est très facile pour la justice une fois devenue intolérante puisse devenir un système d’injustice quand la compétence n’est pas en accord avec certaines arrestations !

Le gouvernement des États-Unis n’est pas habilité à traiter de la Loi Naturelle Fondamentale. Or l’orgonomie est une branche de la Science Naturelle Fondamentale… Se présenter au tribunal pour « défendre » la Recherche Naturelle Fondamentale constitue en soi un acte absurde. En effet, toute investigation dans ce domaine se situe en dehors de la compétence juridique d’une administration sociale quelle qu’elle soit. Le droit de l’Homme à la connaissance doit être protégé, si le terme Liberté doit signifier plus qu’un slogan politique vide de sens. Je ne comparaîtrai pas devant le tribunal pour « me défendre » contre un plaignant dont la nature même de la plainte prouve qu’il ignorait tout le la science naturelle…

Réponse écrite de Wilhelm Reich adressé aux juges